La France une société américaine comme les autres ?
Comprendre pour résister – toujours plus vrai. 2017 ? Malgré les oppositions de façade, pour ce qu’il reste de médias, l’accord avec les États-Unis est structurel et profond. Le meilleur élève, l’Allemagne, devient le modèle de la politique libérale française actuelle. Alors que, socialement c’est un complet désastre. Deux mondes en Allemagne : une grande précarité pour une partie des ex-classes moyennes abandonnées. Et des banques qui pillent, tranquillement, l’Europe du Sud. Pendant que la chancelière donne des leçons de morale plus qu’illégitimes à tout le monde (en évitant, évidemment, de les suivre !). Et nous devrions imiter cela ? Alors qu’il y a d’autres solutions : Portugal, par exemple…
Portugal-:-un-redressement-économique-et-social-qui-prend-Bruxelles-à-contre-pied
Voici le futur unidimensionnel dessiné déjà depuis un certain temps, mais déchainé actuellement, faute d’union et d’unité grandioses de tous les floués de ces truquages en grand. Floués qui sont une très grosse majorité. Dépassant les 60 % et commençant à se rapprocher des 70 %. Il est cela va de soit, un seuil où ces massives majorités ne vont plus le supporter du tout. La seule chose qui comptera alors c’est que les ouvriers de la 23 ème heure (qui n’ont jamais réfléchi, débattu, partagé, participé à des mouvements, etc.) prennent tout le devant de la scène. Et ajoutent leur chaos à la grave désorganisation libérale. Désorganisation ? Pour sûr. En gros, leur rôle aux libéraux c’est de « casser » la société afin de dévaliser déjà tous ses datas (ses savoirs et informations), sa culture et son patrimoine (revenus et biens) – oui, oui, ce sont de vrais voyous, il ne fallait pas leur laisser le pouvoir de tant nuire ! Mais bonheureusement, leurs gesticulations peu ordonnées sonne leur…crépuscule.
Ils s’enferment eux-mêmes dans leur abolition…Ici, nous vous offrons des extraits du livre "Le crépuscule de la France d'en haut" de Christophe Guilluy.
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Première série d’extraits…« Depuis le référendum européen de Maastricht en 1992, la véritable bipolarisation oppose désormais le camp des « souverainistes » à celui des « mondialistes », les gagnants (ou les protégés) de la mondialisation aux perdants, la France des métropoles à la France périphérique. Ce clivage socio-culturel n'est pas spécifique à la France, mais il s'impose désormais, sous différentes formes, à l'ensemble des pays développés. Il est le produit de l'adaptation des sociétés aux normes de la [[fausse]] mondialisation [[ qui est l’américanisation du monde]] et de la réaction des classes populaires.
Partout, le modèle mondialisé crée sa propre contestation. De l'Amérique périphérique à la France en passant par l'Angleterre périphérique, cette protestation se développe dans les territoires qui accueillent désormais une majorité des catégories modestes, celles qui constituaient hier la classe moyenne.
La crise sociale, culturelle et identitaire qui traverse l'ensemble des pays développés est celle de la « sortie de la classe moyenne » d'une majorité des classes salariées occidentales. Les modèles nationaux n'ont pas résisté au rouleau compresseur de la mondialisation, partout le modèle inégalitaire et monoculturel s'est imposé. La France, comme les autres pays développés, est devenue une société américaine comme les autres où la classe moyenne disparaît, où les inégalités sociales et territoriales s'accroissent, tandis que les acculturations s’accélèrent.
L'économie mondialisée, qui repose sur une division internationale du travail, mais aussi sur la mécanisation et la robotisation, n'a plus besoin des classes populaires occidentales (trop chères, trop protégées), mais d'ouvriers en Chine, en Inde ou en Afrique et de cadres (bien rémunérés) et d'immigrés (sous-payés) aux États-Unis et en Europe. L'adaptation des sociétés européennes et américaines aux normes de l'économie-monde passe donc par la mise en œuvre du plus grand plan antisocial de l'Histoire, celui de l’écartement des classes populaires. Cette procédure de licenciement massive n'a pas été annoncée, encore moins négociée, mais elle a bien été enclenchée au début des années 1970, période où les courbes du PIB et du chômage deviennent parallèles. Le modèle mondialisé démontre alors son efficacité antiéconomique et sa capacité à exclure les catégories modestes. Si les classes populaires n'ont pas officiellement reçu leur lettre de licenciement, elles ont été discrètement reléguées sur les territoires les moins connectés à l'économie-monde. Les logiques foncières, économiques, sociales, bref, la main invisible du marché, se sont chargées de la procédure de licenciement en reléguant en douceur la majorité des classes populaires occidentales dans les périphéries géographiques et culturelles de la mondialisation.
Ce grand basculement, qui aligne [[ et en 2017, plus que jamais…]] la France sur les normes libérales des sociétés anglo-saxonnes, n'est pas assumé par la classe politique. Celle-ci surjoue les postures républicaines et égalitaires mais signe tous les traités de libre-échange, en acceptant les abandons de souveraineté. Le rouleau compresseur de la mondialisation transforme ainsi la France désorganisée en une société inégalitaire et multiculturelle.
Jean-Pierre Chevènement a été l'un des premiers à comprendre l'impasse de la mondialisation [[qui n’est qu’américanisation..]]. Il a très vite pointé les conséquences économiques et sociales que provoquerait la perte de souveraineté. La désindustrialisation massive et la précarisation des classes populaires lui ont donné raison. Mais, candidat à l'élection présidentielle de 2002, l'ancien ministre de l'Éducation nationale et de la Défense a perdu. Son score de 5,33 % est sans appel : le « camp républicain », celui de l'égalité, de la laïcité, a perdu. Pis, il n'a pas capté un électorat populaire qu'il défendait sur le fond. Si le « Che » a fait l'erreur de ne pas évoquer la question des flux migratoires et de l'insécurité culturelle qu'ils génèrent en milieu populaire, il a d'abord perdu la bataille politique et médiatique. La campagne d'ostracisation et de fascisation du camp souverainiste par la classe dominante a été d'une redoutable efficacité. La digue républicaine, celle du modèle français, a sauté, laissant le champ libre au modèle mondialiste, soit à la société américaine. Mais pouvait-il en être autrement face à Wall Street, au CAC 40 et à Hollywood ? [[oui, il pouvait être tout autre…]].
Depuis, et alors qu'émerge une société française très inégalitaire, la « résistance républicaine » à l'ordre mondialisé apparaît de plus en plus comme un théâtre animé par de mauvais comédiens. »
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Seconde série d’ extraits….Les nouvelles citadelles (p. 13-25)
« Les citadelles médiévales sont de retour. Dans les métropoles mondialisées, une bourgeoisie contemporaine, « new school », a pris le pouvoir, sans haine ni violence [[apparentes…]]. La captation des richesses, des emplois, du pouvoir politique et culturel s’est réalisée en douceur [[ faux…les censurés, entre autres, en doutent fortement]]. On présente souvent la fracture française comme un affrontement entre les « élites » et le « peuple ». Pourtant, le système ne repose pas seulement sur les « élites », mais sur une fraction très importante de la population, une nouvelle bourgeoisie, qui réside notamment dans les métropoles et qui a cautionné tous les choix économiques de la classe dominante depuis trente ans [[les médiocrates]].
Christophe-Guilluy-Le-crépuscule-de-la-france-d'en-haut
Contrairement à la bourgeoisie d’hier, les nouvelles classes dominantes et supérieures ont compris que la domination économique et culturelle serait d’autant plus efficace qu’elle s’exercerait au nom du bien et de l’ouverture. De Bordeaux à Paris en passant par Lyon, elle vote à gauche ou à droite pour des candidats du modèle mondialisé et vit majoritairement dans l’une des quinze premières métropoles de France. Déguisés en hipsters, les nouveaux Rougeon-Macquart peuvent se livrer à la « curée » (1) en imposant à la société française un modèle économique et territorial d’une rare violence, un modèle anglo-saxon [[si la violence est si exacerbée, on ne voit pas où serait…la douceur ? ]], celui de la mondialisation. Ce basculement radical s’est réalisé sans contestation sociale majeure grâce à la mise en scène d’une opposition factice entre les partisans de la « société ouverte » et ceux du « repli » [[…et de la censure, donc relayée par les bourgeois des grandes villes er relayées par les « conformistes » des périphéries, des véridiques opposants…]]. Associées au camp du repli, les classes populaires et leurs revendications deviennent inaudibles. [[ strictement faux : elles sont « rendues » inaudibles, ce qui n’est pas pareil !]]. Débarrassées de la question sociale [[ vous croyez ? Si les réponses sont antisociales, la question demeure toujours, plus insistante encore…]], les nouvelles classes dominantes et supérieures imposent leur modèle au nom de la modernité, de l’ouverture, et même de l’égalité. [[ déguisée en « équitable », on divise l’égalité contre elle-même. Ce n’est vraiment pas malin du tout…]]. Après plusieurs décennies de recomposition économique et sociale des territoires, la « France d’en haut » vit désormais protégée [[mais enfermée comme en prison !]] dans de nouvelles citadelles. Si les métropoles mondialisées en sont l’illustration la plus visible, les citadelles invisibles, sociales et culturelles celles-là, illustrent bien plus encore l’entre-soi et le grégarisme du « monde de l’ouverture ». [[ en gros, ils accusent les autres de ce qu’ils font. Avec le si passéiste Macron c’est plus flagrant encore. Ainsi, ils accusent le peuple de « repli » mais vivent en « enfermement » séparatiste et aliéné tout le temps, etc.]].
Derrière le mythe de la société ouverte et égalitaire des métropoles cosmopolites, nous assistons donc au retour des citadelles médiévales, de la ville fermée, et à la consolidation d’un modèle inégalitaire de type anglo-saxon. Cette réalité est occultée grâce à la fabrication d’un discours consensuel et positif sur les bienfaits de la métropolisation (c’est-à-dire l’organisation du territoire autour d’une quinzaine de grandes villes), la société ouverte, le réseau. Les classes dominantes n’hésitant pas, tout en installant un modèle inégalitaire, à chanter les vertus de la « mixité sociale ». Une posture qui permet opportunément de dissimuler le grégarisme social des gagnants de la mondialisation, la radicalité d’un conflit de classes qui ne dit pas son nom, les tensions culturelles inhérentes à l’émergence d’une société mondialisée et multiculturelle.
Car les territoires métropolitains ne sont pas seulement le lieu de la captation du patrimoine, des richesses et de l’emploi, ils sont aussi celui de la fabrication de la pensée unique, ce discours du système médiatique et politique [[ qui n’est dangereux qu’à cause des « conformistes » ]] qui permet aux classes dominantes de dissimuler le réel, celui d’une société inégalitaire et sous tensions, derrière la fable de la société ouverte. La société des Bisounours n’existe pas. Le bobo en trottinette n’est pas un petit soldat perdu du monde de l’enfance. Détachée de toute appartenance collective autre que celle de son milieu, la nouvelle bourgeoisie surfe sur la loi du marché pour renforcer sa position de classe, capter les bienfaits de la mondialisation et se constituer un patrimoine immobilier qui rivalisera demain avec celui de l’ancienne bourgeoisie.
Protégée dans les nouvelles citadelles médiévales, loin d’un peuple devenu invisible, la nouvelle classe dominante réussit à dominer l’ensemble du champ culturel et politique au nom du bien et de la mixité. Contrairement à la bourgeoisie traditionnelle qui n’avait pu évacuer le conflit de classes, elle est parvenue à imposer l’idée d’une société sans intérêts de classe, où le « vivre-ensemble » est la norme. Partisans du libre-échange et de la diversité culturelle, les catégories supérieures ont érigé discrètement des frontières invisibles aussi efficaces que celles de la bourgeoisie d’hier.
Le mensonge de la société ouverte : Hier, la bourgeoisie, c’était le grégarisme social, l’entre-soi, le rejet de l’Autre, le refus du progrès. C’était hier. Aujourd’hui, les classes supérieures ne s’enferment plus [[mais qu’en images…]] dans le « ghetto », elles sont « ouvertes », elles considèrent que la mixité sociale, culturelle, est une nécessité. Mieux, elles font aujourd’hui la promotion du « vivre-ensemble ». Attachées aux valeurs de la République, elles défendent le « modèle social » (les 35 heures, très favorables aux cadres, et moins le Code du travail) et participent aux grandes mobilisations « citoyennes ». Voilà pour la partie visible.
Dans la réalité, l’entre-soi et le réseautage n’ont jamais été aussi pratiqués. Cette aimable bourgeoisie participe ainsi directement ou indirectement au plus important processus de relégation sociale et culturelle des classes populaires, en excluant par ses choix économiques et sociaux les catégories modestes des territoires qui comptent, ceux qui créent l’emploi et les richesses. La prédation qu’elles opèrent sur l’ensemble du parc de logements privés des grandes métropoles, hier destiné aux classes populaires, n’a pas d’équivalent dans l’histoire. Mieux, il se réalise à bas bruit, sans qu’à aucun moment l’emprise de dépossession ne soit questionnée, encore moins remise en question. Il faut dire que la concentration des catégories supérieures sur les territoires qui créent l’essentiel des richesses et de l’emploi s’accompagne aussi d’une emprise de ces catégories sur le débat public et son expression.
À la ghettoïsation sociale et territoriale des catégories supérieures fait écho une ghettoïsation intellectuelle qui interdit tout débat. La concentration des gagnants de la mondialisation sur les territoires qui regroupent richesse et création d’emploi produit ainsi une pensée, un discours unique, celui de la mondialisation et de la métropolisation heureuse. Un discours relayé par des médias et une classe politique qu’elles animent majoritairement [[plus - les vraiment détraqués « conformistes » qui n’agissent que contre leurs entourages et leurs voisins en relayant les discours cinglés de qui exclut aussi …ces conformistes !]]. Inutile, donc, d’attendre un référendum sur la mondialisation, l’Europe le Tafta ou la réforme territoriale.
Les classes dites supérieures [[mais si « inférieures » dans leurs agissements]] ne jurent que par le « réseau » (virtuel ou de villes). L’idée est de justifier en douceur [[violente]] la relégation en laissant croire qu’habiter dans le Cantal ou à New York, c’est la même chose. Qu’à Guéret ou à Lyon, les champs du possible sont identiques, puisqu’on est également « connecté ». Les discours fumeux sur l’interconnexion, la mobilité, l’échange, la mixité sociale, l’ouverture à l’Autre ne visent qu’à dissimuler les effets d’un développement économique inégalitaire et d’une organisation territoriale excluant l’essentiel des catégories modestes. Les mythes du « réseau » et de la « mobilité » promus par les médias et une intelligentsia acquise aux bienfaits de la métropolisation agissent comme des leurres parfaits pour mieux masquer la captation des richesses. D’un côté, le réseau « virtuel » (pour les classes populaires), de l’autre le véritable réseau des classes supérieures qui repose sur l’entre-soi. En se regroupant dans les grandes métropoles européennes et régionales, les cadres et professions intellectuelles supérieures font indirectement le même choix, celui de la ghettoïsation sociale [[ en clair, ils se mettent eux-mêmes en prison…]]. Des stratégies qui s’appliquent aussi dans les « quartiers mixtes » des grandes villes où les pratiques d’évitement résidentiel et scolaire sont la norme. Si un vernis culturel et politique permet encore de distinguer nouvelle et ancienne bourgeoisie sur les questions sociétales, elles défendent le même modèle économique. Le modèle de la classe dominante fédère ainsi des bourgeoisies en apparence opposées, mais qui bénéficient du modèle mondialisé et de son corollaire, la métropolisation [[en clair, le capitalisme c’est l’isme des capitales…les mots disent absolument tout, mais si nous ne les écoutons pas…ainsi, comme « réseau » parfait de résistance, ils nous devancent carrément !]].
Abritées derrière le discours de la modernité [[alors, qu’ils sont tous passéistes…]], de l’ouverture et du vivre-ensemble, les catégories supérieures participent ainsi violemment à la relégation sociale et culturelle d’une majorité des classes populaires. Par leurs choix, économiques, résidentiels, sociétaux, elles contribuent au lent processus de désaffiliation sociale et culturelle des plus modestes. Les territoires s’organiseront donc autour de nos grandes métropoles, les richesses, le pouvoir économique, financier, culturel se concentrera toujours plus et, compte tenu du poids politique et médiatique des grandes métropoles (l’essentiel de la classe politique, médiatique et politique défend ces territoires) les tenants des territoires ruraux, des petites villes et villes moyennes, des départements, ont peu de chance de se faire entendre, et ce d’autant que les classes dominantes avancent masquées.
Elles (les catégories supérieures) prônent égalité des territoires mais promotionnent la métropolisation et la gentrification. Elles demandent plus de mixité sociale, mais pratiquent le grégarisme social et un séparatisme discret grâce à l’évitement scolaire et résidentiel.
L’affaire est entendue, le nouveau clivage opposerait les tenants de la société ouverte au camp du repli. Dans un camp les modernes, ceux qui ont compris le sens de l’Histoire, ceux qui respectent l’autre, le monde, et de l’autre les classes populaires, les peu qualifiés, les esprits faibles, les non-diplômés. Cette opposition culturelle tend à occulter deux choses. La première est que cette fracture idéologique est d’abord sociale : les catégories prétendues supérieures d’un côté, celles qui bénéficient à plein du nouveau modèle économique, et de l’autre des catégories populaires, grandes perdantes de la mondialisation. Mais cette opposition est plus perverse, car elle tend à déplacer la question sociale derrière une fausse posture morale qui vise à légitimer les choix économiques et sociaux des catégories supérieures depuis plusieurs décennies. Le clivage société ouverte/société fermée place de fait les catégories supérieures dans une position de supériorité morale [[qui se prouve par des agissements d’une bassesse morale peu crédibles]] : toute critique du système économique et des choix sociétaux s’apparente alors à la posture négative du repli, elle-même annonciatrice du retour des années 1930. À ce petit jeu, les classes populaires sont forcément perdantes socialement, culturellement et politiquement [[mais uniquement dans les apparences – sans conformisme, le crépuscule du haut s’accélère…]]. L’échec politique des contempteurs du modèle économique, de Chevènement à l’extrême droite en passant par l’extrême gauche, illustre l’efficacité de cette stratégie [[ sauf qu’elle n’est qu’un monologue qui fuit tous les débats : donc ne peut résister à une prise de conscience…et ne reste efficace que…dans les apparences ! C’est en notre pouvoir que de prouver l’inefficacité réelle…]].
Le stratagème est d’autant plus pervers que cette société ouverte, mixte, égalitaire, portée dans les discours ne correspond en rien à la réalité, et encore moins à celle que revendiquent ces catégories supérieures. Dans les faits, la société mondialisée est une société fermée où le grégarisme social, le séparatisme, l’évitement et la captation des richesses et des biens n’ont jamais été si puissants. Ainsi, loin du conte pour enfants rabâché sans interruption depuis vingt ans par les médias, qui oppose les bons et les méchants, la société n’est pas divisée entre les partisans éclairés de l’ouverture contre des opposants incultes et fermés. La véritable fracture oppose ceux qui bénéficient de la mondialisation et qui ont les moyens de s’en protéger et ceux qui en sont les perdants et ne peuvent se protéger de ses effets.
Derrière le discours de l’ouverture apparaît la réalité d’une ghettoïsation [[sans issue…]] des classes supérieures, la généralisation d’un système de reproduction sociale et l’avènement d’un système politique oligarchique et d’alternance unique. Les fausses élites et les classes supérieures ont compris que la société mondialisée et multiculturelle n’est viable qu’à la condition de se protéger des tensions qu’elle génère mécaniquement. Tensions sociales liées à l’éviction des classes populaires du projet économique, tensions culturelles liées à l’apparition d’une société aux identités multiples. Cette protection ne viendra pas d’un État-providence mécaniquement désarmé par les choix économiques et sociaux, mais de discrètes stratégies individuelles qui passent notamment par un renforcement de l’entre-soi et par l’évitement résidentiel et scolaire des immigrés.
Ne pratiquant ni l’ouverture ni le « vivre-ensemble réel » (le vivre-ensemble avec celui qui gagne 1 000 euros par mois, celui qui implique la cohabitation réelle avec l’Autre dans son immeuble, au travail et la scolarisation de ses enfants dans les mêmes collèges que les enfants de l’Autre), les classes dominantes et supérieures n’ont de cesse d’accuser ceux qui n’ont pas les moyens de se protéger d’être responsables des tensions [[ce qui les ridiculise à fond ces « médiocres » non supérieurs puisque sans moyens comment générer des tensions qui demandent BEAUCOUP de moyens ?]]. Le discours d’ouverture au monde et aux autres apparaît pour ce qu’il est : un écran de fumée visant à dissimuler l’émergence d’une société fermée, séparée [[donc vraiment…ringarde…]] au plus grand bénéfice des classes supérieures.
Les classes dominantes continueront à nous parler d’une société ouverte, d’une « ville en réseau », de « mobilité pour tous », d’une organisation territoriale adaptée à l’économie-monde, du vivre-ensemble, tout en bâtissant discrètement de nouvelles citadelles médiévales. Des citadelles imprenables édifiées au nom de la rationalité économique et qui captent l’essentiel des richesses et de l’emploi. Entourées de murs d’enceinte bien plus imposants et solides que ceux du Moyen Âge. Car le mur de l’argent permet de rejeter bien plus efficacement la plèbe définitivement hors les murs dans cette France périphérique. Villes fermées, les métropoles permettent aux classes dominantes et supérieures de pratiquer sans l’assumer un « séparatisme républicain » d’une rare efficacité. Ainsi, le maintien dans les quartiers de logements sociaux de ces villes de catégories populaires immigrées et précaires permet d’offrir une main-d’œuvre bon marché à l’économie métropolitaine et contribue à l’image factice de « ville ouverte ». Aujourd’hui, 60 % des immigrés vivent dans les quinze premières métropoles.
Nous y sommes donc, cette société non-ouverte multiculturelle et faussement cool, celle des grandes métropoles, a gagné, elle nous a ramenés au Moyen Âge. En quelques décennies, protégée dans ses nouvelles citadelles, la nouvelle bourgeoisie s’est approprié le patrimoine, les emplois, les richesses, le pouvoir politique et culturel. Cette captation s’est réalisée en fausse douceur grâce à la production d’un discours dominant qui vise à occulter les conséquences de cette captation. La domination de classe doit rester invisible [[ d’où leurs réactions démesurées par rapport au peu sérieux concept comme le « complotisme » qui, en fait, les rendent juste…visibles. Quel crime que de dire le réel !]]. La France populaire et périphérique doit rester invisible, les classes supérieures doivent se confondre avec la classe moyenne. [[ d’où les graves délires conformistes…]]. La réaction hystérique du monde médiatique et universitaire vis-à-vis de l’emploi de l’expression « bobo », qui visait à réintroduire un rapport de classes entre les arrivants (catégories supérieures et/ou intellectuelles) et les autochtones (classes populaires traditionnelles et immigrées), est très révélatrice d’une volonté de dissimuler la captation par une nouvelle bourgeoisie d’un patrimoine destiné hier aux classes populaires, mais aussi de l’essentiel des bienfaits de la mondialisation [[ qui, dans ces conditions, ne peut absolument pas DIMINUER la pauvreté…]]…
Note : - 1. La Curée est le titre d’un roman d’Émile Zola qui décrivait l’enrichissement de la bourgeoisie parisienne de la fin du xixe siècle grâce à la restructuration urbaine initiée par le baron Haussmann. Si le contexte d’aujourd’hui n’est pas celui de grands travaux, la captation discrète des terrains et immeubles hier destinés aux catégories modestes est tout aussi efficace. »
Pour Christophe Guilluy, le fait que le monde d'en haut ne prenne plus en charge les aspirations du monde d'en bas est une rupture historique. Qui ne peut que mal finir pour le petit ghetto d’en haut !
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Rajoutons une entrevue au sujet de ce livre qui précise certain points et nous sentons à quel point comprendre c’est résister. Comprendre ce n’est pas les maigres slogans ou les images superficielles mais les raisonnements et les mécanismes réels. Comme dans les années 1960-1970 où il n’y avait qu’une télé à chaîne unique et pas d’internet. Et où donc la parole et l’écrit humains étaient vraiment prépondérants. Il s’agit de retrouver ces compétences et de les ressentir de tout son corps.
« Le Point.fr : Dans ce livre, vous ringardisez le concept de l'élite au sens classique, c'est-à-dire issue de l'ENA. Vous insistez davantage sur le rôle néfaste d'une nouvelle bourgeoisie, les bobos, se voulant supérieurs moralement et puissants du fait de leur patrimoine immobilier, de leur mobilité et de leur affirmation culturelle. Expliquez-nous…
Christophe Guilluy : Il n'y a pas de complot, mais il y a des comportements qui sont économiques. Les bobos entendent préserver une position sociale, jouir de leur patrimoine immobilier, conserver leurs revenus et en faire profiter leurs enfants. S'ils peuvent ne pas scolariser leur progéniture dans le collège du coin fréquenté par des immigrés, ils le feront, sans le dire, en contournant la carte scolaire. C'est pour cette raison que je les qualifie de « Rougon-Macquart déguisés en hipster ». Ils adoptent les schémas classiques de la bourgeoisie avec en plus le discours « cool » sur l'ouverture à l'altérité. D'ailleurs, les dindons de la farce ont été les jeunes issus de l'immigration qui ont cru à ce discours de gauche. Ils n'ont pas compris, ou alors tardivement, que c'était le discours de la bourgeoisie. Quand Il y a une guerre des représentations [[du pouvoir des mots…]] qui est terrible. Dans certaines banlieues, les jeunes sont dans une victimisation constante précisément parce que la gauche de gouvernement leur a enlevé la possibilité de penser le rapport de classes. Ils ne savent pas qu'en Picardie un jeune ouvrier, en zone rurale, aussi défavorisé qu'eux, peut travailler dans l'agroalimentaire pour 600 euros par mois. Ils ne le savent pas, car la gauche a réussi à leur faire croire au mythe du « grand méchant Blanc raciste » responsable de leurs maux.
Selon vous, il existe une France périphérique, comme il existe une Amérique périphérique, une Angleterre périphérique… Le rapport aux élites, le niveau éducatif et les fonds culturels sont pourtant différents. Qu'est-ce qui les fédère ?
Pour les électeurs de Trump, du FN, du Brexit ou de l'AfD en Allemagne, le dénominateur commun est la sortie de la classe moyenne, en dépit, parfois, des différences de niveau de vie. Le sentiment partagé est celui de ne plus être intégré économiquement. Le modèle mondialisé [[de la finance étasunienne]] produit les mêmes problèmes territoriaux, culturels et politiques partout dans le monde, avec une fracture entre les métropoles et le reste du pays, qui devient « périphérique ». La petite classe moyenne est devenue la nouvelle classe populaire. On les retrouve dans les petites villes, les villes moyennes, les zones rurales. À tort, certains voudraient opposer le rural à l'urbain. C'est une conception erronée de la fracture, car on peut être urbain à Guéret ou à Montluçon… Toutes ces catégories, ouvriers, petits employés, retraités et paysans, ont désormais un discours commun sur la mondialisation [[grâce à la désinformation de l’argent et au mauvais usage des réseaux dits sociaux qui ne répètent, stupidement, que ces mensonges dominants ! Et, par contre coup, censurent les bonnes analyses…]], ce qui n'était pas le cas jusqu'ici. L'ouvrier était opposé au paysan. Le premier votait à gauche, le second à droite. Bref, nous étions dans une partition politique claire. Aujourd'hui, ils vivent là où statistiquement il y a le moins de créations d'emploi. Les notes prospectives montrent qu'il y aura encore plus de concentration de l'emploi dans les métropoles. Par ailleurs, les logiques foncières font que ces Français ne peuvent pas louer ne serait-ce qu'un studio à Paris ou en proche banlieue. Ils restent donc sur place, chez eux, ce qui provoque une sédentarisation de masse.
En dépit des injonctions à la mobilité ? [[ mais qui, stupidement, ne donnent aucuns moyens de se déplacer. Le conservatisme balance ainsi des ordres désordres et, déverse l’impossibilité de les concrétiser sur le dos de qui il ment ainsi…]]
Absolument. Ceux qui bougent vivent dans les grandes métropoles et appartiennent à une France hyper mobile. Le jeune de catégorie supérieure a le choix de bouger à l'étranger ou au sein même de la métropole. Or, une majorité de Français, faute de pouvoir se déplacer, vivent dans le département où ils sont nés. La sédentarisation est effective aussi bien pour les jeunes que pour les actifs ou les plus âgés. Vu d'en haut, on qualifie ce phénomène de « repli » [[les seuls qui se replient c’est les trop riches qui se cachent dans leurs ghettos.]]. En réalité, ces classes populaires sont pragmatiques. Initialement, elles n'étaient pas contre la mondialisation ni contre le libéralisme. Dans les banlieues, si le discours de Macron produit des résultats, les jeunes choisiront donc Macron – ce qui ne les empêche pas d'être attachés à l'État providence. Ces Français n'attendent plus le discours politique ou intellectuel pour voir ce qui se passe dans leur vie.
D'aucuns, politiques et journalistes, font en effet état d'un rejet de l'autre au sein de cette France périphérique. Que constatez-vous ?
Cette attitude est celle de ceux qui veulent juste contrôler un environnement, car dans une société multiculturelle l'autre ne devient pas soi, sans pour autant être un ennemi. L'angoisse autour de la question des flux migratoires est intéressante à analyser. Dans les banlieues, on constate l'émergence d'une petite bourgeoisie maghrébine qui vieillit. Parallèlement, il y a une arrivée de Subsahariens dans ces quartiers. On observe une volonté de la part de cette petite bourgeoisie maghrébine de se mettre à l'écart, de ne pas se mélanger. Certains n'hésitent d'ailleurs pas à le dire clairement aux bailleurs sociaux : ils ne veulent pas vivre à proximité de ces populations subsahariennes. Ce n'est pas du racisme. Il s'agit juste de vivre dans un endroit qui n'est pas en proie à une trop forte instabilité démographique. En plus des difficultés liées à la vie quotidienne, ils ne veulent pas gérer ce qui relève du multiculturel.
Que dites-vous à ceux qui prônent le multiculturalisme comme facteur de paix et d'ouverture ?
C'est une supercherie ! Un discours d'ouverture tenu par l'intelligentsia, qui n'est jamais, s'agissant d'elle, dans la véritable ouverture ethnique et sociale. [[ ces fausses élites accusent les autres de faire ce qu’ils pratiquent en tellement pire…dans la guerre des mots, chez les conformistes, ils en ressortent blanchis et ce sont ceux qui subissent qui sont les auteurs de toutes les nocivités de la société. Ce qui est impossible : mais allez le dire aux fous du conformisme…]]
Peut-on imaginer, un jour, un front commun de ces Frances périphériques ?
La France d'en haut veut toujours que les histoires se finissent bien. Nous sommes des adultes, et pas des enfants, alors nous nous devons d'avoir un discours de vérité. Nous allons vivre une période complexe avec des tensions sociales sans aucun débouché politique, [[faux il y a N.R.V. et la pensée unitaire qui peut tout fédérer…]] en plus d'une paranoïa identitaire. C'est le problème de la société multiculturelle : nous sommes tous paranos [[ archi faux : qui a tourné le dos aux médias d’argent, et c’est prouvé, n’est plus stressé d’angoisses « parachutées » et vit sa paix en actes]]. Il y a les vraies tensions et les suspicions vis-à-vis de l'autre du fait de sa différence [[ ne pas écouter les propagandes]]. Les classes populaires sont aujourd'hui toutes en « marronnage » et il sera difficile de revenir en arrière [[Faux…voir notre blog- il s’agit d’aller de l’avant…]].
Par quoi passe cette émancipation que vous appelez le « marronnage » ?
Cette France quitte les affiliations traditionnelles et brise ses chaînes. Les ouvriers votaient à gauche, les ruraux à droite, les banlieues à gauche… En regardant les choses une à une, il y a une rupture. Les ouvriers ont été les premiers à sortir de la classe moyenne, puis une partie des employés, les ruraux et les banlieusards. Le localisme se développe en fonction d'une rationalité économique et sociale. Ces gens vivent sur des territoires où il y a peu d'emplois. Les champs du possible sont donc restreints, d'où la sédentarisation et de nouveaux réseaux de solidarité. Ce n'est pas le rêve hippie des années 1960 ! Ce qui se joue est l'adaptation à un monde nouveau.
Le sentiment de classe est-il encore vrai au sein de cette France périphérique ?
Ce que je décris n'est pas une nouvelle classe ouvrière. C'est juste une nouvelle perception du monde. En revanche, ces gens ressentent fortement le mépris de classe. La défiance vis-à-vis des médias en est l'illustration. La part des ouvriers représentés à la télé est extrêmement faible. Nous sommes, s'agissant de l'élite, dans la logique d'un monde fermé [[donc sans issue…]], d'où mon titre « Le Crépuscule de la France d'en haut ». On ne fait plus société, la rupture est totale. Jadis, le monde d'en haut était exemplaire. Il soutenait un modèle qui intégrait économiquement tout le monde, et tout le monde était gagnant. Les Français d'en bas n'ont jamais eu de problèmes avec les riches. Les postures anti-riches sont des postures bourgeoises. Le monde d'en haut, aujourd'hui, a choisi un modèle qui profite à peu de Français [[et toujours moins…]]. Mais ce schéma va basculer de façon radicale. À moins de se poser les bonnes questions : quel est le destin de ces gens dont on n'a pas besoin, car, qu'ils produisent ou non, cela ne change rien à la courbe du PIB ?
Vous parlez de rapports de domination entre cette classe boboïsée et les immigrés…
Dans la nouvelle bourgeoisie, une femme de ménage d'origine immigrée n'est pas vue comme une employée, mais plutôt comme « Fatoumata » qui vient du Mali et qu'on aide beaucoup en lui donnant 800 euros par mois… C'est très confortable [rester salaud et se donner le bon rôle…Ce qui se voit dans comment ils ont volé ke concept de revenu universel et sali dans une logique de péréquation et de redistribution. Derrière, il y a l'idée que le Français d'en bas veut profiter du système et ne pas travailler. C'est un mépris de classe ! Comme si tous les impôts leur appartenaient. Ce sont eux qui sont dans l’illégalité et se conduisent juste en voyous…]]. La rationalité économique maintient cette nouvelle bourgeoisie dans un état réel de bourgeoisie [[… mais des bourgeois qui « se camouflent » et qui dont, au niveau, symbolique, ne …veulent pas être ce qu’ils sont !]]. Le discours de la société ouverte est celui de la loi du marché avec une main-d'œuvre immigrée à disposition. Cela, à la rigueur, ne me poserait pas de problème s'il y avait réellement ouverture et absence de supériorité morale [[qui n’a pas lieu d’être puisque leurs comportement sont indignées et ceux de la lie de l’Humanité !]] au sein de cette nouvelle bourgeoisie métropolitaine, mais, quand on regarde de près, l'exemplarité fait défaut [[ mais pas l’infinie répugnance à l’égard des ces graves tricheurs …]].
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Nous voici mieux armés pour un futur lucide - le point faible de ces bourgeois est cet « invisible »…ces faussaires veulent rendre invisible tout ce qu’ils font (le vol en grand des patrimoines) mais aussi que restent invisibles tous ceux qui subissent à fond leurs illégales prédations. Et les égarés conformistes aident à masquer les réalités en relayant, toujours ivres (dans les réseaux sociaux et dans les débats), tout ce que disent ces faussaires. Ils ont achetés les médias juste pour cela : que leur réalité demeure invisible. Comprendre c’est résister : suffit de toujours dire ce que nous avons compris et…
- Les conformistes seront enfin placés en position très défensive.
- Le point faible de ces bourgeois sera enfin utilisé : ils ne veulent surtout pas qu’on sache qui ils sont. Montrons-le tout au contraire…
- Comprendre c’est résister. Il n’y pas moyen de…faire semblant ! Pas de conformistes de la fausse comprenette…
Notons, en passant, que c’est ce que nous faisons depuis le début. Les contenus de ce blog, ces dernières années, ne se sont jamais trompé d’analyses (nous avons toujours bien capté le sens de l’époque ) même si les formulations demandent à être améliorées. Remarquons, alors, que tous les grands esprits actuels (qui ne peuvent donc appartenir à la médiocratie du capitalisme inculte) oui ces esprits s‘accordent autour…
…..de ce que la libération du piège libéral ne peut qu’être une œuvre collective.
Et que, donc, même si des avancées se font par ceux/celles qui sont en…avance, tout le monde doit s’approprier et améliorer leurs…biens communs !
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
La métropolisation est dissimulée puisque anti-républicaine..pas de traitement égalitaire de la loi ! (ce que, pour les privatisations, la Commission européenne, n'admet pas du tout...).
« Le crépuscule de la France d'en haut", de Christophe Guilluy
C’est à la Recyclerie, porte de Clignancourt à Paris que Mouloud Achour rencontre un géographe à contre-courant, Christophe Guilluy.
…prétendue « mondialisation » désorganisatrice
Frédéric Gilli nous donne sa définition de la métropolisation, ce phénomène urbain en action dans les grandes métropoles mondiales.
DEMOLITION DE BOBOS EN DIRECT. Notons que le « bobo » n’est que la partie émergée de l’iceberg et qu’il ne faut pas s’attarder sur ce symptôme mais bien que ses causes…pas
la folie de la mondialisation
à ajouter aux dégâts de la mondialisation...
Pôles et flux de la mondialisation ...
gentrification à Barbès
le processus de gentrification
Faut-il renoncer à la mondialisation ? Session 28 - REAix2017