Comment les riches sont de vrais fardeaux pour la collectivité ?
C’est le quotidien Reporterre qui nous dit cela. C’est que ceci doit être très grave pour qu’il déroge à ses habitudes de langage. Le fardeau à trainer des riches doit être, très visiblement, devenu trop pesant pour qu’ils nous alertent sur cette vérité de fond de la société : le sur-assistanat des trop riches dépasse, désormais, toutes les bornes. A croire que ce sont des handicapés lourds. Des attardés moteurs ou même mentaux, peut-être. Bref, de très lourdes charges pour nous tous…et qui sont en train de dépasser les capacités de chacun-e. L’intensivité de l’évidence que les riches pèsent beaucoup trop sur les autres a donc dépassé la zone de tolérance ? Très incompréhensible au premier abord. Passons donc tout de suite au second…
Reporterre.net//-Premiers-de-cordée-Les-riches-sont-un-fardeau-pour-la-collectivité
Après le texte de Reporterre, nous verrons, principalement, 3 exemples très frappants de ce fardeau non fardé des riches. Et, surtout, 2 catégories d’argumentations :
** 1) - Le fait désastreux que la BCE (donc surtout l’Allemagne qui, prenant l’Europe de haut, se permet de squatter, plus bas, l’argent commun !) se soit enrichie (sans strictement aucun besoin-alibi !) de 7,8 milliards d’€ sur la dos de la Grèce si pauvre et obéissante – celui–ci montre à quel point cette banque enclavée (très illégitimement et même inéquitablement – ce qui doit fendre le cœur des libéraux, si prompts à défendre la liberté des autres, vu que leur nom s’est planté dans liberté, libérez et autres très larges libéralités-pour-tous !
*** 2) - Et le fait tout aussi désastreux que les profits de certains capitalistes Cac 40 augmentent 4 fois plus vite que le montant (donc réel…) de leur chiffre d’affaires. Ce qui a le don de plomber tout l’avenir…commun. Et de nous les rendre encore plus fardeaux que d’habitude !
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La recherche de la richesse économique ne fait en rien le bien commun. Le bien commun commence même lorsque les avidités (jamais autocontrôlées) se mettent à proliférer comme la peste…. Oui comment contrer ? «Didier Harpagès est l’auteur de Mourir au travail ? Plutôt crever ! Ce qu’est le travail et ce qu’il pourrait être, 2017. Il collabore régulièrement à Reporterre.
« À l’heure où le gouvernement d’Édouard Philippe, aux ordres de l’omniprésident Macron, s’apprête, après avoir détricoté le Code du travail, à faire subir aux Français un choc fiscal lourd de conséquences, certains apôtres d’un vieux discours travestissent la classe dominante en nouveau concept économique de manière à prêter aux riches de louables intentions.
Il conviendrait donc de laisser faire ceux qui ont de l’argent car ils seraient les seuls capables de nous sortir de la crise sociale [[ qu’ils ont entièrement créé et qu’ils ne peuvent donc…qu’empirer !]] dont les plus vulnérables d’entre nous, qui ne sont rien, subissent les assauts répétés [[en plus d’$être spoliés à fond, ils doivent, aussi, « acceptés » d’être insultés…immenses hontes sur qui ose user de tels procédés…]]. La théorie du ruissellement (« trickle-down-theory »), qui conseille de laisser la bride sur le cou des riches afin de leur permettre de s’enrichir davantage, voudrait nous convaincre des bienfaits de cet enrichissement aveugle [[ zéro chance de traverser indmnes une grande avenue de New York : que les riches si compétents montrent donc l’exemple, les yeux bandés ]]. Il conduirait ses bénéficiaires à augmenter leur production et à créer des emplois. Encourageons, en somme, les riches à s’enrichir, leur richesse ruissellera sur l’ensemble des classes inférieures [[quels (cy)iniques !]]. Cruelle fourberie ! Madame Bettencourt, première fortune de France, ne fut pas assujettie à l’impôt sur la fortune. L’argent demeura précieusement entre ses mains. Au nom de quel principe vertueux ses héritiers seraient-ils disposés, à le faire ruisseler sur les plus nécessiteux ?
À dire vrai, ces considérations visent encore à crédibiliser la définition conventionnelle de la richesse, inscrite immanquablement dans nos imaginaires. Le premier de cordée, ce riche dont la réussite jugée exemplaire confère notoriété et prestige, demeurerait positionné immuablement au sommet de la hiérarchie sociale. Il s’autoriserait même à nous ouvrir la voie [[Or, se prétendant supérieur, il ne démontre – le plus souvent, que ceux/celles qui diffèrent l’excuse – des comportements extrêmement bas, donc il est…tout en bas, pas au sommet. Un exemple à ne pas suivre. Un tout dernier de cordée. Un antisocial qui ne mérite que cinglantes réprobations. La preuve qu’il n’est plus premier de cordée ? Comme pour une sorte d’handicapé lourd et de fatigué du ciboulot, il est privé de civisme, soulagé de payer des impôts, interdit de tout effort au bien commun, oui rendu irrationnel et non fiable en tout. Un riche premier de cordée ? Non, la plus vaste des fumisteries !]]
La richesse, « une distinction provocante » : qui adore semer des troubles ! La richesse est une notion relative dont le contenu peut être d’une grande diversité et qui varie, en fonction des époques, selon la préférence exprimée par les groupes sociaux, par les nations, par les cultures. Une évidence, pourtant, s’impose : la richesse des sociétés est faite d’un ensemble de biens et de services sur lesquels se focalisent les désirs du groupe social dominant. Dans les sociétés modernes, traversées par l’idéologie libérale [[sans libéralités donc anti liberté : la société libérale-antiliberté !]], la définition de la richesse et son appropriation sont assurées par ceux qui profitent du travail d’autrui. [[les vils voleurs des productivités, des plus-values collectives et des…dividendes qui ne leur pas, en totalité, destinés, au point que c’est la pârt la plus minime qui leur revient…]]. Véritable fardeau pour l’ensemble de la collectivité, les riches, condamnés (de manière consentante !) à la surconsommation, se font entretenir par les pauvres, lesquels végètent cruellement dans la frustration et parfois la misère. Loin de satisfaire authentiquement les besoins matériels et culturels, l’accumulation de richesses se déploie surtout autour du principe de l’ostentation, elle confère le déshonneur, « c’est une distinction provocante », selon l’expression forgée par Thorstein Veblen dans Théorie de la classe de loisirs.
Le but économique de l’acquisition n’est pas la consommation triviale de biens accumulés, mais la rivalité. [[et chacun-e rivé à sa rive d’inertie ]]. L’appropriation n’a rien à voir avec le minimum vital, mais avec ce qui provoque l’envie. Même dans les classes impécunieuses, observe-t-il, le besoin physique de consommer n’est pas ce qui apparaît comme prédominant. En milieu capitaliste, la consommation devient stratégique, elle permet d’afficher un niveau de vie supérieur à celui de son voisin [[mais aussi plus dépensier en, destructions de la nature, en méconnaissances de la survie de la vie, etc. : dans ces conditions exigeantes de concret : plus nous sommes riches et plus nous polluons, plus nous nous conduisons en ennemis de la société, en grands délinquants dont il s’agir de les diriger vers les prisons…]]. Son caractère ostentatoire, propice au mimétisme, est recherché par l’oligarchie, la classe acariâtre et parasitaire. Les riches tiennent autant à leur rang qu’à leur argent [[sauf que le rang c’est désormais du côté de la …lie de l’ Humanité…]]. »
L’oligarchie prédatrice, séparatiste, illégalement protectionniste mais que pour elle, autoexclue, détachée des préoccupations sociales communes, incapable de prendre en charge le monde de demain, si ce n’est sous l’angle de la profitabilité financière, voudrait imposer ses normes de consommation et, ce faisant, devenir l’acteur central des crises sociale et écologique [[le conclusion pend au nez : tout ira mieux SANS eux. Ils ne sont qu’un fardeau trop pesant et…si immérité pour la collectivité !]].
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« Les nantis, disposant de la prérogative de vivre du labeur des plus pauvres, se montrent si inaptes à utiliser la force de travail qu’ils se sont appropriée, de manière à produire de vraies richesses au sens où l’entendait William Morris. Ils dispersent « cette force à tout vent dans la production de pacotilles » de sorte que, ajoutait-il, « l’existence d’une classe privilégiée n’est en rien nécessaire à la production de richesses, [elle] sert bien plutôt au “gouvernement” des producteurs de richesses, c’est-à-dire au maintien des privilèges [[privilèges que la République a tous rendus…illégaux. La morale de ces moins que rien ne vaut rien, ils ne savent même pas ce qu’est l’éthique…ils devront accepter la nôtre plus solide que le solidaire ! Ces égarés immoraux n’ont plus d’auras du tout…Ils ont perdu et à 100 % sur la morale !]]. »
Orienter la production selon ses désirs, provoquer un gaspillage insouciant [[ces sales gosses commencent à courir sur le…système. Inconscients et puérils…il nous faut les placer sous tutelle !]] des ressources naturelles, amplifier la crise écologique, qui n’a aucun précédent dans l’histoire de l’humanité, imposer une désorganisation délétère du travail, déposséder la classe laborieuse du produit de sa souffrance, l’amputer de ses facultés créatrices, c’est le projet insensé, irresponsable, dépourvu de toute légalité, lancé à la face du monde par la classe des possédants (très dépossédés en « valeurs » intellectuelles, morales, affectives et émotionnelles…que leur restent-ils dans leur archaïsme d’égoïstes corporatifs, de trop crispés sur des droits acquis complètement moisis, d’ennemis trop chenus du vrai Progrès Social ? Rien, aux moins que rien. Puisqu’il fallait – humour cosmique de très grand cru – des riens pour que les moins que rien émergeassent !]]. Une exaltation de la production et de la consommation, une sanctification de l’économie et de la croissance, une vénération pour le faux progrès et l’anti-innovation [[toujours « zéro concurrence dans la culture c’est toujours la même glaciation par les monopoles plus qu’illégaux » – citation de la Commission européenne]], une convoitise et une vénalité [[ les deux très déshonoRente]], tout cela entretenu par une minorité, exempte de vertus civiques, [[ pire que des voyous, toutes définitions…]] aux seules fins de préserver son rang social [[ demande considérée comme absolument irrecevable : on répare d’abord tous les dégâts, ; on retourne ensuite à l’école pour apprendre à…vivre et on demande la permission aux vrais adultes avant de dire des conneries !]]. Un petit cinquième de la population mondiale accapare [[malgré la Commission européenne si à cheval sur les « faux » monopoles mais qui laisse passer tous les …vrais]] un grand quatre cinquièmes de la production mondiale. Fallait-il le rappeler le jonc ?
Ainsi, il apparaît salutaire de fustiger notre adversaire, le non-premier de cordée, et surtout de le détacher de la cordée tout entière afin que celle-ci récupère sa dignité. L’objection faite à cette intolérable verticalité, venue d’une époque lointaine, ouvrirait une autre voie, celle de l’émancipation et de l’autonomie [[les nôtres en l’occurrence et la perte de leur hégémonie vraiment trop indigne !]]. »
Le-premier-de-cordée-ne-part-pas-:-il-se-rend-dignement-au-guichet
Erreur très radicale sur les premiers de cordée : JAMAIS ils ne vont puiser illégalement dans l’argent public. Ne fraude ni ne s’exonère, ne pas s’enfer fiscalement les autres (qui ne paie pas d’impôts les fait payer par les autres – plus grave manque de respect, impossible à trouver -, etc. Ces « faux » premiers de cordée sont donc bien les…tous derniers, ceux que les vrais créatifs doivent se traîner…
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Illustration en très grand du fait que ces trop riches soit des FARDEAUX, fardés souvent, des fardeaux immérités du reste de la société. Les textes sont assez longs puisque leurs arguments sont de poids et que l’analyse ne rate rien…aussi rien n’oblige (sauf la curiosité, là, bien placée) de tout lire. Nous extrayons, les ayant lus, juste le minimum…pour la compréhension…
Comment-la-BCE-a-gagné-7,-8-milliards-d-euros-grâce-à-la-fausse-dette-grecque-?
« Les programmes « d’aide » à la Grèce ont plus profité aux créanciers d’Athènes et aux banques européennes qu’au peuple grec, explique Eric Toussaint, porte-parole du Comité pour l’abolition des dettes illégitimes, dans une tribune au « Monde » [[en clair, les prétendes « aides » pour la Grèce n’ont jamais atteint leurs légaux destinataires mais sont allées directement dans la poche de leurs prétendus créanciers. Qui – ajoutant à cette turpitude - vont encaisser les « intérêts » de sommes qu’ils ont déjà monopolisées (et donc sur lesquelles AUCUN intérêt n’est à percevoir !). N’est-ce pas là un comportement de grave fardeau de la société ? Qui ose, de plus, faire la morale solennelle de « il faut payer ses dettes » (alors qu’eux-mêmes se délestent des leurs sur…autrui !). Et, derrière l’enfumage si peu reluisant, nous ne les voyons exhiber rien d’autre que des attitudes de délinquants ?]].
Comment la BCE a gagné « 7,8 milliards d’euros grâce à la fausse dette grecque » ? Mario Draghi vient de reconnaître, dans une lettre de réponse au député européen Nikolaos Chountis (Unité populaire), que les banques centrales membres de la zone euro avaient accumulé 7,8 milliards d’euros de profits grâce aux titres grecs que la Banque centrale européenne (BCE) a achetés au cours des années 2010-2012 dans le cadre du programme SMP (« Securities Markets Programme ») [[ il ne reste qu’à imaginer l’ampleur de ces gains de…pillages sur l’ensemble des années ? En gros, un seul mot peut répondre à l’énormité de telles injustices…Remboursez ! et avec intérêts…]].
A cela s’ajoutent d’autres sommes, dont n’a pas parlé le président de la BCE : les profits réalisés par ces mêmes banques centrales dans le cadre des achats dits ANFA (« Agreement on Net Financial Assets »). Il faut également ajouter les profits réalisés par les 14 pays de la zone euro qui ont octroyé un prêt bilatéral à la Grèce en 2010 à un taux d’intérêt abusif d’environ 5 %. [[en gros, cette prétendue « dette » génère des profits énormément…indus !]]
Le problème principal venait des banques privées : Il faudrait comptabiliser aussi les économies réalisées par les pays dominateurs de la zone euro dans le refinancement de leurs propres dettes publiques : la crise qui a frappé la Grèce et les autres pays de la périphérie a entraîné une fuite des prêteurs, privilégiant les pays les plus riches de la zone euro qui, en conséquence, ont bénéficié d’une baisse du coût de leurs emprunts [[au pays du grand déshonneur toutes les mesquineries se multiplient…]].
Enfin, la BCE a acheté dans le cadre de sa politique d’assouplissement quantitatif (« quantitative easing » - traduire par tout pour les dettes de l’argent illégal…) pour 400 milliards d’euros de titres souverains allemands, le plus souvent avec un rendement nul ou négatif. La BCE a également acheté des titres souverains français pour un montant un peu inférieur à 400 milliards d’euros [[ récompenser les plus mauvais élèves et les citoyens européens les plus déplorables, en fait ?]]. Ces achats de titres allemands ou français ne lui rapportent rien, tandis que les titres grecs qu’elle détient pour un montant dix fois inférieur lui ont rapporté 7,8 milliards d’euros [[ l’impossibilité factuelle qu’il en soit ainsi signe cette réflexion : mais la « minuscule » demande grecque, face à ces gigantesques de « cadeaux » de 800 milliards franco-allemands, aurait mérité un traitement tellement plus bienveillant. L’improbabilité, aussi, que « seule » cette titrisation « rapporte », signe, au moins, un traitement asymétrique, volontairement très défavorable et plus qu’inégalitaire entre les pays. Donc un vrai effondrement moral des prétendus « dominateurs » derrière une façade si, étourdiment, moralisatrice (faites ce que…j’ordonne, mais ne vous comportez surtout pas comme moi – quels aveux !) ]].
Dès 2010, la BCE est intervenue [[ce qui contredit les règles de non-intervention du libéralisme…]] avec comme principale préoccupation [[la plus indigne qui soit ! Une véritable mentalité de charges pour les autres…]] de limiter au maximum les pertes des banques privées françaises, allemandes, italiennes et du Benelux, très exposées [[ l’injustice ne sait même pas parler de la surexposition plus qu’illégale de la Grèce…abandonnée à toutes ces bestialités qui ne peuvent qu’être …régulées et vite. Tant leurs autocontrôles n’existent pas !]]. Le texte suivant démontre le pas à pas des mécanismes où – les yeux tout le temps ouverts – la déchéance des banques privées (dont la BCE parait se croire appartenir…alors qu’elle est…législativement, publique et alimentée par les contribuables. A charge, pour elle, de traiter équitablement chaque pays sans en…privilégier aucun. Dont acte : la BCE ne peut plus qu’être accusée !]].
Les-profits-odieux-de-la-BCE-sur-le-dos-du-peuple-grec
La mécanique est implacable : chaque fois qu’une partie des profits de la BCE sur les titres grecs a été transférée à Athènes, la somme est immédiatement repartie vers les créanciers pour rembourser la « fausse » dette. Il faut mettre fin à ce pillage. Et les pillards en prison. Les profits de la BCE réalisés sur le dos du peuple grec doivent être rétrocédés à la Grèce et être intégralement utilisés pour financer des dépenses sociales afin de remédier aux effets dramatiques des politiques dictées par la Troïka et relancer l’emploi. La dette réclamée à la Grèce doit être annulée car elle est illégitime, odieuse, illégale et insoutenable. C’est ce qu’a démontré la Commission pour la vérité sur la dette grecque mise en place par la présidente du parlement grec en 2015. Le mémorandum en cours doit être abrogé. »
Revenons sur la politique de la BCE à l’égard de la Grèce, en 4 actes.
« Acte 1 : Le rôle de la BCE dans le premier Mémorandum de 2010
Résumé de l’acte 1… La BCE intervient :
- en refusant une réduction de la dette grecque afin de protéger les intérêts des banquiers privés étrangers et grecs.
- en faisant partie d’une Troïka qui organise le remplacement des créanciers privés par des créanciers publics (à savoir dans un premier temps 14 États de la zone euro pour un montant de 53 milliards d’euros et le FMI pour un montant de 30 milliards d’euros).
Acte 2 : La BCE permet aux grandes banques privées de se dégager trop avantageusement de la Grèce [[or tout contrat inclut 2 parties : le contrat de remboursement d’une « fausse » dette ne peut qu’être…irrecevable – rupture unilatérale sans en avertir le partenaire !]].
Acte 3 : La BCE profite de la restructuration de la dette grecque de mars 2012 et se comporte comme un fonds vautour [[du gente à qui un procès est fait !]].
Les banques françaises, allemandes, italiennes et du Benelux s’étaient dégagées en revendant les titres grecs à la BCE, à des banques chypriotes et à des fonds vautours. Pour faire simple, les banques chypriotes ont pris de plein fouet le haircut et cela a contribué à la crise chypriote qui a suivi quelques mois plus tard et qui a trouvé son dénouement en mars 2013. Quant aux fonds vautours qui avaient acheté avec une décote, ils ont refusé de participer à la restructuration et ont obtenu un remboursement à 100 % [[ donc un vol manifeste puisque le remboursement devait se faire…moins la décote !]]. La BCE s’est comportée comme un authentique fonds vautour et obtient également un remboursement à 100 % [[plus en tort – puisqu’elle est supposée connaitre à fond la loi, se permettant de l’imposer aux autres…]].
Acte 4 : La BCE fait du chantage permanent [[ or, un chantage ne peut exister que si le « perdant » du chantage (qui le gagne, en général, ne mérite aucun respect ! Code Civil oblige ! Donc sur le plus long terme, ne « gagne pas »…) oui a de la…morale. Pas de morale et des « valeurs » existantes, pas de chantage possible ! En bref, cycle des actions-réactions qui n’a rien à voir avec aucune « morale » : toutes les trop mauvaises actions reviennent immanquablement, boomerangs, vers ses initiateurs…]].
Après la restructuration, la BCE met fin au programme d’achats SMP et lance le programme OMT (Opérations Monétaires sur Titres, ou en anglais, Outright Monetary Transactions). La BCE se fait rembourser les titres grecs à 100 % de leur valeur et à des taux d’intérêt qui peuvent atteindre 6,5 % ( contre des moins de 1 %, parfois, pour l’Allemagne). [[ La discrimination est TOTALE : à l’échéance de chaque titre, la BCE perçoit 100 % de la valeur alors qu’elle a acquis ces titres avec une décote importante…de l’ordre de 30%. Les taux d’intérêt réels exigés de la Grèce sont totalement usuriers. Et 2) – le libéralisme par ses moyens propres ne CONVAINC pas : voilà à quoi ce pitoyable libéralisme en est donc réduit…La BCE et les autres créanciers utilisent la perspective de libérer le solde des intérêts comme un moyen de chantage permanent pour forcer le gouvernement grec à approfondir les réformes néolibérales qui produisent des effets dramatiques sur la population grecque. Plus ennemis concrets des peuples ? les « migrants » véridiques de la BCE !]].
Vu le caractère clairement abusif de sa position, dénoncée y compris par le gouvernement grec, la BCE s’engage [[ un revers pour ces rapaces inexcusables !]] à rétrocéder à la Grèce les intérêts perçus. Effectivement, elle effectue au bénéfice du gouvernement Samaras un remboursement de 3,3 milliards d’euros en 2013 et 2014 pour soutenir sa politique néolibérale. En revanche, pendant les six premiers mois du gouvernement de Tsipras, elle refuse d’effectuer une quelconque rétrocession. Depuis lors, la BCE et les banques nationales de la zone euro n’ont rien reversé à la Grèce [[ que fait donc la police face à ces illégalités vraiment…scandaleuses ?]]. Les montants non rétrocédés à l’heure actuelle à la Grèce s’élèvent à plusieurs milliards d’euros. [[mais, le doublon immoral n’est pas fini : les banques privées sont en posture de permanentes délinquances et, pourtant, elles persistent – mécaniques folles – à exiger…]]… Les remboursements des titres grecs détenus par la BCE sont censés se poursuivre jusque 2037 ! » …Nous avons bien capté, là, la structure de la corruption morale toxique qui assiège et pourrit les cerveaux « centraux » : il est « normal » de se conduire en gangster innommable envers les faibles et les pauvres. Comme il est « normal » de monter sur les grands chevaux de « fausses » indignations pour toujours exiger plus des…pauvres…qui ont (pourtant) déjà PAYE PLUSIEURS FOIS la vie indigne des riches. Ces trop graves fardeaux pour la collectivité !
(…) En matière de profit sur le dos de la Grèce, le FMI n’est pas en reste. Entre 2010 et 2015, il a empoché illégalement 3,5 milliards de dollars de bénéfices sur les crédits à la Grèce [[ et ses dirigeants se permettent, hors toute décence, de faire de la morale à ces pauvres qu’ils exploitent illégalement si…ouvertement !]]. »
Autre effondrement moral de ces nuisibles fardeaux ? La fuite permanente dans l’irréalité - le porte cravate-veston enlève-t-il tant de neurones ? Faut être fous pour ne pas s’occuper de l’économie…réelle. Hautes trahisons des fonctions bancaires. Et donc sanctions contre la BCE ? Son incompétence hautaine dépasse tous les entendements. Une banque qui ne finance plus l’économie réelle DOIT FERMER !
Frais-bancaires-usuriers-:-comment-les-banques-assomment-les-clients-en-difficulté-?
Une sale habitude donc structurellement incrustée : les banques ont « le doit » de spolier en direct les plus faibles. Ce qui parait absolument dément et sans…démenti. Suffit de modifier en un « n’ont surtout pas le droit » et les injustices de disparaître :
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« Les entreprises du CAC 40 ont engrangé plus de 52 milliards d'euros de profit pour 650 milliards d'euros de chiffre d'affaires au cours des six premiers mois de l'année. La tendance [[désastreuse pour la société]] observée en 2016 (+32%) s'est conFirmée. Les bénéfices déjà engrangés représentent plus des deux tiers des 75,4 milliards d'euros glanés l'an dernier.
"Je pense qu'il faut mettre ça dans un contexte global", a déclaré videment, à l'AFP, Vincent Juvyns, stratégiste chez JPMorgan AM. "Le monde économique va globalement bien [[strictement faux – il est devenu un fardeau inassumable pour la société…réelle !]], ce qui est évidemment de bon augure pour des marchés, des entreprises extorquatrices dans de nombreux cas, comme celles du CAC 40"..."En l'absence de risque géopolitique majeur ou d'erreur de politique monétaire, on est parti pour une très bonne période", a-t-il ajouté en pleine perdition de ses facultés mentales [[ Puisque si les profits dépassent si largement les flux de recettes concrètement réalisées, Qui PAIE LE DIFFÉRENTIEL ? Cela coûte toujours PLUS CHER d’être pauvre ? Et pourquoi cela coûterait « toujours plus cher » ? N’est-il pas le gigantesque héros qui paie TOUTES ses dettes et au tarif le plus fort ? Qui doit offrir sans cesse des garanties à des riches qui n’en offrent…plus aucune. Bref, qui peut parvenir…jusqu’à payer 7 FOIS ce qu’un « pauvre » riche paie toujours si peu. L’impossibilité matérielle et structurelle qu’il soit fait plus de Profits que de recettes prévisionnelles vient de se démasquer. En effet, ces profits viennent…d’ailleurs…Ce sont des COÛTS reportés sur d’autres, ils ne naissent jamais de rien, ces profits. Sinon que de se produire…au détriment de toujours quelqu’un. Pour caricaturer, un gain = quelqu’un perd ! ]]. »
Et les plaintes en irréalismes de pleuvoir…(l’actualité de tous horizons en pullule !) …ce jour même…
L'escroquerie-de-la-fausse-monnaie-:-la-Bce-va-continuer-même-après-2017
Remarquons que la grande diversité des sources utilisées pour ce texte exclu toute possibilité de mauvaise perception des réalités…Au contraire, nous nous retenons (en véritables responsables) de nous aveugler de triomphalisme. Cependant, la tendance est claire…Le capitalisme perd : car il perd toute possibilité de trouver une posture de moralisateur – donc de faire voter des lois et d’obliger à leur application. C’est lui le grand coupable, le délinquant, l’accusé…notre morale lui fait barrage partout…qu’il passe en jugement, soit dessaisi de toute décisions et soit mis…sous tutelle : son SÉPARATISME est inacceptable. Il n’a pas le droit de vivre à part et de voler, en même temps, tout l’argent public…ou l’argent des autres pays.
Tout comme des réalités sont profondément « étouffées » par des médias unipolaires dans un monde multipolaire. 2 seuls exemples de ces chouchous plutôt dépravés de ces médias scandaleusement désinformateurs ?
Allemagne :..le nombre de travailleurs pauvres a doublé en 10 ans : [[ donc échec social retentissant – modèle à ne pas suivre…]]
L'Allemagne-qui-tourne-le-dos-face-à-la-hausse-anormale-du-nombre-de-travailleurs-pauvres
Royaume-Uni :..100 milliards de dette étudiante
– 75% pourraient ne pas rembourser = et les parents-cautions expropriés + dettes à rembourser
– jusqu’à 40 000 livres d’intérêts sur 30 ans = révolte de la jeunesse prophétisée [[ le fracassant échec du libéralisme non filtré …il se sera enfoncé tout seul, ce qui rend d’autant plus aisé son rejet collectif…]].
Dette-étudiante-la-bulle-qui-gonfle-follement-au-royaume-uni
etc.
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Les-ultrariches-sont-les-vrais-assistés-de-la-République
Comme il n’y a pas le droit, éthiquement, de gagner 4 fois plus de profits que de réalités… 4 fois plus de société désorganisée pour en faire tomber quelques « misérables » profits » - la conclusion résonne sombrement sobrement : ces « grands enfants », insouciants et irresponsables, complètement fous mais surprotégés, vivent dans un…sur-assistanat permanent : non, jamais ils ne sont mis en face des conséquences de leurs inadmissibles comportements. Ce qui donnerait quelque chose comme…
50-chiffres-économiques-qui-sont-presque-trop-fous-pour-y-croire
Les médias et surtout la télé qui nous désinforment si bien évitent certains sujets qui peuvent gêner, c’est bien connu. Par exemple, on ne parle plus de Fukushima, ni de la Grèce (ou si peu…), rien sur le futur conflit en Iran, pas un mot sur la situation réelle des USA, ni de l’Europe soit dit en passant… Rien qu’aujourd’hui au JT de TF1 : sur 30 minutes, 20 uniquement consacrées à la vague de froid …ou de chaud…de la pluie et du vague beau temps ! [[c’est du vol caractérisé de « temps public » - le « droit à l’information » se voit sans cesse piétiné par des voues déguisés en costards-cravates…]]
The Economic collapse blog – Bien que la plupart des américains se sentent frustrés par l’économie actuelle, la vaste majorité d’entre eux n’ont toujours…aucune idée de la gravité de notre déclin économique ou des difficultés à venir si nous ne prenons pas immédiatement des décisions radicales [[abolir la financiarisation du monde…revenir à sa production « effective » par l’économie…réelle !]] Si nous n’informons pas les américains que l’économie des USA est atteinte d’une maladie mortelle, alors ils continueront à croire tous les mensonges que les politiciens leur servent depuis des lustres. Quelques ajustements de chochotes ici et là ne suffiront pas à réparer notre économie.
Nous avons vraiment besoin de changer fondamentalement de direction. L’Amérique consomme bien plus de richesses qu’elle n’en produit [[dehors les fous irresponsables du tout gaspiller c’est s’enrichir alors que c’est…tout appauvrir !]]. Si nous restons sur le chemin actuel, un effondrement économique est inévitable [[ les riches ne pourront indéfiniment vivre sur le dos des pauvres…]]. Espérons que les données économiques que j’ai inclus à la fin de cet article [[ 50 chiffres…reportables à chaque année du système…]] seront assez choquantes pour réveiller quelques personnes.
Si nous y travaillons tous ensemble, peut-être que nous réveillerons des millions de personnes qui prendront conscience que le « business as usual » provoquera un effondrement de l’économie nationale. Bien sûr, le cœur de nos problèmes économiques est la Réserve fédérale [[ ou la BCE]]. La Réserve fédérale est une machine à dette perpétuelle, elle a presque complètement détruit la valeur du dollar américain et elle a un palmarès absolument cauchemardesque de l’incompétence. [[idem pour la BCE et la Commission européenne ]]. Si le système de la Réserve fédérale « privée » n’avait jamais été créé [[ et la BCE se comporte toujours plus comme une banque…privée, comme « la » banque des banques privées…rien de plus facile donc que de la placer sous TUTELLE des pays souverains, ceci se fait ces temps –ci !]], l’économie américaine serait en bien meilleure forme. Le gouvernement fédéral doit faire cesser la Federal Reserve [[ un seul acte : faire du Crédit un service public. Cette innovation d’un immense Progrès va entraîner tous les sains changements…tout est simple et efficace lorsque nous ne mentons jamais…]]. »
Ces textes tous plus ahurissants les uns que les autres auront détaillé – à la perfection – comment les riches sont devenus un FARDEAU insupportable pour la société ( plafonnement des patrimoines lorsque 52 % du PIB mondial, dès sa sortie, sont « monopolisées » par moins de 500 entreprises (et donc le PIB ne « sert à rien ») – avec limitations saines des revenus globaux)…Ce ne sont pas les personnes qui doivent recevoir les colères justifiées mais bien leurs positions…structurelles (les rendre toutes…impossibles !)…et, à l’avenir, « vouloir être trop riche » sera juste considéré, avec commisération du commissaire, comme une maladie mentale…puisque…
…………Oui tout et tout ira bien mieux SANS EUX, sans les trop riches !
………(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 600 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Les riches sont les derniers de cordée – ceux que tout le monde doit traîner derrière soi…
la richesse ou la violence à l’état pur ¿
Une économie "Monopoly" donc unilatérale et qui refuse toutes concurrences dans son monopole profondément illégal ?
Langage de dément : un bénéfice doit rester…bénéfique. Le maximiser c’est le rendre…toxique, anti-bénéfique…
si les banques prennent trop c’est qu’elles appauvrissent irrationnellement les populations…Elles sont, alors, un fardeau nuisible non un service bienfaisant.
Où est le ruissellement ? Je ne vois pas une goutte…
lorsque les investissements (donc le futur) sont négatifs mais que les profits s’engraissent – qui est FOU ?
de la destruction créatrice il ne reste que la Destruction lorsque la finance archi folle prétend remplacer…la production
Les entreprises sont tellement limitées qu’elles ne savent faire que les mêmes erreurs – la société doit les empêcher de la diriger. Elles ne savent RIEN et font tout mal…
Le profit nous a juste…persuadés que les têtes à profits sont complètement folles. Et qu’il faut les dessaisir de tout pouvoir décisionnel En gros, un riche peut le rester - mais ne PLUS RIEN DÉCIDER POUR LES AUTRES. Comme quoi nul n’a jamais été « jaloux » de son argent si pitoyable…
Quelle religion est globalement admise sans même que la plupart des fidèles n'en soient vraiment conscients ? Quels sacrifices sommes-nous prêts à faire pour ne pas subir "la colère" de ce qui nous est souvent présenté (à travers les médias) comme une entité surhumaine, et incontrôlable ?
La religion économique (religion du marché)
Qui sont les riches ? Du capital, salaires bruts ou nets, difficile de savoir qui est riche ou pas, surtout quand les données statistiques sont mêlées avec les résultats d'un sondage (donc rien de moins qu’objectif !)...
L'ASTV, la Télévision Locale de Grande-Synthe existe depuis plus de 30 ans. Elle est la pionnière des médias locaux puisqu'elle a été créée en 1982 et inaugurée le 10 janvier 1984. C'est d...
Vidéo…"la croissance économique n'est pas une solution!" L'atelier université populaire invite Didier Harpagès, Objecteur de croissance. Ancien professeur d'Économie au Lycée du Noordover.
Monique Pinçon-Charlot : le recrutement des riches. Oui, à voir de tels comportements de riches, il reste encore possible de se demander comment de tels parasites, vivant sur le travail des autres, peuvent arriver à des comportements aussi répréhensibles ? Et comment la société peut accepter de tels errements nocifs ?
La Banque centrale européenne a révélé que les sommes prêtées à la Grèce entre 2012 et 2016 lui ont rapporté 7,8 milliards d’euros en versements d’intérêts. Une vraie poule aux euros d’or pour la Banque centrale non-européenne. Est-ce vraiment décent ?
Est-ce que cela se fait de gagner autant d’argent « usurier » sur un pays bien plus pauvre que soi ? Aucune admiration de possible…Le ministère allemand des Finances affirme que l'Allemagne a gagné plus d'1 milliard d'euros. Pourtant, l'un des principaux partis d'opposition en Allemagne a soulevé des inquiétudes quant au fait que les intérêts sur les prêts ne vont pas aux...bons endroits.
Nicolas Doze : Dette: la BCE prive la Grèce d'un important canal de financement : s’il n’y a eu que des moyens déloyaux et dissymétriques d’employés ceci se nomme esprit de grande délinquance…
Ici encore surtout « déféliciter » ces gains parfaitement anormaux et déloyaux, ne respectant aucune règle – donc très dommageables pour les autres….Les bénéfices du CAC 40 ont bondi de 32,6% en 2016, à 75,8 milliards d’euros. C’est la meilleure année depuis 2010. L'analyse de Pierrick Fay, chef de service adjoint Marchés Les Echos. Leur faire ce qu’ils font aux autres ?
La course à la démence…CAC 40 : les profits des entreprises ont grimpé quatre fois plus vite que leur chiffre d'affaires. Ces détraqués vivent bien au-dessus des moyens des pauvres, dont ils demeurent les flagrants parasites.
Et ils seraient contents de devenir ainsi des fardeaux pour la collectivité ? Les profits des 40 valeurs de l’indice phare parisien ont bondi de 23,55 %, à 50,24 milliards d’euros, au 1 er semestre. Chiffres d’affaires, marges, bénéfices, la croissance mondiale « dope » les résultats des grands groupes français. De tels « dopages » sont pourchassées partout et les dopés sont exclus de la course. Et doivent verser une forte amende. Alors ?