La Nature comme patron ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

La Nature comme patron ?

N’avoir aucunes imaginations vives, interrogations exigeantes, curiosités abondantes, remises en questions évidentes, écoutes passionnées, etc. c’est ne pas vraiment aimer les autres. C’est se trouver dans l’enfer de l’égoïsme, ce cagibi trop poussiéreux vraiment hors du monde et de la vie. Où tout reste compressé, mal à l’aise, comprimé et où ce qui se passe, concrètement, ne peut même pas rafraîchir l’ambiance. Quel gâchis que d’être égoïste : les pertes personnelles sont trop immenses. Ainsi, c’est rater en grand les 2 grandes nouveautés de cette année : 1)- le grand cadran des mentalités achève son tour complet actuellement. Ce qui signifie ? Un changement complet d’époque où les triomphes changent absolument de bord. Par exemple, les idées, comportements, œuvres, etc. de personnages comme nous sont en train de tout convaincre. Et les piteux conformistes de perdre infiniment de terrain (nous y reviendrons dans un autre texte)…2) – la fin du capitalisme, ce scandaleux parasitisme si inefficace, s’inscrit, désormais, dans les moindres faits du quotidien. Bref, la roue de l’Histoire pousse ce sur-assisté trop irresponsable vers la sortie. Nous allons détailler, à l’instant, ce splendide phénomène.

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Produire trop de déchets est bien une preuve d’inefficacité productive. Le parasitisme incompétent, nommé capitalisme, fait payer ceci par l’argent public des contribuables. Se comportant donc en anarchiste, crachant, si illégitimement, sur l’État et ses si utiles services publics et en causant de graves troubles publics (chômages, inégalités galopantes, misères, injustices, spoliations, corruptions, etc.). Un autre système doit être mis à la place de ces graves gaspillages tant humains, naturels que sociaux ! « Cessons de nous comporter et de nous penser comme des parasites terrestres, une espèce maudite qui épuise irrémédiablement la planète. [[Le libéralisme va à la poubelle, pas les êtres humains.]].

CHANGER-radicalement-de-pensées-:--l'écologie-industrielle-:-la-nature-comme-patron

La peur est mauvaise conseillère. Nos industries chimiques, automobiles, pétrolières, énergétiques, urbaines, agricoles, forestières, maritimes, touristiques ne pollueront pas toujours. Industries et environnement ne sont pas voués à s’autodétruire. Nous devons sortir de cette impasse intellectuelle [[et les anti-élites qui sévissent dans les médias d’argent sale à tenter de corrompre les cœurs par leurs désinformations indignes !]]. Écologie et industrie, environnement et business vont et doivent s’associer – s’harmoniser. Le grand défi de ce siècle sera l’«écologie industrielle». D’accord, cela sonne comme une contradiction dans les termes « écologie industrielle ». Mais une nouvelle manière de pensée apparaît souvent impensable au début. L’écologie industrielle (E.I) est un « paradigme neuf » comme disent ses théoriciens – un mouvement international d’idées, d’entrepreneurs et d’acteurs de terrain. Écoutons l’un d’entre eux, Suren Erkman. Nous sommes à Genève, dans les locaux de sa société d’étude de projets industriels et technologiques. Ce biologiste suisse de 50 ans, ancien journaliste scientifique, a formalisé plusieurs des concepts importants de l’écologie industrielle dès 1994, avant de donner des cours à l’Université de Technologie de Troyes, puis à Genève.

« L’écologie industrielle repose sur trois idées force. La première, c’est d’imaginer le tissu industriel et urbain comme un cas particulier d’écosystème, qu’il faudrait faire fonctionner comme tel. De fait, tout ensemble d’industries fait circuler certaines quantités de matières, d’énergie, d’information, de déchets, de gaz, d’espèces vivantes, d’intelligence, comme tout système naturel. Nous pouvons en analyser le « métabolisme », c’est-à-dire les flux, les stocks, les dépenses, les pertes, les dégradations comme pour un ensemble vivant. Deuxième idée force, nous pourrions tendre à optimiser et « boucler » ce système pour qu’il récupère au mieux ses dépenses d’énergie, recycle ses déperditions, réutilise ses déchets et réduise son « empreinte écologique » à l’image d’un écosystème naturel ou d’« une chaîne alimentaire ». »

Des exemples frappants ? « Le traitement des déchets fournit des exemples classiques, mais limités, d’écologie industrielle. Aujourd’hui, de nombreuses entreprises utilisent les détritus des décharges urbaines comme nouvelle matière première, ou comme combustible. Le cimentier français Lafarge les brûle dans ses fours, à 2000°, ce qui réduit son usage de produits fossiles, tout en détruisant tous les composés organiques polluants, même les pneus. Mais nous voyons bien qu’il faut aller plus loin, car l’incinération pose un problème de pollution d’air. »

La troisième idée force ? «  Mettre en place des technologies propres et des «symbioses» qui permettent la réintégration des produits et des matériaux à l’intérieur même des chaînes de recyclage de la biosphère. Au final, l’E.I se propose de repenser toute notre activité de production sur le modèle des écosystèmes…»
Suren Erkman n’est pas juste un des théoriciens importants de l’E.I. Il a mené des opérations de recyclage de déchets électroniques en Inde. Il a contribué à l’adoption par la ville de Genève d’une loi adoptant plusieurs principes de l’écologie industrielle. Il dit des choses dérangeantes.

« Aujourd’hui, la politique écologique arrive à une impasse. En nous focalisant sur la pollution, les déchets, le traitement « en fin de processus » (end of the pipe), nous ne réglons rien. La « dépollution » ne fait souvent que déplacer la pollution. [[tout comme le faux profit, qui n’est qu’un « coût »…déplacé » sur les autres !]] Le traitement des eaux usées produit de l’eau propre, mais aussi des boues d’épuration pleines de métaux lourds. Si vous les épandez sur les sols, vous contaminez. L’incinération des déchets urbains permet de réduire les stocks, mais pollue l’atmosphère. Il faut filtrer les fumées, mais il restera encore des cendres, des eaux de rinçage. Nous voyons bien qu’une action cloisonnée, que ce soit la « dépollution » ou « la réduction des émissions» ne propose que des solutions partielles. Elle procède par petites améliorations, avec des technologies adaptées mais limitées. À la longue, cette  méthode renforce le système industriel actuel

Et tous ses dysfonctionnements : il s’agit bien de quitter l’irrationalité structurelle du capitalisme, cette non pensée qui ne présente plus que des puérilités et des impasses logiques partout. Penser hors de lui c’est penser enfin         SAINEMENT !(…) Le reste de la démonstration, mise en lien, présente plusieurs projets mondiaux qui répondent à ces 3 critères ! Et tout ce que nous pouvons apprendre sur ce fait tout neuf : quand c’est la nature le patron tout change. Lorsqu’elle devient le référent universel, le structurant social central, le tiers exclu enfin inclus, etc. – toutes les exigences de la complexité (la seule systémique qui n’oublie ni n’omet personne) se voient enfin rassasiées. Ce qui dessine ? Un « changement quantique » des mentalités (leur brusque saut hors des routines mortifères) et un nouveau fonctionnement global (qui désembourbe toute la société en même temps de la régression capitaliste).

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Cette mutation est d’importance et se savoure d’autant plus que vous avez déjà beaucoup donné aux autres. L’humour cosmique c’est que c’est réellement une nouvelle époque et que les prétendus dirigeants se retrouvent coincés dans …l’ancienne. Irrémédiablement diablement, lorsqu’il détaille…« L’upcycling ou surcyclage, qui désigne le fait de récupérer des matériaux jetés pour les transformer en produits de meilleure qualité, est en train de prendre de nouvelles dimensions ! Jusqu’alors largement réservé à l’artisanat d’art ou au design, des entreprises françaises entendent bien ouvrir l’ère de l’ « écologie industrielle » en augmentant leur production.

« Au cours de son processus de production, l’industrie française rejette plus d’un tiers de la matière première qu’elle transforme pour répondre à notre besoin croissant de consommation gaspillée. » La phrase qui fait office d’en-tête de la page d’accueil du magasin Maximum attrape l’œil et frappe fort. Nous produisons beaucoup parce que nous consommons beaucoup (ou l’inverse) mais il ne faut pas oublier que nous jetons également constamment et ce, dès le processus de fabrication des produits.

Créer-du-neuf-à-partir-des-chutes-industrielles-:-les-entreprises-engagées-prennent-de-l'ampleur

Maximum est une petite entreprise à douze mains, basée à Ivry-sur-Seine, qui entend justement créer des meubles à partir des chutes industrielles avant qu’elles ne partent immédiatement à la poubelle. Plutôt que de voir ces pertes comme des déchets, l’équipe de Maximum a pris le parti de les voir comme des ressources particulièrement riches. En effet, comme ils le soulignent sur leur site, « produire à partir de ces déchets, c’est avant tout valoriser le travail déjà réalisé sur la matière », une matière qui a déjà été transformée et qui a une forme récurrente. « Nos meubles vident les poubelles de nos partenaires, tout en préservant notre terre de l’extraction des ressources qui aurait été nécessaire à leur production. » [[Un vrai double cercle vertueux lorsque le capitalisme s’auto-étouffe dans tous ses cercles vicieux !]]

Jusqu’à présent, les acteurs qui avaient fait le pari de l’upcycling se résumaient aux artisans d’art ou aux designers en quête de matières très chères à un moindre coût. Mais il semblerait que le marché soit sur le point de s’ouvrir, notamment grâce à des acteurs comme Maximum qui croient en l’avenir de la filière. L’un des fondateurs, Arnaud Bernoud, en souligne le potentiel : « Les déchets de chutes de production représentent environ 34 millions de tonnes par an et Maximum en traite actuellement 7 tonnes ». Ça laisse de la marge pour que d’autres entreprises leur emboîtent le pas !

Le problème reste néanmoins que les entreprises ne sont absolument pas incitées à adopter cette démarche de réduction des déchets. [[ce pourquoi la solution reste de quitter à 100 % le modèle trop obsolète du capitalisme qui ne « répond plus de rien », ni à rien d’ailleurs !]].  Même si les industriels payent en fonction du volume de leurs déchets, il est plus simple de laisser la gestion des déchets telle qu’elle est plutôt que de changer de modèle. Pourtant, comme l’explique Jean-Charles Caudron, chef du service Produits et efficacité matière de l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) :

« Au lieu de devoir payer pour éliminer un déchet, l’industriel va peut-être le donner gratuitement ou même payer moins cher à celui qui va le reprendre, voire le lui vendre si la matière a beaucoup de valeur ». [[ de tout autres comportements enfin…rationnels et humains !]]. « 

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Réutiliser tout ce qui existe, mais de façon légèrement différente, entraîne – par effets systémiques – la disparition du modèle absurde du capitalisme. Et ceci en accéléré s’il y a décentralisation complète des enjeux collectifs. Et donc comportements différents des citoyen-ne-s. Ce que la loi permet si nous savons nous glisser partout où elle a « du jeu », où nous pouvons l’utiliser pour abolir la féodalité archaïque de la verticalité capitaliste - si contraire au fonctionnement « par régulations liées et reliées » de la Nature. Le capitalisme comme déviance très dénaturée ? Exactement ! Et donc ? Oui, oui la Nature devient le vrai patron de toutes les activités humaines, enfin rendues à la santé collective.

« Le 17 juillet 2017 à l’Assemblée, les députés ont ratifié une ordonnance visant à renforcer la participation citoyenne pour les projets environnementaux. Le texte, qui fait suite à la promesse de François Hollande après la mort de Rémi Fraisse, prévoit ainsi d’accorder un « droit d’initiative » aux citoyens, associations et collectivités quant aux projets susceptibles d’avoir un impact sur l’environnement.

Après toutes les batailles citoyennes menées contre les grands projets destructeurs pour l’environnement – dont l’aéroport de Notre-Dame des Landes est sans doute le meilleur exemple – il se pourrait que les pouvoirs publics aient finalement décidé d’enclencher le processus de cessez-le-feu. On a peine à y croire tant cela semble surréaliste, mais hier soir à l’Assemblée, les députés ont ratifié une ordonnance pour donner un poids à la voix citoyenne avant que ce type de projets ne soit engagé (il faut entendre par là, avant que les enjeux financiers ne puissent plus monologuer sans nous).

Vers-la-participation-citoyenne-accrue-lors-des-projets-environnementaux-colossaux ?

 

Pourtant, on ne peut pas dire que les élus aient voté main dans la main pour ce beau projet qui a l’air de faire sa part belle à la démocratie. [[ voir nos observations sur la différence entre négociation d’égal à égal, avec référence au « contrat social » fondateur de la République, réPublique imprivatisable qui doit expulser les lobbies, et…la concertation figée qui peut devenir…potiche. Un gadget sans poids dans les décisions ordonnancées !]]. « Apprendre à perdre du temps en amont de la procédure pour ne pas en perdre ensuite » : ceci fleure la sagesse. Et espère être vraiment appliqué hors tout ….pouvoir personnel hypertrophié !]]

Si le but demeure de renforcer en amont « la concertation » sur les grands projets « à un stade de leur élaboration où ils peuvent plus facilement évoluer pour prendre en compte les observations du public. » cela change de …direction au fonctionnement global des décisions politiques. Le secrétaire d’État Sébastien Lecornu l’a résumé en une phrase simple et efficace : « apprendre à perdre du temps en amont de la procédure pour ne pas en perdre ensuite. » Un résumé qui, pour le coup laisse craindre ce qu’il peut bien mettre derrière le « ne pas en perdre ensuite » : est-ce qu’il s’agit de saper toute légitimité à la manifestation sous couvert d’une consultation préalable brève et partielle ? Espérons que non…

Concrètement, le projet de loi étant validé, nous disposons d’un « nouveau droit à l’initiative », nous permettant à nous citoyens mais aussi aux associations de protection de l’environnement ou aux collectivités de demander au préfet une concertation préalable « sur les projets mobilisant des fonds publics importants ». [[le principe capitalistique « qui paie parle » étant si souvent dénié et nié aux contribuables qui …paient mais n’ont le droit que de se taire. Là « le contribuable qui paie parle ! »]]

Les projets devront dépasser les seuils des 5 millions d’euros de dépenses publiques pour pouvoir faire l’objet d’une telle concertation citoyenne. De plus, l’AFP souligne que ce droit sera ouvert à « 20% de la population recensée des communes concernées par la déclaration d’intention ou à 10% de la population du département ou de la région concernés ».

Pour faciliter la démarche, le texte prévoit également de renforcer les prérogatives de la Commission nationale du débat public (CNDP), qui a la charge d’informer les citoyens et de faire entendre leurs voix dans les décisions publiques, ainsi que de permettre à tous de participer en ouvrant la possibilité de consultation à la sphère numérique. Il est bien sûr trop tôt pour crier victoire ou vanter les mérites de cette loi, mais on ne va pas cracher sur une mesure qui (enfin) nous donne une voix dans les processus de décisions publiques. » Bref, tout dépend de l’usage libératoire ou aliénatoire que nous en ferons !

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C’est que la vérité a la vertu irremplaçable de rester « isotrope » : si c’est vrai ici, cela l’est ailleurs et partout. La gravité est une vérité complète dans la sphère humaine, rien n’y échappe. Et donc cette possibilité de …participer aux décisions publiques peut se voir (en s’appuyant sur l’ordonnance du 17 juillet sur les projets collectifs) appliquée au fonctionnement des…maisons de retraites. Oui, comme d’habitude, nous avons trouvé les initiatives qui pulvérisent la scandaleuse notion de FATALITÉ. Nous n’y pouvons rien c’est comme ça, cela a toujours été, nous ne pouvons rien, mentent effrontément toutes les corruptions d’inerties. Or - pour le respect dû aux ancêtres…il peut être fait tout autrement. Vérifions à l’instant.

« Alors qu’à l’Assemblée les débats battent leur plein concernant les « usines à vieux » et la « maltraitance institutionnelle », à Tauriac (46), certains ont déjà imaginé une solution afin de mieux gérer le vieillissement de nos aînés. Des habitats partagés, qui permettent de venir en aide aux retraités les plus précaires et les plus démunis.

Les-aides-soignants-de-la-maison-de-retraite-mettent-fin-à-leur-grève-ce-jour

Aujourd’hui en France, ce sont plus de 3,4 millions de personnes à la retraite qui vieillissent dans une situation économique préoccupante. Sans parler de ceux qui souffrent de solitude. Faute de moyens suffisants, les résidences spécialisées sont souvent inabordables et les maisons de retraite sur-occupées. Pour Bernard Lefevre, trésorier de l’association « Âge sans frontières », il fallait trouver une solution afin que les retraités puissent vivre dans des conditions décentes, avec l’aide et le soutien dont ils ont besoin.

Dans ces maisons partagées, les retraités vivent en communauté, «c’est une colocation pour personnes âgées » s’amuse Josette Ancilotto directrice d’EHPAD. Ces derniers ont également accès à des parties privatives, pour conserver leur intimité, ainsi qu’à une gouvernante… le tout pour la somme de 1 060 euros par mois. « C’est un palliatif pour éviter l’isolement, la solitude et la misère même… la misère morale et économique (…) cela leur permet de mener une vie ordinaire dans une communauté villageoise avec tout ce dont rêvent les personnes qui vieillissent : garder leur autonomie, la convivialité, l’échange, l’utilité sociale » confie Josette Ancilotto. Ces logements, destinés à des personnes âgées « en forme » et qui ne nécessitent pas des soins réguliers, permettent de préserver l’autonomie des retraités en leur confiant des responsabilités et des tâches à accomplir. Qui a dit que les personnes à la retraite devaient faire un choix entre leur vie sociale et leur autonomie ?

Les-habitats-partagés-:-lutter-contre-solitude-des-vieux

 

Ces colocations se présentent toutes de la même manière : des espaces privatifs avec chambre et salle de bain, puis des parties collectives où s’organise la vie en communauté (repas, divertissements…). « On est une famille recomposée on va dire !», s’amuse une habitante, « on s’entraide les uns les autres (…) on mange ensemble le midi, et le soir chacun reste tranquille chez soi ».

Si la cohabitation peut parfois être délicate, les résidents ont une très grande liberté et évoluent au sein de la maison comme s’ils étaient chez eux : « on peut accueillir la famille et les voisins… il y a une grande souplesse à ce niveau (…). Tout le monde participe pour aider à faire les repas… et on fait les courses tous ensemble !» raconte Béatrice, la gouvernante. Pour ce qui est du financement de cette «colocation» un peu spéciale, « les factures sont partagées entre tous les habitants de la maison… et pour un total de 1 060 euros, tout est compris : la nourriture de la semaine, les services de Béatrice, la gouvernante, le loyer et toutes les charges qui vont avec ! ». Un planning d’animations et de sorties est également prévu : certaines activités sont fixes et d’autres fluctuent en fonction des envies et des besoins des occupants de la maison. Un potager a ainsi été créé à l’initiative des résidents.

Aujourd’hui, tous les témoignages de résidents sont unanimes : la maison partagée leur convient parfaitement. Ravis d’échanger et de faire de nouvelles rencontres, certains ont choisi cette alternative alors même qu’ils possèdent une maison dans le même village ! Pour lutter contre la solitude des personnes âgées, tout en leur permettant de conserver leur autonomie, cette alternative à l’isolement progressif des personnes âgées est une véritable réussite ! Bonne pour le moral des habitants, il semblerait même qu’elle agisse sur leur santé comme c’est le cas pour François, «arrivé très seul et très cabossé…» selon les autres résidents. «Aujourd’hui physiquement on ne le reconnaît plus ! ». En effet, « le partage de la vie quotidienne, même si ce n’est pas toujours facile, participe à la promotion à l’épanouissement de la personne ! » s’enthousiasme la directrice de la structure.

C’est toute la différence entre être des numéros, des produits inertes et interdits initiatives, qui doivent « obéir » à une structure surchargée et qui n’a pas les moyens de les écouter…et une « autre » structure conçue pour d’autres buts que de « rentabiliser » la vie d’autrui. La nature comme patron c’est, enfin, l’Humanité qui revient. Avec ses inventivités sans limites. Et sa joie de vivre bien  méritée !

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Tout peut changer en utilisant le nouvel état d’esprit, le pivotement complet des consciences. Tout se tient et chaque succès ici renforce un succès là et ailleurs. Tout se transforme conjointement. Nous mutons mutuels ! Ainsi, les vieux ne doivent plus être les cibles des dividendes cupides, leur humanité ne doit pas être souillée par ce qui ne les concerne pas (l’enrichissement si peu légitime des marginaux capitalistes, qui ne vivent plus dans la même société que nous, tout en se conduisant en parasites improductifs). L’alimentation de même ne peut être qu’un bien commun – trop sacrée pour permettre que des intérêts égoïstes la dénaturent. Etc. Ainsi, de s’apercevoir que partout les prétendus profits capitalistes ont un COÛT collectif immense (qui excède tant le total des pseudos profits) – voici qui nous permet de comprendre et ressentir à quel point la nature comme notre vrai patron transforme tout.

La rationalité revient, nous économisons l’économie (nous nous en passons complètement de ce charlatanisme qui pratique « l’exercice illégal de la science »). Le capitalisme ? Un parasitisme qui s’était mis entre la nature et ses ressources et services gratuits et nous. Et qui faisait croire (très illégalement !) que c’est eux qui les « produisaient » comme par magie (oui exercice illégal de la nature !). Alors que la Nature s’offre à tous équitablement…pas que à quelques uns. Une rePrésentation en a empêché la présentation honnête et probe probante…(en gros, nous pouvons et à 100 % nous passer du capitalisme trop superflu et vraiment infondé !)

 

…oui l’intermède des intermédiaires est bien fini.

 

……………………………….Nous allons tout vivre EN DIRECT !

 

……......(à suivre)

 

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc),  onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

La Nature comme patron ?
un véritable circuit rationnel....

un véritable circuit rationnel....

Les déchets de chutes de production représentent environ 34 millions de tonnes par an – autant que nous devons, et EN DOUBLONS, extraire de la Terre qui mérite de meilleurs soins…

Les déchets de chutes de production représentent environ 34 millions de tonnes par an – autant que nous devons, et EN DOUBLONS, extraire de la Terre qui mérite de meilleurs soins…

La Nature comme patron ?
Fonctionnement circulaire des systèmes éco-industriels : rien ne se perd !

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Ce qui ressemble à la nature qui n'est que...régulations et surtout pas dérégulations (qui vient de dérègler, ne plus être réglo, régulier, honnête)

Ce qui ressemble à la nature qui n'est que...régulations et surtout pas dérégulations (qui vient de dérègler, ne plus être réglo, régulier, honnête)

Produire trop de déchets est bien une preuve d’inefficacité productive. Le parasitisme incompétent, nommé capitalisme, fait payer ceci par l’argent public des contribuables. Se comportant donc en anarchiste, crachant sur l’Etat et ses si utiles services publics et en causant de graves troubles publics (chômages, inégalités galopantes, misères, injustices, spoliations, corruptions, etc.). Un autre système doit être mis à la place de ces graves gaspillages tant humains, naturels que sociaux !

Produire trop de déchets est bien une preuve d’inefficacité productive. Le parasitisme incompétent, nommé capitalisme, fait payer ceci par l’argent public des contribuables. Se comportant donc en anarchiste, crachant sur l’Etat et ses si utiles services publics et en causant de graves troubles publics (chômages, inégalités galopantes, misères, injustices, spoliations, corruptions, etc.). Un autre système doit être mis à la place de ces graves gaspillages tant humains, naturels que sociaux !

La bonne société c’est Zéros Déchets : les déchets sont des ressources…inemployées. Inexcusable !

La bonne société c’est Zéros Déchets : les déchets sont des ressources…inemployées. Inexcusable !

La Nature ne connait aucun déchet – le capitalisme des gaspillages injustifiables en produit bien trop !

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Projet Dongtan, Chine.

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Ici nous avons aucun assistanat fondateur de l’état mais bien la rationalisation de tout le circuit vital de la société. Qui par le fait de redevenir rationnel nous « économise » toute présence du capitalisme…

Ici nous avons aucun assistanat fondateur de l’état mais bien la rationalisation de tout le circuit vital de la société. Qui par le fait de redevenir rationnel nous « économise » toute présence du capitalisme…

Environnement et grands projets: une ordonnance du 17 juillet 2017 renforce la « concertation approuvée »

Environnement et grands projets: une ordonnance du 17 juillet 2017 renforce la « concertation approuvée »

La Nature comme patron ?
Plus de grands projets INUTILES, coûtant bien trop cher. Est renforcée la participation citoyenne pour les projets environnementaux et territoriaux afin de faire barrage à ces dérives…pharaoniques !

Plus de grands projets INUTILES, coûtant bien trop cher. Est renforcée la participation citoyenne pour les projets environnementaux et territoriaux afin de faire barrage à ces dérives…pharaoniques !

Les députés ont ratifié une ordonnance visant à renforcer la participation citoyenne pour les projets environnementaux : Le droit sera ouvert à « 20% de la population recensée des communes concernées par la déclaration d’intention ou à 10% de la population du département ou de la région concernés.

Les députés ont ratifié une ordonnance visant à renforcer la participation citoyenne pour les projets environnementaux : Le droit sera ouvert à « 20% de la population recensée des communes concernées par la déclaration d’intention ou à 10% de la population du département ou de la région concernés.

La Nature comme patron ?
La Nature comme patron ?
La Nature comme patron ?
La Nature comme patron ?
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…faire face…

…faire face…

Il y a des huit qui sont bien plus infinis que d’autres…

Il y a des huit qui sont bien plus infinis que d’autres…

L’écologie industrielle fait fonctionner les entreprises comme des écosystèmes

Écologie industrielle: rien ne se perd... exactement comme dans la nature qui ne connait que les « régulations » jamais les dérégulations, complètement mégalomaniaques !

La Green Valley est une démarche concrète d’Ecologie industrielle et territoriale déployée sur le territoire d’Epinal-Golbey dans les Vosges, terroir de l’industrie française. Elle s’articule notamment autour d’un des plus gros sites papetiers européens, celui de Norske Skog Golbey (600 000 tonnes de papier journal – 400 salariés).

Nouveau droit à l’initiative citoyenne : ordonnance du 17 juillet 2017 - concertation approuvée. Il y a 7 ans le concept aura été inventé par les Départements ?

C'est une concertation, pas une négociation : le débat est très éclairci. Ne reste à rajouter que : dérégulation peu légitime d’un côté et surréglementation encore moins légitime. Toute symétrie « équitable » n’existe donc plus ! Il n’y a plus ni représentativité ni démocratie.

Maltraitance Institutionnelle : les causes sociopolitiques

Maisons de retraite : création d'une plateforme de comparaison des tarifs.

Inventer de nouvelles façons d’aborder la vieillesse ? C’est le pari lancé par Thérèse Clerc et une vingtaine de femmes à travers le projet de la maison des Babayagas. Une solution d’habitat accessible à des « vieilles » telles qu’elles se nomment et proposant une alternative à la maison de retraite.

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