Axe des taxes ?
Autour de quoi tournent les taxes ? Cet excès de facilités : en quoi puis-je me permettre de taxer autrui ? A quoi s’ajoute cette étrange opacité : il n’est parlé que des taxes étatiques jamais de celles issues du privé, lui fournissant un angélisme bien immérité. Immérité lorsque ce privé s’appuie sur l’incohérence absolue de « nationaliser ses pertes » mais, surtout, de « privatiser les bénéfices collectifs ». Pour le coup c’est lui qui taxe grave les contribuables, contribuants involontaires. Cet ensemble de données prouvent à quel point les taxes restent un grand impensé social. Nous allons donc vérifier le pourquoi d’un tel trou noir !
Taxes, d’où cela vient ou cela va. Aurait ce quelque chose à voir avec une taxinomie. (nomos pour loi de -nomie ; face à logos de discours de…-logie) ? Taxinomie, la science des lois de la classification des formes du vivant. Taxinomie ? Les taxes n’en font pas partie. Elles peuvent même dériver vers le taxatif laxatif lorsque c’en une logorrhée du systématisme… un problème = nous ne le résolvons pas nous le taxons. Ces taxis du trop court terme, qui vivent à la course, ne peuvent que méconnaitre ce filon de toutes les terminologies. Des taxons, des taxums ou des taxas ! Taxi-, taxo- taxie- du grec taxis « ranger, arranger, ordre, fixer ». Du latin « taxare » taux, tâche. Que tout ceci ne s’empaille donc pas en taxidermie… Pour le moment, taxer = le niveau zéro de la pensée – jamais rien de global ni du long terme intensément réfléchi. Que du court terme désordonné donc sans plan complet. Plongeons dans le désorganisé…
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« En Macronie, il n’est pas un problème qu’une bonne non-solution ne saurait résoudre. Devant un problème donné, on continuera à employer les mêmes procédés foireux avec obstination [[ en bref, absolument aucune révolution, que la routine conservatrice la plus crasse : faire beaucoup trop « pareil que » les prédécesseurs !]]. Et en Macronie en particulier comme en général, une vraie bonne non-solution à tous les problèmes, c’est une bonne taxe, pardi !
Le cas du paquet neutre est tout à fait symptomatique. Mesure constructiviste typique basée sur la remise en question d’un comportement réprouvé (fumer des cigarettes) non par la morale mais bien pour des raisons de coûts dans la santé collectivisée, l’idée consiste à faire croire qu’en enlevant sur les paquets de cigarette la spécificité des logos et autres emballages colorés, on parviendrait à réduire la vente des tiges à cancer. [[ mais en « comportements réprouvés » comme les si nocives spéculations boursières qui ont « un coût si lourd pour la collectivité », qu’elle les déguise en nationalisations des pertes, pertes dues à ces…comportements réprouvés, donc (ici) très…encouragés – pourquoi une si forte amnésie ? Donneur de leçons d’un côté, mais nihilistes à problématiques de l’autre ?]]. Bien évidemment, plutôt que faire des paquets réellement neutres (i.e. blancs), il a rapidement été question d’introduire des images dépeignant les désagréments encourus suite à l’abus de cigarette, espérant ainsi dégoûter le consommateur devant les photos plus ou moins abominables de tumeurs et autres joyeusetés que l’addiction au tabac entraînerait. Malheureusement et comme prévu, six mois après l’introduction de ces paquets pas neutres du tout, le constat est particulièrement peu encourageant puisque les ventes ne se sont pas effondrées. Elles n’ont même pas réellement diminué. Du reste, notons la polémique typiquement aoûtienne qui entoure les chiffres puisque si RTL affirme que depuis le premier janvier dernier, la consommation de cigarettes a augmenté, pour d’autres médias, elle n’a simplement pas bougé. [[ ce qui placerait les peu « explicatives « taxes dans des sacs de nœuds d’insolubilités ?]].
Une chose est sûre : comme en Australie où la mesure est en place depuis plusieurs années, on constate le même non-événement, à savoir l’absence d’effet sur la consommation. L’argument majeur qui avait donc présidé à la mise en place de ce paquet à photo gore est donc, comme on pouvait s’en douter, complètement bidon. On peine de la même façon à justifier la mesure avec l’autre argument habituellement utilisé (enlever l’envie aux enfants d’acheter leur premier paquet de cigarette) dont la portée n’a toujours pas été vérifiée et qui nécessite, de l’avis de ses promoteurs, une bonne grosse génération de 25 ans pour pouvoir être observé. Avec cet échec, la diminution de la tabacomanie sera-t-elle remise à plus tard ? En Macronie, que nenni ! Devant le problème « cigarette », il suffit d’une solution simple : une bonne grosse taxe amenant le paquet à 10€. [[ ce qui est notoirement discriminatoire : les pauvres pour qui tout coûte toujours plus cher, sans jamais de contreparties, ces pauvres qui sont des volés institutionnels non de voleurs – vont peiner devant ces prix de …privilégiés. La « clopcité » va-t-elle s’installer auprès de la mendicité ? Aucune réponse - Comme quoi les taxes demeurent bien dans l’impensé collectif !]].
[[ la preuve ? ]]…Tant pis si le problème est surtout lié au coût pour les finances publiques de la santé collectivisée. Tant pis si l’augmentation du prix précipite les consommateurs sur le marché noir et les délinquants sur le sentier cossu de la contrebande. Tant pis si le reste des pays européens permet de s’approvisionner facilement en paquets à prix cassés. Tant pis si cette solution crée de nouveaux… problèmes : cela va marcher, parce qu’elle a déjà été utilisée maintes et maintes fois avec succès. [[ argument récurrent de tous les conservatismes les plus usés et qui ont amené ce monde dans l’état déplorable où il se trouve…Ce sont les réformateurs qu’il faut réformer pas les fonctionnements de la société !]].
D’ailleurs, puisqu’on parle de taxes, comment ne pas évoquer cette nouvelle taxe exceptionnelle sur les grandes entreprises que le gouvernement envisage de créer pour résoudre un enquiquinant problème de trésorerie ? Le problème est d’autant plus enquiquinant qu’il est directement issu d’un récent jugement de la Cour de justice de l’Union Européenne. Cette dernière, saisie par l’Association française des entreprises privées et une vingtaine de grands groupes, a en effet jugé que la taxe à 3% sur les dividendes des grandes entreprises, mise en place par la fine équipe du président Hollande, revenait bien à une double imposition des grandes sociétés multinationales et qu’elle contrevenait donc à l’article 4 de la directive européenne sur les sociétés mères et leurs filiales. Or, cette juteuse (mais illégale) ponction fiscale rapportait 2 milliards d’euros par an. Retoqué, l’Etat français va donc devoir trouver, rapidement, de quoi remplir son budget puisque tout le monde sait qu’il lui est absolument impossible de réduire ses dépenses à hauteur de ses ponctions illégales ; son obésité morbide ne sera pas combattue. [[ un coin du voile serait levé ? Les taxes, juridiquement très flexibles, serviraient bien trop souvent les intérêts trop directs du privé ?]]
Et qui mieux que ceux qui se faisaient taxer illégalement pour abonder à nouveau au tonneau des Danaïdes ? Puisqu’on ne peut pas vous taxer le fondement par vos dividendes, on va le faire via la contribution sociale de solidarité des sociétés, pardi ! Et tant pis si la légalité de cette magnifique opération de taxe temporaire (forcément temporaire) « Sois Solidaire Et Tais Toi » ressemble à s’y méprendre à la légalité de la précédente opération « Par Ici La Bonne Taxe Sur Les Dividendes » : on a gagné trois ou quatre nouvelles années.
Ce petit tour de passe-passe évite, encore une fois, toute remise en question au niveau de l’Etat [[ le grand répartiteur neutre et impartial, ne prenant partie pour aucun clan cupide mais les surplombant tous également… ]] et de ses sicaires fiscaux, permettra évidemment de résoudre le problème budgétaire en tabassant derechef ceux qui se faisaient déjà tabasser : histoire de varier, le fisc frappera sur la joue droite après la joue gauche. Subtil. Bien évidemment, la réussite flamboyante d’une telle mesure (en terme d’emplois, en terme d’incitations entrepreneuriales, et même en terme de rentrées fiscales – un comble) est à prévoir.
Enfin, il serait dommage de clore le sujet des taxes rigolotes et si singulièrement efficaces sans évoquer un nouveau cas particulier de taxe individuelle tout à fait pertinente et judicieuse. L’histoire a été éventée par l’Est Républicain qui relate dans une récente édition la délicieuse aventure taxatoire vécue par Francisco Castano. Ce dernier, qui avait installé une petite serre artisanale de 6 m² (quelques planches et quelques pièces de film plastique) au dessus des dix pieds de tomates plantés dans son jardin, a eu l’idée réellement lumineuse (et, reconnaissons-le, remarquablement honnête et citoyenne) de déclarer cette serre à sa municipalité. Municipalité qui s’est empressée de taxer l’impétrant : 168 euros seront à payer, dont 126 pour la part communale et 42 pour la part départementale, soit 28 euros du mètre carré de serre artisanale, ou presque 17 euros par plant de tomates. [[ c’est cela le conservatisme inintelligent : n’appliquer que du vieux , entièrement inadapté, à toute situation neuve. Le nouveau et le créatif, l’intelligent et le novateur sont carrément prohibés : ils n’entrent pas dans les clous des matons de l’inculture obligatoire !]]. Même en admettant une vigoureuse production de plusieurs kilos de tomates, notre contribuable aura bien du mal à rentabiliser ses salades estivales, bios ou non.
Cette mésaventure, qui a pas mal tourné sur les réseaux sociaux, illustre à merveille toute la logique étatique et l’aptitude de l’administration [[ sauf que c’est l’idéologie qui lui est instillée qui ne va pas…pour le reste, nombres d’études internationales ont établi « que la productivité du public reste supérieure à celle du privé ». Ce n’est pas l’instrument qui ne va pas, mais comment il est empêché de bien fonctionner…]] de ne surtout pas s’adapter aux cas concrets qui lui sont fournis, écrasant ainsi les citoyens et les entreprises, petites ou grandes, dans le même égalitarisme fiscal aux résultats collatéraux toujours plus amusants.
Ainsi, il est peu probable que cet épisode favorise l’honnêteté future des citoyens. [[ dégâts collatéraux…]]. Ceux qui auraient eu des velléités de déclarations savent à présent qu’ils seront, eux aussi, sauvagement taxés, sans la moindre marge de manœuvre. Les rentrées fiscales correspondantes disparaîtront donc petit à petit. Ainsi, il est peu probable même que ces citoyens se tracassent à construire quoi que ce soit de visible qui pourrait attirer l’œil des voisins (la dénonciation fiscale étant un sport national couru) ou du fisc. Les achats et investissements correspondants disparaîtront donc petit à petit. Ainsi, il est même possible que ceux qui voulaient se lancer dans le potager y réfléchiront à deux fois, notamment si l’on doit rajouter les taxes et contrôles sur la récupération de l’eau de pluie et autres misères potentielles que l’administration fiscale ne manquera pas de trouver. Potager qui pouvait entraîner commerce et socialisation avec les voisins, voire déclencher des vocations ou des économies sur le budget familial [[ quelles horreurs que d’ainsi se socialiser !]]. Tout ceci disparaîtra là encore petit à petit.
En somme, les gens honnêtes sont invités à ne plus rien faire, ou à verser dans l’illégal ou cette zone grise loin des doigts prédateurs de Bercy. Pas de doute, ces taxes, comme solution à tous les problèmes, c’est une excellente idée, un magnifique projet de non-société, et un avenir…
……………………. évidemment flétri qui se déconstruit à l’horizon ! »
Tous les non-dits débusqués dans ce grand trou noir des taxes (trou noir en tant qu’il ne restitue plus rien des informations qui avaient été programmées au départ), oui ces ex non-dits aboutissent à quoi ? A voir surtout une précipitation frénétique au départ. Avec donc une absence quasi complète de réflexion sur les conséquences de ce taxage, des moyens de contourner la taxation comme des effets à long de l’irruption des …facilités momentanées pour les taxateurs. Les taxes c’est on ne pense pas !
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N’ayant rien trouvé d’ontologique dans les taxes, n’ayant non plus trouvé d’aide dans l’anthropologie – en déduisant que les taxes n’ont absolument rien à voir avec notre être existentiel véritable – nous pouvons conclure en sécurité. Que les taxes servent principalement dans des sociétés inégalitaires, qui affichent même les explosions inégalitaires comme une grande envergure collective – alors que les coûts économiques sont énormes. Et les coûts sociaux plus que démesurés. Oui devant un tel chaos (les inégalités explosives) provoqué par les sommets – la sagesse voudrait que les taxes ne soient réservées qu’au cadre de la régulation des trop riches. Ceux-ci étant si complètement incapables de s’auto-contrôler, de se restreindre par leur propre raison, d’user de leur volonté contre eux-mêmes afin de s’auto-limiter – nous sommes bien…contraints de les réguler à leur place. Donc de les vacciner par des taxes à eux seuls réservées. La vertu pédagogique, vous connaissez ? Elle est pourtant simple, vous taxez d’abord. Et vous expliquez ensuite. Mais expliquez longuement et sans rien cacher. L’auto-élucidation permanente de la société par elle-même, pour la première fois, sera un peu à l’heure…depuis quasiment 45 ans…c’est dire que ces taxes auraient des effets au long cours !
Alors comment trouver ne serait-ce qu’une trace de transcendance dans « taxes » ?
Le revers des taxes c’est EXONÉRER. Or exonérer avoue, dès le départ être onéreux, ex-onérer onéreux. Très onéreux en coûts sociaux et de cohésions intra-humaines…Taxer c’est imposer lorsque justiciable c’est justifiable. Il faut répondre de ses taxes !Devance tes reDevances. A quel sujet ? Sur la surtaxe progressive ou. taxe sur la valeur ajoutée ? Par qui ajoutée donc ? Mais par tout le monde. Par la SOCIALISATION humaine, par les échanges « entre » humains, pas entre « marchandises » voyons. Libérons-nous de l’aberration libérale et les valeurs ajoutées vont se surajouter, vont abonder et créer de …l’abondance pour tous (tout le contraire de la richesse « que » pour quelques uns)
Pourquoi ? « Contrairement à l’impôt qui est soumis, en France, à la règle de non affectation, les recettes issues d’une taxe peuvent être affectées à une dépense précise. La taxe est un prélèvement obligatoire perçu d'autorité, à l'occasion d'une opération, mais qui ne constitue pas la contrepartie monétaire de ce service[Contradiction].
Il diffère donc de :
- l'impôt par son assiette (il est payé à l'occasion d'une opération) et par son redevable (l'usager) ;
- la redevance, celle-ci étant la contrepartie monétaire d'un service rendu. Dès lors que le prélèvement est inférieur à la moitié du coût du service, il s'agit d'une taxe et s'il est supérieur, il s'agit d'une redevance.
la contrepartie monétaire d'un service rendu par une personne publique ». Toutefois, de nombreux usages erronés sont faits de ce terme. Où sont les contreparties de nombreuses taxes ? Exemple : la « taxe » d’habitation, de séjour, foncière, etc. » (source : Wikipedia)
Oui, où sont donc les contreparties de nombreuses taxes ?
…….…Il faut « savoir » répondre de ses taxes ! En avoir retrouvé tout l’axe…
……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Cette incroyable dissymétrie ne provient que parce que les pauvres sont trop taxés. Détaxons-les et les riches le seront moins ? Le « tout taxe » n’est plus du tout raccord !!!
Aux prix où les paquets vont grimper c’est bien de « taxer » une cigarette dont il va s’agir. Et toujours la même question sans réponse « Toutes ces taxes ajoutées les unes aux autres ne rendent-elles pas le tabac « trop » cher pour les pauvres ? Et toujours pas assez pour les riches ?. »
L'anti-Robin des Bois est de retour, prêt à nous jouer un mauvais tour ! Le gouvernement d'Edouard Philippe a annoncé que les aides pour le logement allaient être uniformément ponctionnées de...
https://lareleveetlapeste.fr/325-millions-pauvres-4-milliards-riches-lutte-classes-a-sauce-macron/
pas comme ici...
Avant-propos de l'auteur La sociologie fiscale étudie les relations entre l'impôt, l'Etat (et les autres collectivités publiques) et la société. Alors que la sociologie financière étudie les...
La sociologie fiscale : La sociologie fiscale questionne les relations fondamentales entre…l’impôt, l’Etat et la société. Plusieurs représentations sociales sont considérées : l’impôt-contribution, l’impôt-échange, et l’impôt-obligation/contrainte/tribut, mais l’élaboration d’une typologie de l’Etat fiscal met l’accent sur l’impôt-contribution payé par le citoyen qui est capable…d’altruisme pour financer les politiques publiques [[et pas les privatisations intempestives…]]. Dans le cadre de la « démocratie fiscale », l’enjeu est d’établir un « contrat social » fiscal relatif aux fonctions sociale, politique et territoriale/environnementale de l’Etat interventionniste à partir d’un dialogue critique avec l’analyse économique. La typologie de la déviance fiscale, inspirée librement de la théorie sociologique de l’étiquetage (la labellisation de Becker), montre que la…légitimité politique est essentielle et que l’approche par la rationalité cognitive rend compte de la décision du contribuable : en effet, le contribuable ne réagit pas (seulement) en vertu de l’approche par l’intérêt utilitariste. La conclusion suggère un bref débat sur les effets de la globalisation économique pour…l’autonomie sociopolitique de l’Etat (par rapport à l’illégal « mur de l’argent »)....[[ Plan Avant-propos de l’auteur Bibliographie restreinte 1 Introduction 2 Vue d’ensemble des travaux sociopolitiques et économiques 3 L’impôt-contribution et l’Etat interventionniste 3-1 Les représentations sociales de l’impôt 3-2 La typologie de l’Etat fiscal 3-3 Le contrat social fiscal 4 Les fonctions sociopolitiques 4-1 La fonction sociale de l’impôt 4-2 La fonction politique de l’impôt 4-3 La fonction territoriale et environnementale 5 La déviance fiscale 5-1 L’étiquetage sociologique de l’évitement de l’impôt 5-2 La décision du contribuable 6 Conclusion : l’impact de la mondialisation Notes de la rédaction...]]].... Cet article est la version française de l'article paru en version anglaise dans le numéro précédent de Socio-logos sous le titre Tax Sociology. Sociopolitical Issues for a Dialogue with Economists, article augmenté d'un avant-propos de l'auteur.
Santé et environnement: faut-il toujours taxer ?
"Il y a de l'idéologie dans la volonté de taxer"
Lorsque l’on est de l’autre côté de la barrière : taxer la pollution (l’excellent pollueurs=payeurs !)…
Huile de palme : "Ce serait de la démagogie de taxer cette huile !". Et de ne pas la taxer n’est-ce pas plus démagogique ?
Taxer le capital ou étendre la cotisation ?! (L'enjeu du salaire) Cette accumulation financière, aujourd'hui largement critiquée et pointée du doigt, n'est-elle pas le premier frein à l'investissement ? Ne prouve-t-on pas déjà, à travers la cotisation, qu'on peut très bien se passer de la propriété lucrative pour investir, et investir bien plus même ? C'est pourtant bien cet abus de la propriété lucrative qui nous empêche d'étendre la propriété d'usage au plus grand nombre. Emparons-nous de cette lecture du PIB et de sa répartition.
impôt, taxe et redevance - Qu'est-ce que la Taxe Robin des Bois ?
Les économies d'échelle
Qui ne voit jamais qu’il se trouve du mauvais bout de la lorgnette ? La nouvelle taxe de Bercy montre pourquoi la France a tant de mal à s'en sortir ? Parce qu’elle n’aurait jamais due « entrer » dans l’impasse toxique de libéralisme !
ou bien omet de considérer, très sérieusement, tous les tenants et aboutissants
Pour que la vie soit, il faut du hasard! Comment celui-ci exerce un effet stabilisateur pour engendrer des régularités ? Une taxinomie des hasards à différents niveaux d'organisation, d'échelons et de phénomènes pourra réconcilier hasard et déterminisme