L’argent a le goût de la mort ?
Et même son odeur. Ce thanatos n’a vraiment strictement aucun Eros. Toute la littérature sur cet intrus n’est donc que fausse fausset. Ni plaisirs ni joies mais que des négativités très nocives pour la santé : voici un diagnostic récent sur l’argent. Par rapport, à nos santés l’argent est du côté de la mort. Voyons voir.
« Quand l’université de Stanford a changé de logiciel de paie, il y a quelques années, Jeffrey Pfeffer, enseignant à la Stanford Graduate School of Business, a remarqué quelque chose d’étrange sur sa fiche de paie : alors qu’il n’était pas payé à l’heure, son bulletin affichait un salaire horaire. Sa curiosité éveillée, ce professeur de comportement organisationnel a voulu comprendre d’où sortait ce chiffre. Réponse : son salaire horaire était égal à son salaire annuel divisé par 2 080 (c’est-à-dire 52 semaines multipliées par 40 heures hebdomadaires).
Selon les dernières recherches de Pfeffer, en collaboration avec Dana R. Carney de la Haas School of Business de l’université de Californie à Berkeley, cette conception économique du temps a aussi des conséquences physiologiques pour l’individu. L’étude conclut que plus on est conscient de la valeur économique de chaque instant, plus on est stressé et plus on présente un taux élevé de cortisol, l’hormone responsable de ce sentiment.
Le-temps-c'est-de-largent-mais-penser-comme-ça-nuit-gravement-à-la-santé
Afin de démontrer la corrélation entre argent et stress, Pfeffer et Carney ont recruté 104 sujets tests qu’ils ont rémunérés 57,50 dollars [50 euros] pour deux heures de travail dans une entreprise imaginaire, et les ont séparés en deux groupes. Avant de s’atteler à la tâche, les 50 employés du premier groupe ont été invités à calculer leur revenu par minute. Les autres ont dû effectuer les mêmes missions sans avoir calculé leur salaire par minute.
Pour déterminer les effets physiologiques et psychologiques de cette information, Pfeffer et Carney ont mesuré le taux de cortisol salivaire, un indicateur physiologique de stress, chez tous les participants, avant et après leurs deux heures de travail. Les résultats sont inquiétants, a déclaré Pfeffer. En plus de présenter un taux de cortisol 25 % plus élevé que celui des autres, les sujets informés de la valeur de leur temps ont moins apprécié les deux pauses qui leur ont été accordées et durant lesquelles ils ont pu admirer des œuvres d’art ou écouter de la musique. Le cortisol a toutes sortes d’effets négatifs sur l’organisme, explique Pfeffer. Une augmentation de 25 % de son taux peut avoir de graves conséquences sur la santé.” [[ce faux ami est donc un claire ennemi identifié de nos vies !]].
D’après Pfeffer, ces résultats sont particulièrement alarmants vu l’évolution du monde du travail aux États-Unis. De plus en plus d’actifs travaillent dans ce qu’on appelle la “ gig economy ”, où ils sont payés à la tâche au lieu d’être employés à temps plein. Pour eux, le temps, c’est vraiment de l’argent. “Le stress engendré par cette nouvelle organisation du travail peut avoir des répercussions sur l’état de santé général de la population”, conclut l’étude. [[l’argent n’use pas que ses adeptes mais tout le monde, le laisser œuvrer sans frein décimerait donc TOUTE la population ? Voici qui rabat le caquet de tous les fanatiques, aux regards si hallucinés, de l’argent sale et fou ! Ce sont des personnages peu sérieux…l’argent enlève donc le sérieux de l’être !]].
Par bien des aspects, dont celui-ci n’est qu’un exemple, on évolue dans le mauvais sens, s’inquiète Pfeffer. On calcule en permanence la valeur financière de nos heures. Et toutes les études disent la même chose : quand on associe trop le temps et l’argent, on ne profite pas de sa vie [[le profit est donc un maitre outrancier et déréglé qui ne veut PAS que nous aimions la vie. Mais lui seul…Son mécanisme de mort veut tout détruire de ce qui n’est pas lui en nous]] . On devient impatient. [[déjà un futur patient cramé de l’intérieur ?]]…On n’apprécie plus la musique, les couchers de soleil [[ cela « vole » trop de temps, voyons, hurle le fric plus que paranoïaque !]]. Ce n’est pas la voie du bonheur [[je ne veux le bonheur de personne, hurle aigrement l’argent. Je veux PRENDRE TOUTE LA PLACE des sentiments humains, ceux qu’avaient les soi-disant « profiteurs » qui ne peuvent jamais profiter (apprécier le précieux, savourer longuement le temps de…savourer, prendre tout le temps de caresser le ressenti du temps, etc. – bref, savoir « vraiment » vivre). Savoir vivre, on s’en fout, braille l’argent toujours désaccordé. La vie dehors, du balai, elle n’est pas à vivre, ça rendrait le temps trop attirant…vous vous rendez compte tout le monde le « prendrait », le temps. Pas question. Je veux la mort sans aucune vie et le temps cloué comme un papillon qui ne « sert » qu’à compter le compteur des machines ! Plus d’humain. A bas la vie, vive la mort…ou bien le cauchemar dément de l’argent exclusif, qui exclut tout ce qui n’est pas lui, et pourrait s’auto-admirer sur les ex-corps humains.]].
Being-overly-aware-of-time-equals-money-is-a-great-way-to-stress-yourself-out-and-...die-sooner (l’argent qui nous fait mourir plus tôt à force de nous stresser plus vite, plus vite, avec le temps de le gagner qui doit être égal à une microseconde, puis plus court encore, puis plus …le battement de cœur qui va…manquer).
Pour le chercheur, le problème va plus loin. Il faut qu’on fasse autant attention aux gens qu’aux ours polaires. Beaucoup d’entreprises, surtout les plus grandes, se vantent de réduire leurs émissions de CO2, de diminuer leurs emballages. Certes, l’environnement physique est important, mais l’environnement humain l’est tout autant.”
Jeffrey Pfeffer encourage donc les employeurs à trouver des moyens d’aider leurs collaborateurs à sortir de cette sale mentalité qui fait correspondre temps et argent, en passant à des échelles de salaire annuelles plutôt qu’horaires, par exemple. “On se fait du mal si l’on pense à tout moment à la valeur de son temps, insiste-t-il. Nous vivons dans une société qui planifie à l’excès, ce n’est pas très sain. Ça ne se passe pas comme ça ailleurs dans le monde.”
Les habitants de l’île grecque d’Icarie, rappelle l’étude, ne prêtent que peu attention aux horloges… et vivent très âgés. “En Espagne, on prend une longue pause au déjeuner, on boit du vin, on se détend, ajoute Pfeffer. Ce n’est pas la même histoire chez nous.” [[…pas la siesta como una fiesta…le puritanisme qui tue toutes les raisons de vivre ? Encore un absolutiste qui ne veut que lui ou sa photocopie partout sur Terre ? Le chef de tous ces déréglés est l’argent fou qui ne veut…
>>>> - …………RIEN D’AUTRE QUE LUI PARTOUT SUR TERRE.
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-- Mais que faire de ces flots d’argent ?
-- Acheter tout ce vous voulez…
-- Il n’y a plus rien à acheter, vous avez tout expulsé, il ne reste que vous ! Que de l’argent à acheter en boucle…Et puis je n’ai plus le goût à rien. A quoi sert le fait que vous ayez refusé, comme un fou furieux, toute limitation à votre emprise ? Nous n’avons plus de prise sur rien ? Rien ne nous prend et ne nous éprendra plus.
-- Vous pouvez vous sentir en sécurité. Vous avez plus d’argent qu’il est possible d’en rêver.
--- Sauf que c’est le règne du seul, du solitaire, du monopole absolu, du sans symétrie, du non-double, de l’exclueur complet, de l’égaré universel – il n’y a plus de vis-à-vis, de répondant, d’interlocuteur, de dialogueur, de reflet même. Il n’y a qu’un monologue et personne pour l’écouter. La mort par….inhumanité intégrale !
-- Vous n’avez plus à vous soucier du lendemain
-- Et il n’y a plus de lendemain. Vous avez déréglé toutes les mesures (l’argent n’était qu’une mesure externe et neutre des richesses…collectives et surtout pas enfermées à moisir dans l’individualité égoïste. Vous l’avez transformé, ce « sens des mesures », en un fanatisme idolâtre qui surpasse tous les méfaits des religions…). Ce n’est franchement plus VIVABLE. Les goûts ont été instrumentalisés en monnaie…mais nous n’avons plus de goûts ! Plus aucun et à rien. Les touchers se sont mués en monnaie, mais plus rien ne nous touche et ne peut nous toucher. Les sons ne sont moissons de plus rien. Les odeurs sont aussi irrespirables que l’air des villes. L’EXTÉRIORISATION de l’argent fou est bien une hideur sans nom (air tué, eaux empoisonnées, terres infertiles, vents coupants, feux des irritations et des insatisfactions partout). Le corps a « besoin » du temps de vivre. Du vécu charnel et sensuel (et, aussi, sensible, sensationnel et…sensé)…les preuves sont toutes contre l’argent.
-- L’argent c’est le temps.
-- Justement, il ne le faut pas. Le temps c’est la vie du corps, il ne doit pas être écrasé, étouffé, compressé de contraintes sous peine de s’user à très grande vitesse. Il lui faut se dé-tendre (et l’argent n’est plus que la crise de nerfs d’un flux…tendu). L’argent agit comme la mort partout et le Corps Social s’en rend enfin bien compte. Nous sommes en période de rejet. Le corps n’en peut plus : les carences en Oméga 3 et Oméga 6 aboutissent à ce que nos corps intérieurs soient toujours en état…d’inflammations maximales. Soit la traduction physiologique des irritations et insatisfactions récurrentes. Qui nous pilonnent sans cesse. L’argent est un facteur de stress mortel…il faut vite se débarrasser de cet intrus. Il existe nombre de systèmes alternatifs, nous n’avons pas besoin de ce fou inhumain !
-- L’argent simplifie tout !
-- Justement il rend tout simpliste. Au point qu’il n’y a plus de place que pour lui. C’est le dépeupleur de Beckett. Le grand extincteur, le dépopulateur. Tout en lui n’est que négatif et inamical. Impossible de lui rattacher le moindre fait agréable et la moindre preuve positive. Il est devenu si abstrait, le fric, qu’il n’y a plus de place que pour lui. Le simplisme à ce point : plus personne que moi - non nul ne peut plus admirer cet enfer glacial.
-- Tellement d’humains me désirent et m’admirent.
--- Justement non, le burn out c’est le cri qui dit tout brûle à l’intérieur, le cortisol de l’argent fou nous vole nos batteries corporelles. L’usure des cramés du foie (ce desséchement de tout sentiment qui se voit jusque sur les faciès) c’est destiné à qui pratique…l’usure bancaire (ce qui « use » la confiance sociétale jusqu’au dernier fil). Oui, retrouver vie avec tous les mots qui démasquent, si allégrement, l’ennemi absolu de l’Humanité. Son mon déMon…Ce l’argent ment largement…la science (s’alliant enfin à tous les grands esprits) vient de le démontrer : c’est le corps ou l’argent. Les deux ne peuvent plus coexister ! Il faut changer complètement de modèle…
-- L’argent est éternel.
-- D’un éternel qui l’éternue. Changement d’aire et d’air…
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Ce n’est pas des moindres triomphes de ce blog. De ce qui avancions dans les livres et démontrions dans les posts quotidiens – obtiennent, a posteriori, des confirmations…scientifiques de taille. Il en pleut ces temps –ci. Ce qui veut dire que, enfin, ils s’avancent dans notre direction ? Oui, mais que, surtout, il leur manque le plan global de compréhension que nous avons. Ainsi dans le roman si transversal « Je ne parle plus à qui a raison », les piteux et miteux censeurs qui exigent (sans motif valable) un aplatissement universel devant le dieu fric, se sont donc plantés large. Il était dit juste que l’argent ne peut être un structurant social cental, qu’il ne peut construire une société, vu qu’il est surtout antisocial. Donc censuré pour avoir « trop » raison ? Pour être trop pionnier ? La médiocratie au pouvoir semble le confirmer si minablement. Tout ce qu’elle a infligé au monde c’est une inculture nauséeuse, un manque flagrant de cœur, une absence de vision, une existence atone, un vide de projets communs, etc. Ils ont voulu prendre, frauduleusement la place des vrais écrivains. C’est un échec plus que complet. Nous tenons toujours la barre et eux n’allongent plus que leurs tristes figures. L’argent est démontré l’ennemi antisocial – et, eux, les missionnaires fanatiques du fric, juste ses indignes collabos. Ils censuraient tant en son nom, leurs impostures les font tomber de très haut. Ils n’ont vraiment rien à proposer pour le futur de l’Humanité ! Traîtres et dissimulateurs !
Leurs charniers peuvent devenir immenses. Ce sont des irresponsables complets qui n’ont jamais su ce qu’ils disaient. L’argent-stress peut tuer toute la population tant il use, de l’intérieur, ses nerfs. En rompt la trame à coup de cortisol. Les cruautés sociales contre les « nécessités de base » (judicieusement nommées droits de l’homme !), oui les conditions de survie de l’être humain, qui étaient, de fait, même appliquées aux esclaves (on ne gaspille pas ainsi son bétail de valeur, on le soigne et le protège un minimum !) sont même atteintes actuellement. Par exemple, l’absurdité kafkaïenne de « déréglementer le travail » (oui mais pour le seul versant capitaliste) et le « sur-réglementer » de l’autre versant – est surtout un coup trop stupide porté à la CONFIANCE. Oui la base du système que la confiance. Ici, la prise de conscience qu’il n’est plus possible de signer un CONTRAT avec ces êtres aussi déréglés qui ne respectent plus aucun contrat, traité, entente, bilatéralité ou multilatéralité. Mais qui divague, nocivement, dans sa seule…unilatéralité ! L’esclavage au travail n’est, juridiquement, possible que si un contrat des deux acceptations existe. Or là cette intempestive déréglementation - vraiment d’une bêtise insurpassable - détruit toute possibilité même de contrat. C’est le performatif « je dis » du monologue dictatorial qui ordonnance oui la …désorganisation générale (« sans » contrat, nul n’est plus « tenu » à rien…pas de pire anarchie que cette dérégulation, non mais…cela ne va vraiment pas dans leurs têtes !)
Être éternellement insatisfaits, c’est donc prouvé, c’est l’usure rapide de la santé, c’est le corps qui se déglingue – le stress excessif par l’argent insistant empêche le moindre contentement, la moindre joie. Pas la moindre compensation, la moindre décompression (aucun moteur mécanique n’y résiste). Pire ? Le cortisol nous use sans cesse et sans arrêt. Pas de …pause. L’argent démontre, ainsi, qu’il est la mort à très court terme. Corrode, amoindrit, mine et contamine, épuise et abime. L’argent est l’ennemi frontal de toute chair, c’est la mort dans nos corps. Pourquoi ? Parce que ce déréglé dérégulé veut trôner sans partage (tout pour lui et rien pour les autres) – et que ceci ne se peut. Tout dans la nature est lié et relié, tout se tient en co-évolution, tout aspire aux régulations les plus puissantes, tout est harmonisé dans un Tout supérieur aux parties. E que l’argent si anarchiste n’est qu’un partie (les instruments de mesures) qui veut se prendre pour le Tout. Cette grave mégalomanie le montre en grand d EXTRA TERRESTRE….oui l’argent est un Alien, il n’appartient pas à cette Terre, il lui est plus qu’étranger, c’est une greffe im-monde que nous devons absolument rejeter. Question de vie !
L’argent est donc le plus mauvais maître qui se puisse imaginer (il est lui-même trop esclave de ses délires malsains !). Prédateur unilatéral, il brise tout ce qu’il possède, le vampirise, l’assèche complètement. Il ne symétrise rien, ne connaît rien au contrat qui « satisfait les 2 parties » (selon les lois de la réPublique non privatisable), il agit en desesperado solitaire, saccage tout, razzie le reste – oui parce que son règne si absurde
……………………. demeure SANS PARTAGE !
……………(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles (…celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Selon deux chercheurs américains, le fait d’associer le temps à l’argent augmente les taux de cortisol dans le corps, et donc le stress et l’insatisfaction. Pour retrouver goût au travail et à la vie, il est urgent de changer de modèle. Bizarre, nous sommes absolument d’accord avec eux. Rien de plus malsain que de placer le « grand désorganisateur » fou, l’argent, au centre de la société !
or le stress d’argent augmente de façon alarmante le taux de cortisol : l’argent comme l’ennemi le plus inculte de notre santé ?
et plus ils courent vite, plus ils sont usés. Et n’ont plus de temps pour l’argent du temps. Le savourer au moins…pire esclavage volontaire ? Non, faut vraiment jouer au concours de qui est le plus con !
Rien ne nous oblige à endosser et supporter une telle désorganisation sociale – le capitalisme est très mauvais pour la santé, quittons-le !
Donc ce qui nous permet de nous sentir BIEN c’est de quitter un tel système de tortures et de morbidités…nulle part où la vraie vie puisse s’infiltrer !
Le cortisol, hormone du stress, c’est donc brûler le meilleur de notre essence la plus précieuse, de notre moi le plus durable. Et contre rien d’autant de valeur…Vraiment l’argent ne vaut pas toutes ces beautés…Résultats Plus de santé au bout. On ne peut donc plus…déconner – c’est déjà fait.
Pourquoi l’économie à la tâche n’aidera jamais les femmes ?
Démonstration sur le terrain…
La gig économie
Le stress organisationnel ? Le délire d’imposer vers le bas, le seul top down « l’obligation de résultats » et pas du tout au bottum up (ce qui va vers le haut) est aussi évident que de mettre des vaches dans le métro pour raccourcir les temps de trajets. Oui de la folie pure, comme ces comportements « désorganisationnels » typiques. Qui sont pourtant l’essentiel du management actuel ! Ce pourquoi ces incultes devraient tous et toutes démissionner !
Alain Deneault, contre le « penser mou » - "La Médiocratie" : Les gouvernants sont devenus des gestionnaires, les universitaires ont été poussés à produire davantage, les étudiants ont été contraints à ne penser leur avenir qu’au sein de l’entreprise et les médias ont endormi les masses. C’est que la démocratie n’est plus organique. C’est donc la médiocrité comme…l’excellence !
Trop de cortisol nous …affaiblit tellement plus que nous le croyons ! Allant même jusqu’à nous polluer le sommeil…
Condamnés à être éternellement insatisfaits ? Le truc est : que si nous sommes toujours insatisfaits, soi-disant nous allons acheter, impulsivement, ce dont nous n’avons pas besoin. Et que pour ce minuscule enfantillage particulièrement miteux – les prétendus dirigeants sont prêts à détruire le monde entier !
Heureux si je veux, en finir avec l'insatisfaction chronique…l’insatisfaction permanente étant le pire des blocages au bonheur…
Ce qui est ici expliqué pour la peau ressemble aux inflammations chroniques des organes…L’inflammation permanente de nos organes vient de l’insatisfaction si irritative…Ce qui était une défense du corps, à cause du stress sans…pause, devient donc son ennemi…
Managing With Power: Politics and Influence in Organizations Jeffrey Pfeffer For Kindle…OU comment la médiocratie aura tout pollué et sali dans la société ?