Où se trouve l’indigence extrême des trop riches ?
Se faire tant avoir par…avoir ? Oui carrément avoir ! C’est exactement ceci l’indigence extrême des trop riches et des pouvoirs illégitimes ! Ils croient, si naïvement et si grotesquement, « avoir » alors qu’ils se font avoir dans les grandes largeurs. Ils croient, devenus tellement irrationnels, posséder alors qu’ils sont possédés. Avoir est un auxiliaire redoutable qui nous cache, jusqu’au dernier moment, sa face d’ombre. Puisque qui pense « avoir » oublie, alors, l’immensité du prix à payer. Prix à payer qui est la perte du meilleur de soi-même, appauvrissement de ses qualités intimes, égarement de la joie simple de vivre, incapacité de diriger ses pensées vers l’auto-rajeunissement mental et dénuement complet de la vie intérieure. En réalité…c’est donc avoir…rien de bien essentiel que d’avoir bavoir. Et rater le préférable…Oui, bel et bien, grugé, berné, empapaouté, roulé dans sa farine, piégé, entubé – qui se précipite follement sur avoir sans d’abord ÊTRE ! Il/ elle donnent dans le panneau – et, pour eux, tout demeure bien en panne !
Forts de leur appui financier et de leur accointance médiatique, les représentants de cette idéologie indigente, promue par le capitalisme sauvage, n’hésitent plus à opposer ceux qui réussissent et ceux qui échouent, ceux qui sont tout et ceux qui ne sont rien, ceux qui sont riches et ceux qui sont pauvres. Se noyant…pour eux-mêmes, dans ce simplisme ahumain, dans ce dualisme blessant de leur propre indivis-dualisme. Ratant et à fond toute leur « vraie » vie, soit l’ontologie de l’être qui doit précéder tout avoir. Impérativement. C’est qu’avant avoir - il doit s’être formé et inFormé tout le vase réceptif, sous peine de le laisser bien trop évasif. Incapable d’accueillir et de recueillir proprement. Il faut commencer par le début…L’être précède tout, sans lui l’avoir reste brouillon, il brouille et embrouille tout, il n’est que gesticulations désordonnées qui s’égarent toujours plus. Disons, que notre époque est dominée (mais plus pour longtemps !) par ces ahumains gosses profondément immatures qui prennent des vessies pour des lanternes. Ce pourquoi, ils ne pissent pas loin, en général. Et ne savent que…tout désorganiser et foutre le désordre partout. Comme si le « travail » leur appartenait de droit divin, ils voudraient l’esclavagiser (au lieu de montrer l’exemple de l’efficacité du partage comme partage de l’efficacité, ils se rabaissent à vouloir déréguler leurs illégitimités flagrantes tout en sur-régulant la vie des autres. Faudrait savoir : déréguler si c’est vrai c’est pour tout le monde, pas pour un seul. Le capitalisme s’il est si bénéfique doit se partager, entièrement, entre tout le monde – sinon ses avaricieux et sinistres monopolisateurs discréditent à fond ce qui se met, à trop fortement, ressembler à du bas brigandage…injustifiable. Quels pauvres cœurs bernés toujours en berne. A qui, d’ailleurs et d’ici, pourraient-ils le montrer à ainsi maltraiter tout le monde (ou presque) ?
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Questionner le modèle d’affaires qui détermine les voies du succès et de l’échec ?
« Évidemment, toute chose étant par ailleurs égale, dans le simplisme de cette pensée, il n’est pas question de distinguer ceux qui ont réussi honnêtement et ceux qui mettent en place ou bénéficient de mécanismes frauduleux [[le capitalisme depuis la fin des années 1980 ?]] pour réussir au détriment des règles d’éthique. Dans ce monde manichéen qui méprise les petites gens [[bien à tort – comme ils risquent de s’en apercevoir]], la célébration de la richesse [[ célébration si forcée et encore plus illusoire…]] est un éloge au modèle d’affaires qui légitime et valorise la corruption. Les nombreuses affaires de corruption qui noircissent le profil des politiques d’ici et d’ailleurs et augurent de leur sombre destin judiciaire nous rappellent que la réussite n’est pas toujours légale. Ainsi, à travers ce mépris pour ceux qui ne sont rien parce qu’ils n’ont rien [[alors que, pour la beauté de la vie intérieure, c’est tout l’inverse]], c’est tout un modèle basé sur l’honnêteté et l’effort [[et ces escrocs minables osent réglementer en prétendant le « déréglementer » le…travail, sans en connaître un seul mot ?]] qu’on exècre sur l’autel de la richesse devenue, par inversion, vertu et symbole de la réussite.
De-la-dignité-de-ceux-qui-n'ont-rien-à-l'indigence-existentielle-de-ceux-qui-ont-tout
Pourtant, si tant est que la réussite soit une marque distinctive, il est essentiel qu’elle ait des fondements éthiques [[sinon sur quoi fonder sa « durabilité », en effet ? la réPublique est bien une…éthique !]]. D’où la nécessité de questionner les voies qui déterminent le succès des uns et l’échec des autres. Car dans certains pays, la réussite est intimement liée à un certain modèle d’affaires qui structure la médiocrité, récompense la corruption et valorise la soumission [[néolibéralisme, nous t’avons reconnu !]]. En ces lieux, réussir (sic), c’est renoncer à son humanité et à sa dignité. C’est se dépouiller de ce qu’on a de meilleur pour accéder à ce superflu de richesse qui souvent déshumanise et enlaidit.[[c’est la jouer super perdant, ayant lâché la proie pour l’ombre, les vrais trésors pour la fausse monnaie, les sols fertiles pour la terre brûlée, etc.…]]. Erno Renoncourt, 2 juillet 2017
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Dès lors, chaque fois que l’envie nous prend de mettre en avant notre [[ fake ]] réussite, il est de bon ton de regarder ou de questionner le modèle d’affaires [[… étant entendu que af-fair vient de fair, « loyal », honnête, réglo et que donc dérégulés à ce point c’est dé-réglo, corrompu et déloyal…donc anti af-Fair ladies et gentlemen…vraiment piteux et miteux !]] qui (dé)termine le succès que nous revendiquons. Car certains succès ne sont que des éloges à la crapulerie. En effet, quand ceux et celles qui se targuent de réussir doivent leur succès à la corruption, à la soumission et à la transgression des normes éthiques, il y a de la dignité à échouer et à n’être rien. [[ lorsque les af-Unfairs are the af-unfairs, les af (en direction de)…la déloyauté sont les déloyautés pures jus. Plus question de faire affaire avec vous. Rompre avec tout le corRompre, c’est écrit dedans qu’il faille rompre… Où serait la place de la confiance, ce fiable confiable, dans ce chaos qui…perd tout ? Qui a le profil déshonnête ne durera pas plus que le souffle qui le lui dit à l’oreille. Plus de confiance…rien n’y est plus intéressant, crédible (et sans crédible où serait le crédit ?), rien de vraisemblable donc rien…d’assuré. Le trop riche est voué à TOUT perdre, même lui-même, sur la vaine route de son égarement !]].
L’échec comme outil d’apprentissage à valoriser : Ainsi, opposer ceux qui sont et ceux qui ne sont rien, ceux qui sont qui riches et ceux qui sont pauvres, ceux qui ont réussi et ceux qui ont échoué est un produit de la pensée indigente. Car la pensée scientifique nous enseigne depuis Gaston Bachelard que le succès n’est jamais rien d’autre qu’un ensemble d’échecs rectifiés.
Allumons-des-foyers-d'insoumission-pour-combattre-l'indigence-affective
Le succès se situe donc dans le prolongement de l’échec. Et celui-ci doit être valorisé comme un outil d’apprentissage, « une étape incontournable dans un processus d’essais-échecs » permettant d’aboutir au succès. Évidemment, pour positiver l’échec, il faut tout un dispositif permettant d’identifier et de « mémoriser ses leçons » afin d’aboutir à une « rectification du comportement » et de la stratégie jusqu’à ce que le succès survienne.
C’est en cela que le modèle d’affaires [[pas les aff-unfairs surtout…]] est important pour permettre à ce que ce ne soit pas un réseau d’accointances mafieuses, mais bien un réseau de compétences et d’intelligence éthique, qui modélise le succès.
Mais au-delà de cette démarche de « positivation » de l’erreur, il y a lieu aussi de rappeler que le succès a ceci d’éclatant qu’il génère toujours une énergie qui irradie davantage de lumière pour éclairer le chemin de ceux qui ne sont rien. Car toute vraie réussite est appelée à devenir éclairage pour lutter contre la désespérance et l’échec. C’est la réussite indigente qui, n’étant qu’enfumage et obscurité, tend à s’opposer aux autres et à s’affirmer contre les autres.
Et c’est avec force raison que cette réussite indigente fasse l’objet de l’indignation et de la colère de ceux qui ne sont rien. Pour autant, il est temps de savoir mobiliser intelligemment notre indignation pour lutter collectivement contre les politiques et les modèles d’affaires qui rendent possible ces réussites indigentes. [[ assez de cette société de misère morale intégrale - stop à cette miteuse civilisation de l’indigence affective – plus jamais la collectivité aux visages toujours plus tristes…les vrais enrichissements traînent toutes les fêtes les plus joyeuses derrière elle. Où sont ces prétendues réussites…sournoises, en traître, se cachant tout le temps qui n’ont que des sillages de…non accords et de massifs refus ? Qui veut se faire croire…ce qui n’est sûrement pas ? Qui est devenu le pitre de lui/elle-même ? Qui triomphe avec un rictus de désespoir qui défigure tout le trajet d’un coup ?]]. »
C’est seulement ainsi que nous pourrons contrer l’indigence triomphante et rappeler à ces adeptes, énarques ou incultes, idiots ou crapules de service, que dans une gare il y a ceux qui trouvent par bonheur leur place et qui, dans une intelligence collaborative, aident les autres à trouver la leur, pour que chacun s’oriente vers sa trajectoire individuelle dans…
…………………….. le grand train qui chemine vers la réussite collective.
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Il se trouve donc bien qu’il y a quelque chose de si mesquin, d’étroit, d’inconfortable, de serré, de vraiment minable dans la réussite individuelle qui ne parvient pas à éclairer de réelles améliorations sociales. Mais prospère, plutôt, sur les spoliations d’autrui, l’exploitation miséreuse de leurs vies, les abus de mendicités des trop riches contraints à ne pas payer d’impôts, à frauder, à spéculer délictueusement et à s’évader, miteusement, hors des lois – que ce bourgeois, par contre, rend ultra sévères pour autrui. On se demande bien pourquoi. Les blessures affectives et émotionnelles, laissées par de tels comportements inadéquats, empoisonnent sa vie intérieure d’amertumes, de fiels, de mauvaises humeurs, de gênes respiratoires, etc. bien plus que nous le croyons. D’où l’indigence extrême de cette pauvre idéologie (qu’est le patachon libéralisme) incapable de justifier la moindre de ses exactions. Et condamnée à ne répéter et radoter que les mêmes slogans creux (tellement il n’y a, dedans, aucun contenu digne de ce nom !). Comme à singer les styles des vrais créatifs. Qui peut donc bien singer la REM, ce sommeil paradoxal ?
« Vous confondez l’abondance matérielle avec celle de la Vie. L’abondance matérielle vous attire car elle vous permet de vivre des moments de plaisir dans le confort. Cette richesse qui vous fait envie ne comble en aucun cas la solitude, n’enlève pas la tristesse et ne résout aucun problème. (…)
L’abondance de la Vie, quant à elle, est obtenue lorsque l’être ne demande rien et se laisse porter. Ainsi l’énergie n’est pas bloquée par l’ego. Seul le cœur s’exprime et comprend. Ainsi, sans aucun vouloir, vous vivez votre vie dans le bien-être et la joie, sans manque ni besoin. La simplicité du cœur ouvre les portes à l’abondance de la Vie. Tout vient à vous au bon moment et vous ne manquez de rien. Si vous êtes observateurs de cette vérité, vous rirez de voir combien la Vie vous comble sans aucune demande. Et vous la laisserez agir en vous. Elle vous adressera les opportunités pour trouver une activité épanouissante et gratifiante. Elle vous permettra de recevoir les cadeaux matériels auxquels vous ne pensiez pas. Elle vous entourera d’amis sincères. Elle vous enseignera et vous comblera de l’intérieur. Vous serez ainsi pleinement remplis de la richesse intérieure qui vous illuminera dans chaque instant vécu. Vous vous unirez en conscience à tout ce qui est, portés par l’amour et la paix. [[par, oui, les refus fermes de l’enrichissement à l’argent sale, les refus toujours plus indignés des injustices sociales comme les refus des pouvoirs corrompus et des médias déchus]]…»
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Les affaires ne sont plus les affaires…et ne le seront plus jamais. Avec de tels indigents du cœur, nulle confiance (fiable et confiable) ne peut s’installer Aucun crédit crédible ni aucun débit fluide ne peuvent être trouvés …Ah, l’être si champêtre, champ d’êtres chevêtres ! qui rafraichit tant les cœurs.
Cet avoir qu’on ne peut jamais ravoir. Indigent tangent – oui gent au genre bien trop imprécis. Alors ? Réussir sa vie ne peut surtout pas être « rater celle des autres ».
Mais, bien au contraire, réussir sa vie se PROUVE en réussissant celle des autres.
…..Le capitalisme est donc un échec…civilisationnel ! D’envergure.
…………......(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Le cœur le plus évidemment à l’extérieur de soi – cela c’est le cœur noble qui se fait précéder toujours par son cœur tout déployé. Afin de ne pas commettre de fautes essentielles envers autrui. Et afin de changer véritablement le monde en ressentant « par où » il soufre le plus. Et, pendant que tout le monde dort, en venant tout réparer…
Heureux ou heureuse qui en offrant sa poitrine fait couler extérieurement la nature la plus pure que les autres peuvent entrapercevoir…
Tandis que pour l’indigent trop riche tout devient trop petit et éternellement insatisfait, si amer et imbuvable…trop triste sort !
ce pourquoi le trop riche matériel n’est obsédé que par salir le bonheur de tout le monde. Il FAUT que les humains aient besoins de …ses fausses monnaies et colifichets factices. S’il n’était pas ainsi – pendant que les humains dormiraient, ils combleraient leurs besoins les plus essentiels, sans qu’ils ne le voient jamais…Plus que la grande classe !
S’ils ne peuvent s’y intéresser, c’est tout simplement qu’ils ne sont pas…intéressants ! Puisque d’apparemment n’avoir rien peut très bien cacher le fait resplendissant d’être beaucoup. Et chaque jour. Des êtres fenêtres qui les ouvrent toutes… Et dégagent une chaleur, une lumière et une vision …visibles très loin. Oui encore plus loin. Comme l’avoue, limpidement, le meurtre chanté de « Video killed the radio star »…les clips ont tué les étoiles des ondes sonores. Apparemment, ils/elles rayonnent tout autant mais ces sournois meurtriers se font juste de l’ombre à eux-mêmes. La lumière intérieure dure toute la vie, celle d’un clip peut brûler le meilleur de soi-même. Et trop irréversiblement…Pas très malins, en somme …
Forts de leur appui financier et de leur accointance médiatique, les représentants de cette idéologie indigente, promue par le capitalisme sauvage, n’hésitent plus à opposer ceux qui réussissent et ceux qui échouent, ceux qui sont tout et ceux qui ne sont rien, ceux qui sont riches et ceux qui sont pauvres.
Tu montres tes montres ? Pas besoin, à la mienne c’est vraiment toujours l’heure d’être heure-ux. Qui a une Rolex sera bien roulé en perdant toujours l’heure d’être heure-ux ! Le crétin…
La pauvreté non miséreuse est le lieu où naissent les plus gigantesques fortunes intérieures ?
Misère de la pensée économique 2ème partie
Lorsque la « vraie » pauvreté se mesure à l’accès à la nature, aux terres fertiles et surtout pas aux billets de banque qui ne font rien pousser (non l’argent ne fait pas des petits en dormant…il est si minable qu’il ne peut faire des prétendus profits en faisant payer ces profits (sic) par les…autres !). Oui lorsque les pauvres ont seuls l’ampleur mentale pour poser les bonnes questions et trouver les solutions efficaces afin de mettre fin à toute misère matérielle. Qui – au bout de la course – se montre supérieur pour aider à la réussite…collective ?
"Le formel et le réel", Geneviève Fraisse, CNRS, philosophe et historienne de la pensée féministe
Sens des mots, direction de la pensée…ayez la galanterie véritable de supprimer toute misère matérielle ! L’ordre c’est bien la limitation de l’enrichissement et le plafonnement des patrimoines…les fauteurs de troubles et de violences ce sont bien les riches ! Et ceci surtout à cause des désastres de leurs vies intérieures…
Critique sur l'indigence extrême des médias – comment avec tant de moyens… « matériels », oui comment autant aboutir à un tel vide existentiel, affectif et émotionnel ? Ils n’ont…rien à dire, rien à donner, rien à partager avec les autres. Ils seraient donc tout au fond de la misère ?
Dr Didier Poupardin, le "médecin des indigents", était l'invité de "RTL&Vous
A regarder notre monde et sa misère, on peut "peut-être" se sentir impuissant tant il y a à faire, mais c'est "sûrement" qu'on l'est, si on ne fait que le regarder. Les partitions de l'orchestration et le texte sont disponibles (gratuitement)
Penser avec les mains - Extrait du texte de Denis Rougemont (1936), lu dans l'épisode 4a de Histoire(s) du Cinéma de J.L. Godard (1998), le Contrôle de l'Univers.