la Rentrée n’est donc pas la vie réelle…
Pas de Rentrée, sortons la Rentrée…Ne rentrons plus, sortons surtout de nos coquilles. Il ne s’agit plus de rentrer mais bien d’en sortir définitivement. Oui, les temps changent et nous avec. Comment vivre au mieux cette transition d’un sans rentrée ? Ici, les motivations sont multiples et tellement bien argumentées comme nous allons le découvrir ensemble. Soit. Une chanson joyeuse. Un pamphlet et une mesure philosophique de l’ensemble.
>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> --- Chanson : Gun Giant *** « La rentrée » ***
Tu vas rentrer sinon j'te rentre dedans
C'est la rentrée
J'veux pas y aller maman
Tu vas rentrer sinon j'te rentre dedans
C'est la rentrée
Ils veulent qu'on aille là-d'dans
C'est la rentrée
Ils disent faut qu’ça rentre
mais j’suis déjà rentré, ‘mam.
C’est pas la rentrée
qui rentre mais moi qui sors
je veux plus y aller, maman.
Y’z’entendent pas
quand tu parles du cœur
Y sont qu' des robots maman
sans vraiment de sentiments
c’est la rentrée.
Tu vas rentrer sinon j'te rentre dedans
C'est la rentrée
J'veux pas y aller maman
Tu vas rentrer sinon j'te rentre dedans
C'est la rentrée
Ils veulent qu'on aille là-d'dans
C'est la rentrée
Si nous rentrons là-d'dans
c’est pour qu’ils nous mettent dedans,
nous mettre tous dedans
…oui tout en dedans.
Ils l’ont dit tout haut
devant nous tous présents.
C’est le permanent retour
où nous n’avanc'rons plus
vers le vrai changement
mam’ c’est pas la rentrée, c’est leur folie centrée.
Tu vas rentrer sinon j'te rentre dedans
C'est la rentrée
J'veux pas y aller maman
Tu vas rentrer sinon j'te rentre dedans
C'est la rentrée
Ils veulent qu'on aille là-d'dans
C'est la rentrée
Tu vas rentrer sinon j'te rentre dedans
Vous ? Vous…nous avez exclus
Vous nous avez excommuniés
Vous nous avez virés
Vous nous avez licenciés
Vous nous avez spoliés
Vous nous avez dénationalisés
Vous nous avez exilés
Vous nous avez volés
Vous nous avez mentis
Vous nous avez piétinés
Vous nous avez humiliés
Vous nous avez abîmés
Vous nous avez blessés
Vous nous avez foutu dehors. Oui dehors.
Tu vas rentrer sinon j'te rentre dedans
Maintenant on est dehors
Tu vas rentrer sinon j'te rentre dedans
Maintenant on est dehors
- Et on veut rester dehors
- on veut plus rentrer - on veut plus d’la rentrée
Tu vas rentrer sinon j'te rentre dedans
On veut plus rentrer dedans
- On se sent bien mieux dehors
Tu vas rentrer sinon j'te rentre dedans
Maintenant on est dehors
Et on est tellement nombreux dehors
Que c'est vous qu'êtes dedans
Tu vas rentrer sinon j'te rentre dedans
…
…..........……………Que c'est vous qu'êtes dedans ! qu'êtes dedans !
Plus-d'écoles-de-l'éducation-: une-fable
…………………………......**************************************
Comme on est tous rentrés dans la rentrée – y’a plus de rentrée…
Y’a plus de rentrée – cette année on pourra pas rentrer…Définitivement. Non c’est non…« La Rentrée. Je ne peux pas le croire : cette espèce d’égrégore négatif surpuissant est toujours là ! Oui, ce concept [[ donc absolument artificiel et qui juge qui l’emploie plus que tout autre moyen ]] de Rentrée à l’étable des moutons, de Rentrée des poules dans leur cage, de Rentrée vers le fond de la caverne est toujours là, dans le monde d’en bas.
Deux temporalités coexistent : celle Étatique-Scolaire et celle du cosmos.
L’alternance travail-forcé et vacances correspond à la première alors que dans le temps du cosmos, il y a ni travail ni vacance. La temporalité étatique-scolaire, c’est celle de la masse, celle de la masse de la nasse et de la nasse de la masse qui emprisonnent les individus tant ils sont craintifs et terrorisés en dehors du grégarisme. Ils ne savent vivre que s’ils sont validés par les autres comme membre du troupeau en tant qu’ils valident le troupeau en retour [[ Or, les conformismes ne sont plus validés du tout…sauf par les prétendus dirigeants si ennemis de la société !]].
Ne-rentrez-pas-:-sortez-de-votre-coquille
Pour certains, ça fait 20 ans qu’ils suivent le troupeau, pour d’autres, 30 ans, 40 ans, 50 ans… Quand ils commencent à se poser des questions — s’ils viennent à s’en poser —, il est trop tard : chaque pas loin du troupeau sera vécu comme une torture toujours plus grande à mesure que les années passent. Ils ont pris le pli de l’école, puis celui du travail et des enfants qu’ils emmènent à l’école pour recommencer un tour de roue ; le pli du crédit dans une banque, le pli de ce qu’ils convient [[ ce qui, d’après nos critères, n’est absolument pas …convenable…sortez-les les trop impolis en costards-cravates !]] de dire et de faire. Ils ont pris tous les plis de la temporalité étatique-scolaire. Ils ne vivront pas. Les mères et les pères se plient en quatre, ploient continuellement sous les attendus. Ils ne font que se reproduire machinalement.
Et jusqu’à leur mort physique, à chaque fois que sonnera la fin du mois d’août, ce sera La Rentrée. Ils suivent le troupeau, il ne peut pas leur venir à l’esprit que ce n’est pas La Rentrée puisque C’EST La Rentrée. Car ce qui est, c’est leur milieu : cette vase putride pleine d’immondices, cette barbotière de pétrole visqueuse. Ils sont comme des goélands figés dans une marée noire dès la naissance. «L’homme est comme le lapin, il s’attrape par les oreilles». Pour tous ces gens, il suffit de dire les choses, de les écrire et ils le croient. Il suffit de les effrayer un chouia par quelques mots de magie-noire et ils continuent d’avancer.
Un fauteuil de cinéma, une voiture, un bureau d’écolier, l’argent ou Maman qui rempli le frigo, le supermarché, les jeux-vidéos l’informatique internet et les smartphones-SMS, toutes les marchandises, toutes les fausses jouissances et paradis artificieux, toute cette désorganisation mondiale qui vise à déverser sur chacun en continu un flot d’objets et de nourritures diverses, tous ces bibelots joujoux doudous à la con, toute cette propagande [[ donc illégitime et pouvant être jugée !]], toute cette prise en charge permanente par des institutions, par un État qui fixe donc le temps et les rythmes, la cadence. Tous nos objets techniques qui sont des prothèses pour « ne pas avoir à… ». Toute la non-vie de l’homme argenté vise à rester une larve dans un placenta, dans une coquille.
On le voit faire l’enfant qui fait tout pour être enfant le plus longtemps possible. On la voit faire cette dissociété qui fait tout pour que les enfants soient des enfants le plus longtemps possible. Ensuite, on le voit faire cet adolescent — comme on les appelle — qui procrastinent à l’infini pour rester à tout prix une larve jusqu’à ce que l’argent et le travail puissent prendre le relais de Maman qui remplissait le frigo et payait le ticket de cinéma.
L'école-n'a-pas-à-évaluer-les-enfants
Ce n’est pas un hasard si le Dieu-Argent porte un nom si proche de celui de la mère : Mammon. Une vie entière dans les jupes de Mammon ! Dans le placenta de Mammon ! Une vie à chialer que Mammon soit là, nous berce. Téter le sein de Maman puis téter les billets de banque [[ stade de régression infantile reconnu…]] de Mammon pour aller chercher au supermarché du lait en poudre. On veut sa Maman et on veut de l’argent (c’est devenu la même chose) ! Voilà, la biographie des gens.
L’état de l’homme argenté (l’homme possédé par l’argent, le déréglé dit « dérégulé » !), c’est le refus de vivre. Il existe bien-sûr une masse d’hommes qui passent leur « vie » à dire qu’ils ne devraient pas « vivre » ainsi et qu’ils sont en train de changer, d’évoluer, de cheminer. La beauté-laideur de ce quasi mensonge est sidérante (…) Aller ! C’est la Rentrée mais uniquement si l’on admet d’être larve sinon c’est la….Sortie enfin la sortie ! Ce n’est plus l’heure de se recroqueviller ! C’est Mammon-Maman qui l’a dit mais en en se trompant de sens : ce n’est « plus » la…rentrée…
….Mais bien la définitive sortie de ce système indigne de durer ! »
………………………………....*********************************
Rentrée comme cela sonne mal, donne froid dans le dos, salive une menace fortement illégale. Rien dans la Constitution ne permet d’agir de cette barbare manière…Cela ne sonne-t-il pas comme rentrer dans l’ordre ? Couplé avec un rentrer dans sa coquille ? Après la grande liberté de l’été, il s’agit d’effacer tout cela, de cogner sur les ailes, de reprendre le harnais, de se remettre à se désaimer soi-même ? Tout s’emboîterait alors, rentrerait bien dans les moulures de chaque chose, tous en boîtes ? Une chanson aura risqué de nous faire aimer la liberté et bien plus ! Et c’est réussi : nous les voyons (nous, si sains et si paisibles…), maladivement, agités par le mot « rentrée » qui n’existe pas dans la …vie réelle. Exigeant des autres qu’ils « croient » à leur folie surmenée. Désolé, stop, non c’est non, nous n’y croyons pas : qui dit le mot « rentrée » doit changer tout de suite à 100 %, le mal est trop grave, elle/il prend ses lubies pour des lanternes et bavasse sur tout ce qui est complètement sacré. Non, il n’y a pas de… « rentrée » pour qui n’est jamais sorti du système. Pire ? C’est une bévue vue qui avoue très clairement que s’il y a « rentrée » c’est bien parce que nous nous en étions SORTIS (oui que c’est vivable « hors de » leur pseudo société), donc que nous pouvons définitivement sortir d’un système de la plus haute folie humaine. D’ailleurs, pour eux « rentrée » c’est massacrer le travail, le seul créateur de valeurs. Et pourquoi donc ? Afin de voler et spolier encore plus le travail. Nous n’allons tout de même pas entrer, rentrer dans de tels manques d’arguments. RIEN ne légitime ces attaques illicites contre le travail. Surtout par "désordonnances" !
Rentrée, pas de rentrée, il n’y a jamais eu de rentrée sauf pour les…halluciné(e)s ! Il ne s’agit pas, non plus, d’entrefaites ou d’entrechats – mais l’étymologie d’entrer s’immisce absolument puisque c’est « inter » - inter comme inter-national et inter-caler, inter-valle et inter-férer. ENTRE y entre oui vers tout l’intérieur et se maintient entre toutes choses. Sur le plan équitable d’horizontalité. A la fois. Ce qui rend entrer le plus présent qui soit. Partout où nous nous tournons entre entre. Et se trouve entre nous et tout le reste. Ce reste qui n’en reste pas là et entre dans chaque collecte du collectif complet (toujours tout à la fois et partout à la fois…)…
……………….Philosophiquement…Rentrée ? C’est re avec entre.
(…sursaut encore…un saut très sûr…)…..
Je me sens tout rentré dedans
un enfoncement tout en dedans
Où est l’entrée de la rentrée
que j’aille vers la sortie
faut que ça sorte
faut que ça sorte
pas que ça rentre dedans.
L’ardoise sera lourde
les comptes seront pas bons
c’est pas nous à l’encaissement.
Nous à l’encaissement
.....………………………………….- C’est par ici la sortie. La soooooortie.
……………(à suivre)
*** La chanson « la rentrée » est toute prête, il n’y aurait qu’à l’enregistrer. Avec des musicos motivés pour sûr. Et qui donc feraient signe !
……………..………….%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
A partir des résultats d'une série d'enquêtes internationales et des travaux de recherche en sciences humaines les plus récents sur le capital social, les auteurs insistent sur l'ampleur du mal...
Des informations, disséquées par des milliers de chercheurs montrent que le bien-être dépend de la qualité des relations sociales. Bon les prétendus dirigeants n’ayant toujours pas compris (ils désorganisent tout, ils rendent la société invivable, n’entendent rien et ne sèment que des conflits…)…foutons-les à l’école et, pendant ce temps, nous, débrouillons nous sans eux…avant tout et après tout, nous sommes les réels responsables !
Privons-les de rentrées et cela ira fort mieux pour eux….toujours penser à tout le monde, à la fois !
Oui « cette » école de…punitions capitalistes et de tristesses d’être toujours séparés doit laisser la place à l’égalité et au bonheur d’être ensembles…maux à foutre K.O. ? « La défiance par indifférence réciproque s'entretient d'elle-même” – “Nous sommes les champions de l'absence de travail en groupes » - Ce qui crée "l'introuvable dialogue social" français et une anachronique culture du conflit, favorisée par "un syndicalisme de professionnels de la représentation avec peu d'adhérents". "L'intervention de l'État écrase le dialogue social, mais l'absence de celui-ci nourrit l'intervention de l'État qui doit se substituer à une négociation défaillante", observent les auteurs. Ils s'inquiètent fort de l'état de santé de notre démocratie « détruite par le haut » et déplorent que le droit français ignore puissamment "le conflit d'intérêts" (la moralisation de la vie publique n’a rien résolu, au contraire, en faisant croire « avoir enterré le problème » elle va le rendre encore plus…dramatique !)
la réalité très inéquitable des « inégalités explosent à l’école » auprès des publicités mensongères à l'eau de rose...
Pourquoi cela ne rentre pas dans la tête des prétendus dirigeants que leur mascarade c’est plus que fini ?
S’il y a des personnages qui ne veulent rien apprendre ce sont bien les cancres dits éducastreurs. Céline Alvarez a tout bon. Qu’en ont fait ces arriérés ? Exactement les trop mêmes scandaleux programmes qui ont zéro sur 20 (0/20). Que la honte se déverse sur eux/elles qui refusent toujours…d’apprendre ce qui fait le futur commun !.
Je l'ai au bout de la langue le...vrai changement !
Les barbares capitalistes n’avaient pas pu prévu qu’ils avaient déjà perdu la lutte dans les…classes : trouvons plus nuls, risque d’être difficile !
Aïkido ? Chercher à dominer c’est perdre ! L'aïkido verbal nous invite à mettre de l'harmonie dans nos relations. Oui gérer les attaques verbales = gestion des conflits. Tout ce qui est injustices, déloyautés et pires vous trouve avec un…bouclier. Face aux tyrans verbaux vous répondez du tac au tac et rompez « leurs » escalades d’accusations très illégales. Se préserver et préserver l’autre – interrompre, une fois pour toute, leur cycle de violence cupide en introduisant un intention d’harmonie. Oui avec des humains comme nous, ils sont foutus et tout de suite.
L’avantage de ce cours hautement éducatif c’est qu’il peut avoir lieu directement dans la rue…on dira, alors, que c’est « Franck Lepage : micro-compétence pour résister à une autorité carrément illégitime ? », mais ça va vite devenir tellement plus collectif, comme le passage du ballon au rugby...
Les enfants n’aiment pas l’école – voici pourquoi ? Surtout à cause des irrespects ontologiques des prétendus adultes…qu’ils retournent apprendre comment devient-on de « vrais adultes responsables et ne pesant d’aucun poids sur aucun autre humain ».