Lorsque l’édition se monopolise tous les accès au métier d’écrivain ?
Ce qui fut une raison pour privatiser des services publics performants est, ici, inversé : la privatisation est complète et s’est durcie en un monopole total. Qui n’a de compte à rendre à rien (aucune des « lignes éditoriales » n’évite le grand arbitraire). Où aucune instance modératrice ne vient tempérer des décisions toujours extrêmes (des conditions objectives « d’éditorialité » existent – ils en ont rien à fiche, tout est au bon vouloir du bon plaisir. Ils en sont même parvenus au « on ne publie pas les génies ». C’est dire !). Bref, nous nous trouvons devant un monolithe impénétrable, mais, contrairement à celui de 2001 l’odyssée de l’espace, qui intrigue tant du fait qu’il rayonne de tout son futur porté…ici, ce n’est que du passé repassé en douce, repassé et prolongé sans aucune légitimité. Ni bon goût. Un radotage devenu anti-créatif…
L’histoire secrète (tel le « Lipstick traces » - A Secret History of the 20th Century, de Greil Marcus) pourrait en être abondamment faite. Elle ferait exploser tous les buzz. Ce qui nous aura été caché est 1 million de fois plus passionnant que ce qui nous est, avaricieusement, montré. Ainsi, autour de Sartre, les reproches de certains de ses proches furent très captivants. Nous n’en tirons que quelques fils, de fils fils : si Sartre avait mis « autant d’ardeur à lutter contre l’édition privatisée qu’il en avait mis pour parler des luttes ouvrières, le futur collectif envers les livres en eût été complètement changé ». Ce n’est pas rien du tout. C’est bien fondamental. C’est à dire ? Qu’il avait la possibilité de remettre les pendules à l’endroit. Oui, d’entrer en rapport de force vainqueur avec l’opacité des « bases » du prétendu « contrat d’édition ». Et qu’il aura préféré – irresponsablement - s’enrouler dans l’attitude de l’enfant envers le papa éditeur et de faire se prolonger une trop malsaine opacité…d’inversions. Aujourd’hui, sans motif montrable ni avouable, les discriminations à la tête du client dominent partout. Et pour admettre les manuscrits, et pour leur accorder leur juste part des richesses collectives, et pour en tirer de véritables débats de fond. En bref ? Lectrices et lecteurs sont bien privés (sans avoir, non plus, leur mot à dire) du MEILLEUR de tout ce qui s’écrit actuellement. Une fleur de rhétorique peut elle le faire ressentir ? Les lettres sont tout le contraire de la République (il n’y a absolument rien de républicain partagé dans les livres actuels) mais bien des lettres de cachets. Tout est caché des lettres de ce qui ne plaît pas aux caprices (injustifiables toujours) de leurs seigneuries rigides. Notons, qu’ontologiquement, ils n’ont nul droit d’agir ainsi ; que, par rapport à la sagesse et aux expériences vécues ils n’en ont même aucune légitimité, etc. Oui à maintenir ( à cause de l’inaction de Sartre ?) à maintenir en minorité à vie l’écrivain tellement plus mature qu’eux. Un monde complètement à l’envers. Traces d’un putsch complet ?
N’ayant jamais pu masquer une jalousie plus que maladive envers les talents – ils croyaient faire souffrir infiniment les génies. Ils/ Elles souffrent, évidemment, mais après apprentissage interne, la joie prédomine et de loin. C’est que l’art illimité des mots vaut tout l’argent du monde. Ou, dit autrement, aucun argent ne pourra s’offrir les jouissances, aussi grandes que l’univers, qu’offre la toute gratuité du langage. Et donc ? Ce sont les lectrices et les lecteurs qui se voient infiniment punis, sacrifiés mêmes, dans ces effondrements, dans les bassesses qu’amènent les refus des réalités. N’en pâtit que très peu l’écrivain visé (à partir du moment où el/elle se fout de son non et a donné congé à tout égo !), que son active liberté intérieure, n’empêche toujours pas d’écrire ce qu’il y a de plus beau. Tout ceci est joyeusement décrit dans « Je ne parle plus à qui a raison » qui a complètement pressenti (dès 1986) ce 2017 qui arrive pile au rendez-vous du…retournement complet de situation.
Le vrai écrivain (mais le penseur, le scientifique demeuré probe donc probant ; l’aventurier existentiel, l’honnête homme pratiquant l’honnêteté intellectuelle, etc..) SAIT (savent) mieux que quiconque ce qui « se » passe dans une époque. Sous les grandes lignes de flottaisons, dans la partie immergée de l’iceberg ! Les cœurs purs « reçoivent » la beauté et la bonté à l’état pur, dans le bain de jouvence naturel qui dure toute une vie (chemin paraissant difficile au début – mais qui devient enchanté, ensuite - pas un jour qui n’apporte cette vraie richesse, tous les trésors immatériels et gratuits de l’univers entier. La seule tâche étant de se placer dans les meilleures dispositions pour recevoir ces cadeaux « hors des prix ». Ces nectars des transcendances dances…Et pour sûr pas de plus grande « réception » que celle de l’hyper créativité « réenjouvencée ».
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Oui, vous commencez à percer les toxiques opacités ? « Les sociologues Gisèle Sapiro (Ecole des hautes études en sciences sociales) et Cécile Rabot (université Paris-Nanterre) ont dirigé dans Profession ? Écrivain (CNRS Editions, 350 p. ; en librairie le 31 août) une enquête qualitative consacrée au métier d’auteur. Ce travail collectif fait apparaître un processus de professionnalisation croissante. Sommes-nous à la veille d’un bouleversement ?
Entretien avec Gisèle Sapiro : Jusqu’à présent, le « ticket d’entrée » [[tellement oligopolistique et arbitraire ]] au statut d’écrivain était le premier livre publié par un éditeur. Cette situation est-elle en train de changer ?
En-France-les-éditeurs-monopolisent-l'accés-au-métier-d'écrivain
--- Peut-être. Car nous sommes à un point de bascule avec le numérique. Il y a aujourd’hui des sites de littérature autoéditée dont les consultations peuvent atteindre huit cent mille lecteurs. Cinquante nuances de Grey, d’E. L. James (JC Lattès, 2012), était, au départ, un livre autoédité sur Internet récupéré par un éditeur et qui a marché. Si l’on veut maintenir une communauté dotée d’une certaine exigence littéraire, il faut donc que les intermédiaires travaillent de concert à l’amélioration des conditions socio-économiques des auteurs. [[…en gros « si tu veux lire du bon, faut que t’arrête d’être con ! ». Un lecteur qui n’aide pas un écrivant est un masochiste qui impose sa stupidité inertielle aux écrivains sains…en clair, tout le monde doit se remuer le cul, pas seulement les vrais écrivains !]].
Que penser de l’apparition de formations au métier d’écrivain dans les universités ?
--- On dit parfois que la professionnalisation peut conduire à une standardisation. Aux États-Unis, on reproche aux centres de creative writing (ateliers d’écriture) d’avoir figé une forme depuis les années 1960 et qui n’a pas beaucoup évolué depuis. [[ tout à fait véridique, voilà les dommages collatéraux de l’illégal paternalisme des éditeurs qui empêchent la libre offre des vrais écrivains ]]. Mais, en France, on est encore loin de ce mode de recrutement [[ ? Recrutement, pour qui donc ?]] des écrivains. On croit encore au mythe romantique du « créateur incréé » (et non formé) et au caractère inné du talent [[ ce qui, sur le fond, n’est pas faux – mais formulé, volontairement, d’une manière si outrancière que nous nous disons « je ne vais pas être d’accord avec tant de ridicules… ». Alors que c’est vrai !]]. La standardisation suicidaire aujourd’hui est, à mon avis, plutôt le produit de la concentration éditoriale, qui menace la diversité. On le voit pour les genres les plus codifiés comme le roman sentimental : la standardisation du genre après la seconde guerre mondiale [[ avec la concentration éditoriale illégale il n’y plus de qualité. Exigeante qualité, c’est d’autant plus clair…que le dogme depuis les années 1980 est : « on ne publie pas les génies ». Oui, osent ces trop retardataires devenus retardateurs ! Niant, de plus, les lois européennes sur la concentration, ces éditeurs se nuisent fortement. Leur futur quoi qu’il arrive est cuit (il ne l’avait pas cru, les voici cuits !). Nous voyons bien que les monopoles sont toujours le fait du privé aveuglé par ses cupidités (donc incapable de « lire juste ») et non des services publics à but…non lucratif. Un service public de l’édition mettrait, fort heureusement, fin à tout ce chaos extrêmement malsain. [[ leur « rentrée » ( ?) va, peut-être, se dessiner plus que glaciale…glaciaire !]]. »
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La démarche est simple – d’abord semer beaucoup d’opacités ; semer d’extrêmes confusions en lançant, partout, les contraires avant que les affirmations – ensuite… 2) – renverser et inverser une situation limpide : la source reste l’écrivain sans qui pas de livre ; l’inspiration lui appartient, elle/il défriche, en tout premier, le futur et l’inconnu, ils sèment tous les moyens équitables de trouver des solutions pour tous = eh bien ! tout ceci doit se volatiliser par du verbiage imbuvable : ce serait l’éditeur qui ferait tout le livre, à lui quasiment tout le mérite, les suiveurs précédent toujours… (vue la part abusive dont ils se servent, sur les résultats finaux, tout le laisse croire, en tout cas) ; c’est lui qui « connaît » les démarches du succès ( faux - ce n’est qu’un panier de crabes constitué par des liens et contre liens, des dons et contredons, etc. – le tout absolument…évitable). Puisque si les écrivains étaient livrés à eux-mêmes tout le vrai monde des lecteurs en bénéficierait à fond -; et il y a les médias si incultes, oui du « contenu » des livres et/ou leur importance, ils n’en ont pas le début d’une compréhension. Le chaos a été semé partout. Seuls des penseurs désintéressés et de vrais écrivains peuvent tous nous sortir de ce grave enlisement…La « fonction » d’écrivain : les pressentiments, intuitions, analyses, hypothèses de fond, condensations des sensations, des expériences surhumaines vécues en direct, tout un savoir du corps…qui sont mises à la poubelle des étourdis et distraits – seul l’argent inculte, vulgaire et se trompant toujours incroyablement, piétine tout. Très graves pertes pour la société complète…Et donc… 3) Une situation d’asservissement illégale qui ne tient que par la poursuite des mensonges, des passages des relais et des faux-semblants. Une situation sans ce milieu PARASITAIRE hyper privatisé et qui rejette, avec angoisse, toute transparence ne pourrait qu’élever bien plus haut le niveau global de la société. Sa mise en portion plus congrue ne ferait pas disparaitre l’existant. Ne s’en évaporerait que les insalubres artifices destinés à tromper et trahir les « contenus » (contenus qui font vivre les civilisations – quelque part dans le moyen terme, c’est infiniment véridique). Enfin une…loi-cadre très simple dirait que l’écrivain apportant tellement plus à la société que l’édition a le droit de prééminence sur l’éditeur. Qu’en cas de litige de fond – cet éditeur doit motiver « très rationnellement » son refus qui perde toute possibilité d’arbitraire caprice caractériel Et quelques cas pratiques. Le tout très léger et facile à mettre en place…
Un service public central. Des plateformes indépendantes qui ne font que vérifier que « les conditions objectives « d’éditorialités » sont bien remplies » et qui maintiennent la visibilité des ouvrages (précédemment camouflés et dissimulés par l’arbitraire des maisons d’éditions - plus possible, ces mises au secret. Les Bastilles sont abattues !). Et divers dispositifs dont il est bien trop tôt d’en parler (d’abord briser le monopole illégal d’une activité qui ferme tout et s’attribue la propriété féodale d’une profession entière en lui interdisant toute autre…alternative). Retour des alternatives où nous découvrons que « les œuvres créent et trouvent inéluctablement leur public » – lorsqu’elles viennent d’un appel profond de la société ! Notons que ceci est proféré - mais complètement inversé par ce monde éditorial (enkysté dans les médias d’argent qui a perdu toute…crédibilité !). Mais qu’un simple débat de fond impliquerait un retour à l’orientation très naturelle, où le Nord est vraiment au nord et le Sud carrément au sud. Où le vrai écrivain guide et défriche, trouve les filons et leur porte attention, tellement mieux que les staffs éditoriaux. Plus jamais un monde à l’envers où l’inculte dicte tout au cultivé, et peut désorienter un monde complet en décidant tout…de travers ! Société désorganisée par ces imposteurs mêmes !
Sens-public :- le concret des écrivains
On connaît mal les écrivains, qui ils sont, comment ils travaillent et ... dans quelles conditions économiques ils vivent, avec l'idée que ce .... Je crois que, si on veut défendre des écrivains aux situations socio-économiques, ...pourquoi tout est fait pour opacifier la vie des écrivains ?
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Comment détecter les nouveaux talents ? Gilles Deleuze a, définitivement, prouvé que le système actuel est celui qui MECONNAÎT tous les talents singuliers et informatables du fait de …son programme même. Et surtout à l’entêtement de ce programme qui a tort à 100 % (les logiciels d’égarements massifs) . Comment est-ce possible ? Ces programmes ne sont que la reconnaissance du…passé et ce qui, aujourd’hui, y concorde. Et donc ? Explicitement, il rejette toute originalité, tout vrai nouveau. Tout doit « ressembler » au passé – la médiocratie semblerait triompher. Un exemple ? Aucun des moteurs de recherche ne « connaît » ni ne reconnaît ce qui « sort du cadre », ce qui ne se réfère à rien puisqu’il fonde du véridique nouveau, qu’il trace le sillon de sa propre origine originale – qu’il entame une nouvelle dimension de vie, ajoute un plus au temps et une œuvre à nulle autre pareille….non – il faut COPIER et se rattacher à du…passé. Pour nos recherches, nous devons donc toujours biaiser, et parfois vraiment très fortement biaiser…Ce système complètement incompétent, ne sachant « rien » de la « pensée qui nait » barre donc les routes vers le futur…en ressassant des logiciels dans lesquels il n’y a que des données…passées. Le futur inconnu ne peut absolument pas s’y faufiler sauf à se mettre à ressembler, et à 100 %, pas à 10 %, au passé – bref, le futur ne peut que se suicider et la « direction » suivie devenir….retour vers le …passé. Terminus de la…médiocratie !
Ce qui est observable pour les moteurs de recherche, l’est encore plus dans ces incultes logiciels de NON-détections des écritures singulières, des styles qui remuent carrément le futur…Nous avons, là, des COMPORTEMENTS « vitaux » si inadaptés que Baudrillard expliquait dans « les cerveaux qui en sont arrivés à vouloir faire disparaître le réel »…et non des conversations de salons sur le virtuel…Plus irrationnel que l’état hébété du système actuel, non, l’Histoire ne peut nous en trouver de modèle. En face, le subit de plein fouet le penseur qui maintient la diversité de ses facettes. Penseur existentiel qui en sait tellement plus sur le fonctionnement réel, senti, expérimenté, vécu, oui si sensuel et si sensé de la vraie société. En première ligne toujours et sans protections (figurées ou réelles).
Édition très régressive ? Ce qui nous font quitter ces logiciels qui ne répètent et ne ressassent que le passé – et de faire ce que les humains seuls peuvent faire : d’ensemencer le futur. Et nous avons réussi à saisir quelles personnalités sont les plus aptes à le faire. Les « nouvelles » femmes (s’il y en a de « nouvelles », sinon les anciennes n’auront fait que renforcer le désordre établi…), les grands esprits du passé (que les « médiocrates », après les avoir censurés illégalement hier veulent récupérer aujourd’hui, pour leurs buts sordides, mais que leurs maladresses vraiment énormes sont en train de ridiculiser ), les génies actuels (arrachés au « on ne publie pas les génies »), la prise de conscience indignée que ce sont « les images qui peuvent suicider la civilisation » et que, parallèlement, le langage reste si salubre et salutaire (dans ses pratiques si complètement innovantes).
Plus, le regroupement, la forge et l’union de tous ces ingrédients, apparemment dispersés (mais qui ne le sont pas), qui peuvent réussir la grande percée enfin vers le futur nourrissant (et plus ce retour incessant, ce retour vers le passé). Oui ? Afin de palier au trop d’opacités maintenues autour des vrais écrivains, voici un témoignage joyeux (dans le drame !) dont un des arguments reste … « Il est dit que l’état d’avancement dans la civilisation d’une société se reconnaît au sort fait à ses minorités. ». Et donc ? Moi, écrivain « minorité absolue », je suis bien…
…. le premier à pouvoir, légitimement, dire « Société, je t’ai reconnu ! »
………..…(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste émerveillement nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
La clarté de la formule est plutôt : il est fait une guerre sans merci contre les vrais écrivains. Pourquoi ? Eux qui représentent la paix paisible : les motifs ne sont pas à chercher en eux. Alors où ?
Sociologue, Cécile Rabot est maîtresse de conférences en sciences de l’information et de la communication et responsable du master Métier du livre et de l’édition à l’Université Paris Nanterre La Défense. Elle est l’auteur de La Construction de la visibilité littéraire en bibliothèque (2015).
Concentration éditoriale : un seul son de cloche. Aucune réPublique des lettres, aucune, n’y peut donc exister…
Portrait-robot de l'écrivain français
Sous-payé, méprisé, libre, aliéné... Le Centre national du livre publie pour la première fois ce mercredi une étude qui étoffe le profil socio-économique de l'auteur moyen et révèle sa v...
http://next.liberation.fr/livres/2016/03/15/portrait-robot-de-l-ecrivain-francais_1439778
Le Centre national du livre publie pour la première fois ce mercredi une étude qui étoffe le profil socio-économique de l'auteur
aucune rentrée littéraire. Littérale peut-être et encore…le langage avoué de la concentration grâce à la « condensation » du rêve selon Freud. Un J.J. cache un G.G.
3. La concentration éditoriale
Les 12 plus grands éditeurs, selon le CA de 2004 à 2008 Sources : " Le marché du livre 2005 ", Supplément au n° 682 de Livres Hebdo, 23 mars 2007, " le marché du livre 2007 ", hors série chi...
http://mediadix.parisnanterre.fr/cours/Edition/203Concentration.htm
« La bibliodiversité est donc à l’opposé de la concentration éditoriale : en 2010, 4.337 éditeurs différents ont, selon Electre, publiés au moins un titre. On peut donc conclure aujourd’hui que l’édition française est une structure oligopolistique (avec un éditeur prédominant) à … frange atypique pour évoquer tout l’archipel d’éditeurs moyens et encore plus de petits éditeurs qui, aux marges de cette économie, existent. [[ Conclusion d’une très longue étude, dont nous extrayons…]]. >>> - 1) La situation de l'édition française est aujourd’hui relativement simple : un groupe d'édition concentre 25 % du marché français du livre, 50 % sont partagé par une dizaine d’autres groupes et le reste est réparti entre une pléthore de petits éditeurs. On notera immédiatement que la maîtrise de ces groupes revient le plus souvent à des puissances économiques tout à fait étrangères au secteur de l'édition. Le groupe Lagardère-Matra pour Hachette, s'intéresse à tous les secteurs de la communication : le livre et la presse, depuis l'imprimerie jusqu'à la distribution, l'audiovisuel, les nouvelles technologies et travaille à s'imposer sur le plan international. Mais il comprend également de nombreuses autres activités : aéronautique civile et militaire, espace, systèmes de défense et de sécurité, etc. Le groupe RCS Media, vendeur de Flammarion, est un holding spécialisé dans les communications, la régie publicitaire, la création et la gestion de salons et événements. Reed-Elsevier est aussi une société qui est dans le domaine de la gestion des salons professionnels et elle investit aujourd’hui dans la gestion du risque. Toutes ces sociétés sont cotées en bourse [[ ce qui n’est absolument pas compatible avec la déontologie de l’écrivain]] et dépendante de leurs actionnaires financiers et la partie livre n’est pas forcément la plus importante de leurs activités [©e pourquoi il faut les dessaisir de ces assauts de négligences et d’inattentions inexcusables…]]. >>>> - 2) - On note aussi que les éditeurs littéraires sont loin derrière les éditeurs aux secteurs très grands publics : le CA d’Hachette livre est 9 fois celui de Gallimard (et quand on réalise que Hachette livre n’est qu’une partie de Hachette Lagardère, le rapport entre Gallimard est Hachette Lagardère est de 1 à plus de 30… Par ailleurs, ces résultats montrent aussi l’importance des éditeurs professionnels scientifiques ou techniques qui par ailleurs sont souvent des groupes internationaux (Reed Elsevier et ses filiales Masson ou Lexis Nexis, Wolters-Kluwer et sa filiale en France Lamy). Enfin, l’arrivée dans le peloton de tête du Groupe Panini (Italie) Panini est révélatrice de l’essor de la bande dessinée, cette maison d'édition étant connue via Panini Comics et Panini mangas, DC Comics et Marvel France mais aussi pour l'édition d'albums d'images autocollantes à collectionner >>> - 3 ) - Résultats de l’hyper concentration ?... [[sur le nombre…]] « Si on prend en compte les résultats livrés par la revue Livres hebdo, on observe que sur les 6,8 milliards d’euros de ces 218 maisons, 5,38 sont le fait des 12 principales entreprises. Ces 12 entreprises réalisent à eux seuls 79,1 % du CA de ces 136 maisons et groupes différents. Par rapport à 2006, la concentration s’est même renforcée puisqu’il ne subsiste que 136 entités différentes au lieu de 161. [[sur les C.A. ]] Si on analyse l’ensemble des chiffres d’affaire de ces 218 éditeurs en 2011, l’impact de la crise se fait sentir : un éditeur sur deux affiche par rapport à 2010 une baisse de son CA. Même les groupes ci-dessus sont touchés. Dans le détail, les éditions en club ou en fascicules (France loisirs et Atlas) sont particulièrement affectées et il en est de même avec Sélection du Reader’s Digest passé désormais au 17ème rang. Et évidemment, les fusions ou reventes affectent ces résultats, par exemple la cession de De Boeck par le groupe Editis en 2011 s’est traduite par une baisse de son CA. Inversement, l’an prochain, le rachat de Flammarion par Gallimard permettra à ce dernier de gagner des places dans ce classement. Etc.»...
E.Hazan et J.-Y. Mollier - Une autre histoire de l'édition française. Elle en a bien besoin – son histoire constate surtout un très grave passéisme qui veut…se prolonger, avec des recettes surannées et en rejetant, absurdement qui sait vraiment décrypter le futur. C’est un peu trop un musée où le conservateur aurait l’étrange idée d’obliger les trésors de se changer en ce qu’il veut, lui. Et qui dirige donc le tout vers le mesquin et le médiocre…
Le phénomène de la « rentrée littéraire », dont il est difficile de dater l’origine exacte, s’est progressivement imposé au cours du siècle dernier au point de devenir un événement incontournable de l’économie du livre et l’objet d’opérations médiatiques de grande ampleur. Comment la rentrée « mondaine » littéraire a-t-elle pris tant d’importance dans le monde de l’édition et de la librairie « mondanisées » ? Quelles prescriptions et quelles espérances collectives porte-t-elle ? En quoi représente-t-elle un outil de promotion, au service de l’écrivain et de la littérature contemporaine [[clair que c’est le très exact inverse. Les lecteurs, en premier, et les écrivains, en second, en pâtissent énormément]] ? Telles sont quelques-unes des questions qui ont été débattues lors de ces Attelés du livre par des universitaires, écrivains et éditeurs.
Intervention de Gisèle SAPIRO lors de la soirée de présentation de l'ouvrage Traduire la littérature et les sciences humaines.
…..voix dans la jungle…
Les faits sont « réels » ce sont les médias de l’argent qui les traitent de la façon la plus « fake » (fausse) qui puisse existe
des conseils dans une sphère si désorientée ?
Interview de Gisèle Sapiro par Max Kohn
Quels sont les litiges qui opposent fréquemment écrivains et éditeurs ? Quelles sont les issues les plus courantes de ces litiges ? Dans cette interview vidéo, l'avocat Emmanuel Pierrat nous fait part de sa longue expérience en tant que spécialiste du droit de l'édition.
#VirageDigital - Le débat : comment le numérique transforme-t-il les métiers du livre ?
Être-écrivain-et-la- condition-littéraire.
Être écrivain et la condition littéraire