Qui paie réellement pour le toujours moins cher ?
Ici, nous découvrons que c’est le travail surexploité des plus pauvres (pour qui tout est toujours plus cher) qui paie pour tous. Oui la main d’œuvre PAIE les prix bas. Et que c’est une chaîne globale, oui une trame complète qui, des médias d’argent, des institutions impuissantes jusqu’aux consommateurs qui préfèrent regarder ailleurs, vivent carrément et indignement, sur le dos de ces pauvres. En le cachant minablement. En le diffamant salement (genre c’est la faute des surexploités s’ils sont…surexploités. C’est même eux qui viendraient nous voler le pain de la bouche que nous leur avons archi volé des milliers de fois, avant…). Et en étalant une hypocrisie bien hideuse dans les moindres recoins de la société.
L’histoire est d’une simplicité transparente. Des organisations capitalistiques vont les emmerder dans leurs pays, dans leurs vies quotidienne, en leur agitant qu’ils leur proposent des papiers en règles, un travail bien rémunéré et une vie bien réglée. Pour cela, pour le voyage, ils doivent débourser 3000 € à 3500 € (donc, dès le départ – ils ne doivent rien à personne…mais c’est bien l’inverse tout le monde leur doit et tout le monde va profiter d’elles et eux. D’où les diffamations à flots - afin de masquer que la plupart de ces « tout le monde » ne se supportent pas dans ces rôles !). Bien, ils ont payé le passage réglo. Arrivés sur place, rien, pas de papiers tous faux, aucune carte de séjour, aucun contrat de travail, tout est falsifié. On lui confisque même son passeport. Et c’est le système « caporal »…tout doit passer par lui, il est seul guichet obligatoire, le caporal. On va lui voler 100 € (à ce nommé émigré alors qu’il avait été…invité) pour un sordide amas de cartons et de contreplaqués glaciaux ; chaque sandwich « obligatoire » va lui coûter 2,5 € (pour 1€ au « normal »). Etc. Pressurés de partout – il y en a qui ont, encore, l’indignité de les traiter en …voleurs. Pouah : à bas la chaîne du nord qui exploite tant et diffame autant le sud, traité en vaches à lait et en poires juste bonnes à être grugées ! Oui à bas cette toute bassesse !
Résultats ? Le consommateur qui préfère regarder ailleurs va être informé (sic)…qu’il s’agit là d’un travailleur « clandestin » ouh le vilain- ah oui mais tout le capital de l’organisation du trafic d’êtres humains lui reste biern plus hyper clandestin. Il n’en est parlé nulle part. Puisqu’il n’y a pas de cause. Le travailleur « clandestin » tombe tout seul ciel – et son avion ce serait sa mauvaise foi et sa mauvaise volonté. C’est un sans papier, tous les délits c’est lui – faux, dans son pays il en avait, sans la promesse signée des 2 parties de la carte séjour légale, il ne serait pas parti…les faits (non fake) c’est qu’il y a des « sans-papiereurs » (sur le modèle des endetteurs planqués pour les endettés seuls montrés : or sans endetteurs pas d’endettés et sans « sans papiereurs » pas de sans-papiers. Nulles générations spontanées : elles sont…provoqués ! La causalité existe...). Oui s’il y a des sans-papiers c’est qu’il y a des créations EXTERNES de…sans-papiers : promesses et fraudes ne sont pas de leur côté. Sans capital clandestin pas de travail clandestin : le mec ne va pas s’agiter tout seul, faire semblant de travailler dans le vide, gesticuler ainsi sans…vis à vis. Bon, l’occident veut être fou – nous pas. La CAUSALITÉ existe et elle implique, oblige et contraint à ce que « avant » le travail clandestin il y a – forcément – le capital clandestin. Qui DÉCLENCHE le travail clandestin. Et les médias vendus ne nous montre que le …travailleur clandestin sans cause. De la grande…désinformation ! Faut surtout pas se laisser faire…
Ensuite ? Un quintal de tomates en une heure pour 4 € (oui 4 au lieu des 10 € promis – qui ment triche délinquante sans cesse ? Surtout pas qui désigne la presse d’argent, dans son mercenariat de déchus !)…oui c’est parce qu’il ne reçoit QUE 4 € que tout est SI PEU CHER pour le consommateur. Qui fait semblant de croire aux contes de fées (que tout puisse être toujours…moins cher – très dangereuse aliénation !)…alors que, partout, c’est CAUCHEMARS hurlants de l’esclavage moderne. C’est IMPOSSIBLE que tout soit moins cher sauf si quelqu’un le paie…à notre place. Il faut surexploiter les uns pour que le consommateur vive dans ses illusions une vie inhumaine de plastique. Tout gain se fait toujours au détriment de quelqu’un. Là, nous avons des visages diffamés – alors qu’ils ont tout bon. Et nous plutôt tout mal.
Ce système esclavagiste est véridique pour fruits, légumes, poissons, animaux, etc. C’est avec une inhumanité affolante qu’ils peuvent ne pas être payés pour que le consommateur vive dans un monde trafiqué de a à z. Les esclaves de « l’or vert », les « forçats de la mer », etc. nous en avons des…injustices flagrantes sur la conscience ! Vivre moins cher – socialement cela COÛTE TROP CHER ! Oui bien trop cher ! Le prix collectif est exorbitant…
………………………......****************************************
Un prix bas cache bien trop de coups bas ! oui combien coûte véritablement un prix bas ? Et pour qui est-il bas ? Pas pour tout le monde : c’est impossible, il y a de la spoliation dans l’air… Chaque fois que nous vivons mieux – ils vivent pire ! La main d’œuvre PAIE les prix bas. Ces petites mains nous « aident » à fond et nous les laissons tomber, applaudissant mêmes leurs trop délinquants exploiteurs ! Oui l’hideuse philosophie du vivre moins cher dégrade tout le monde, rend irrespectueux, inattentifs, inattentionnés, fait que nous…donnons moins de valeur aux vies des autres. Cela déprécie tout. Nulle gratitude ni de bienveillance amplifiée envers les autres ne se montre de trop de vie…moins chère. Bien au contraire. Les abusives privatisations dessèchent les cœurs et tuent les relations humaines et sociales – il est temps de passer en fermes accusations la folie antisociale des privatisations n’importe comment…et du consumérisme fou qui tue l’humain en nous !
En-finir-avec-la surexploitation-des-saisonniers-agricoles
Les médias d’argent sale font ainsi croire « qu’ils vivaient moins bien chez eux » : faux, archi faux, archi fake, clament-ils tous, oui les intéressé(e)s, dès qu’une entrevue d’eux est gardée et regardée. En Europe, pour eux (en général) c’est pire, c’est bien pire, c’est bien plus cher (puisqu’on leur extorque toujours à sens unique). Ce pourquoi, en France, chaque année les migrants et émigrés rapportent, oui en positif des milliards d’euros au pays. Ils ne profitent donc pas du pays c’est plutôt le pays qui profite d’eux. Où sont les vraies fake news et qui les diffusent ? Les très grands déchus !
……………………......****************************************
« La part de l'alimentation dans le budget des ménages français a baissé d'un tiers en cinquante ans. Cette pression à la baisse sur les prix de l'alimentation a-t-elle un coût social pour les travailleurs de cette filière ? Pendant huit mois, le journaliste Wandrille Lanos et la rédaction ont enquêté sur les conditions de travail dans l'agroalimentaire. En partant des allées des supermarchés, pour remonter jusqu'à la main d'oeuvre qui récolte, ramasse ou pêche pour les consommateurs, ils ont découvert un monde où la surexploitation est la règle. Au coeur de l'Union européenne, les salaires ne sont pas conformes au droit du travail, les conditions d'exploitation sont proches de l'esclavage. » [[bref, la vie moins chère démasque son visage cauchemardesque !]].
...consommation-multinationales//-Cash-investigation-:-les-récoltes-de-la-honte
Tout le prix à payer pour le toujours moins cher ? Une cascade entrelacée de conséquences, d’effets induits et de dommages collatéraux. Déjà, les aliénations maladives du consommateur de base sont légion : on ne mange qu’avec les yeux, qu’importe le goût - la qualité est sans importance, seule la quantité gloutonne compte – et il faut (sa névrose !), il faut, il faut toujours que les prix soient au plus bas, qu’importe les conséquences. Même au prix fort, toujours du moins…cher, glapit l’excité. Ce qui crée l’ambiance corrompue générale de la société qui ne résiste pas assez à l’argent fou, à l’argent sale. Et qui fait de cette monnaie le centre trop déraisonnable de tout : avec les folies telles « l’argent sait tout par essence », c’est même Dieu sur Terre au point que nous n’avons pas à nous occuper de la nature, de la biodiversité et des conditions de poursuite de la vie, etc. Que nous pouvons continuer à délirer comme des enfants attardés – oui, nous sortons un billet de banque, tous les savoirs en jaillissent sans efforts, plus on est riche plus on est « infailliblement » intelligent, les dangereux délires s’accumulent, tel la foutaise de « l’argent fait des petits en dormant » alors que nuls films de « l’accouchement » n’ont jamais été produits. Et autres graves paranoïas comme le marché à toujours raison (alors que nous voyons l’immensité insurpassable de ses…catastrophes) et sa main est invisible. Et autres graves déviances bien trop religieuses. Etc. Notons que ces aberrations leur (aux consommateurs) auront été vissées en tête à force de répétitions malsaines (ce qui n’est surtout pas un argument…). Et que les ennemis marchands de l’Humanité sont clairement accusés. Mais, le drame c’est cette « instrumentalisation » générale trop peu connue - ce consommateur lambda, entièrement corrompu sans qu’il/elle le sache, devient le contraire de ce qu’il aura été. Endossant des comportements qui l’auraient révulsés avant. Semant des postures matérialistes qui tentent d’effacer, piteusement, qu’il y a tellement d’autres alternatives que de s’être effondrés à n’être plus qu’un rouage déshonoré de la machine à tout salir. A tomber collectivement toujours plus bas. A s’abaisser inutilement devant le curé « argent » qui voudrait gérer nos vies tellement plus que les églises ne l’avaient jamais fait…etc.
Ainsi – toutes les preuves, pour l’alimentaire, que c’est à cause de l’exploitation scandaleuse de qui entretient puis ramasse les fruits et légumes sacrés – que les prix peuvent demeurer aussi bas. L’industrie agroalimentaire aura bien basculé dans l’inhumanité ( déjà, répandant, sans sourciller, des aliments qui nuisent tant à la santé - tout comme se permettant des profits complètement immérités en bafouant toutes les lois humaines et morales. Soit en traitant en esclaves qui nous transmettent la nourriture offerte gratuitement par la Terre). Nous sommes donc descendus dans l’enfer de ce capitalisme complètement délinquant. Les prix TROP bas c’est juste parce que nos frères humains sont violemment surexploités. Dans ces indignités qui indignent tant (qu’un monde SANS CAUSALITÉS puisse exister) ! Et dont il est si FACILE de s’extraire définitivement. Juste par le bon sens (pas besoin d’études pour cela), le bon cœur (pas besoin d’études pour cela) et de quelques questions simples à toujours poser (pas besoin d’études pour cela). Oui, il ne fait plus jamais croire les médias d’argent – ils déforment et désinforment. Ils salissent nos frères humains. Et ne font l’éloge que des seuls humains qui sont la lie de l’Humanité, la honte de l’espèce. Ainsi impossible qu’un travail clandestin naisse tout seul dans les choux. Il n’existe que PARCE QUE, avant, au préalable, le devançant et le créant, il y …un capital clandestin. Pas de travail au noir sans un préparatoire et antérieur capital au noir. Le travail au noir ne naît pas tout seul dans les choux. Mais il a été causé. Il est né tout net du capital au noir (et surtout pas l’inverse). C’est un effet clair et distinct, comme ne dit plus Descartes. Puisque tout le langage, oui tout, est de notre côté et qu’il démasque même, sans cesse, toute l’horreur du capitalisme (ce miteux parasitisme) par quelques questions de justice …
qui a démuni les démunis ? (ils ne sont sont pas démunis tous seuls !).
qui a déshérité les déshérités ? (ils ne sont sont pas déshérités tous seuls !).
qui s'est emparés des désemparés ? (ils ne sont sont pas auto-emparés d’eux-mêmes !).
qui a détressé les détresses ? (ils ne sont sont pas auto-détressés d’eux-mêmes !).
qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? (ils restent tellement plus nécessiteux que les graves imposteurs trop riches !).
S’il y a fraudes pourquoi donc tant cacher les fraudés qui les subissent ? (pourquoi ne jamais parler des fraudés ? Parce que, quelque part, la culpabilité méritée ronge tant le libéralisme ?)
S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ! ( la faim reste toujours provoquée et non choisie), etc.
…..La causalité existe bien et devient même la cause de la fin du capitalisme !
…………(à suivre)
……………………......%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin,etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 400 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
des règles qui ne sont confortables QUE pour les grandes surfaces et surtout pas pour les "vrais" consommateurs !
En finir avec l'exploitation des saisonniers agricoles : Une grande partie des fruits sont ramassés par des immigrés africains vraiment réduits à l’état de servitude.
Le moins cher se paie par la dévalorisation complète du respect dû à l’humain ! Dans ces conditions, le moins cher c’est TROP cher…
et toutes les bassesses qui vont avec – puisque le consumérisme (ce cauchemar sans fées) refuse de répondre au QUI PAIE pour le moins cher ? Et vit donc dans la pire des…irréalités. Au point, pour ces superficialités cruelles, d’en détruire la nature et la vie. Consumérisme = folie furieuse !
Cash investigation : exploitation extrême du travail dans l’agriculture. Que la honte les couvre…
The Dark Side Of The Italian Tomato
L'Italie est le troisième producteur mondial de tomates. Chaque année des milliers de tonnes de tomates sont récoltées par des migrants africains . Principaux marchés pour la tomate italienne ...
nombreuses vidéos… L’Afrique mise en boîte : nous leur volons même la possibilité de se nourrir…qu’ils ont bien si nous arrêtions de les…piller !
instrumentalisée par...l'industrie de l'alimentation (quelle barbarie).
Grossiste, importateur... 3 métiers clés de la filière Fruits et Légumes
la cueillettes de fruits et légumes producteurs-consommateurs...
L'exploitation de la force de travail de l'homme
conclusions du rapport "Femmes et agriculture : pour l'égalité dans les territoires", adopté par la délégation aux droits des femmes mercredi 5 juillet.
Le retour à la santé mentale offre des activités pour absolument tout le monde (le chômage est un auto-enfermement aliéné dans le travail "appartient" à des...exploiteurs illégitimes - rien d'autre !) !
en plus c'est sain...