La perversion du libéralisme comme comble du malsain !
La perversion inacceptable du libéralisme comme le comble du malsain ? Le libéralisme qui rassemble les multi-perversions ? Une nouvelle manière de voir les choses. Le libéralisme ne vit que de séductions, donc de tromperies. Mais les séductions des autres permettent d’en déduire-séduire les vérités bien plus collectives. Le libéralisme ne fonctionne qu’aux corruptions –faire « croire » que nos basses cupidités pourront se rassasier par lui – alors qu’il s’en nourrit de nos voracités et à nos dépens, afin d’empêcher toutes mises en pratiques des solutions. Il faut que la société entière stagne, éternellement (l’escroquerie putride de la Fin de l’Histoire) dans des problèmes prétendus insolubles. Conclusions : 1) – ce sont par nos libidos et nos érotismes personnels que nous pourrons enclencher la fin implacable d’un système aussi sale ….2) - Le libéralisme concentre bien les multi-perversions. Et est, principalement nourris par les insalubres pervers narcissiques (les inflammés purulents du moi !)…Déplions et déployons la démonstration - ce qui dit entre ( ) reste dé.Monstration (ce qui nous tire des griffes des monstres si bien dé-monstrés !)…
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« Que devient la psychanalyse à l’époque de la mondialisation ? La question se pose de façon cruciale aujourd’hui, car les nouvelles technologies captent le psychisme de chacun et absorbent la libido de tous. [[Foutaises et où les foutaises se foutaient ? Pour les humains bien incarnés ayant conservé leur instinct, leur spontanéité et leur simplicité, toutes ces simagrées ne passent pas du tout : nul ne peut absorber leurs libidos]]. Elles modifient le rapport des êtres à eux-mêmes en [[…le tentant mais sans réussir sur une bonne partie des humains…nous ne sommes pas en train de vendre ici – assez de mégalomanies !]], donc elles modifient le rapport des êtres à eux-mêmes en médiatisant les relations entre les individus. Elles changent [[changeraient si, seulement, nous nous laissions faire ? Où reste donc l’objectivité dans ces esprits…dénaturés et acculturés d’eux-mêmes ?]] le statut de la parole et du langage, celui de l’intimité et du secret, celui de l’image et du récit de soi [[sans ego du tout – nous vivons tellement mieux !]]. Les multiples applications régissant [[ils s’y croient vraiment dans la « royauté des objets et technologies »…quelle déchéance ces régisseurs du régir !]] dorénavant les rapports sociaux, amoureux et amicaux s’introduisent par là même au cœur de l’existence de chacun [[donc le viol des foules existent bien, ce pourquoi il faut porter plainte contre le capitalisme pour totalisation de toutes les perversions dont la pédophilie !]]. Elles réorientent le rapport à soi et à l’Autre en accélérant toujours davantage les processus de transmission d’informations et d’exhibition de l’intime. [[ces éloges abusifs du système machinal, qui n’existe que si nous le laissons exister, semblent tellement exagérément excessifs – donc irrecevable selon le Talleyrand du « l’excessif est toujours …insignifiant », disait-il. Dans le sens de non porteur de sens ni d’information pertinente !]].
Nous-vivons-à-l'ère-d'une-hypertrophie-du-moi
C’est le rapport du sujet à sa propre temporalité existentielle qui s’en voit transformé. Les confessions, les aveux, les dévoilements foisonnent sur la Toile [[qui peuvent, aussi, être nommés…témoignages, mises au point ou dénonciations du système inhumain…]]. La rapidité, la fulgurance, l’accélération, le « toujours plus et toujours plus vite » disent l’esprit de l’époque de ce nouveau moi mondialisé. [[…sauf que d’y opposer tranquillement la lenteur reste imparable. Un test facile, couper le son de tous les écrans : leurs agitations désordonnées vous…éloigneront de tout respect envers eux. Alors la crainte, l’impression d’être submergés et noyés, le gavage abouti…tout ceci passe à la trappe. Quant aux êtres nuisibles qui débitent ce qu’ils/elles ne comprennent pas, plutôt que de se nuire par la colère, rions sans bruit tout en fixant un point hors leurs regards et puis l’autre l’autre. Cette posture est comme d’offrir une surface très glissante. Leurs discours « non vécus » (donc plus que vaporeux poreux) s’y pètent tous la gueule. A bas qui veut décourager en effrayant inutilement. En face, la réalité est qu’ils/elles sont piteux et miteux. Laissons juste infuser ces impressions…]].
Car ce qui se mondialise, ce ne sont pas seulement les échanges économiques, les rapports sociaux et les relations politiques, mais l’intimité de chacun. Comme si le « noyau de notre être » – « das Kern unseres Wesen », disait Freud –, qui nous échappe à nous-mêmes, était livré à un Autre sans visage, sans désir, sans incarnation, mais pas sans voracité : l’Autre de la Toile, des réseaux sociaux, des « like »et des « don’t like ». [[ Bref, le Moloch, le Léviathan surpuissant et nous colportes impuissants…cette paranoïa n’est, fort heureusement, pas transmissible par voies virales. Chantons en lisant ces intrusions de terreurs et la sensation de panique handicapante risque de fortement disparaître !]].
Nous vivons donc à l’époque d’une hypertrophie du moi, corrélative d’une mondialisation de l’exigence pulsionnelle de chacun [[uniquement chez ceux et celles qui sont en train de sombrer avec la vieille époque – la nouvelle époque n’a plus besoin du moi, de narcissismes ni d’égoïsmes…uniquement de Je joyeux et irréductibles (ayant résisté à toutes les foutaises du marketing hyper agressif !)]]. Le narcissisme de masse est le trait distinctif du moment actuel [[…là il n’est parlé que des effondrées classes moyennes et des égarés qui se prennent pour des dirigeants…]]. La promotion de soi ne connaît pas de limite [[ Faux : si nous n’avons rien à vendre mais bien à…partager, le « prix à payer » pour ces éloges vénaux ne nous concerne pas ! ]]. Le rapport à la sexualité que Freud a transformé en son temps en libérant la parole n’est plus frappé d’interdit et de répression [[t’as qu’à croire- aller dans n’importe quelle rue, sans rien attendre fait voir, sans fard, l’énorme misère sexuelle de l’époque et les solitudes qui augmentent toujours – l’exhibitionnisme n’est donc qu’un symptôme collatéral non l’explication centrale. Bref, de parler ainsi ce n’est qu’un signe…d’égarement !).
Chacun veut jouir plus et compte bien souvent sur les nouvelles technologies pour répondre efficacement. [[archi faux : l’hédonisme capitaliste ne connaît rien à l’épicurisme des êtres libres qui pensent que la pauvreté non miséreuse reste le lieu de prédilection d’une vie réussie…sans prothèses techniques ni…médiatiques, juste la probité si probante de rester soi-même !]].
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Nous venons d’assister à un texte d’une tête libérale qui – sous prétexte de décrire objectivement la situation actuelle – ne fait que projeter (oui selon le sens de projections psychanalytiques) ses propres déviances dénaturées et ses perversions installées (jusque dans la syntaxe !). En nous assaillant, intrusivement, d’angoisses, de blocages des flux, de sangs glacés, de sidérations à buts mercantiles (…soit vendre la nécessité obligatoire des nouvelles technologies au lieu de s’en tenir à distance…salubre !), etc. Le but n’est pas de juger et de condamner – surtout pas. Mais de remettre « leur » monde à l’envers à l’endroit. A l’endroit du Droit et à « l’endroit » où la vraie peut exister épanouie. Soit de rester naturels, sans efforts pour l’être, spontanés, ouverts à toutes les expériences existentielles…désintéressées (quelle que soit le résultat il nous aura formés pas fermés). Oui sincères de simplicités et non tordues par cet envers pervers, cet envers sans « endroit » incarné, donc si fantomatique et malsain…oui tordues par ces imitations d’imitations d’imitations… « Le spectacle n’est pas un ensemble d’images, mais un rapport social entre des personnes, MÉDIATISÉ par des images (thèse 4 - Guy Debord – La société du spectacle). » Rapport social ainsi POLLUÉ par le radicalement autre, l’alien de l’aliénation et la perversion inacceptable du libéralisme comme comble du malsain !
A comparer avec…(les technologies) « Elles modifient le rapport des êtres à eux-mêmes en médiatisant les relations entre les individus »… Qui omet de nous dire quand, où, comment, par qui, pourquoi la « médiatisation » a lieu ! Ce ne sont pas par des images, ce sont des rapports qui semblent faire des rapports sous le rapport de rapporter ces rapports mais en les maintenant dans le vague le plus soutenu ! Le rapport « médiatisé » donc par les techniques (le qui tout de même) ne sont pas sociaux, mais juste celui des êtres à eux-mêmes (le connais-toi toi-même, en concret). Le selfie selfish. Ce connais toi toi-même, s’évapore, se volatilise volé utilisé et subtilisé par le subtil de la… médiatisation. Mais nous n’en saurons pas plus…impossible. C’est que le titre massif « l’hypertrophie du moi » fait le tout du texte (basé sur le seul malaise qu’il transmet) » - syntaxiquement, ici, c’est archi vrai. Sauf que rien n’y est universel. Cela ne concerne vraiment pas tout le monde mais la…minorité di cœur de cible ! - Nous ? Nous n’avons pas de « moi » (ce vain « spectacle ») alors son hypertrophie peut attendre la grenouille s’enflant vers le bœuf.
Ces écrits qui se croient « complices » rancissent sur pied. Il n’y a rien de commun dans ces suggestibilités, allusions d’illusions, non pas de vivre ensemble, rien qui ne résonne dans nos sensibilités sans perversions des versions (per-Versions, ce qui brouillent toutes les versions au point hyper intoxiqué de « croire » qu’il n’y aurait plus de vérité…vraiment n’importe qui chez les chochotes conformistes !
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Ainsi, peu à peu, se tisse la toile qui est en train d’emprisonner les médias d’argent sale, si tant subventionnés, aussi, et qui mentent à qui les subventionnent…oui ce filet qui est en train de les faire couler, tous seuls sans les autres. C’est que tout en eux sue (toujours plus visiblement) qu’ils n’agissent que POUR VENDRE. Écrire c’est vendre, bafouillent-ils de corruptions. Et que le cadran de Wisekind (et de bien d’autres) aura bien tourné. Il a bouclé son cercle. Et donc il est indiqué que le changement d’époque a commencé. Qu’eux resteront bloqués dans la vieille époque…Oui qu’ils ne sont plus en phase du tout…Une preuve de leur obsolescence programmée (la loi implacable de la probe probante Évolution !) ?
L'insupportable-tyrannie-du-"faux"-cool !
« Plages de sable blanc, piscines à débordement, intérieurs somptueux. Ils sont minces, mangent sain, voyagent beaucoup, sont heureux… du moins sur leurs photos « rêvées » [[eh non, ce n’est pas vrai !]]. De plus en plus d’utilisateurs dénoncent la surenchère de mise en scène [[frauduleuse !]] chez les “ influenceurs ”, ces stars du réseau social aux millions d’abonnés (…) La logique est purement commerciale : ces travel bloggers sont financés par des agences de voyage, etc. et un seul post peut rapporter jusqu'à plusieurs milliers d'euros.
La vacuité peut atteindre des sommets, comme dans le cas de cette blogueuse voyage soupçonnée d'avoir intégralement « photoshopé » ses clichés. Au Taj Mahal, elle n'hésite pas à retoucher à gogo pour faire disparaître tous les touristes du cadre (un procédé très prisé par les stars d'Instagram). A New York, elle pose à l'intérieur d'un building, devant une vue de la ville. Sauf que la Freedom Tower, construite il y a quatre ans, est manquante, etc. (…) Ces mises en scène mensongères seraient presque anecdotiques si elles n'étaient sources potentielles de mal-être psychologique chez les internautes « lambda » [[une étude de scientifique pointe tous les dégâts psychologiques que de tels procédés engendrent chez les tendres pousses !]].
Bref, l’abus d’argent sale a atteint la saturation. Genre nausées, rejets, dégoûts, satiétés. Des frimes et leurs frimas. Les blablas cousus de fils blancs répugnent toujours plus…C’est que le « trop d’argent » se lit comme AUCUN RESPECT, mais aucun, pour les autres, nous autres lectrices ou lecteurs, etc. ainsi maltraités. Bref, que ce « cool » tricheur n’apprend qu’une seule chose - à devenir INHUMAINS. Donc des libéraux irresponsables de leurs actes et des conséquences de ceux-ci. La preuve ?
Le-Spectator-dit-Macron-nest-pas-si-cool-que-ça ?
Macron, la foire aux vanités”, titre The Spectator dans son édition datée du 29 juillet, avec en couverture une caricature du couple français dans un lit aux couleurs du drapeau tricolore. L’hebdomadaire conservateur britannique consacre un long article au président français et assure que “ses tentatives embarrassantes pour se réinventer en un nouveau Tony Blair ne fonctionnent pas”.[[ nul ne peut se déguiser et croire que les autres n’y verront pas un nu déguisement]].
L’article du Spectator (« institution de la presse britannique. Fondé en 1828, c’est le journal de référence des intellectuels et dirigeants conservateurs. Réputé pour ses analyses et son ton incisif »…sa conclusion n’est-elle pas : « car, comme peut en témoigner Tony Blair, la chance ne dure jamais longtemps en politique. ») déplie et déploie un argumentaire très serré.
Le corps des arguments du Spectateur restera que Macron n’est pas « cool » du tout mais, plutôt, un libéral à la sauce dure des néocons Thatcher ou Reagan. That Cher, n’est-il pas ?
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Et que tonytrue très bien une influenceuse repentie :
Les gens doivent commencer à se servir de leur ‘influence’
………………………………………………. à d’autres fins que l’argent !
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles (…celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
traces de moi....????
Clotilde Leguil
Exemples de médiatisations ? Un travail de médiatisation réalisé par des élèves afin d'expliquer le fonctionnement des balises mermaid
Encore…Médiatiser les solutions qui changent le monde : ce qui n’est, évidemment, pas fait. Il faut que le maximum de problèmes ne rejoignent jamais leurs solutions. C’est à cette unique solution que survit le capitalisme !
Faut il être déviant ? D’évian en d’évian, l’eau sera-t-elle plus pure ?
Libérez-vous du libéralisme ! Ce comble du malsain et dans tous les domaines....
..."déviances et contrôle social" Philippe Robert (1/5)
En finir avec le libéralisme corrupteur, Roland Gori (2) La société libérale donne libre cours à l’hypertrophie du ‘‘moi’’, mais ce n’est pas sans risque d’être branché au « Tout à l’ego »….
Clotilde LEGUIL "L’interprétation en psychanalyse avec Lacan, un art de la surprise" qui omet...la surprise de l'art !