Les Cueilleurs urbains : rester sauvages en ville ?
Sous la ville, la Nature ! A partir du moment où ne dépendons plus du tout des médias enchaînés pour savoir l‘essentiel de vivre – nous nous réveillons avec de la liberté plein le corps. Trop de manipulations tuent les manipulations. Et ils demeurent vraiment les derniers à être au courant des changements réels, eux qui se croient les maîtres du monde. Les grands illusionnés. Qui en sont, actuellement (nous savons tout de leur trajectoire future et de son échec – et eux absolument rien de nous. Pour nous, tout peut changer n’importe quand. Pour eux rien ne PEUT changer, ils sont coulés dans la triste fonte de leurs propres pesants pièges), oui, actuellement, ils en sont dans la phase les ricanements qui aveuglent. Surestimant effroyablement leurs pouvoirs (qui ne sont que de nuisances non d’emprises – faire chier et pas convaincre par une forte raison !, Ils ricanent de « nous croire » en train de nous dépatouiller, ensabler et patauger dans leurs fausses images – alors que nous sommes ailleurs. Et plus encore, que nous vivons tant de choses si différentes de leurs maigres lubies…) – ils ne sont plus du tout aptes à décrypter le réel. Résultats ? Leurs méconnaissances (oui, à ces ridicules ricaneurs s’illusionnant supérieurs !) toujours plus volumineuses de la vraie vie – transforment les visibilités : ils deviennent nos « fardeaux » et eux, inconsciemment, ont toujours plus besoin de nous !
Preuves ? Et tout de suite ? Eh bien, justement, les cueilleurs (et évidemment cueilleuses) urbains. Très neuf dans 2 essentielles directions…*** 1) – tout d’abord, l’irruption rafraîchissante de la sauvagerie de la nature en ville (sauvagerie dans le sens salubre d’authentique, de proche des origines, de spontané et si naturel). Oui, une très nette oasis dans le fouillis peu ragoutant des artificialités que peut secréter une ville où rien ne tente de s’hygiéner par des « bouffées d’air frais, d’air libre tout aussi bien.
Et **** 2) – parce que justement ces cueilleurs naturels urbains prouvent la supériorité de tout ce qui vient de la nature pour la survie en ville. Irrécupérable : ce pourquoi la phase les ricanements qui aveuglent peut devenir d’un comique très hautement salutaire. Un rire frais qui oxygène le cerveau. La bonne santé mentale qui ventile des miasmes que déversent les pitoyables illusions des prétendus dirigeants. Qui s’enferment donc dans les toxiques poussières des invivables conservatismes.
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« Dans son livre, « Cueilleur urbain », Christophe de Hody précise les principales propriétés de 35 espèces urbaines et indique des recettes pour chacune d’entre elles, donnant ainsi à l’ouvrage une dimension pratique. « Proposer des recettes ainsi qu’exposer les propriétés médicinales, permet de toucher directement les lecteurs dans leur quotidien et par conséquent, rend ces plantes sauvages plus accessibles », explique t-il. Pour ceux qui craindraient que les plantes soient polluées, on sait aujourd’hui que l’utilisation massive de pesticides dans l’agriculture crée un contexte paradoxalement plus nocif à la campagne qu’en ville. Par exemple, il a été démontré qu’un miel produit en ville contiendra moins de résidus polluants qu’un miel de campagne.
Mais, l’ambition de ce livre dépasse les questions strictement liées à la nourriture. Il s’agit également d’encourager les urbains à repenser leur façon de vivre la ville, tout en invitant à prendre le temps, à ralentir. En effet, comme d’autres, Christophe de Hody souhaite sensibiliser à l’importance à accorder à la nature en ville et espère qu’on puisse revaloriser les espaces qui cèdent devant la bétonisation galopante. « Mon rêve serait de voir des forêts, des parcs comestibles, pour une plus grande autonomie et un retour à la santé au naturel grâce à l’abondance des plantes sauvages comestibles et médicinales et à la naturopathie. Vivre mieux dans son environnement, profiter, contempler, savourer… ». Les villes souffrant de plus en plus des pics de chaleur, la vision d’une ville plus verte raisonne/ résonne inévitablement avec les problématiques actuelles. »
"Le parc des Buttes-Chaumont regorge de bonnes choses" : Depuis cinq ans, ce trentenaire à la coule organise des sorties à la découverte des plantes médicinales et comestibles de Paris. Son projet : transmettre ses connaissances et pousser les habitants de la capitale à puiser dans les ressources insoupçonnées de la nature urbaine. Et le voilà au loin qui arrive, silhouette élancée, barbe rousse et regard espiègle. La session commence par une séance de dédicaces de Cueilleur urbain (illustrations de Julie Terrazzoni), son guide illustré que les promeneurs les plus fidèles n'ont pas manqué d'acheter dès sa sortie. Mais le temps file et l'appel de la cueillette n'attend pas. "A l'aventure !" s'exclame le chef de bande, tandis que la troupe traverse la chaussée encombrée. Cap vers le portail d'entrée, à l'extrême sud du parc.
"Je vous invite à froisser, toucher, sentir et regarder les plantes de près", commence le "géant vert", en haut d'une colline, s'arrêtant au pied de ce qui ressemble à une banale excroissance de mauvaises herbes [[ extrême diffamation que de les décréter « mauvaises » herbes ? Certainement, et par qui sinon les « mauvaises » langues ?]]. "Vous allez ainsi acquérir une confiance suffisante pour les cueillir et les utiliser. Et vous apprendrez à les reconnaître à leurs différents stades : la racine, la feuille, la tige, le bouton, la fleur, le fruit...Qui a déjà acheté de la tisane en supermarché?" Il sonde l'assemblée du regard. Une forêt de mains se soulève timidement. "Et bien, au lieu d'aller au supermarché, tendez le bras ! Le parc des Buttes-Chaumont regorge de bonnes choses, et la cueillette est tolérée à échelle familiale. Tant que vous ne venez pas avec votre brouette, pas d'inquiétude!" rassure-t-il. L'échange se poursuit avec la question du temps de conservation des plantes, une fois coupées. "Un à deux ans pour les plantes séchées!" tranche une énergique petite dame à lunettes.
Christophe-de-Hody-précurseur-de-la-cueillette-urbaine
Ce que nous prenions pour un vulgaire champ d'orties se révèle être la matière pédagogique d'une leçon de botanique en milieu urbain. "Débutons par un grand classique. La différence entre carotte sauvage et grande ciguë. Attention ! La première est comestible et la seconde, toxique." Fixées sur les mains de Christophe, la quarantaine de paires d'yeux l'observent se pencher vers le sol et, d'une poignée ferme, extirper deux tiges d'un vert pimpant, recouvertes chacune de petites feuilles pointues. Brandissant les heureuses élues au-dessus de la mêlée, il précise: "La feuille de ciguë est toujours plus grande que celle de la carotte. Elle est aussi plus fractale, plus divisée. Et surtout, la carotte est poilue, à l'inverse de la grande ciguë. Conclusion: s'il y a des poils, au poêle !"
Les plus studieux sortent leur calepin ou prennent des notes sur leur portable. Un jeune curieux passant par là par hasard a délaissé son skateboard pour venir clandestinement se greffer au groupe. "On peut la toucher?" demande-t-il, intrigué. "Bien sûr. Vous devez la sentir. Or, pour avoir l'odeur d'une plante, il faut l'écraser entre les doigts. To squeeze!" ajoute le guide, à destination d'une promeneuse australienne visiblement un peu perdue.
Sauvages-de-ma-rue/présentation
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Les villes ont été bâties sur des terres autrefois occupées par des espaces naturels ou cultivés. Les Hommes ont façonné ces territoires en une mosaïque d’espaces construits et d’espaces verts entrecoupés de voies de communication. Ils ont ainsi exercé une influence forte, parfois sans le savoir, sur la biodiversité des aires urbaines.
"C'était le meilleur moyen de rester dehors. Les gens ne réalisent pas ce qu'ils peuvent gagner à s'éloigner du bruit, voir du vert, entendre les oiseaux... Ne serait-ce qu'une heure par semaine! C'est accessible à tous, il suffit de prendre le métro [[ou le bus, le tramway, pour d’autres villes que Paris…]]."
La perte du sain côté sauvage des villes ? Répartis en majorité en Amérique du Nord, dans le nord de l’Asie, en Afrique du Nord et sur le continent australien, ils ne couvrent aujourd’hui que 30,1 millions de km2 – soit moins d’un quart de la surface terrestre. « La perte du caractère sauvage de la planète en seulement deux décennies est stupéfiante », alerte James Watson, professeur de conservation de la biodiversité à l’université du Queensland.
Autarcies-si-pro-sociales-:-les-affranchis-jardiniers. 40 ans avant la permaculture, une expérience qui nous remet en place !
Les milieux sauvages sont indispensables à la biodiversité mais aussi à l’absorption du carbone atmosphérique, à la régulation du climat à l’échelle locale ou encore à la vie de certaines populations humaines. « Leur valeur écologique est indéniable, confirme James Watson. A quoi il faut ajouter que pour…l’équilibre mental, affectif et physique d’un humain, la Nature demeure la mère idéale. Lui tourner le dos, c’est entrer dans des douleurs immérités. Transformer sa tête à calebasse de stupidités d’artificialisations c’est se couper des solutions…naturelles. Donc il faut rester sauvage en ville. Oui au maximum. Ainsi, régulièrement, de longs périples de la journée entière, me ramènent sentant les herbes, le vent, les fleurs et les arbres. Et s’endormir avec ces odeurs prenantes (la nature est « propre », la boue n’est pas sale, un peu salissante – c’est l’invisible chimique qui est vraiment très « sale » - donc revenir de la nature, c’est en transporter, aussi, tous les bienfaits. Une douche peut attendre le lendemain). C’est « cela » rester sauvage en ville : indomptable, imperméable aux propagandes si malsaines qui voudraient nous artificialiser. Maintenons puissamment les liens avec la nature. Faisons-la entrer, clandestinement, le maximum en ville…
Le caractère neuf des cueilleurs urbains ? Dès qu’un-e citadin-e a une maigre idée, il va l’amplifier un peu exagérément. Manger des mauvaises herbes c’est plurimillénaire. Donc pas neuf du tout…Oui la pratique des mauvaises herbes existe depuis tant de siècles. Eh oui, à la campagne, il y a des prolétariats saisonniers. Les travailleurs à la journée, les artisanats ou les artistes beaucoup plus délaissés dans les saisons froides, etc. afin de simplifier. Et bien ? Une bonne partie d’entre eux n’omettent pas d’utiliser les traditions ancestrales. De commencer sa journée par la tournée des herbes, des fleurs et des champignons, etc. afin de pouvoir tenir dans les temps les plus durs. Il m’est arrivé de manger des soupes ou des gratinés d’herbes, des salades de fleurs ou des steaks de racines, etc. – incroyablement bon. Des goûts vraiment insolents et qui tiennent au corps. De participer à une cueillette aiguise les regards : la superficialité insensible des citadins ne plaide pas toujours en leur faveur ! Bien souvent, eh oui ! Ce sont eux les ploucs lourdauds ! Et la géographie et le temps sont complètement de notre bord…
Comme quoi même là les prétendus dirigeants perdent toute emprise sur nous !
…………(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste émerveillement vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
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Lire Délivre: EarthForce, manuel de l'éco-guerrier, des stratégies pour défendre la planète
"Je pose souvent aux gens la question suivante : "Quel était le nom de ton arrière-arrière-arrière-grand-mère, vers l'an 1550 ?" Personne ne sait, tout le monde s'en fout. Pourquoi ? Parce que...
http://lekaveserebiffe.blogspot.com.es/2017/08/lire-delivre-earthforce-manuel-de-leco.html
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Amazonie: 381 espèces découvertes - Wikistrike
Des chercheurs ont identifié 381 nouvelles espèces de plantes et animaux en Amazonie, selon un rapport du Fonds mondial pour la nature (WWF) et l'Institut Mamiraua présenté mercredi à Sao Paul...
http://www.wikistrike.com/2017/08/amazonie-381especes-decouvertes.html
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Faune Capitale : L'incroyable biodiversité en ville
Actuellement projeté dans quelques villes de Belgique, Bruxelles sauvage - faune capitale, sera diffusé le 05 avril sur la chaîne RTBF. Le documentaire s'intéresse à la place des animaux sauva...
https://mrmondialisation.org/lincroyable-biodiversite-en-ville/
De manière générale, la cohabitation est plutôt de mise, la faune étant tout à fait discrète. En effet, les citadins ne voient généralement que très peu les diverses espèces sauvages qui évoluent à côté d’eux. Pourtant, les caméras utilisées pour de nombreux documentaires, observent que la biodiversité est bel et bien présente en ville. Ainsi à l’instar de Bruxelles sauvage – faune capitale, on découvrait il y a quelques temps le reportage Berlin, ville sauvage qui traite du même sujet. On y apprenait que Berlin est également une ville foisonnante de vie sauvage en tout genre : des renards, des oiseaux ou encore des ratons-laveurs (pour ne citer qu’eux) y vivent toute l’année.
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Cet homme nous enseigne le rôle oublié des plantes sauvages
En ville, friches, jardins et parcs regorgent de plantes comestibles dont nous sous-estimons l'utilité, jugées parfois même de mauvaises herbes. Christophe de Hody s'est fait une spécialité et...
https://mrmondialisation.org/cet-homme-nous-enseigne-le-role-oublie-des-plantes-sauvages/
« Je me nourris, me soigne avec ce que je cueille en bas de chez moi ! »
Les plantes sauvages rendent les villes plus agréables à vivre. Les espaces verts tempèrent les canicules, participent à l’absorption des gaz à effet de serre, aident à la dépollution de l’eau et du sol et sont également essentiels au bien-être et à la santé des habitants. De plus, leurs rôles culturels et récréatifs participent au plaisir d’habiter les villes. La richesse de ces espaces dépend des surfaces qui leur sont consacrées, des modes de gestion qui leur sont appliqués et des connexions vertes qui les relient. En effet, pour assurer leur pérennité, les plantes doivent pouvoir se déplacer en ville ceci grâce à la circulation de leurs graines et de leur pollen. C’est pourquoi les friches, les pieds des arbres d’alignement, les jardinières, les toits, les murs ou tout autre interstice urbain sont autant de relais indispensables pour assurer la continuité entre les populations de plantes des squares ou des jardins.
Deux Français sur trois vivent en ville. Forêt de verre et de béton, prairies de macadam, couvercle de fumée et de bruit. En se développant, les villes ont fabriqué un écosystème, qui a son microclimat. Dans ce milieu fabriqué par les hommes et pour les hommes, la vie sauvage fait plus que résister, elle s’installe. A Paris il est possible d’herboriser, de découvrir le monde des insectes, d’observer les oiseaux, de guetter le renard, d’explorer un monde aquatique et de ressentir la nature.
Les citadins peuvent très bien cueillir eux-mêmes leurs aliments dans la nature. En effet, des cueilleurs urbains le font régulièrement dans les forêts du Bois de Boulogne.
La biodiversité regroupe tous les êtres vivants, des bactéries microscopiques aux animaux et aux plantes les plus complexes ainsi que les milieux dans lesquels ils vivent. La nature en ville, c’est l’adaptation au changement climatique, l’amélioration énergétique, la réduction des pollutions, la maîtrise du ruissellement, la création de lien social, le développement des jardins solidaires, le maintien de la diversité biologique... autant de services que la nature en ville rend parfois déjà sans qu’il y paraisse, et dont la reconnaissance et le développement permettront aux villes de mieux répondre aux attentes des citoyens.
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Une petite poêlée du Bois de Boulogne pour le dîner?
Ils trouvent notre alimentation monotone et ultratransformée. En basket, K-Way et sac à dos, des "cueilleurs urbains" s'apprêtent à explorer les fourrés du Bois de Boulogne pour y débusquer d...
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Sous la ville, la Nature ! Fort heureusement, même en ville la nature persiste à l’être…