La transfiguration existentielle ?
Ce que nous allons mettre à la place du libéralisme si obsolète – prime. Ils répriment. La transfiguration existentielle ? Lorsque la réalité présentée est si ambiguë, nous nous sentons comme entre deux mondes. Le choix ne peut qu’être des plus faciles : il tangue littéralement du côté des penchants penchés. L’imagination libère et le conformisme rend inutilement cruel. Oui cruel et inutilement, puisque nous faisons payer injustement aux autres le fait de ne pas nous décider. Malgré l’immensité des preuves que ce système est le pire pour l’actuelle société et ses défis.
Ce que nous allons mettre à la place du libéralisme si obsolète – prime. Et fait primeur. Le critiquer reste indispensable mais, afin d’entraîner le plus rapidement possible les immensités qui « s’abstiennent » d’y participer plus que leurs nécessités, il s’agit de surpasser, et dans tous les domaines, l’existant. Ce qui ne sera pas très difficile, vu que ce n’est plus qu’un monotone ressassement. Pendant des mois, nous avons été pilonnés par une « révolution » (que des médias trop serviables !) qui allait tout transformer. Or c’est le même piteux radotage des « austérités » que pour les pauvres « afin de sortir la société du marasme » (où, quand, comment ?). Lorsqu’un simple regard latéral nous permet de constater que ces austérités supposées marasme enrichissent, d’indécentes façons, les trop riches. Les déficits ce sont eux. Les dettes sont les leurs. Leurs fraudes sont si colossales qu’elles en absorbent la moitié du PIB (donc inutile PIB pour la « croissance », croissance de qui ?). Et résultats de l’immobilisme ? Ni l’austérité ni le marasme ne sont vraiment nécessaires ! Ils ne parlent plus que dans le vide – faute de savoir faire autre chose…Tous ces vains discours qui tournent en rond et, en un mois à peine, auront déconsidérée une législature qui ne marche pas du tout. C’est que la saturation du fastidieux enrichissement des « marginaux capitalistes » (qui vivent en dehors de la société, n’y participent que pour la spolier et ne respectent rien de ce qui est civilisé – font d’eux de très réels « marginaux » …), oui ce si rébarbatif enrichissement (comme s’il n’y avait que cela à faire ?) fatigue de plus en plus. Toujours plus s’en détournent plus qu’écœurés. Tous nos textes de ces derniers jours démontent les souffrances superflues de ces classes moyennes ( oui stériles douleurs, puisque de changer vraiment de société transforme cette boue solitaire en pur or social !).
Le choix nous échoie ? Plus, il ne nous laisse pas choir ! Voyons ces textes des derniers jours ? Ils en sont à devoir « disparaître » d’eux-mêmes tellement leurs casseroles pèsent trop lourd. Ils ne vivent que dans l’ignorance volontaire (et, comme d’habitude, nous avons appris à contourner ces comportements malsains !), et, pour nous, « leurs » ignorances constituent un solide savoir. Chaque jour, ils/elles paraissent moins sérieux : leurs faux arguments se ridiculisent, désormais, à la vitesse V – et nous apprenons à détourner la société entière de toutes ses conneries. Ils n’ont plus la main. La propriété bourgeoise du « c’est à moi donc je peux tout détruire » explose dans les miettes de ses insupportables puérilités – partout, nous les remplaçons par notre force tranquille mais gigantesque. La Nature devient le seul patron qui a le charisme pour nous unir et unifier. Face à elle, le libéralisme n’est qu’une pitoyable perversion, qui tente (toujours plus maladroitement) de dissimuler la bonne version. Les classes moyennes en perdent toutes les humaines qualités (dont le sens de l’orientation étudié il y a quelques jours) oui toutes ces synesthésies, ces sens si sensés qui nous offrent l’art de vivre vraiment Civil-isé sans plus d’agressivité fasciste-machiste – leur « échappent » désormais. Cependant que - devant ces souffrances vraiment pénibles que subissent (à cause d’elles-mêmes !) ces classes moyennes nous avons tout contourné. Nous vivons tout à fait différemment ; dans une joie simple mais gigantesque. Tellement plus grands qu’eux (« trop » riche encombre, ligote et nous resserre dans un espace trop restreint). Nous nous sommes libéré(e)s des bestiales contraintes de ce faux système où tout n’est que simulacres, corrompues paroles et mensonges sociaux. Et donc ? C’est nous qui menons vraiment le monde. Nous sommes plantés dans le futur et tout le futur nous appartient. Aujourd’hui ? Un bilan très et compétent de « leur » déchéance et un dévoilement copieux de tout ce qui va se mettre à la place de cette fausse société de tristesse généralisée. Bref, une véridique transfiguration existentielle ! Toute l’imagination est en nous.
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Un simple exemple l’illustre. Nous l’avons choisi car il ne nécessite pas des moyens matériels hors de notre portée. Nous pouvons y accéder à la seconde, pas le temps d’attente. L’imagination transfigure tout. D’abord, mine de rien, elle introduit des ambiguïtés dans notre existant. Ensuite, elle prouve par imagination encore, que la mauvaise part de cette ambiguïté revient au capitalisme, l’intrus vraiment pas à sa place. Enfin, se déplie et déploie tout un monde tant libéré des perversions trop malsaines du libéralisme sournois ! Les moyens employés sont à examiner : c’est une délicatesse de traits et de suggestions qui ne nous bouscule pas brutalement – mais nous pousse peu à peu à basculer dans le …tout autre. Il y a du Magritte qui aggrippe la confusion des grandeurs (une pomme est plus grande qu’un immeuble), les juxtapositions insolentes (mais dont l’insolite fonctionne), des concepts mis en images (qui met l’océan dans une tasse et la balançoire sur la vague), du temps suspendu (et je plie un arbre à l’horizontale sauf que je reste suspendu… dans le vide), de la géométrisation des émotions (une fleur met les voiles), etc. Bref, pas une réinvention radicale de l’image (le tout reste issu du surréalisme) mais une fraîcheur de regard, une simplicité à nous introduire auprès de ces imaginations si densément présentes – que nous nous en sentons, immédiatement, très complices. Très parties prenantes. Donc une réelle maîtrise de son art. Mais qui semble si à la portée de beaucoup (matériellement c’est vrai) que « la publicité licité d’être publique » pour le monde à mettre à la place de la chute évidente du trop obsolète capitalisme – parait vraiment très proche. Oui tellement proche que c’est au prochain virage…,
Où...« Une jeune artiste portugaise a réalisé d'incroyables images représentant notre monde, et ce avec un regard bien particulier. Ses créations surréalistes vont vous enchanter !
Découvrons-les-images-surréalistes-d'une-artiste-portugaise-où-l'-imaginaire-devient-réalité
Une jeune photographe portugaise, Luisa Azevedo, réalise de nombreuses photos surréelles dépeignant un univers poétique et léger. Envoûtantes, ses œuvres sont à l'image de sa créatrice. Âgée de 19 ans, Luisa étudie actuellement les arts numériques à la Faculté des Beaux-Arts de l’Université de Lisbonne. Souhaitant rendre son monde plus magique, elle a imaginé ces clichés.
Très esthétiques, ses créations représentent une partie de notre imaginaire. Mêlant art numérique, design et photographie, dès que nous les découvrons la magie s'opère : nous sommes transportés dans son monde. Sur ces images, sont représentés des animaux s'entremêlant à des paysages et des architectures. Par l’utilisation de Photoshop, elle retouche et construit son univers artistique. Vous l'aurez compris, le réalisme n'est pas sa priorité : « I don’t want realism, I want magic » ("Je ne veux pas de réalisme, je veux de la magie") nous dit-elle. »
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Et le monde nouveau…
…....................se lève, s’élève, se soulève, tout à la fois !
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Luisa Azevedo desafía a la imaginación con sus fotografías | Blog | Domestika
La imaginación se convierte en poesía y la poesía se traduce en imagen gracias a la fotografía de esta artista portuguesa. Todo es posible en las fotografías de Luisa Azevedo. Esta joven lisbo...
https://www.domestika.org/es/blog/802-luisa-azevedo-desafia-a-la-imaginacion-con-sus-fotografias
Ce qui défie l'imagination ? Que nous abolissions le système inadéquat ?
Vidéo importante : comment ses œuvres sont concrétisées ?
des lieux qui ont lieu...
Elle demande au chien de ramener le chat à la maison. Ce qui se produit est surréel…
systématisations symétriques…la bande son ajoute, heureusement, une 7 ème dimension…
Simon Belley, Un monde complètement surréel – il « explique » Noam Chomsky
FIGER LE MOUVEMENT/ Marey et Muybridge entre Art et Science
...de retour à Luisa Azevedo !