Comment savoir ce que nous valons ?
Ceux qui ne « sont » rien s’élucident avec l’idée sous-jacente de ceux qui ne « veulent » rien. Oui la fatalité inexistante joue à fond comme si elle…existait (oui s’ils ne veulent plus rien , ils ne seront plus rien). Sauf que, graine de sable ! ceux qui ne sont rien ? Il y a aussi celles, pas que ceux. Celles ?...« moi je ne veux rien et ne suis faite de rien. J’espérais me réveiller…(p. 37 – Elena Ferrante – Le nouveau nom, L’amie prodigieuse II, janvier 2017). »… « Pour finir, elle n’en fit rien (p.47, ibidem). » Ce qui finit la série, bien évidemment.
Nous ne sommes pas un troupeau boursier. Il y a grave équivoque qui ne nuit qu’à qui l’a semée. La valeur c’est ce qui appartient à l’Humanité, c’est le triomphe de l’humanisme que chaque humain reste unique et…irremplaçable, que c’est son humanité même qui fait qu’il vaille tant et est tout. Potentiellement. Nier l’humanisme c’est se nier, dénier et renier soi-même. C’est s’exposer dans son complet tort. C’est tout mélanger et donc ne rien savoir…Le capitalisme structurel n’est que la haine de l’intelligence et de la sensibilité. Il veut imposer, bêtement, son monde sommaire et trop grossier pour être honnête. En fait, par rapport aux valeurs humaines, il n’est rien. Rien d’autre qu’une énorme bêtise bestiale et tellement qu’elle fuit tout débat de fond. Rabaisser, arbitrairement et dans un monologue sans issue, les humains a ce qu’ils « ont » (pendant que le vil libéralisme les spolie dans le dos !) c’est commettre une erreur méthodologique contre soi-même, une trop étourdie bévue qui ne fait mal qu’à soi seul. Comment mieux l’éclaircir ?
En dehors du fait massif que, d’afficher une omniscience si ridicule dans « ils ne sont rien » (et comment il/elle peut le connaître ?), il faille, aussi, abandonner tous les chemins courants des raisonnements. Oui ? Que ce n’est plus, alors, à travers des rapports humains rapprochés, des relations intra-sociales ou des contacts directs – que nous pouvons prendre la mesure, sensuelle, de ce que nous valons – ce sera, en compensation, à travers l’usage extensif du langage que nous le sautons. Déjà sachons sachems que les mots sont vraiment et sacrément de notre côté…Ne nous privons plus de leur présence si amicale. C’est qu’ils terrifient si fort les fraudeurs qui se prétendent dirigeants. Leur futur ne tient qu’à un mot ! 3 points dialectiques le prouvent !
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*** - Que le « ils ne sont rien » ne fonctionne que par les yeux (la seule dépense que le parasite capitaliste accepte de faire à perte, de sa poche) – soit les illégitimes agressions par l’image permanente, les guerres visuelles afin de nous prendre – frauduleusement – tout l’œil et de tenter de nous empêcher de pouvoir regarder autre chose que ses mensonges et trompes l’œil. Ce qui, vu froidement, est l’aveu de son immense faiblesse. Oui très faiblards ces prétendus organismes hyper puissants : nous ne les écoutons plus, nous ne les regardons plus, à très court terme ils ne vont plus pouvoir exister (ils ne sont déjà plus rien ! plus qu’un souvenir de capacités de…nuisances !). Ne survivant que dans les parasitismes de nos élans spontanés ! Dans les cambriolages de nos libidos ! Dans le vampirisme de nos désirs…ils bien sont à 100 % dépendants de nous. La symétrie inverse n’existe pas dans les flots augmentant de répulsions envers eux ! Nous pouvons carrément, et à 100 %, vivre sans eux !
Gens-plus-intelligents-silencieux-calmes-et-réfléchis
*** - Autres aveux de grandes faiblesses. Oui de ceux qui démasquent à quel point ils demeurent…trop dépendants de nous. Des mineurs irresponsables. De notre complète exploitation illégale (le travail est le point faible où la frontière entre « l’égalité de tous devant la loi » et l’illégale féodalité du droit de vie et de mort est si floue que leur règne ne tient qu’à un tremblement. Le travail n’appartient à personne, osent-ils, lorsque que «le travail crée la valeur » (le travail spolié de tous ses rendements, productivités et plus-values volés sous ses yeux) n’aurait pas le droit de se défendre ? Les patrons ne sont qu’un syndicat comme les autres (Voir le si percutant Adam Smith !), leurs monologues outrés n’ont pas « plus de valeur » que les autres approches. En fait, leurs comportements, les dévoilent plutôt comme des handicapés, des infirmes de l’autonomie. Couverts des prothèses du vol de l’argent des autres, ces pique-assiettes permanents sont à la merci d’un…simple changement de regard. D’une vision qui pivote. D’un paradigme qui change. Le travail qui crée la valeur…est tout !, par exemple. Et eux…pas grand-chose !
** - En fait, ces truqueurs ne mènent absolument pas le monde, ils ne dirigent rien du tout, n’accompagnent pas les mouvements de fond – ils sont acculés à tout faire afin que rien ne change, puisque tout changement décisif, décisoire les rapproche de leur fin imminente. C’est nous qui menons le monde par nos initiatives et créativités, oui qui sommes tout. L’imagination est notre pouvoir qui court si loin devant ces lourdingues dingues ! « Il n'y a pas de faibles, il n'y a que des gens qui ne savent pas ce qu'ils valent ", valorisait Daniel Pennac. Désormais, nous savons que nous valons plus qu’eux puisque leur sort ne dépend que de nous ! Et guère l’inverse.
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D’où ? Si nous est dit que nous ne sommes rien, que nous ne valons rien, que nous serions quantités…négligeables – ceci veut dire exactement quoi ? Qu’ils tremblent comme dix millions de feuilles que nous comprenions notre valeur mouvementée. Que nous prenions conscience de ce que nous valons vraiment. Que nous les surpassions aisément en tout ce qui concerne ce qu’ils valent. Dévalent ou avalent. Convalescents ? Oui vous valûtes toutes vos luttes…vraiment ! Je vaudrai ce que tu me revaudras. Values et plus-values….valoir ce n’est pas dans ce couloir obsolète…mais bien ici : - qu’il vaille et travaille, qu’ils vaillent les travailleurs…que vaille ce travail volé ! Jamais il n’a été ouï qu’un spéculateur vil soit un …travailleur, un faux patron un travailleur, un spoliateur des dividendes un travailleur, un costume-cravate ambulant un travaille…ur ! Rien, qui ne vaille chez eux ? Que vaille ce qui travaille !
Le pot aux roses ainsi dévoilé : il n’y a que ce qui travaille qui vaille. Marx avait, définitivement élucidé que le seul « créateur de valeur c’est le travail ». Ce qui dispatche les autres fonctions comme les parasites des valorisations des productivités et rendements. Rendements qui rendent toujours plus que le coup de pouce de départ. Rentable ce qui rentre, la rentable rente vile lorsque qu’elle se montre tarentule ta rente ! Partout, rien qui ne vaille plus que qui travaille dans la grande générosité sociale…le prolétaire offre plutôt le peu qu’il a qu’il ne cherche à en profiter sur le dos d’autrui ! Le vil et l’avare ne se trouve que chez qui a déjà beaucoup trop. Rien qui ne vaille vaillant chez eux !
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Sans l’humanisme et son immense ouverture d’esprit, le rustre, qui fait semblant de penser, ne s’engage que dans les dialectiques de l’insoluble (pas de solutions dans un point de vue erroné) : par exemple, « d’où » parle qui assène des « ils ne sont rien » ? Du point de vue où il se surdétermine et dévale dévaloriser l’autre ? Et ce a priori. Inéquitablement. Ce n’est que du monologue – aucun raisonnement ne se trouve derrière – qui ne correspond à aucune règle. Notamment la trame de sens dans laquelle se déroule ce tout ce que « vous valez ». Vale rivale ? Tout est bien là. C’est tout le fond insoluble de remplacer le fond par des…fonds ! De tenter de faire de l’argent ahuri une…intelligence indiscutable ! Ce qui s’effondre même dans le fait de, si malhonnêtement, s’auto-proclamer très supérieur et l’autre très intérieur. Une valeur qui n’est que rivale « rivaleur » (le jeu de miroir demeurera infini et sans point final – voici qui reste tout le contraire de réfléchir sans fléchir !) ne trouve aucune justification en elle-même. Et donc ? Qui dérive dans les seules phobies ne connait de la valeur que le seul fait qu’il en soit le valet vale rivé aux rivalités. Valet de peu de valeur (humaine).
Perdant toute universalité. Oui, si facile à démontrer. Le « liberté, égalité, fraternité » restera à jamais universel. Un but collectif à toujours atteindre. Le égaler égaler. Par contre, le « ils ne sont rien » ne sera jamais universel, mais platement local et localisé, piteusement partiel et partial (ce n’est qu’une opinion égarée pas une démonstration convaincante). C’est que la valeur qui est toute Logos (langage, mesures et peser de toute soupeser le juste) appartient entièrement à :
valable et acceptable (le ils ne sont rien n’est pas approuvable !)
valide et valider tout ce valide même
un à-valoir soit un bien futur.
Et pourquoi ?
La valeur rend valeureux ! C’est même toute sa gloire. Une valeur qui escamote les autres, si déloyalement, ne peut rendre valeureux. Il n’y a nulle valeur derrière. Que la convoitise suspecte d’annuler, précipitamment, autrui ! Qui « se mesure » aux autres avoue sa grave faiblesse de procéder d’eux, d’être si accro à leur valeur propre, d’en dépendre addictif. Et d’en être si démuni qu’il ne peut qu’aller contre les évidences…clair que ce n’est pas évident du tout le « ils ne sont rien ». Juste un préjugé régressif, une opinion aigre, un rebroussement de progrès !
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Nous sommes dans une “démocratie représentative”, renforcée en plus d’un état de Droit. Pour cela, cet état doit garantir « l’égalité de tous devant la loi » et ne surtout pas renforcer l’inégalité généralisée et plus de lois loyales alors. De savoir, en plus, que l’État participe de l’étant, de l’être lui-même – voici qui rend plus qu’inadéquat le «Qui ne sont rien”. Ce « qui ne sont rien » bien trop antidémocratique, mélange la Bourse et l’humanisme. La République est humaniste et anti-boursière. Chaque citoyen reste souverain, donc la valeur suprême de l’intérêt général (il est tout, sinon pourquoi voterait-il ?). La Bourse ne représente rien qui rende valeureuse la valeur. Être et valoir n’ont rien à voir. Tout être demeure incommensurable. Tout ce qui est « enfermé », bêtement, dans un prix, a un prix et n’est jamais « hors » des prix (par exemple, le gratuit reste hors de prix) – n’a aucune valeur par lui-même…Non, nous ne valons pas ce que nous avons mais nous valons ce que nous sommes. Et nous sommes rien de privatisables – et surtout pas une vassalisation délictueuse par les oligarchies. Qui « ne sont rien » de…légal ni de légitime ! Ce texte renverse les perspectives du futur qui, soudain, nous sourit. Venir voir reste une valeur valable.
Nous sommes devenus les responsables du monde entier tellement la non-culture libérale a déserté l’essentiel. Nous sommes au-dessus de l’ensemble. Et nous allons retrouver toutes les libéralités (qu’aurait dû être l’imposture libérale, cet avare si hideux !) :
** 1) - Quelles sont les valeurs transmises par l’école ? La prétendue compétence qui permet de dire que ces autres ne valent rien ? Donc la valeur ne vaut rien, c’est celle des riens qui ne disent rien ? Et l’école ne transmet que le nihilisme ?
Temps de nous interroger sur la notion d'échec scolaire. Est ce qu'un échec scolaire : c'est un échec de l'élève... ? Ou est ce que c'est un échec de l'école... ? Quelle valeur a envie de donner à chacun l'école ? Des valeurs de partage et d'entraide ? De co-activité et de mutualisation des savoirs et des dons ? Etc. Bref, ne vaudrait rien et ne serait rien qui s’oppose, déloyalement, à tout ce qui ressemble à la véridique évolution.
** 2) - Actions c’est les actions…boursières et aucune autre obligation qu’une obligation monétaire ? Cette grave corruption morale qui sera survenue par l’éloge du parasitisme sur…l’argent des autres (La vile Bourse (sui rem.Bourse tout !) c’est juste vivre et s’enrichir sur…l’argent des autres et pas le sien propre)
** 3) - Il y a dangereuse équivoque sur ce que nous valons (Combien de divisions ? Combien de désirs si malades de nuire aux autres ? etc.….ce qui ressemble bien plus à ce que nous dé-valons tout en bas de la pente, dévaler le déshonneur !)…ce n’est pas cela du tout que de valoir C’est juste ravaler valer…Ce que, réellement, nous sommes ? Les « sommes » colossales de tout ce qui n’est pas matériel ! Nous sommes tellement plus que ce qui se chiffre, se chiffe molle la chiffe, oui nous sommes ce qui dé-chiffre. Pas ce qui chiffre.
** 4) - C’est donc un honneur que de ne valoir rien, n’être rien, dans leur gigantesque escroquerie où ces bandits médiatiques ne vivent que sur l’argent …des autres. Certainement pas le leur. Jamais ils n’ont « gagné » ces sommes abusivement abusives. Il leur aurait fallu un épuisant travail, dont nul n’a perçu la moindre trace !…Ils les ont spoliées, extorquées, détournées, dévalisés…bref que des comportements
……………………………… qui ne…« valent rien » !
…….........…(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles (…celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
les nihilistes libéraux veulent juste détruire tout cela…mais leur insensibilité et leur immaturité les font déjà se prendre les pieds dans le tapis. Boumbadaboum…
les marginaux capitalistes, qui ne représentent personne, semblent bien les ennemis désordonnés de ces fortes valeurs…il s’agit de les traiter comme tel, Guillaume !
et surtout pas les non-valeurs boursières ( multi-corruptions et dévalorisations malsaines des autres)
le « ils ne sont rien » est le contraire d’un raisonnement…une ignorance. Trop dédaigneuse « ignorance » ?
il y a grave équivoque sur ce que nous valons (Combien de divisions ? Combien de désirs si malades de nuire aux autres ? etc.….ce qui ressemble bien plus à ce que nous dé-valons tout en bas de la pente, dévaler le déshonneur !)…ce n’est pas cela ce que nous valons ravalons. Tout ce texte nous fait découvrir cette nouvelle Terre…
ce que nous sommes ? les « sommes » colossales de tout ce qui n’est pas matériel ! Nous sommes tellement plus que ce qui se chiffre, se chiffe molle la chiffe, oui nous sommes ce qui dé-chiffre. Pas ce qui chiffre.
Ce que nous valons ? Toutes les cicatrices industrielles que nous infligeons à notre planète !
ou les inadmissibles insultes de la pub…nous ne valons que ce que nous dépensons (worth it !), ose ce prurit de corruptions. Pas question : son immoralité ne passera pas ! La publicité nihiliste est exclue de la société…
oui beaucoup trop de prétendus dirigeants se permettent d’avoir des attitudes esclavagistes devant ces humains alors que « tout le monde est égal devant la loi ». Il faudra bien que la honte les cramoisisse !
nous n’avons pas les mêmes valeurs…si dévalorisés se montrent les antivaleurs libérales et capitalistes…leur taux d’inhumanité est vraiment trop élevé. Quelque part ils ne valent vraiment rien. Leur cœur trahit absolument tout ! Ce sont les irrespectueux...
la bourse rem-Bourse tout, c’est toute sa valeur ! Leurs actions ne sont que de l’inaction qui vole le travail des autres. Indigne ! Ils nous indignent à vie...
Quelles sont les valeurs transmises par l’école ? La compétence qui permet de dire que ceux-ci ne valent rien ? Donc la valeur ne vaut rien, c’est celle des riens qui dévalorisent tout ? Hippolyte Labourdette s'interroge sur la notion d'échec scolaire. Est ce qu'un échec scolaire : c'est un échec de l'élève... ? Ou est ce que c'est un échec de l'école... ? Quelle valeur a envie de donner à chacun l'école ? Des valeurs de partage et d'entraide ? Va bien falloir savoir !
Les valeurs de la République Le Moment Meurice