Les génocides culturels ?
Et dire que jamais ces occidentaux n’auront une seule fois rencontré « l’objectivité », vu réellement les choses comme elles les sont et les évènements comme ils se sont véritablement passés. Tout est transformé en fictions dirigées chez eux ! Jamais ils ne verront comme ils déboulèrent aussi déplacés que d’évidents intrus dans des lieux qui n’étaient pas du tout les leurs. Et que leurs cerveaux-où-le-sens-est-dessous voient même ces « envahis » comme des anomalies qui ne savent pas vivre. C’est quoi savoir-vivre pour ces occidentaux ayant atteint le dernier stade de l’insensibilité ? Eh bien, c’est de ne pas dire…« oui tout ceci est à vous, vous avez l’évidente prééminence, cela ne se discute pas, posez votre fer de maîtres sur tout et que la chair grésille. Excusez-nous d’exister – nous ne pouvions pas savoir à quel point vous êtres impérieusement supérieurs. Oui si supérieur le fait que vous nous traitiez ainsi, c’est que vous savez si bien lire en nous, c’est pour notre vrai bien que vous nous supprimez, nous ne pouvons que vous remercier pour tout ce que vous faites, etc. ». Non, ils ne savent même pas dire cela, aucun savoir-vivre ces piétinés et razziés par nous. Et dire que c’est afin de rendre service que nous les envahissons et saccageons tout de leurs vies qui méritaient d’être vécues. Comme cela ils auront vu, au moins un fois, la civilisation ! Une fois qui est souvent la dernière !
Même comportement glacé et déphasé envers la Nature - que des impulsions d’éloignements. La mettre le plus loin de sa conscience afin de la ravager… « C’est quoi cet objet froid et hostile qui ne me donne que des mauvaises sensations ? C’est quoi cette trop basse servante qui ne voit jamais ma supériorité. Alors que je l’asperge tant de mes savoirs chimiques : et les antiprogrès disent que je pollue, pollue quoi, la nature est si inerte que si je ne lui donnais pas ces coups de fouets de l’intelligence, elle ne produirait rien. Ni fruits ni légumes. Laissez-là livrée à elle-même, il n’y a plus qu’un désert, tant ces mauvaises herbes étouffent toute vie. De toute façon, je fais tout bien, je pense en droite ligne comme les résultats qui comptent, je maîtrise tout. Et il faut être aussi tordus, noirs et mal intentionnés que des contestataires pour oser dire que je détruis la Nature. Alors qu’elle est à moi. Comment pourrais-je détruire ce qui est à moi ? » Sans doute, qu’à force de se prendre pour quelqu’un d’autre, de se croire d’une autre « nature » que des humains, de carrément extraterrestres tout nimbés de supériorités – on agit en tout comme de parfaits étrangers. Des jamais invités, en somme ? Ainsi sont les occidentaux, des « hors sols » non impliqués dans la réalité, des extraterrestres trop suprêmes par rapport aux vrais faits, des étrangers complètement insensibles qui ne ressentent plus rien si ce n’est leurs narcissismes pandémiques :
Et avec les humains, cette incapacité (devenue permanente) d’éprouver quoi que soit. « Non je n’ai pas mal, je ne ressens pas leur douleur, je ne sens aucun effet (- « donc » il n’y a rien, je suis la mesure de toute chose « si je n’ai mal, « ils » n’ont pas mal ! ») – et donc ? Ce sont eux qui ne fonctionnent pas bien du tout (à souffrir lorsque je ne souffre pas). Sans doute ne perçoivent-ils pas justement à quelle hauteur de vue je me place. Moi je m’occupe du pays entier, du bien des individus même s’ils ne s’en rendent pas compte ? Je ne suis préoccupé que de grands sujets, et il faudrait, tout de même, qu’ils apprennent à s’occuper d’eux-mêmes (souffrir parce que je les fais souffrir, non cela ne se fait pas !) » : l’insensibilité à si haute intensité est tellement tangible – mais il est choisi de n’en parler jamais. Cela ne se fait pas de mettre les occidentaux en face de leurs faits…c’est fake news, glougloutent ces anti-objectivité !
Trois médaillons de vie et, sans doute, un point commun. Qui est ce très grave handicap de ne jamais percevoir les conséquences, les enchaînements, les résultats, les impacts concrets de leurs activités comme de leurs paroles. Jamais ils ne se sentent concernés par ce qu’ils font ? Abstraits de tout sauf de leur cupidité si sommaire…Ils planent sans cesse dans un lieu cotonneux et très embrumé où leurs égoïsmes tellement…envahissants, ne laissent plus la moindre place pour les visibilités. Le train de leurs pensées intérieures n’est qu’une accusation interminable des autres. Ces autres sont sans cesse accusés du mal que ces occidentaux leur font. « Si tu hurles que tu as mal, c’est bien parce que c’est toi tout seul qui te fais mal ! ». S’ils leur nuisent c’est que « donc » ces autres auront tout fait pour se rendre insupportables, c’est tellement flagrant. Et il fallait bien répondre. Mais là, jamais de jamais, aucun souvenir de l’intensité des coups portés (symboliques ou bien très réels). « Et donc comme je n’ai pas mal, rien de ceci n’est réel, tout va bien, c’est la fantaisie des autres qui inventent des diffamations mon égard. Je fais toujours tout bien, je n’ai pas à m’occuper des conséquences ».
« Je suis un véritable modèle et tout le monde devrait m’imiter au lieu de perdre du temps à tenter de m’accuser de tout. Je n’ai absolument pas à changer et dans aucun domaine. L’évolution n’existe que pour me placer au sommet de tout ! »
>>> - ** Quel que ce soit ce qui leur fait face (pays, nature, vies, humains, les autres, etc.…) nous ne les sentons jamais A LEUR PLACE. Ils ne semblent chez eux nulle part – ce pourquoi ils envahissent si légèrement les autres. C’est qu’ils n’ont aucune conscience de ce qu’est un chez soi. Ils ne savent pas ce qu’est la propriété d’usage – la « leur » existe oui, « ma » propriété et « tout » est à moi…mais qu’il puisse y avoir une symétrie, de nombreuses symétries, des millions d’autres propriétés d’usages et qu’il faille, de toute urgence, tempérer ses voracités avides – non, ceci n’est jamais entré dans leurs têtes. « Le droit de propriété » c’est uniquement le leur – celui d’autrui n’existe pas…Il y a une INADAPTATION à tant de faits. Tout comme la Justice se vit de tout le corps, il faut savoir peser avec précision, mesurer, ressentir les limites, se mettre à la place des autres, soupeser de nouveau, avoir comme la sensibilité d’autrui au bout des doigts. Or, l’espace très confiné, restreint, resserré, trop étroit de leur justice c’est seulement « tout est à moi. Dire l’inverse c’est un crime de lèse-majesté ! » Le pire est bien qu’ils ne s’en rendent même pas compte. Que, chaque jour, ils ne sèment qu’injustices et iniquités (surtout lorsqu’ils osent qu’équité c’est « mieux » qu’égalité !- Surtout lorsque nous ne le mettons pas…en pratique.)…
Sinon, jamais de jamais, ils ne procéderaient à des génocides culturels – le pire des malheurs que nous puissions faire tomber sur les autres humains ! La déculturation et l’acculturation minent le monde !
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La conférence de Durban a déclaré, en 2002, l’esclavage « crime contre l’humanité ». Si le sujet est historiquement aussi sensible, c’est que le capitalisme mondialisé reproduit, pas seulement à la périphérie, des formes d’exploitation ou d’infériorisation qui se rapprochent de la traite.
La-modernite-de-l'-esclavage-:-essai-sur-la-servitude-au-coeur-du-capitalisme !
"A travers les Amériques, les maladies qui contaminaient les Européens se propagèrent de tribus en tribus, voyageant bien plus vite que les Européens eux-mêmes. On estime que 95 % de la population amérindienne pré-colombienne, les tribus les plus peuplées et les mieux organisées d'Amérique du Nord, les sociétés vivant au nord du Mississipi, disparurent entre 1492 et 1600, avant même que les Européens ne s'installent sur le Mississippi." Dr Jared Diamond (Université de Californie), Guns, Germs, and Steel : The Fates of Human Societies, W. W. Norton, 1997 (prix Pulitzer du meilleur livre de science), pages 78, 374. Il ne s’agit donc pas d’un génocide direct, surtout pour l’Amérique du Nord, mais bien d’un génocide culturel , d’un ethnocide – l’exemple des amérindiens devenant « exactement » ce qui nous attend si *** 1)- nous ne changeons pas à 100 % nos rapports avec la Nature *** 2) – si nous ne modifions pas à 100 % nos rapports avec les autres pays *** 3) – si nouds n’abandonnons pas l’impossibilité à ressentir des occidentaux devenus « insensibles au réel tel qu’il est ». Et mon tout conclut que l’occident ne peut que mener l’Humanité qu’à sa fin. Nous devons toutes et tous quitrter son modèle !
« Autre exemple : le politologue Lyman Legters explique que le gouvernement des États-Unis pouvait difficilement ignorer les mortifications et les décès causés par le « génocide culturel » (ethnocide) qu'il imposait aux descendants des Américains natifs, qui dans leur douleur manifeste ont raison de penser qu'ils sont victimes d'un génocide. Legters affirme qu'il utilise « génocide » dans son sens premier juridique ; il interprète malgré tout la définition. Ainsi le concept de génocide, pris au départ dans sa vraie signification, s'étire et devient le temps d'une phrase ou deux épuration, massacre, ethnocide, populicide, esclavagisme ou encore hécatombe. D'autres mots peuvent subir le même sort. Selon l'ethno-historien James Axtell (en), qui s'est penché sur ce problème de « langues fourchues » dans le contexte parfois tendu des justes revendications des droits des Amérindiens, il arrive que des universitaires emploient sans rigueur un vocabulaire chargé idéologiquement et capable de déformer les faits. (source : Wikipédia)
« La chute démographique des Indiens s'est déroulée bien avant la fin des bisons. Les écorcheurs n'étaient pas encore là dans l'Ouest et des tribus entières s'éteignaient déjà (le virus est entré dans l'Ouest plus vite que les Blancs, par les échanges commerciaux et les guerres tribales qui ont propagé les germes).
Il faut aujourd'hui impérativement revenir au triomphe des faits et des analyses sur celle de la propagande. Les tribus d'Amérique du Nord ont succombé à des épidémies. Leur culture a été ruinée par une guerre de colonisation, certes, mais ils n'ont jamais été exterminés en masse. Cette affirmation ne repose sur aucun fait historique. » (source : Agora Vox) »
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En phase avec l'actualité politique nationale et internationale, tous ces ouvrages éclairent les débats actuels sur la réparation de la traite des Noirs mais aussi sur la guerre juste, les droits de l'homme, la justice sociale, la prostitution, l'asservissement pour dettes. C'est également un voyage dans le temps et l'espace des civilisations, un rappel du caractère plurimillénaire de l'acceptation de l'esclavage. Deux grandes périodes sont à retenir pour comprendre la place de l'institution dans la vie économique, politique et sociale du monde. Des origines de l'esclavagisme à vocation reproductive jusqu'à son exploitation à des fins guerrières puis marchandes (période gréco-romaine), et de la traite des Noirs à nos jours.
La-chute-démographique-des-indiens
« (…) L'antiesclavagisme apparaît alors comme le précurseur de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen. Les abolitions sont analysées au regard de leurs conséquences paradoxales : proclamation de l'égalité juridique et persistance des formes d'exploitation effective. Aujourd'hui, l'esclavage en tant que tel est frappé d'interdit moral et juridique. Mais le domaine d'application de cet impératif catégorique comporte de nombreuses zones d'ombre, où se heurtent des principes contradictoires. De plus, la reconnaissance universelle des droits de l'homme ne signifie pas que des formes d'esclavage déguisé n'existent plus. A l'heure actuelle, des poches d'esclavage clandestin subsistent, et des zones grises se développent : oppression raciste, travail forcé, maltraitances, traite des Blanches, exploitation des enfants.
A l'heure de la mondialisation, les auteurs relèvent la persistance du paradoxe : universalité des principes et diversité des situations. La portée internationale de la condamnation moderne se heurte à la multiplication de fait de zones de non-droit. Suffit-il de se consoler du fait qu'en paroles « nul ne se risque plus a professer ni le droit d'asservir ni celui de torturer » ? A la lecture de ce livre, on comprend que l'esclavage est encore loin d'appartenir uniquement au passé.
Ce dont les médias de masse ne veulent pas structurellement parler ?
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Parce que…
L'-esclavage-moderne-touche-46-millions-d'-humains-dans-le-monde.
et aussi…
L'-esclavage-moderne-sous-toutes-ses-formes.
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Pourquoi, alors, parler plutôt de génocide culturel ?
« Sur ce sujet des Indiens on observe un silence religieux de nos jours. On a tourné l’Apache, comme disait l’autre qui se croyait drôle. Et pourtant quel massacre et quelle disparition exemplaires ! Et pourtant notre Tocqueville s’en est mêlé ; et voici ce que l’auteur de De la démocratie en Amérique écrit à ce sujet, que l’on peut appliquer au monde entier colonisé par la sous-culture américaine imposée :
Tocqueville-et-la-destruction-des-indiens-en-amérique ?
« En affaiblissant parmi les Indiens de l’Amérique du Nord le sentiment de la patrie, en dispersant leurs familles, en obscurcissant leurs traditions, en interrompant la chaîne des souvenirs, en changeant toutes leurs habitudes, et en accroissant outre mesure leurs besoins, la tyrannie américaine les a rendus plus désordonnés et moins civilisés qu’ils n’étaient déjà. »
Comme tous les humanistes et les gens de droite traditionnelle, comme tous les gentilshommes en fait, Tocqueville avait une très haute opinion des Indiens d’Amérique : « La chasse et la guerre lui semblent les seuls soins dignes d’un homme. L’Indien, au fond de la misère de ses bois, nourrit donc les mêmes idées, les mêmes opinions que le noble du Moyen Âge dans son château fort, et il ne lui manque, pour achever de lui ressembler, que de devenir conquérant. »
Il cite ces lignes d’un rapport US concernant la disparition des Indiens. Les conquérants anglo-américains ont exterminé les Indiens en les privant de bisons, et cela se sait et se dit dès 1829 : « Les troupeaux de bisons se retirent sans cesse, disent MM. Cass et Clark dans leur rapport au Congrès, 4 février 1829; il y a quelques années, ils s’approchaient encore du pied des Alleghanys; dans quelques années, il sera peut-être difficile d’en voir sur les plaines immenses qui s’étendent le long des Montagnes Rocheuses. » On m’a assuré que cet effet de l’approche des Blancs se faisait souvent sentir à deux cents lieues de leur frontière. Leur influence s’exerce ainsi sur des tribus dont ils savent à peine le nom, et qui souffrent les maux de l’usurpation longtemps avant d’en connaître les auteurs. »
Rappelons que vers la même époque un certain William Smith Shaw dénonce les « hordes d’immigrés étrangers » [[ donc pas les « occidentaux » mais les amérindiens alors ? ]] (la xénophobie n’aura pas attendu son Trump). Tocqueville décrit alors un vrai Grand Remplacement, pas celui fantasmé par certains de nos jours, et il est bouleversant :
« Quelques familles européennes, occupant des points fort éloignés, achèvent alors de chasser sans retour les animaux sauvages de tout l’espace intermédiaire qui s’étend entre elles. Les Indiens, qui avaient vécu jusque-là dans une sorte d’abondance trouvent difficilement à subsister, plus difficilement encore à se procurer les objets d’échange dont ils ont besoin. En faisant fuir leur gibier, c’est comme si on frappait de stérilité les champs de nos cultivateurs. Bientôt les moyens d’existence leur manquent presque entièrement. »
Tocqueville poursuit avec son rapport : « MM. Clark et Cass, dans leur rapport au Congrès, le 4 février 1829, p. 23, disaient : « Le temps est déjà bien loin de nous où les Indiens pouvaient se procurer les objets nécessaires à leur nourriture et à leurs vêtements sans recourir à l’industrie des hommes civilisés. Au-delà du Mississippi, dans un pays où on rencontre encore d’immenses troupeaux de buffles, habitent des tribus indiennes qui suivent ces animaux sauvages dans leurs migrations; les Indiens dont nous parlons trouvent encore le moyen de vivre en se conformant à tous les usages de leurs pères; mais les buffles reculent sans cesse. On ne peut plus atteindre maintenant qu’avec des fusils ou des pièges les bêtes sauvages d’une plus petite espèce…»
Pareil en Patagonie où j’ai vécu. Les morses exterminés par les colons anglais, les Indiens survivants se rabattirent sur les coquillages, et puis ils disparurent. « C’est principalement au nord-ouest que les Indiens sont obligés de se livrer à des travaux excessifs pour nourrir leur famille. Souvent le chasseur consacre plusieurs jours de suite à poursuivre le gibier sans succès; pendant ce temps, il faut que sa famille se nourrisse d’écorces et de racines, ou qu’elle périsse: aussi il y en a beaucoup qui meurent de faim chaque hiver. »
Prophète encore ici, Tocqueville décrit la conquête par le bruit, ce beuglant dont Saint-Exupéry parle dans Terre des Hommes. Car le bruit chasse et extermine : « Du jour où un établissement européen se forme dans le voisinage du territoire occupé par les Indiens, le gibier prend l’alarme. Des milliers de sauvages, errant dans les forêts, sans demeures fixes, ne l’effrayaient point; mais à l’instant où les bruits continus de l’industrie européenne se font entendre en quelque endroit, il commence à fuir et à se retirer vers l’ouest, où son instinct lui apprend qu’il rencontrera des déserts, encore sans bornes. »
Et Tocqueville de comparer les méthodes US et les méthodes espagnoles : « Les Espagnols, à l’aide de monstruosités sans exemples, en se couvrant d’une honte ineffaçable, n’ont pu parvenir à exterminer la race indienne, ni même à l’empêcher de partager leurs droits ; les Américains des États-Unis ont atteint ce double résultat avec une merveilleuse facilité, tranquillement, légalement, philanthropiquement, sans répandre de sang, sans violer un seul des grands principes de la morale aux yeux du monde. On ne saurait détruire les hommes en respectant mieux les lois de l’humanité. » · Source : De la démocratie en Amérique (deuxième partie), chapitre X (classiques.uqac.ca) »
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La bourgeoisie absolutiste (elle imite la monarchie absolue mais ne peut l’être de…droit divin) utilise les mêmes procédés que ceux des génocides culturels envers la Nature…oui la nature est traité comme une sauvage « non civilisée » (ce qui permet à la « barbarie bancaire » de nuire pandémiquement), mise en esclavage, minorisée et n’a plus…son mot à dire ! Comme ce lien, malheureusement, le démontre.
La-disparition-des-espèces-ou-la-lutte-des-banquiers-contre-les-libertés-publiques ?
Concordance toujours mieux exigée entre les mots et les actes.
Afin qu’aucun mot déguisé ne puisse empêcher ou dissuader….
……….………………………………..........… d’aller voir de prés les actes.
…......…(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Concordance toujours mieux exigée entre les mots et les actes. Afin qu’aucun mot déguisé ne puisse empêcher ou dissuader d’aller voir de prés les actes.
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Chronologie de la révolte des Indiens d'Amérique
Les Indiens d'Amérique (nord, sud et centre) ont subi un véritable génocide mais ils ne se sont pas laissés faire... Ils ont été tués, violés, brûlés, torturés, exploités, massacrés pa...
Chronologie de la révolte des Indiens d’Amérique
A l'arrivée des Européens en Amérique, les natifs Amérindiens ne se doutaient pas de ce qu'ils allaient subir. La chute démographique est estimée entre 80 et 100 millions de victimes. Encore à l'heure actuelle. L’extermination des Indiens d’Amérique du Nord s’est faite méthodiquement sur une longue période ; Les Indiens des Plaines avaient depuis le début adopté une attitude défensive [[non offensive ]] contrairement à ce que voudrait nous faire croire toute cette propagande savamment orchestrée par l’industrie cinématographique hollywoodienne. Ils étaient constamment menacés par l’installation de nouvelles colonies et leur expansion. La baisse énorme de la démographie indienne s’explique par l’interaction néfaste des colons blancs. Ces colons ont amené…différentes maladies avec eux comme le choléra, la grippe, la variole, et d’autres maladies contre lesquelles les Indiens des Plaines n’avaient aucune immunité (90 % de morts par les épidémies). Les épidémies ont ravagé ces populations indiennes pendant tout le 19ème siècle particulièrement dans les années 1850 et 1860. Les combats avec les troupes Us et les colons ont donc peu contribué à tuer les populations (moins de 5 %). C’est surtout l’introduction de la « civilisation » occidentale, et de l’économie de marché qui ont contribué à détruire la culture et les modes de vie des Indiens des Plaines. L’occident nuit partout ?
L’esclavage moderne
"Parler génocide c'est parler d’Humanité" Florence Caulier. Qui différencie la « réponse émotionnelle » qui n’apportera rien. Et la réponse pratique qui oblige, elle, à changer à fond les préJugés, juger sans savoir et à l’avance. C’est le terreau des conformistes causes de tant de malheurs.
Jean Monnet et la Construction Européenne_La Mise en Esclavage Moderne des Peuples par les Elites Mondiale
de la servitude moderne
et comment s’en libérer.
James Axtell : Where Did We Go Wrong? “Où nous sommes- nous gourés ?”…Le côté «anglo-saxon» de l’Humanité.
La véritable histoire de la fin des tribus Amérindiennes. De la rébellion aux placements dans les réserves en passant par la très « illégale » tentative d'assimilation dans et par la Société des blancs (cela aurait dû être l’inverse ?). J'ai fais ce montage à l'aide de plusieurs documentaires sur l'Ouest Américain dans lesquels je n'ai pris que ce qui traitait des Indiens .