Comment humer l’humour ?
Ce qui semble trop absent des législatures qui se suivent de 5 en 5 ans, c’est l’humour. Qui, de qualité hautement en voie de disparition semble, désormais, vraiment disparu. Pour les corps et pour le bien. Sa tendance flagrante à ressembler à humer, tout comme l’être si inspirant qu’est l’humain, qui hume énormément lui aussi, aura réuni humour et humain. Humeur. Autour de humer. Le même sacré bon humus…
« Le terme humeur vient du latin umor, qui est lui-même un mot venant du grec ancien et qui signifie liquide. Un autre mot en français qui a la même racine est le mot « humour », mais son acception actuelle est plus récente (XVIII° siècle). Il vient de l'anglo-normand humour qui vient lui-même du vieux français humor. Également, en anglais américain, humour s’orthographie humor, mais le même mot est prononcé de manières très différentes par les anglophones britanniques et américains. » (source : Wikipedia)
Du mot "humeur" qui évoqua les fluides corporels, il ne resta plus que les souffles du caractère, les formes de la personnalité, les traits du tempérament et les signes de la singularité. L’humeur perdait son sens médical d’origine pour n’en garder que les émotions, autres flux corporels. Et donc ? L’humour serait précisément dans l’ajout du h inexistant dans l’étymologie d’humeur (umor) mais bien porté dans humour (humor). Le verbe humer lui aussi vécu un grande aventure étymologique dont nous ne laissons que le lien (l’espagnol husmear avait conservé ce « s » que le français avait perdu et qui permet de rapprocher humer de flairer, cet acte probant d’exhaler et, à l’autre bout, de…sentir bon). Et cela vous fait rire ? Eh oui, vieil homme, ce fruit desséché accroché au libéralisme suranné que tu es « devenu », vieil homme qui a tant gâché son jeune âge…, pour une fois, sache entendre (tout tendre et tout tendu, bien entendu, à bien demeurer toujours plus empli de tendresse d’entendre)… Cela sent bon, eh oui (union de humer, humour et humain) puisque le sujet de notre émerveillement est que ceci « sente bon » - point de départ - mais que nous le « sentons bon » de par notre merveilleux sens olfactif factif effectif factif. Point d’arrivée. Cela sent bon et nous le sentons sentir bon. Donc l’éblouissement d’oser nous sentons bon, occultant le dans le phrasé (qui serait ne sentons « le » bon, et le gigantisme des géométries et les étages de toutes les saveurs de savoirs, et la bonté qui aura été plus que censurée dans les années de vile religion de l’argent trop salissant – tout cela « reçu » à la fois. Ce n’est pas seulement inimaginable (limité aux seules images, vielles iconographie, ce graphisme de l’icôn – tout aussi inconnu après presque plus 50 ans du martelage insensé de la société des images-écrans – afin de ne plus jamais nous voir en face, bien en face, oui NUS DE NATURE ! …Nous ? Ce n’est pas notre affaire, vos soi-disant pouvoirs, comme si le monde était centré autour de vous, il ne l’est pas et qu’avez-vous fait, fourvoyés dans ces lubies ? – Malgré nos conseils vous êtes dans ces sables mouvants, où il n’y pas d’issues et vous avez tout fait pour. Vérifiez – pas un détail du trajet que nous ayons omis (afin de rendre la partie du service qui est au bout de notre respect – l’autre moitié c’est à vous seul de cheminer, et toute la moitié du chemin). Complètement égarés pour juste n’avoir pas voulu entendre, écouter, prêter attention (éteindre le vacarme si brouillon de votre intérieur) oui jamais écouter les Grands esprits, les belles âmes, les vrais penseurs, les êtres complètement humanisés (humer et humour), les génies, les gigantesques sensibilités qui joignent le plus sensuel au plus sensé, etc. (à votre entier choix…). Vous seuls avez créé votre propre malheur (selon la plus que dégoûtante théorie de « l’individualisme méthodologique » (tout est de la faute de l’individu surtout ce que lui font subir les autres…ah oui ! niveau pourriture morale, difficile de surpasser !).
Nous ? Rien à faire de cette histoire, pas la nôtre, ce chemin n’est pas bon parchemin – nous avions trouvé toute l’humilité de n’être que dans l’autre réalité. La vraie en fait : la véridique et véritable réalité, celle qui guérit très vite de toutes les artificialités, supercheries, apparences, tromperies, pièges, etc. qui ne sont que la déchéance de qui les fomente (en fait). Jamais de qui « semble » les subir (ce pourquoi ces sombres idiots se « croient » les maîtres du monde …parce qu’ils feraient « subir » aux autres. Comme dit l’un d’entre eux « son taux de nuisance n’étant pas assez fort, il « ne pouvait » être connu ! ». Le droit à diffusion se « mesure » donc juste au taux de nocivité. Plus nous pouvons impacter de toxicités sur autrui – plus nous pouvons être « connus ». Qui oserait appeler ceci des « élites » ? Des anti-élites plutôt, de clairs échecs de l’Humanité Autant dire que la faculté de parer ceux-là appartient facilement à qui reste entier, complet et intégralement intégral. Qu’aisé et commode de contourner, d’éviter, ces toxicités. Nous ne les subissons qu’à la marge. Juste effleurés. Le « dommage collatéral » (ne dira plus le cynique qui s’est trompé de cynisme) n’est que latéral, le cynique ( le cy-niqué par lui-même) reçoit, lui tous les dommages « centraux ». Croyant se moquer d’autrui (avec cette inhumanité inacceptable qui ne peut plus de cacher du « on s’en fout des dégâts collatéraux »), ils sont bien en train de tout ramasser en pleine poire. Eux. Et nous pas. Déjà fait. Déjà reçu par les franges, sur les rebords, à l’extérieur, sur les pourtours du corps, toutes les traces malsaines de qui n’est ni humain, ni ne sait humer et n’aura jamais l’humour qui…guérit de tout. Nous ? Oui c’est une toute autre histoire que l’illégal vacarme centralisé des bourgeois a tout fait pour la dissimuler, ne pas l’entendre ni en recevoir des signes. Sauf que, grave erreur de cible. Nous c’est SENTIR : donc saveur des savoirs (et à plein) ; tactile tactique, la fleur de peau (toucher qui nous touche au point que les musiques sincères parviennent jusqu’à nos épis dermes. Et les dressent. Ou sentir bon, l’ode de l’odeur, la fête de l’humus, l’humain argileux, l’Adam de terre rouge, la boue bienveillantes des origines…oui sentir cela, tout le temps. Rien du regard ou de la sèche audition (ces égarés parlent de leur « audience » alors qu’ils n’ont jamais « entendu » une seule « claire audience », une seule note bleue, que jamais l’harmonie des sphères ne les aura fait vibrer jusqu’au jetstream, cette puissance unifiée de haute atmosphère qui surpasse trop aisément tous les jets sets. Notons que c’était à eux de venir à nous et non l’inverse – ils ne vivaient et ne vivent que dans des lieux toxiques, dans des mentalités nuisibles et dans un style de vie où jamais nous ne sommes NUS DE NATURE. Nulle abnégation ne peut aller jusque là : quitter la paix « odorante » de la pauvreté immensément heureuse pour s‘écailler douloureusement dans les sinistres de la trop sinistre richesse. Sans agrément aucun. Sans aucun gréement d’agrément pour voguer sur l’infini de la paix….
Oui ? L’émerveillement (cela sent bon) est l’émerveillé (nous sentons que cela sent bon et le disons, très bien renseignés, que grâce à ce…« sentir bon, nous nous sentons bon/ bien » - ce qui nous ramène au résumé de l’histoire étymologique de humer = sentir bon…
>>> ** « À la rigueur on peut voir des liens entre une plante herbacée et un arbre de la forêt. Il est possible que l’humus produit par les feuilles de Conifères conviennent à ces plantes, mais l’inverse est insoutenable. — (Henri Gaussen, Géographie des Plantes, Armand Colin, 1933, p. 121)
>>> ** La podzolisation est essentiellement un processus d’altération chimique intense des éléments silicatés, se produisant sous l’action de cet humus brut et libérant des sesquioxydes. — (Philippe Duchaufour, Précis de pédologie, p. 286, Masson, 1965)
>>> ** L’humus qui, lié aux argiles, contribue à la qualité de la structure des sols et à leur fertilité, résulte de la transformation de la matière organique. C’est un produit composite, chimiquement mal défini, et les détails de sa formation sont encore imparfaitement connus. — (Pierre Davet, Vie microbienne du sol et production végétale, p. 143, Éditions Quae, 1996).”
L'étymologie-incroyable-de-humer-?
La plus vaste recherche sur humer, humer qui n’aura perdu ni son humain ni son humour…
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Disons que l’essentiel reste ce vient après tous les posts, dont se montrent si friands les égarés (et nous surtout pas) croyant fort naïvement que de rajouter post à tous les mots va les protéger des conséquences de leurs inadmissibles comportements, de leurs idées maladives et de leurs styles de vie vraiment ahumains. Qu’une carapace va se mettre entre le sens du mot nu et de ce mot stupidement « déguisé » pas un post (le crétin instruit – tient un procès, ou plusieurs, lui collent aux basques – se dit « je mets un post à vérité, et hop plus de vérité, donc plus d’imputations juridiques, plus d’actes accusatoires, plus de responsabilités de tous les crimes antisociaux, plus de vraie justice contre moi… » – tu rêves, crétin, tous les mots et concepts rationnels t’encerclent, tu vas devoir « répondre » de tes actes et paroles. Eh oui c’est eux qui « te remettent « en question ! (t’as vu la gueule de la question), eux, les mots. Le cercle ( que nous sommes complètement ,- nous avions vécu la raison comme un être non un avoir. Et « avoir » raison avoue toutes les délinquances affiliées à cette très sale mentalité…oui le cercle est « bouclé », la neuve spirale est au-dessus mais ces égarés‘ « connus » ne pourront l’atteindre : leur chemin à eux (vous savez ces hyper enrichis, ces handicapés médiatiques, ces prothèsés technologiques, ces dénaturés et déviants inhumains, etc.) oui leur chemin est…descendant. Le cercle est bouclé eu eux seuls sont bouclés.
Nous ? Nous les soi-disant « perdants du système » ? Nous, nous sommes déjà dans la spirale du dessus, celle qui spire respire inspire transpire conspire et spiritualise à chaque fois qu’un cercle d’Évolution est clos. Et passe au suivant.
Et, de cascade en cascade, et d’aiguille en pin, et de fil en forêt, humer = sentir bon, égale que l’humour sente bon. Que la bonne humeur exhale bien et soit bien exhalée, ressentie à l’intérieur. Que tout notre intérieur soit tapissé de cette merveille…Nous croyons avoir égaré les fluides corporels (les humeurs) nous en récupérons (uniqsuement qui vit nu de nature – faut le savoir) une carte parfaite de la circulation de se mouvoir d’émouvoir. D’être mus et émus…Les motions d’émotions locomotions. Avec toutes les caractéristiques soigneusement dessinées des « humeurs » ici joyeuses. Les fluides corporels circulaient, les humeurs émotionnelles circulent : seule la cartographie diffère légèrement et si peu en fait…
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D’humeur joyeuse ? Bégayeuse. Lorsque oui égayer c’est bégayer de bon- bon euh de bon…heur. Le choc adéquat, en fait. Le bon heur à la bonne heure, celle de cette heure qui offre heureux (pile « dans » l’heure !)…Joyeuse essayeuse *** et tutoyeuse soyeuse. D’où cela parle ? Des moyeux des yeux – tous les moyens dans les moyeux des yeux ? Les joyeux yeux.
Joyeuse ? Hume humeur… jouir est-il supérieur à réjouir qui est deux fois jouir que ré-Jouir ? Et que donc il nous faille préparer les réjouissances ? Radieuses et la radio diffuse tout ce qui la rendit si radieuse (les radios stars, assassinées par l’absence ce cœur qui rend….sourds !). Gaie et pagaie (ai-je assez guetté ta gaieté ?), gais enchantés jusqu’à l’aube et puis jusqu’au crépuscule pourquoi s’arrêter de chanter ? Ravie et qui est le ravissant (ou la ravissante) rapteuse/ teur qui nous ravit de nous…ravir ? Heureuse heure satisfaite et les faits sont au faîte satisfait contente comme tout ce qui tente…
« La joie ne peut éclater que parmi que les gens qui se sentent égaux » ( Honoré de Balzac). Ce pourquoi, dans les anti-civilisations où galopent les inégalités, l’ambiance reste si sinistre. Angoissante, menaçante, alarmante : oui sans absolument aucune sécurité. La peur collective perpétuelle, c’est pas malin du tout mais du tout. La sécurité affective (pouvoir déployer en paix toutes ces ailes) oui cela est le premier mot d’une « vraie » civilisation, « civile » comme il se doit ! Ce pourquoi les fake rires grincent comme des portes de prisons (pas de liberté sans égalité) dans cette non-civilisation d’insécurités sociales. Ce pourquoi les yeux sont caves et que les joyeuses brillances les ont fui. Est-ce que les contentements si malsains de quelques marginaux capitalistes (oui « marginaux », - ils vivent hors de la société et sa loi, excluent quasiment tout le monde de leurs préoccupations, vivent aux crochets de la société en lui extorquant beaucoup trop et – puisqu’ils se sentent si mauvaise conscience - ne vivent que dans des villes « privées » qui ont tout l’air d’angoissantes prisons ! Oui, est-ce que ces « marginaux » si désagréables valent que nous ne vivions plus jamais de jamais la joie de l’égalité ?
La joie insurpassable de l’égalité - comment égaler égaler, le projet le plus gigantesque que peut porter l’Humanité - se pressent déjà dans la triangulation humour humer et humain (offerte ici)…
Avec comme gouvernail du vrai gouverner…les humeurs d’humour né !
………(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Et très très insidieusement et comme toujours (avec l’escroquerie capitaliste) « pour défendre la bonne cause » - à partir de l’humour, oui…comment ils voudraient « tout » nous interdire en fait. Que du SENS interdit (oui l’humour qui terrorise tant que tout le monde préfère ne plus l’employer !). Ceci principalement parce qu’ils savent tant « qu’un » des signes forts de l’abolition du capitalisme ? Ce seront l’effusion des rires…libérateurs ! Puisque nous avons la Raison, nous avons aussi les rires et les bonnes raisons pour…!
le comble de l’anthropocentrisme ? Créer des panneaux pour l’eau, et qu’elle obéisse, nom d’un robinet !
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