Les nécessaires ¿
Qui sont les plus sociables ? Qui donnent le plus (immatériel) aux autres ? Qui fécondent le futur ? Qui répondent toujours présents ? Qui représentent la vigilance, la disponibilité, l’attention extrême aux autres, la parole qui rend heureux, la délicatesse des dons qui ne se voient jamais (sauf lorsqu’ils… s’arrêtent), oui qui est la présence enchantée ? Qui sont les plus nécessaires pour la collectivité humaine complète ? Etc. Pas moins d’un texte afin de commencer à y répondre. Méthode toujours des raccourcis (les cœurs superficiels disent Faites court (ce qui contrevient, déjà, à tout ce que nous savons de l’amour), ce qui revient, en fait, à Ne rien dire que du vide. Alors que la bonne idée est : trouver les bons raccourcis qui permettent de faire ressentir tout l’argumentaire en une ou 2 pages en moyenne ? Immédiate démonstration ce qui veut dire sortir des monstres…dé-Monstration même !
« On peut envier les Français, les admirer et les plaindre – tout cela à la fois. On peut les envier en raison de leurs débats sur la « globalisation » et l’américanisation, sur l’européisation et la germanisation, le capitalisme, le néolibéralisme, la « compétitivité » et les « réformes structurelles » – des débats où les choses sont dites franchement, sans détours ni circonlocutions.
En France, il est permis de demander publiquement ce qu’implique au juste « l’ouverture au monde » ; ce qu’il s’agit d’accepter avec elle, si elle est bien désirable, et dans quelles proportions ; dans quelle mesure il s’agira d’en rabattre, en termes de mode de vie, dans un marché global synonyme de dilution de l’ État-nation.
En Allemagne, celui qui se refuse à entonner le cantique de la citoyenneté mondiale est prestement excommunié ; les questions que l’on se pose en France ne pourraient l’être en Allemagne, faute d’un espace public les considérant comme légitimes : elles ne pourraient être soulevées ni par les écrivains, ni par les chercheurs en sciences sociales, ni par les médias, et ne pourraient pas plus l’être au Bundestag (et là moins encore qu’ailleurs, au nom des éternelles, immuables « valeurs occidentales »).
C’est que ceux qui les posent sont tout de suite bannis de l’espace public, et même stigmatisés – leur chemise prenant soudain une vilaine couleur brune. Sans doute doit-il en être ainsi [[ ?]] en Allemagne. »
Tout ce qui fait éloge, dans le cadre dénaturé des médias d’argent, attire la méfiance instantanée. C’est que c’est un incitateur à l’inaction et à répandre les toxiques négatives de l’aveuglement collectif. Tout le monde (enfin beaucoup) sait (savent) que les vrais écrivains sont écartés arbitrairement de « l’espace public si…privatisé », que les bons journalistes sont écartés par l’argent fou, que l’université est carrément très en retard sur l’époque et que les politiques ne sont plus « représentatifs ». Mais plus du tout…qu’ils trahissent même toute représentativité possible !
Et donc ?
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Aucun de ceux/celles qui manient les censures et les répressions ne sont en première ligne de rien. Les nouvelles et dernières infos du réel global ne sont pas pour eux. Se prétendant dirigeants (celui qui sait …Dire), ils se démontrent, en fait, des fardeaux acéphales que les vrais responsables (écrivains, diversitaires, médias d’élucidations et politiques des majorités vraies, etc.) doivent…trainer derrière. Boulets toxiques. Oui alors ?
Nous devons affronter toutes les problématiques alors que les médias d’argent ne peuvent en avoir conscience, « leurs » politiques encore moins et les citoyens en déficit de conscience si peu…Un seul exemple ?
« Le mal est fait. Le poison identitaire continue de produire ses effets, dix ans après avoir été inoculé du plus haut sommet de l’État dans l’esprit des citoyens. On ne sait à combien s’élèvera l’addition, mais une chose est sûre : on n’a pas fini de payer le prix des calculs électoraux de court terme (banaliser les idées d’extrême droite dans le but d’attirer ses électeurs) qui ont conduit Nicolas Sarkozy à entraîner la France dans une quête aussi vaine que nauséabonde de son « identité nationale » [[©oncept creux dans lequel tout et son contraire peut être entassé dans une complète…incohérence. Il n’y pas « d’identité » nationale abstraite que du vivre ensemble concret…ou non !]].
Le-faux-remède-de-l'identité...
Une fois élu, en 2007, l’ancien président lui consacra un ministère, également chargé de l’immigration puisqu’il s’agissait au moins autant, sinon plus, d’identifier les « mauvais Français » [[logiciel malveillant qui ne peut donc que déraisonner…]]. Puis, à l’automne 2009, il en fit le thème d’un « grand débat ». Ce fut nécessairement insuffisant pour définir ce qui ne pouvait l’être – « un concept vague et fuyant n’est pas défendable », relève Hervé Le Bras [[oubliant de préciser que dans les faux débats, tout ce qui n’est pas « dans » le concept de départ est…défendu. Donc ? Pas défendable mais qui défend d’entrer dans tout ce qui n’est pas lui. Les classes moyennes, qui ne savent pas penser du tout, font pénétrer en grand toutes les toxicités antisociales. Sans admettre de devoir rendre des comptes et de justifier de leurs inconsciences irresponsables. Bref, ce sont de réelles coupables…qui devraient démissionner de leurs prétentions absurdes]] –, mais largement assez pour marquer durablement les esprits. « Qu’en faire alors ? », s’interroge l’auteur, qui répond en ces termes : « Personnellement, je pense qu’il faudrait s’en débarrasser, mais il est devenu populaire en raison de la fausse évidence qu’il suscite. (…) On a mis l’identité dans la tête [des Français]. Voilà le remède au malaise qui s’est installé dans le pays, un remède qui risque d’aggraver le mal mais avec lequel il faut composer. »
Le concept à bras-le-corps : Dont acte, semble-t-il dire. Plutôt que de balayer d’un revers de main l’identité comme « un fantasme qu’il faut s’employer à démystifier et à chasser », idée « sympathique » mais dépassée, l’historien et démographe s’est résolu à prendre à bras-le-corps ce concept, puisqu’il infuse dans la société. Son objectif ? « Dégager les composantes éventuelles de l’identité pour contrecarrer celles qui poussent au repli et à la fermeture, et encourager tout ce qui ouvre à l’Humanité complète ».
Bien. Un peu de santé mentale dans les déraisons des prétendus dominants (ils ne dominent plus rien mais sont dominés par les préJugés, ceux qui jugent à l’avance sans jamais rien savoir…préJugés qui sévissent toujours plus à mesure que nous allons vers le…haut (zone d’extrêmes toxicités puisque que seuls les dangeureux…flatteurs y sont admis !). Et donc, en route vers la prise de conscience ? Pas du tout ! Ou, alors, oui sauf si…Sauf à savoir diagnostiquer que, depuis trop d’années, la société n’est désorganisée QUE par le haut, que les solutions vraiment collectives ne s’y trouvent jamais (qu’en général, il est même préférable de faire tout le contraire de ce que préconisent les médias esclaves de l’argent fou et les politiques aveuglés par les lobbies non représentatifs). Ce sont les sommets les voyous de la République réPublique. Et, seule, la base demeure suffisamment saine pour remettre de l’ordre dans tous le merdier généré par…ces marginaux du sommet (qui vivent en dehors de la société commune, qui pensent hors sol, ne comprennent rien de rien à ce que vivent 80 % au moins de leurs contemporains et donc sont les humains les…moins indiqués pour diriger (dire) les vraies majorités !).]]. Dont acte acté et actualisé par les vrais écrivains !
…la question essentielle reste : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
En tout cas, ce ne sont pas eux…ils empoisonnent, ils n’aident jamais…Alors ? Oui alors…
Naissance-d'un-concept-:-la-honte-de-l'espèce-ou-la-capacité-de-l-homme-à-se-détruire
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« Le progrès humain, c’est que davantage de gens fassent des choses plus intéressantes et deviennent eux-mêmes plus intéressants » (Richard Rorty).
Si évident lorsque nous tournons le dos au progrès qui ne peut être que…social (en un premier temps). Comment rester intéressant ? Planter du durable dans des cœurs égarés ?
N’être que soi-même, toujours plus profondément et plus en largeur et longueur, devient le chemin qui rend intéressant. Spatial et tout parcouru tout autant que parcourant. En acceptant le maximum d’expériences à vivre. Donc, en un premier temps essentiel : en refusant le passage de l’écoute et de l’attention envers les parasites collés à leurs trop ignorants rochers. Dont l’unique activité est de salir et de dénigrer tout le monde. Les réactions fantasmées à ces critiques (si critiquables, en fait !) tressautent leurs nerfs de plaisirs tant frelatés. Puisque – comme vous ne réagissez pas du tout à leurs vampirisations énergétiques – ils/ elles demeurent comme cinquante douze ronds de flanc !!!
Ce qui fait basculer dans une société non plus crispée, rapetissée, sur la défensive, rétrécie à son manque de circulation planétaire, repliée sur elle, à pourrir dans son passé etc.…mais bien à une société expansive, inventive, congruente, chaleureuse, accueillante (chacun-e, avec de la patience, aura la réponse qui nous manque !)…
Une société concentrée sur les manques informulés (ou très mal formulés) va créer des activités sans encore de noms. Pas encore conscientisés qui vont drainer tellement plus d’activités que toute l’organisation du travail figé et regardant vers le seul passé oui n’en comporte actuellement. Toutes les crises vont se dénouer, une à une…
……….8 (huit) devient donc le dessin qui ouvre tout !!! Mirez en la photo ici jointe…
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Nous voici, ayant franchi plusieurs sas, très proches du cœur nucléaire de la société – face au Que faire ? Sûrement pas s’enrichir aux détriments (connus et reconnus) des autres, en devenant leurs super mendiants greffés (les trop riches mendient sans cesse), oui des sur-assistés qui volent le pain de la bouche des vrais nécessiteux (l’argent fou désorganise et nuit énormément à la société !)…et les « bonnes » questions en deviennent….
…Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? S’il y a fraudes pourquoi donc tant cacher les fraudés qui les subissent ? S’il y a endettés c’est que, d’abord, il y a si irresponsables endetteurs ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, capital au noir ou argent clandestin (jamais inquiétés alors que ce sont les plus grands fauteurs de troubles de la société complète et que leur place est plutôt en fermes prisons, etc., celles où nous n’y voyons que leurs…victimes !)…Etc.
Tous les mots sont de notre côté. Ils ont une nécessité incontournable. Et – par symétrie – ils déconstruisent entièrement le capitalisme (ils ne sont pas de leur côté !) dont quasiment personne n’a…besoin. Le libéralisme n’est surtout pas une nécessité mais un vil…parasitisme. Une greffe bestiale. Contre ces fléaux sociaux par le haut - retrouvons les nécessaires, soit les essentialités pour tous.
Expressions tellement mieux choisies, oh que oui. Là, elles brillent bien et tracent la séparation entre les irréalistes qui refusent toujours de vérifier que tous les progrès humains véridiques sont tous issus des mal nommées utopies. Et que les conformismes sont la plus grande…. catastrophe mondiale. Nous le vérifions assez tous les jours !
Les nécessaires ¿ Voilà peut-être un début de réponse sur le fait si barbare que beaucoup d'entre nous ( issu(e)s de la classe moyenne ou pauvre ) ont des arguments de milliardaires ou de banquiers dans les débats politiques, avec par exemple récemment, des phrases telles : " qu'il aurait pu quand même faire un effort de présentation, P…!" , avec l'accent mis sur l'apparence, le spectacle et la diversion par la propagande,…même des ami(e)s ont désormais ce discours ...De présentation mais pas de rePrésentation, les efforts…nécessaires ? Alors que nous sommes dans une « démocratie représentative » il semble bien que cette représentativité suprême soit trahie et à 100 % . Alors les …présentations, si secondaires, ce ne sont que pour les coquettes des mensonges toujours plus gros. La bonne expression devient : Faites donc des efforts de…représentation ! Et à 100 % ! Pas de présentation…Sinon ? Tout sera contraint d’accuser ces arrogants imposteurs d’être les pires ennemis de la …représentativité que la réPublique ait connue. D’ailleurs, le fait qu’ils veuillent la privatisation de la réPublique les démasque comme les pires ennemis possibles de l’état de Droit. Donc de la réPublique si ennemie des privatisations des sommets. Comme des lobbies tels les lubies des…irresponsables nocifs ! Rien en eux – en tout cas – de…nécessaire. Très contournables et évitables. Clair ?
L'habit ne fait pas le moine, n'oublions pas les ami(e)s que lorsqu'une personne parle et débat, ses habits n'ont strictement aucune importance ! Sauf pour qui…n’écoute jamais ! Et se ridiculise à fond à étaler son immaturité…inexcusable.
Une idée ou une réflexion n'est pas là pour plaire mais faire réfléchir et faire réagir. Qui se déguise pour parler ne sera jamais à la guise de rien du tout. Vu qu’il/elle, limpidement, se dé-guise,
…………….oui s’enfuit de ce qui vient et convient.
L'homme-irrationnel-et-le-fait-politique ?
……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc.), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
La nécessité ne peut être mécanique mais bien organique. Et donc ? Les solutions les plus saines ne viennent sûrement pas de la technocratie (voir sa corruption des concepts dans le… « préjudice nécessaire » (sic)) mais bien de l’existentiel (le vécu, le ressenti, l’affect effectif, etc.)
Lorsque les sommets déraisonnent à 100 %. L’écologie est une « nécessité absolue » pour la planète. Même si elle semble une alternative pour les cancres qui se prétendent dirigeants. Et qui, à l’évidence, ne COMPRENNENT rien. La nature est le nid de la vie sur Terre et pas le décor des futiles arriérés qui font mumuse avec le jouet argent. Jouet non nécessaire. Ne pas comprendre cela se nomme …aliénation mentale !
Travail nécessaire ? Sans lui pas de dividendes, de Bourse basée sur le vol de l’argent des…autres, pas de profits…rien de l’argent parasitaire et qui ne…produit rien, etc. – puisque le travail est « le véritable créateur de valeurs ». Créateur concret des plus-values. La capitalisme n’étant que le vil banditisme de ne pas PARTAGER ces plus-values avec toute la société. Pas plus.
Les innovations nécessaires sont dans l’existentiel et le style de vie et surtout pas dans le…déguisement technocratique…
seuls les…nécessiteux savent la vraie nécessité ! Cela coule de source : ils en sont les plus grands Experts même…Ne pas les écouter représente donc de la grande délinquance mentale !
Contingent et nécessaire….
Edgar Morin - Les sept réformes nécessaires au XXIème siècle - Partie 3
La nécessité ou le hasard ?
L’essentiel prend peu de temps, l’accessoire beaucoup de temps…cette vidéo ne parle que d’utilitarisme bien trop sommaire…ce 80 / 20 est tellement plus important dès qu’il s’agit de penser, de changer les mentalités ou de résister aux nocifs conformismes.
en plein dans l'an-atomique...?
Les réponses globales existent mais les conformismes « refusent » d’aller les vérifier. Le flou est son domaine d’imposture – Ainsi, historiquement, il est évident que « L’histoire des mentalités » initiée par Robert Mandrou ne peut qu’être plus rationnelle et objective que tout autre démarche. Jamais d’ANACHRONISMES. Il ne faut jamais penser pour qui vivait il y a 80 ans ou 800 ans mais rassembler tout son contexte (que mangeait-il, comment rêvait-il, son quotidien, les débats, tout ce qui constitue une vie complète). Cet humain du passé ne pouvait pas savoir tout ce que nous savons aujourd’hui…la démarche de connaître les mentalités = connaître la vraie Histoire, est donc une démarche très sensuelle qui mobilise absolument tous nos sens et toutes nos facultés. Et le résultat final est réellement très probant. Aucune autre démarche ne prend en compte les 80 % toujours « ignorés », méprisés et délaissés. Elles se cantonnent seulement dans les 20 %- actuellement plus que jamais...Peuvent-elles avoir raison ?
et le territoire de l’aménagement ?