La mort écologique d’une rivière ?
Ce que les cerveaux trop détraqués des financiers internationaux ne peuvent entendre c’est ceci : tout ce qui est sur Terre participe de la même vie que celle qui est en nous. Les arbres sont bien vivants et les fleuves peuvent ne plus être vivants. Ceci se nomme la « mort écologique ». Oui la même mort écologique : dans la nature et dans nos corps. Lorsque, « après Delhi, plus une goutte de l’eau de la rivière Yamuna n’est « naturelle », mais toutes sont artificielles » ceci décrit la mort écologique. Ainsi que l’impuissance humaine à réparer les dégâts que ses exactions infligent, trop étourdiment, à la nature….La nature n’est pas un hangar inerte et aux ordres où les affaires, peu reluisantes, profondément déloyales et si illégitimes de ces grands ahuris internationaux peuvent se dérouler sans accrocs. Surtout pas. La nature n’est pas une poubelle où, tels des voyous sournois, ces abasourdis du fric facile peuvent tout jeter : mais la nature c’est l’air que nous respirons, l’eau que nous buvons, la nourriture que nous mangeons, oui nous mangeons de la…nature. Y déverser, inconsidérément, des déchets c’est se verser directement dans nos corps des poubelles immenses. Plutôt très sale et salement bestial…Les affaires c’est ce qu’il y a de pire à faire. Elles ne sont plus des affaires mais des…crimes contre l’Humanité, des crimes contre la nature. Qui doivent être punis en cessant immédiatement.
Voyons déjà ce qu’est la mort écologique dont nous accusons directement l’argent fou. L’argent dérégulé se conduit comme une délinquance extrême. Il faut lui mettre des limites sérieuses. Il s’agit de le réguler. Puisqu’il dérègle tout (autre mot pour l’illégitime « déréguler » à sens trop unique, pour soi tout seul, pendant qu’est « sur-régulé » tout le reste. Voir les indignes attaques contre le Code du travail pour une « sur-régulation » dissymétrique de celui-ci. Tous les droits d’un côté, toutes les charges des devoirs de l’autre. Le capital est bien trop allégé de tout et toutes « les charges du travail » sont sur le…travail - ce pourquoi le travail a, désormais, priorité entière de parole !)…La même déplorable mentalité de pollueurs et de prédateurs extrêmes, et extrêmement inconscients ou irresponsables, sévit dans la mort écologique. Que nous allons voir de très prés !
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« Après avoir fidèlement alimenté en eau la ville de Delhi pendant 3000 ans, la rivière Yamuna est aujourd’hui en état de « mort écologique », tombée sous les coups de la pollution domestique et industrielle dans la région. Aujourd’hui, seuls les pieux hindous se risquent dans des eaux désertées même par les organismes vivants les plus coriaces. Pourtant, la réponse des pouvoirs publics est encore partielle et maladroite.
Signalement hors du commun : L’appel a dû surprendre : en mars dernier, un militant écologiste indien, Brij Khandelwal, a appelé la police du district d’Agra pour signaler un meurtre. La victime ? La rivière Yamuna, dont une bonne partie des 1 370 kilomètres serpente à travers le district d’Agra, à l’est de Delhi. Selon lui, la rivière est bel et bien morte « d’un point de vue écologique » ; dans son signalement, il cite plusieurs responsables politiques locaux : « la rivière est morte, quelqu’un doit en endosser la responsabilité ».
A-cause-de-pollutions-industriellles-la-rivière-Yamuna-inde-est-en-état-de-mort-écologique.
Délirant ? Pas tant que ça, lorsque l’on sait que la rivière avait été classée quelques jours auparavant comme une « entité vivante » par la Haute Cour de l’ État de Uttarakhand, l’ État qui englobe le district d’Agra. Cette classification, unique, que la rivière partage avec le Gange (dont elle est un des affluents), en fait une entité juridique équivalente à une personne physique – logique, donc, d’en dénoncer le meurtre aux autorités.
Mort écologique : Il faut bien reconnaître que la rivière Yamuna, autrefois réputée pour son eau de grande qualité (au XVIème siècle, on la décrivait « meilleure que du nectar »), est aujourd’hui dans un piteux état. Claire sur les 400 premiers kilomètres de son parcours (qui prend naissance dans la chaîne de l’Himalaya), l’eau s’assombrit, se couvre de déchets et d’une mousse blanche peu engageante au contact des activités humaines qui la bordent. Selon le Guardian, la rivière est polluée par plus de 20 canalisations d’évacuation d’eaux usées simplement sur la portion qui traverse Delhi ; il faut ajouter à cela les nombreux produits chimiques rejetés dans le fleuve par les industries locales. A Wazirabad, un quartier de l’agglomération de la capitale indienne, le fleuve est même entièrement arrêté par un barrage – de l’autre côté, 1 800 litres d’eau polluée rejoignent chaque jour le lit de la rivière asséchée.
Sur place, on regrette la rivière d’autrefois : « nous avons des archives qui montrent que, jusqu’aux années 1960, l’eau était de qualité bien supérieure [[date après laquelle le capitalisme est devenu réellement fou, « sauvage », un furieux qui ne veut plus entendre raison !]] ; il y avait une bien plus grande biodiversité, on y pêchait encore », témoigne Himanshu Thakkar, membre d’une association de défense des droits. Aujourd’hui, le niveau de pollution est tel (jusqu’à 4 fois le taux maximal autorisé de fluorure) que toute vie a déserté l’eau de la rivière, parfois entièrement dépourvue d’oxygène ; seules les bactéries les plus résistantes y subsistent encore. [[le capital sans limites c’est donc la…mort partout ! Qui doit admettre les conséquences désastreuses de ses activités tellement…infantiles ?]].
http://www.imagiter.fr/2017/04/la-nature-est-reconnue-comme-étant-une-personne-légale.html
Conséquences sanitaires : Les derniers êtres vivants qui s’y risquent encore sont les habitants de la région, et même ceux des contrées avoisinantes. En effet, les eaux de la Yamuna sont sacrées pour les Hindous, au même titre que celles du Gange. Faisant fi de l’eau visqueuse et des déchets, les dévots se baignent donc avec extase dans la rivière, espérant la rédemption : « oui, la Yamuna est polluée, mais elle a le pouvoir de nous libérer », énonce pieusement un prêtre. L’eau est également consommée par environ 60 millions d’Indiens, qui n’ont pas d’autre source d’eau, à part la couteuse eau filtrée en bouteille. En conséquence, les pathologies pleuvent : difficultés respiratoires, douleurs de poitrine, fatigue chronique.
Inefficacité des pouvoirs publics [[lorsque trop ligotés par les inacceptables intérêts privés ?]]: Pourtant, l’agglomération de Delhi ne regarde pas à la dépense pour nettoyer la rivière : depuis 1985, l’équivalent de 270 millions d’euros a été dépensé pour changer la situation, selon la Cour suprême d’Inde. L’attention du public et du gouvernement ne manque pas, mais le problème, selon Thakkar, est structurel : plus de 20 organes gouvernementaux cherchent à résoudre la question, mais n’arrivent pas à se mettre d’accord. Les initiatives, quand elles voient le jour, dépérissent faute de suivi et de coordination.
Résignés, les habitants pensent qu’il faudra encore que l’état de la rivière empire avant que les autorités n’aboutissent à une réponse efficace. Pankaj Vir Gupta, professeur d’architecture à l’université de Virginie, tire un parallèle avec la Tamise, qui est restée sale jusqu’à ce que son odeur incommode les députés britanniques : « si l’odeur parvient aux portes du Parlement, nous verrons peut-être quelque chose se faire », soupire-t-il. »
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Nos dirigeants hors sol, ou prétendus tels, sont donc profusément dans une bulle, tellement…éloignés de toutes les réalités tangibles – qu’il faut que ces réalités les atteignent concrètement pour qu’ils les comprennent. Les ressentent, les entendent et les…voient. Oui, ils en sont là d’aliénations exponentielles !
Conclusions : les pouvoirs sont aux mains des plus aliénés des êtres, des plus mal informés, des moins conscients, des moins réalistes d’entre nous ! Gavés d’irrationalités, ces infirmes graves ne peuvent comprendre que…la technologie centralisée n’y pourra rien – c’est la décentralisation des enjeux et des décisions qui compte. Soit, déjà, la priorité de toute écologie dans les décisions impliquant l’argent fou. C’est de même la participation de chaque humain dans la fin des « canicules à record » qui importe, pas les gesticulations de l’argent stupide. Ces milliards de « petits gestes » qui, cumulés, changent vraiment le monde !
Aucun conformiste ne pourra jamais dire qu’elle/il n’ont pas rencontré leurs INVERSES et que ces arriérés par conformismes absurdes…
…font tout pour empêcher ces vrais adultes de tout reprendre en main.
…..Si l’Humanité mourrait ce serait parce que tout ce qu’il y a de plus puéril…
……….....………… aura empoisonné toutes les institutions !
….........…(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
depuis qu'ils sont nés, ils n'auront rien vu d'autres que les sinistres conséquences de l'argent...fou.
Ce week-end, la surface d’une rivière sacrée indienne était recouverte d’une étrange mousse. Le phénomène est le résultat de l’accumulation de produits chimiques déversés par la population vivant le long d’un des cours d’eau les plus pollués au monde. À première vue, ce paysage peut ressembler à une vaste étendue de glace flottant sur l’eau comme on en trouve aux pôles. Toutefois, la nature de cette couverture blanche n’a, ici, rien de naturel. Il s’agit en fait d’une mousse chimique formée sur la rivière Yamuna, en Inde. Un phénomène qui se répand sur les différents points d’eau du pays et qui devient très préoccupant. Les médias d'argent, d'ailleurs, s'en préoccupent plus que les autres !
évolution visible : qu'est-il fait contre ? Enrichir beaoucoup trop des marginaux capitatlistes, ah oui...
le cours de Yamuna
D’après le «Guardian», Brij Khandelwal, un activiste écologiste, aurait appelé la police pour signaler un «meurtre», celui de la rivière Yamuna. Cela fait maintenant plusieurs années qu’il n’y a plus aucune présence humaine dans cet affluent du Gange long de 1376 kilomètres. Ni plante ni poisson ne peuvent survivre dans un tel environnement.
cette rivière est une "entité vivante" qui est une "personne légale" et qui peut faire des procés - en se faisant représenter (oui cela se fait).
La rivière Yamuna, 8ème rivière la plus polluée du monde, en témoigne. Cela n'empêche pas les habitants de s'y baigner pour leur toilette ou de boire son eau. A leurs grands risques et périls- Rappelons que l'Inde est un "modèle" du "capitalisme Fmi"...dont acte...
Ces 'pêcheurs de monnaie' partent tous les jours à la recherches des pièces que les Hindous jettent dans la rivière Yamuna. Ses eaux sont parmi les plus polluées du monde et elles sont le gagne-pain quotidien de ces chercheurs désespérés.
La Terre est un être vivant - elle nous le prouve tous les jours !
et ses contre-projets...