Sans câlins le cerveau des enfants ne se développe pas au maximum
Ou bien c’est chérir qui rend la vie chère et non d’enchérir ? L’essentiel n’est donc pas l’argent ? Ainsi, des enfants trop privés de câlins ne peuvent croître normalement, et c’en est la faute des adultes ahuris. Câlins et caresses restent étapes très cruciales pour les enfants et leur développement premier. Aussi, dans ces câlins et caresses, il n’est absolument pas parlé des adultes, sinon de leurs manques complets de sens des responsabilités. En effet, c’est dans leur prime enfance qu’il faut penser à centrer leur vie autour de chérir. En conséquence de quoi, cette société très mal dirigée, depuis trop longtemps, tourne complètement le dos à ce qu’il faut faire. Sa copie c’est zéro pointé ; elle a tout à revoir, et en commençant par son soi-disant haut. Voyons, tout d’abord, tout ce qu’impliquent, pour nos vies quotidiennes, les sevrages violents de tendresses.
>> - 1) ***** Se méfier de tout ce qui est payant ? A priori, ce n’est pas ce qu’il y a de mieux pour les enfants ! En tout cas, pour nos enfants, se dessine fermement que tout ce qui est gratuit a le plus de valeur. Pour l’évolution de son cerveau, ce sont les câlins – ce qu’il y a de plus gratuit – qui aide le plus à leur développement intrinsèque. Mental « et » affectif, émotionnel, moral, sans aucun paramètre laissé en friche… Car caresse de Car, carus : cher « parce que » chéri, c’est le chéri qui rend cher, très cher. Pas l’argent du capitalisme.
>> - 2) ***** Cher c’est « parce que » très chéri et pas enchéri. L’argent est un intrus qui peut être nuisible. Il n’est cher de rien – juste enchéri, augmenté sournoisement, avec des grimaces plein la gueule. C’est ce que nous chérissons qui rend cher, et surtout pas l’argent, surtout depuis qu’il se montre atrocement corrompu par le haut. Oui, seuls des pervers peuvent faire semblant de croire que cher ne vient pas de chérir et surtout pas de « caresser » les billets rêches et insipides du fric. Non et non puisque, précisément, car- esse, esse étant le très attribut de l’être éclate de la vérité qui est …chérir d’être.
>> - 3) ***** Ce sont donc les câlins vitaux pour les bébés qui mettent par terre la société si inhumaine et non durable de la grave puérilité capitaliste, cet inadmissible enfantillage. Caresses = chérir d’être…Et donc ? Offrir des caresses au bébé c’est lui offrir de l’être plein pot. Donc de la qualité pas de la quantité abusée…Pas de la trop fausse monnaie de tout ce qui est artificiel. Surtout pas : ceci n’est cher à aucun cœur car le crétin bourgeois est pris la main minable dans le sac : comme il ne sait pas chérir, il ne peut qu’enchérir. Ridicule et pitoyablement miteux. Tous d’extrême fainéants des sentiments et de l’amour. Allons, allons, ça suffit largement avec ces imposteurs…
>> - 4) ***** Archi coincés les déstabilisateurs du sommet, les grands corrupteurs qui veulent détruire la société par le haut…Complètement dans les cordes les trop fausses élites. Au piquet tous les médias d’argent sale. Dehors les stars trop collées au système (leur choix reste simple : profiter de leur situation spatiale actuelle afin d’accélérer le post-capitalisme ou s’incruster dans le système qui est en train de finir lamentablement – foi de penseur de fond – et à leurs seuls risques et périls…hou les vraiment trop vilains…). L’essentialité des caresses détruit tous les fondements tricheurs des oligarchies et des inégalités illégales. Ce n’est pas rien !
>> - 5) ***** Amour prouvé et éprouvé – cela vaut véridiquement de l’or. Nous chérir rend nos vies vécues tellement plus chères…Et, par contraste, avoir des enfants pour les saccager de matérialismes et d’objets, tous les doigts de se tendre contre vous…vous êtes de très « mauvais » parents ceux par qui le mal (qui fait tout mal) s’insinue dans la chair de nos bébés (comme pour les amérindiens responsables, tous les bébés du monde sont, aussi, sous notre entière responsabilité : la grande famille humaine !)…Les cadeaux suprêmes sont ceux de la gratuité. De l’être pas de l’avoir. Ce qui est payé par l’argent vaut toujours infiniment moins : rien à y chérir. Tendresse ce qui fait parfaitement entendre, enTendre en nous rendant toujours plus tendres. Tendres de se tendre vers l’attention (cadeau magnifique pour un enfant que ce soleil du regard qui se pose sur lui/elle) et devenir un sentiment émotionnellement vécu. Et ce n’est que le minimum de nos devoirs impératifs !
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Avec les câlins le cerveau des enfants se développe vraiment au maximum. Prouvé – vous daignez penser à un héritage à vie pour vos enfants. ? Assez donc d’idéologies et d’arrogances, plus de conflits ni de guerres, plus de désirs d’argent fou, non du câlin ça le cale bien et plus de pocs pocs et de bisous où où les bisous ? Partout. Câlin c’est très bien …pas de câlin c’est plus que con, c’est le parent nul / Pire ? Vous privatisez les câlins vous êtes un parent plus que dénaturé. Prouvez votre l’amour- éprouvez le en commun. Le câlin c’est gratuit et TOUT CE QUI IMPORTE EST TOUJOURS GRATUIT. Ne faites plus de cadeaux payants aux enfants, ou vraiment le moins possible. Méfiez-vous de la société de consommation, elle HAIT nos enfants, ne leur veut que du mal. Les enchaîner, les empêcher de s’épanouir et ne plus se percevoir que comme des nullités, nullités qui ne se « débloquent » qu’à coups de fric trébuchant : vraiment trop de cruautés ! Cruelle parce que elle ne peut leur « offrir » des câlins » justement. Elle ne les a jamais chéris. Rendus chers pour ce qu’ils sont, non pour ce qu’ils ont…Les déstabilisateurs du haut de la société sont en train de tooooooooombeeeer drus .
« Une étude faites suite à un sondage du Children’s Hospital Nationwide dans l’Ohio a révélé l’importance de l’affection physique qu’obtienne les bébés en phase de développement. Selon les résultats, cela aurait un impact important dans le développement de leur cerveau.
Prouvé-scientifiquement-:-plus-vous-câlinez-votre-enfant-plus-son-cerveau-se-développe
L’étude a été menée sur 125 bébés à la fois nés à terme et prématurément. Elle a indiqué que les bébés nés prématurément ont répondu à une affection inférieure à celle des bébés à terme. Une réaction plus forte au cerveau a également été observée chez les bébés qui avaient reçu plus d’affection de la part du personnel ou des parents.
Ces révélations sont, selon le Dr Nathalie Maitre, la preuve qu’un simple contact physique peut être décisif dans le développement de l’enfant : «Veiller à ce que les bébés prématurés reçoivent un contact positif et favorable comme le contact physique par les parents est essentiel pour aider leur cerveau à réagir à un contact physique semblable à celui des bébés qui ont vécu une grossesse entière dans le ventre de leur mère», affirme-t-elle à Science Daily. »
Source…How-touch-can-shape-babies-brain-development ?
Comment le toucher sculpte le développement du cerveau ?
Explication plus approfondie…Your-kids-really-do-need-all-those-hugs
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Pour générer de l’attachement, il faut juste de l’attachement
L'expérience-de-Harlow-;-théorie-de-l'attachement
Une expérience qui aura séparé des bébés singes de leurs parents aura permis de vérifier, implacablement,…la cruauté ravageuse de cette séparation, de cette plongée dans le…désert affectif… « Le résultat fut complètement horrifiant. Les mères ne s’intéressaient pas du tout à leurs bébés, elles les ignoraient, ne leur donnaient pas à manger : en définitive, elles ne les aimaient pas. Certaines en venaient même à les mutiler, provoquant parfois leur mort.
[[ D’où les mères de substitution (afin d’apprivoiser l’absence) : Même si ce n’était qu’une peluche, un jouet, les petits macaques la considéraient comme leur mère et se rendaient près d’elle quand ils en avaient besoin.]]
Au-delà de vérifier ou non la théorie de l’attachement de Bowlby, la cruelle expérience de Harlow a mis au clair que les nécessités des macaques allaient beaucoup plus loin que l’obtention d’aliments ou la possibilité de se reposer. Pour un développement sain, ces petits singes préféraient combler ce manque de « chaleur » plutôt que combler leurs besoins alimentaires.
D’un autre côté, dans le laboratoire de Harlow, il fut aussi prouvé que les premières relations des petits étaient cruciales pour leur comportement à l’âge adulte. Ainsi, on voit bien que la privation d’une stimulation sociale lorsqu’ils étaient petits leur faisait perdre tout intérêt pour ce type de contact lors des années postérieures et lorsqu’ils avaient l’opportunité d’en avoir [[l’économie des sentiments et des émotions se montre donc infiniment plus précieuse que la pitrerie capitaliste scandaleuse de l’économie des objets…qui prend « la place » des humains. Le capitalisme n’est qu’une barbarie inculte qui prend et très illégalement la place des parties sérieuses de la vraie vie. Il faut libérer la société de cette arriération indigne !]].
La privation de tendresse chez les êtres humains : En extrapolant ces conclusions aux êtres humains, les enfants qui n’ont pas reçu l’affection nécessaire dès leur plus jeune âge, qui se sont sentis isolés, qui ont été rejetés, auront de sérieuses difficultés pour développer des relations saines. Une trace ineffaçable qui laissera des carences affectives et une nécessité de chercher à ce que quelqu’un leur offre « à tout prix » ce qu’ils n’ont pas eu au cours des premières années de leur vie. Nous parlons bien sûr de dépendance émotionnelle. Ainsi - Quand les bébés macaques [[privés de leurs parents ]] avaient peur, ils s’agrippaient avec force à la peluche, et celle-ci les faisait se sentir en sécurité.
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[[ La preuve par la privation complète ?]]…L’expérience menée auprès de macaques rhésus : Harlow s’est servi, pour ses expériences, d’une espèce asiatique qui s’habitue facilement à vivre parmi les hommes. Le but était d’étudier leur comportement en laboratoire pour vérifier la théorie de l’attachement de Bowlby. Et bien sûr, pour ce faire, Harlow a séparé les bébés de leurs mères pour voir comment ils réagissaient. Mais Harlow ne s’est pas seulement limité à regarder ce qu’il se passait, il a aussi utilisé une curieuse méthodologie. Dans les cages où étaient placés les bébés macaques se trouvaient deux objets : un biberon rempli, qui leur fournissait l’alimentation adéquate et une peluche, ou une marionnette, qui ressemblait à un macaque adulte. Cette peluche n’avait aucun type de nourriture à offrir au bébé
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Ce-qui-arrive-quand-une-mère-ignore-son-bébé
Vers quoi allaient se diriger les bébés ? C’était quelque chose qu’Harlow voulait découvrir, non seulement pour prouver la théorie de l’attachement de Bowlby, mais aussi pour découvrir la réalité de l’amour inconditionnel. Le résultat a montré que les bébés préféraient la peluche, même si celle-ci ne leur fournissait aucun aliment [[ce qui donne infiniment tort à la vulgarité des cœurs bourgeois qui ne savent « que » tout rabaisser, tout salir et tout souiller. Des sentiments aux émotions, de la beauté à la bonté – ce vain barbare ne sait « que » tout polluer…Non, manger ne réparer par tout (nous sommes toujours au-dessus de ces lâches diffamations). Non, le bas matérialisme n’est pas préféré à tout ce qui constitue la vie. Oui, les sentiments restent supérieurs aux besoins, Non, les humains ne se détournent pas de l’amour inconditionnel pour les perversités répugnantes du capitalisme. Il a tout faux : il a perdu. Et le cœur vulgaire du bourgeois devrait bien aller cuver ses erreurs ailleurs !]].
Cela permit à Harlow de vérifier l’importance de la relation et de l’attachement que les bébés ont avec leur mère quand ils sont tout petits. Même si elle ne leur donnait pas à manger, les bébés choisissaient la peluche qui, pour eux, adoptait le rôle de mère. C’est avec elle qu’ils préféraient passer leur temps. L’autre objet n’était qu’un simple aliment qui ne leur donnait ni chaleur ni tendresse. »… A bas donc la si grossière cruauté du capitalisme, le sommet de la bêtise brutale. Nous préférons chaleurs et tendresses à sa trop fausse monnaie glaciale et barbelée…le capitalisme a vraiment QUITTÉ TOUS LES CŒURS (enfin sauf ceux d’une infime minorité qui n’en a jamais eu, de toutes les façons !).
********* Ce livre nous explique « en nous faisant tout ressentir et vivre de l’intérieur » tout ce qui est tracé dans les grandes lignes plus haut. Notamment des pages 13 à 35. Oui ce genre de documents reste infiniment plus NÉCESSAIRES que la plus grosse partie de la prétendue « production littéraire » ahumaine et dépourvue du moindre assentiment aux sentiments.
Les mamelles du repos...livre important pour un futur commun....
………..(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste émerveillement nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Boris Cyrulnik a dit oh il y a plus de 30 ans que si nous consacrions le 1/10 ème de l’argent perdu dans les armes stupides juste afin de comprendre la portée de la caresse de la mère sur le bébé nous serions en paix depuis longtemps. Que de temps précieux de perdu – moi-même ayant présenté nombre de livres à l’édition inhumaine et plus qu’inculte (oui, j’affirme hautement qu’ils ne…savent pas lire les mots, les phrases et tous les paragraphes)…je sais que tout le monde y PERD dans l’absence irresponsable de ces livres. C’est dit.
Si c’est bon pour les enfants ce l’est toujours autant pour les adultes…ce n’est pas pour rien que le civilisé est civil (civil-isé), donc apte à offrir des câlins et de la tendresse non des coups et des injustices…Dehors la société qui bannirait l’amour inconditionnel et la puissance de la gratuité. Oui dehors puisqu’elle est déjà hors de…
Or ne règnent que qui retirent, enlèvent, jamais qui donnent, offrent ? Le gratuit reste SUPÉRIEUR à l’argent, cette lugubre pré-*histoire qui traîne tant en longueur…
L’attachement reste un besoin physiologique profond. Assez des ricanements pitoyables – le bourgeois est vraiment un grave arriéré…
seul le matérialisme et l’intoxication aux objets « gâte », abime un enfant - jamais la tendresse. Qui l’embellit au-delà de l’imaginable.
Cultive-toi quelque part. 179,123 likes · 180,377 talking about this. Allah ne change pas la situation d'un peuple tant qu'ils ne changent pas d'eux mêmes
l'isolationnisme humain bourgeois est bien...contre-nature.
Imago, le premier roman de Cyril Dion
Avec son premier roman, Imago (Actes Sud, 2017), Cyril Dion nous livre un récit sensible, intimiste et politique. En suivant les trajectoires de personnages entre la France et la Palestine, le ...
http://www.kaizen-magazine.com/cyril-dion-sarracher-de-son-cocon-pour-devenir-papillon/
« S’arracher de son cocon pour devenir papillon ». Il y avait un papillon (butterfly) que la toxique hideur du show bizz aura tenté d’empêcher l’étape évolutive de cette immense réussite humaine. Oui, hors du panier de crabes, ce papillon, ou oiseau, ou autre, oui un humain volant aura réussi, et à 100 %, à quitter le cocon, le cocon qui rend con s’il n’est pas quitté. Et à devenir complet papillon, celui qui reste au bout de la langue, des papilles à papillons…Ce qui nous est proposé comme but futur est donc atteint depuis très longtemps…Où ont-ils donc le cœur pour en savoir si peu ?
Bowlby et la théorie de l'attachement.
Il nous parle de l'adoption, de la résilience, et de l'attachement.
Les besoins du corps émotionnel - Lise Bourbeau
d'où vient donc le besoin de tendresse des fauves ?
les besoins de massages des enfants enfin entendus et récompensés….
EXPÉRIENCE SOCIALE (La force des câlins) | The power of hugs Social Experiment
Un homme rencontre un ours brun sauvage dans une forêt de Turquie. Ils vont se rapprocher l'un de l'autre jusqu'à s'enlacer au beau milieu d'un ruisseau ! Il faut savoir que cet homme avait sauvé la vie de l'ours lorsqu'il était enfant. Des retrouvailles fortes et émouvantes qui se finalisent par d'énormes câlins.
C'est probablement le cheval le plus affectueux au monde. Serait-ce, alors, l’humain qui donne le moins de TENDRESSE sur Terre ? Où serait alors sa profonde supériorité ?
Quelqu'un disait que le koala est l'animal le plus tendre et le plus désireux de câlins au monde. Cette thèse peut paraitre bien plausible, mais seulement, on a vu un animal autre qu'un koala qui ne demande qu'à se faire câliner et y met la manière. Il s'agit d'un lémurien qui est juste impressionnant à première vue, une chose est sûre, il sait bien ce qu'il veut et il le réclame au premier venu. Ses deux amis lui ont fait goûter des papouilles d'une douceur qu'il peut lui seul décrire. Il en redemande encore et encore montrant aux enfants qu'il adore ce qu'ils lui font. Très drôle ! Sauf que – la nature sans intrusions des perversités humaines, semble bien plus solidaire, aimante, cajoleuse, chaleureuse et amicale que la hideuse propagande capitalisme ose encore lui tenir tête. Câline nature…face au capitalisme ou le sournois cancre absolu ?
Il est paradoxal que ce chercheur ait fait souffrir tant de jeunes macaques pour "prouver" que le lien d'amour et d'attachement était plus fort que l'intérêt pour la nourriture seulement. A sa décharge, à l'époque (les années 50), on s'imaginait que les bébés humains ne souffraient pas, ils poussaient comme des plantes, il suffisait de les alimenter...On était loin alors d'accepter l'idée que des bébés singes aient pu souffrir psychologiquement. Plus tard, on fondera la théorie des attachement (Bowlby 1959) et, c'est seulement dans les années 60/70 que l'on prendra conscience de l'attention et des soins qu'il faut accorder aux bébés humains (Voir notamment Frédérick Leboyer)
À Brest, l’association Les Bébés Tritons organise des séances spéciales pour des nourrissons âgés de quelques mois seulement. Evidemment accompagnés de leurs parents.
Sabrina Philippe nous explique l'intérêt de se faire de la calinothérapie à l'occasion de la journée mondial du câlin qui, à cette occasion, sort de la seule journée et devient, effectivement, le….millénaire (1 000 ans) de câlins….
Les toxiques déviations bourgeoises : prendre l’attentive affection pour une affection maladive (ces nocifs arriérés appellent cela « le pathos » oubliant si bestialement que… « sans » pathos pas de sympathos, de sympathie, ou d’empathos, d’empathie. Ce qui fait qu’un humain se surpasse ces vains vandales ne savent que le souiller…l’absence de pathos effectivement est une grave maladie !)…. Non mais où ils ont le cœur tous ces ploucs avachis en costards-cravates ?,