S’ouvrir au regard du regard ?
Cela ne te regarde pas ! A ce point ? C’est qui « ça » qui ne me regarde pas ? Pas vraiment grave, échappé belle, plus tranquille de ne pas être regardé…pas du tout. Cette abusive admonestation n’a rien à voir avec s’ouvrir au regard du regard. En fait, ce sont les conformistes qui s’acharnent à persécuter les vies des autres. Mais le font d’une manière si tordue, si tortueuse, si illisible, qu’il faut un vrai concours de circonstances afin de démêler la clarté. Cela ne te regarde pas ce n’est pas du tout « ça » qui ne…te regarde pas – non c’est toi/ moi qui ne doit pas…regarder. La réciproque ne semble pas possible (en quoi ça te regarderait d’oser que ça ne regarde pas ?). Il y a net désaveu de la…réalité et sa grande amie, la Logique. Cela ne me regarde pas signifie que je ne doive pas m’y intéresser, y réfléchir, m’en préoccuper y repenser. Pas le droit de jeter un œil parce que ce serait hors de ma portée, de mon monde, de mes droits. La porte m’est claquée brutalement au nez. Donc en disant « ça ne te regarde pas », ces escrocs ne montrent que juste que – trop sournoisement – ils voudraient tout occulter, dissimuler, cacher escamoter ce qui n’est surtout pas montrable dans leurs…comportements ? Et, comme, souvent, les agitations désordonnées des médiocrates font que nous soyons très ATTIRÉS par ce « ça », alors qu’ils ne le voulaient pas au départ. Attirés au point de trouver fortement mégalomane que qui s’octroie cette connaissance omnisciente sur ce « ça » qui ne me regarde pas – soit, si facilement, désarçonné par une seule question (n’importe laquelle) : si je regarde ce qui (soi-disant) ne me regarde pas, ça va me regarder ?
C’est exactement ceci s’ouvrir au regard du regard. Lui faire ouvrir toutes les serrures. Ce système a tout à cacher tellement il est minable et nous absolument pas : nous n’avons absolument pas à lui permettre de laisser la moindre trace de ses turpitudes en nous. Et c’est à la « bonne » distance, selon Berthold Brecht, que nous dénouons tous les problèmes. Ce sont « leurs » problèmes pas les nôtres. Leurs RESPONSABILTÉS dans l’état du monde sont écrasantes, ils doivent s’en sentir quelque peut écrasés…surtout en étant, équitablement, blâmés. Soit très fortement. Et nous pas. Ce qui ne va pas….s'arrêter là, puisque tout leur « échappe ». Ce qu’ils disent est retenu contre eux. Se retourne et les dénude tels quels. La formulation même nous offre la formule. Oui, il aura tant d’efforts pour embrasser la globalité, pour en rendre familière toutes ses parties. Et donc ? Nous savons objectivement comment ce système fonctionne et eux pas. La manière désintéressée d’aborder les événements aboutit à ce que …seules des personnalités comme nous voient le futur. Eux, ils s’y emmêlent toujours plus. Sur le moyen terme, c’est l’honnêteté qui paie toujours. Oui ? Actuellement, pour nous, très peu d’efforts suffisent pour le maximum de résultats. En fait, ce sont ces soi-disant maîtres du monde qui font tout « afin de précipiter leur chute ». Nous, rien sauf d’observer attentivement. Une preuve ? Plus cela va, plus toute l’actualité est de notre côté. Vraiment à notre service. Plus notre conscience est immense, plus elle nous apporte, somptueux petit-déjeuner, toutes les solutions du jour et…des lendemains (tout repose dans l’art de…recevoir, et tous les humains sont invités…). Ces maîtres indignes vont donc bientôt être K.O. Oui, la réalité nous confie j’aime tant que « ça » me regarde. Plus, mieux, pire (tout dépend « d’où » tu parles ? Déjà de l’authenticité ou de la duperie ? Impossible de faire passer l’une pour l’autre !). La réalité nous confie j’aime tant que « ça » me regarde. Je voudrais que tout le monde s’ouvre au regard du regard ! Les médiocrates, si brouillons, avaient omis de réfléchir au fait que le « ça ne te regarde pas » pivote, en fait, sur lui-même, ayant deux faces. Janus de cette force obscure, abstraite mais omniprésente qui n’aurait aucune envie de me voir, d’avoir à me regarder, de devoir me connaître. C’est bien un duo cosmique qui…espère une réponse, des deux côtés à la fois. Oui suffise donc que je regarde ce qui ne me regarde pas (inutile de l’imiter). Afin de « surprendre », dans ce rapide mais intense échange, tout ce que le futur attend de…nous !
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Comment alors s’ouvrir au regard du regard ? Les conformistes qui ne font claquer que des ordres démesurés (par rapport à la misère de leurs réalités), n’expliquent jamais rien. N’éclaircissent rien. Sans doute, parce qu’ils en sont incapables. Et parce que, aussi, leurs brutales intrusions dans les vies des autres se font toujours avec…effractions. Bruyamment et illégalement. Aussi - afin de pouvoir savourer la réponse - nous devons tout oublier de ces stériles ingérences. S’ouvrir au regard du regard c’est la transfiguration instantanée de la banalité. Tout l’or du monde offert à cette morne seconde ? Ah c’est que vous croyez que la vie est banale, pas du tout… « Ce que nous appelons la propriété du fruit (la saveur) est en réalité la propriété de la conscience » (Charles Duits). Une phrase qui rassemble toute une pratique phénoménologique complexe mais en tellement plus simple et directe que la philosophie de Husserl. Preuve ? « Je n’avais pas remarqué ou, du moins, élevé à la conscience, le fait que la profusion jamais ne se changeait en confusion » (idem). Ce pourquoi le précieux est si précis, aucune surcharge, le coup de pinceau magistral, un seul, pourquoi en faudrait-il plus afin de poser le sillon du tout-recommence ? Tout peigne la clarté sans un faux pli ou un cheveu qui dit je veux à part.
Ce qui, d’un seul geste, démêle des centaines et des centaines de sacs de nœuds (pourquoi toutes les solutions sont de notre côté et pourquoi ils n’héritent plus que des problèmes, qu’avec une mauvaise volonté si acrimonieuse, ils ont tout fait pour les implanter ?). Déjà – le phrasé brouillon-brouillé et les mots inadéquats des métaphysiques auront sonné la cloche. En effet, oser que le paradis est « ailleurs » c’est, du même coup, casser la société en mille morceaux. Pourquoi les prétendus pouvoirs sont-ils si maladroits ? Si le paradis est ailleurs, notre monde est…tout aussi imaginaire, par rapport à lui. Et les pouvoirs s’en ridiculisent jusqu’au trognon. Il vaut bien mieux que le paradis soit co-présent à nous. Très présent et offrant le présent comme un présent très cadeau. Déjà bien là comme antithèse aux fausses promesses de l’argent sale. Paradire c’est dire (tu paradis) ce que l’argent bestial ne saura pas dire…Son exclusion trop extra terrestre (au paradis) a bien trop de conséquences terrifiantes pour tous les faux semblants sociaux. Ainsi – n’y a-t-il (la même chaîne de raisonnements) aucune inexistence dans une hallucination puisque la…sensation existe bien, donc une sensation ne peut être hallucinatoire en soi. Il faut simplement en considérer la cause…ce qui fait ? Qu’il n’y a pas à exclure (une fois de plus – quelle pensée est-ce donc qui exclut tout ce qu’elle ne parvient pas à résoudre ? Soit 99 %.) mais bien à comprendre ceci : une hallucination est une « perception déficiente » et la vision (qui demeure possible dans le banal du quotidien. Le…transfigurant. Faisant que nous n’y sommes plus jamais figurants…) là se montre bien comme une sensation « nettement plus précise et aiguë, oui augmentée mais sans appareillage ». Et donc ? Revers de cette phénoménologie qui prouve tout le transcendantal ? Qui ne VIT PAS, ne l’a jamais vécue l’expérience fait comme si elle/il savait tout sur tout et s’égare très dangereusement. Qui suit un-e conformiste loufoque obtient 100 % de chances de s’égarer ferme C’est l’intensité du vécu qui « fait » une perception plus « intense », oui mais c’est aussi son authenticité. Les subjectivités sans exigences envers elles-mêmes, qui ne font que nier, renier et denier, passent à côté du prodige. Et parlent toujours…à côté, jamais dedans. La conscience peut SENTIR toutes ces découvertes et non pas seulement ce, qu’ordinairement, nous ne faisons que… « savoir ». Oui « savoir » comme issue d’un lieu très éloigné, aseptisé et privé des 5 sens, cantonné dans l’abstrait impalpable. Et que donc ? Les « intellectuels (au sens négatif) ne sont surtout pas ceux qui utilisent leurs têtes mais ceux n’utilisent pas leurs…ressentis. Un peu qu’on mélange les sentiments et les affaires…Et surchargent leurs ciboulots en le mettant sans cesse au boulot fastidieux (sans saveur), plus que six boulots pour le ciboulot ! Pourquoi ? Tout le monde admet co-Naissance, mais si peu naissent une seconde fois. La seconde ce n’est pas « au monde » mais bien à…soi-même (ce ne sont plus des nouveaux nés mais des…vieux nés !)… Et donc ? Nager dans le savoir comme dans un océan bien connu – incroyablement à l’aise.
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Nous sommes tout (ce qui soulage si salubrement de « tout avoir »). Le kit complet comporte alors ce fantastique regard du regard :…être est 16 000 milliards de fois supérieur à avoir ( avoir juste bon pour les eunuques et les lâches)…Donc l’intellectuel (du système – bref un très faux jeton !) est ce desséché qui n’utilise pas sa sensibilité, ses sensitives potentialités, ses sensualités (car quoi de plus « sensées » que les sensualités ? Eh bien les conSensualités, les accords harmonieux de la musique d’être d’accord, ensembles et unis, consensuels)... Et donc ? Sans les vrais intellectuels ( celles et ceux qui ont un « cerveau sensualisé », où chaque pensée devient sensation . Sensation répondant aux 5 sens basiques, en un seul, plusieurs ou tous à la fois…) oui sans ceux-là rien DE BEAU n’existerait sur la Terre. La beauté ce sont des cœurs immenses qui en forment la source. Dirions-nous surhumaine, ou plutôt « le tiers secrètement inclus » (la trop toxique erreur du « tiers exclu », qui fonde la philosophie occidentale qui ne vit que pas ses…exclusions. Ce qui ne peut qu’empêcher cette philosophie d’être l’amie de la sagesse puisqu’elle s’en profile l’ennemie et fait durer – artificiellement – tous les conflits. Ne pas résoudre les conflits (faute de seulement essayer) fait perdre toutes les philosophies. Et semble rendre miteux escrocs. Le malencontreux « tiers exclu » représentait une des sources majeures de toutes les solutions. Baisés jusqu’à l’os les arrogants imposteurs !).
Comment tout ceci se passe (et se passera) -t-il ? Les fils du futur sont mêlés avec ceux du présent. Maîtriser le regard du regard devient les lunettes infaillibles qui font que nous accédons au « grand tableau de bord ». Et plus les prétendus dirigeants qui ne portent aucunes des grandes foules en eux.
*** 1) – l’intériorité se dévoilant incommensurablement plus infinie que l’extériorité. Son infini laisse vraiment sur place le trop petit fini. Le court terme est bien un piège. La fausse actualité des médias d’argent ne dessert qu’eux, rendus aveugles aux véritables inFormations (l’univers ne connaissant aucuns…conflits d’intérêts, ces croches pattes multipliés !]. Niqués par eux-mêmes en somme…
*** 2) – ne pas posséder son langage, par un style vraiment singulier (ce que rejette l’édition ultra passéiste et s’égarant dans ce qui ne peut plus « se » reproduire !), équivaut à ne pas avoir la réalité qu’il exprime. Le langage se prouve entièrement de notre côté. Les mots sont plus essentiels et gratuits que jamais : en aucun cas, ils ne peuvent, sans dommages, se voir utilisés pour des cupidités matérielles. Au lieu du sens dans tous les sens – il n’y a plus que très peu, voire qu’un seul sens, trop saccagé, mesquin et avare – il ne dira rien. Ce pourquoi ces « intellectuels » médiocrates, par le fait qu’ils ne sachent pas du tout utiliser leurs têtes, doivent susciter infiniment de méfiance. Ils constituent bien ce qui rend si médiocres les médias. Et ils sont plus qu’incompétents afin de diriger les autres…
*** 3) – bureaucratie privée, consommation, marketing, machines à transhumains, armes pour lesquelles il faudrait sacrifier toute l’Humanité ? Tout est juxtaposé afin d’oser le pire crime antirépublicain : l’irresponsabilité ! Ce qui aboutit ? Que ceux qui se prétendaient en haut (comme si un tel « haut » existe dans la réalité ?) vont recevoir « l’avalanche des responsabilités ». Oui mêmes leurs mines vont se montrer défaites…
*** 4) – « Le volume de connaissances disponibles est INVARIABLE et indépendant du nombre d’êtres » (Charles Duits). Une fois de plus se précipiter sur avoir c’est se faire…avoir (miséreux capitalistes). C’est « être » le savoir (grâce à l’inFormation « in » étant ce qui fait rentrer le plus dedans !) que nous sommes, les sommes de toutes ses potentialités. Soyons ces potentiels et la puissance infinie de l’unitaire nous dira...le reste.
*** 5) – à bâtons rompus et recollés…non plus jamais sur les sentiers trop battus et violentés. Qui veut « avoir » de la connaissance ne peut cacher longtemps son ultra violence…puérile, qui lui fait saccager tous ses accès au savoir qui…transforme. A part cela, le capitalisme inculte n’est pas le sommet des ridicules ? C’est être du savoir qui compte non l’avoir (ce qui l’enfermerait dans des coffres, sous des sécurités…inutiles puisque qui est savoir pénètre partout, traverse tous les murs et sait, au final, toujours…tout !)
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*** 6) – Nous ne pouvons être ni « pour » ni « contre « lorsque nous sommes « dedans ». La force unitaire de cet acte balaie toutes les approximations (être contre ou pour restent des approximations…qui trouve plus de proximations, de proximités)…qui empêchent d’être en plein « dedans ». Et donc ? Une expérience = 10 années d’études laborieuses « d’économisées » en une heure. Sauf qu’expérience et argent semblent (jusqu’à aujourd’hui) incompatibles. Pourquoi aujourd’hui ? Qui a tout l’argent du monde peut (en payant discrètement les services des banques) alimenter à la fois TOUS les comptes au-dessous d’un certain chiffre. Et donc son aujourd’hui lui prépare un demain…plus que somptueux. Le vrai roi étant celui dont personne ne peut « voir » les actions incommensurables…
*** 7) – les choses ne sont pas des reflets pâlis de leurs idées. Le SON des mots dit incroyablement beaucoup sur leurs sens. L’immanence reste significative : l’ici et maintenant c’est le son maintenant ici l’immanence flagrante. Une preuve (mais il y en a tellement) ? Oui, les bijoux SONORES de Baudelaire….entendons : l’effluve fluviale. L’effluve les fleuves…écoutons mieux : LileBulles de libellules ce franc libel de Lulle…etc…etc…la Fête Mondiale (qui va succéder au capitalisme) recèle tous les trésors sociaux que tout le monde a imaginé. C’est (à) dire inépuisable sera cette Fête…etc....etc.
Et de tout ceci … je vois ce que j’ai toujours voulu voir (tout me regarde)
je sens ce que j’ai toujours voulu sentir (assentiment sentiment). De toute la société disparaît la tragique illusion sombre : puisque :
……………….….le grand changement se fait en plein Jour !
……….......(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
plus il y a du Moi moins il y a de valeur en fait…Les trop riches n’ont donc aucune valeur…sociale. Déchus déchets…
Aussi - un bébé dort paisiblement dans une usine de briques en Birmanie Dans une usine de briques à la périphérie de Yangon, un bébé se repose dans un hamac improvisé. Il attend sa mère qui travaille au four de l'usine où elle est payée pour chaque brique qu'elle fabrique.
La pénibilité au travail. Employée du service comptabilité de Coca-Cola "Vous me demandez si je suis athée ? ... Je suis plus intéressé par notre vin d'ici que par leur au-delà." Francis Bl...
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La sou-france du Standard (Kafka - Le Château)…Selon le capitaine Hadock : Bachibouzouk: "Têtes non standardisées." -- Premier volet et première volée. Scandale ordinaire, un film dédié aux bachibouzouks.
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