Curieux et curiosités…
Le règne idolâtre de l’image (qui nous éviterait de penser) cause tant de dégâts inattendus que nous pouvons passer, sans les voir, passer à côté des issues de secours. Curieux, n’est-ce pas ? L’étymologie de curiosus « prendre soin » en fait partie, de ces aveuglements. La simple écoute du son « curieux est une cure » offre la simplicité, en effet. La compréhension et l’acte vont ensembles. Mais le fait que les pouvoirs tentent de détruire nos accès privilégiés au sens, donc au désir, donc à l’action – ne semble pas nous effleurer. Nos curiosités curatrices déjà éteintes ? La logique est un autre « soin » très efficace (le be-soin est un soin !). Par exemple ? Dire « nous sommes manipulés » rend la manipulation impossible SAUF si nous y participons, en tant que complices. Dès que nous refusons la manipulation ce système ne peut pas grand-chose contre nous. Que du matériel. Car…nous avons vécus la cure. « Être » curieux libère à fond de se faire avoir par les peu intéressants avoirs d’échanges. La liberté est si simple, c’est nous qui sommes compliqués-dupliqués. Un seul acte la met en branle : oser penser par soi-même.
Donc, très souvent, le son offre directement le sens : et dans curieux nous entendons bien « qui a soin de », qui soigne concrètement. Qui « fait » la cure offerte gratuitement par la…curiosité. Le tortueux bêta de dire l’étymologie veut dire « qui a soin de » est si masochiste...Redevenons simples, donc naturels, donc authentiques, et nous n’aurons plus d’intermédiaires trop cupides ou de représentants si peu présents à nous. Nous vivons, alors, avec ardeur notre vie en très directe direction. Puisque « se libérer de l’esclavage l’image » qui fige et immobilise, de cette contemplation mortuaire, nous permet de ressentir, dans chaque mot, le mouvement, la pulsation de la vie, l’enthousiasme d’agir. Nous décollons enfin de la foutue image qui nous hypnotise et ligote. Bref, qui nous empêche de vivre à fond les désirs. Dans cette époque de masochistes : ceux et celles qui accusent les pouvoirs de faire ce qu’ils/elles se font bien tous seuls, et croupissent et s’accroupissent dans cette déréliction, cette anti-expression qui s’avoue « sans » (dé, di dis) en dépression – nous offrons une nouvelle rubrique périodique : curieux et curiosités.
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Commençons à nous dérouler les trésors directement. Ne disons pas ceci « veut dire » telle chose. Mais disons le son le dit sans détours ni tours. Directement. Curieux est une cure, et une cure qui fait du bien A CHAQUE FOIS. Offrons-nous toujours plus de ces cures multipliées. Et apprenons à les offrir aux autres…Voyons, voyons et convoyons : voyage c’est ce qui fait voir (de « voy »), non seulement du pays paysage, mais de tous les pays à la page du grand livre : la Terre entière. Une info ? Il est prouvé, qu’en général les prétendus excentriques (ex-Centriques, pas collés au centre des propagandes – mais s’en étant …sanitairement, éloignés) vivent plus longtemps. Ou, si même temps, vivent avec moins de douleurs et de maladies que les abîmés par les pouvoirs. Tellement plus heureux tout le temps, en tout cas. Ce sont les bonheureusement…Succulent n’est-ce pas ? Qui a les solutions, les bonnes, se voit écarté par les pouvoirs (pour eux, jamais de solution à rien ne doit exister !)…et les absurdes masochistes conformistes se privent, eux/elles mêmes, des bienfaits « à portée de la main ». Et font de leurs vrais mais des…ennemis à caser dans…l’inaccessible. Curieux, que, dès que tu piges cela, il n’y pas plus de distance. Car plus d’aliénations. Oui la cure est magique : elle abolit les distances, mises par les pouvoirs entre les humains, pour les éloigner les uns les autres au maximum. Donc ? Soyons curieux et nous serons…guéris.
18-personnes-anarchistes-qui-se-font-un-sain-plaisir-de-ne-pas-respecter-les-règles-absurdes
« Dans la société d’aujourd’hui, il y a ceux qui respectent les règles au pied de la lettre et d’autres qui se plaisent à franchir les limites.
Bon, nous n’encourageons personne à jouer les vrais anarchistes mais il est clair que, parfois, certaines règles semblent tellement absurdes que, sur un trait d’humour, on aime franchir la ligne rouge pour rire. » Comme pour de vrai…à chacun-e de ressentir ce que déplace chaque acte prétendu…déplacé. Donc qui déplace beaucoup. Et oui, faut que ça bouge dans nos bouges…Bon, on ne vous tient pas la bougie – si vos curiosités bienfaisantes vous « en disent »…18 mets…
Une-étude-dévoile-comment-les-êtres-humains-évoluent
Pour les oiseaux, cela à toujours été simple de savoir comment ils…évoluent dans le ciel. Loopings et vols planés, plongeons et arcs de cercle, etc. - c’est un immense soulagement de les voir remplir le ciel de leurs …évolutions. Pour les humains, est-ce complètement égaré dans les abstractions asensuelles ? Oui, dans le concret, où les voyons-nous ces preuves…d’évolutions (si belles à regarder) ?...« La sélection naturelle se débarrasse de variants de gènes nuisibles qui raccourcissent la vie des gens. Ces travaux, impliquant l’analyse de l’ADN de 215 000 personnes, sont publiés dans la revue PLoS Biology »
(…) ont été testées plus de 8 millions de mutations communes. Les chercheurs [[en re-Cherche]] ont découvert que deux d’entre elles sont moins fréquentes avec l’âge. Nature détaille :
« Un variant d’un gène lié à la maladie d’Alzheimer a rarement été retrouvé chez les femmes de plus de 70 ans. Et une mutation d’un gène associée au tabagisme chez les hommes disparaît dans la population d’âge mûr.”
Les chercheurs suggèrent que les personnes qui ne possèdent pas ces mutations sont susceptibles de vivre plus longtemps. “En soi, ces travaux ne prouvent pas qu’il y a évolution”, note la revue scientifique, car en termes d’évolution à proprement parler, la durée de vie a moins d’importance que la capacité à se reproduire et à propager son patrimoine génétique. »… sauf que le si curieux Philip K. Dick dans « Dr Futurity » (1964) a déjà abondamment réfléchi à ce thème et l’a solutionné si différemment dans ce roman, étrangement, intitulé, en français : « Le voyageur de l’inconnu » (à une ou plusieurs inconnues ?). Curieux, n’est-il pas ? Oui, comment la société « se » (et nous avec) prive des personnages essentiels de la communauté humaine. Censure les grands esprits et fait semblant de larmoyer sur l’absence de solutions - qui tiennent toutes dans des solutions à la fin des absences…Empêcher de comprendre s’alliant avec le pas de solutions qui tracent une décision définitive. Le propre de la très grande régression capitaliste. Sans lui, facile à imaginer à quel point nous serions…évolués !
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La-seule-bibliothèque-féministe-de-Paris-va-t-elle-disparaître ?
« En 1932, la journaliste féministe Marguerite Durand lègue son propre fonds, collecté tout au long de sa vie, à la Mairie de Paris, à condition qu'elle s'engage à ouvrir et à faire grossir le premier « Office de documentation féministe ». Une promesse que la Mairie a tenue depuis lors, l'« office » grandissant au gré des dons. Aujourd'hui, quarante-cinq fonds d'archives différents y sont réunis.
“La Ville de Paris n'a pas l'air de réaliser sa chance d'avoir une bibliothèque sur l'histoire des femmes et du féminisme”
Sauf que « l’esprit-Raffarin » (le comptable qui est le plus grand scientifique de tous les temps !) aboutit à… (…) Ils prédisent donc la délocalisation d'une grande partie des archives de Marguerite-Durand dans des entrepôts en banlieue, « Porte d'Aubervilliers ou en Seine-Saint-Denis ». D’après eux, cette dislocation du fonds entraînerait sa lente mise à mort. L'absence de concertation avec les personnels concernés est également déplorée : Bertrand Pieri craint qu’« à terme ils soient mutualisés avec ceux de la géante BHVP ». Toutes objections que la directrice de la BHVP, Emmanuelle Toulet, s'évertue à démentir, avant de lancer : « Est-ce que du point de vue du public c'est bien de séparer les choses ? Jusqu'à quel point faut-il les séparer ou les mutualiser ? »
La philosophe et historienne Geneviève Fraisse se souvient avec émotion de cet endroit, où « toute sa vie a commencé », en septembre 1973. A l’époque, c’est dans la mairie du 5e arrondissement, face au Panthéon, « comme par ironie », que la jeune diplômée en philosophie se plonge dans la pensée féministe. La conservatrice d'alors lui fait découvrir un journal féministe de 1848. A la suite de cette lecture, elle écrira son premier article. Cet héritage, ce « lieu de fixation », Geneviève Fraisse veille à le transmettre, depuis quarante-cinq ans, afin que d'autres « origines de chercheuses puissent s'enraciner dans cette bibliothèque ». Un endroit et un service « précieux », selon elle, pour qui il « n'est pas normal que ça n'ait pas pignon sur rue dans une grande ville comme Paris ». La France est bien pauvre en lieux de mémoire dédiés aux femmes, si on la compare aux États-Unis, à l’Allemagne, à la Suède ou encore au Vietnam, qui ont ouvert des musées entièrement consacrés à l’histoire des femmes et au féminisme. »
Curieux que tout soit fait pour cette disparition, non ? Et encore plus curieux que toujours moins d’humains parlent de choses SÉRIEUSES. Ou en parlent sérieusement ? Les abusifs et envahissants enfantillages commencent à peser trop lourds – curieux que les puérils pouvoirs seront les derniers à s’en apercevoir alors que l’architecture de toutes leurs manipulations est en train de leur retomber dessus…nous, les curieux/ses, nous nous sommes éloignés « du sombre noyau répulsif qui permet les pouvoirs », selon Georges Bataille)…vous vous rappelez ? Comme quoi la curiosité, cette grande qualité (la diffamation « anti-salubre Public » du « vilain défaut et vice», qui nous doit des milliards de milliards de $, ne nous a toujours rien versée…), oui, la curiosité nous met toujours en plus grande…sécurité !
Les-open-citations-des-savoirs-partagées-gratuitement-sur-internet
« L’Initiative for Open Citations (I40C) vise à rassembler des références dans une nouvelle base de données libre d’accès et d’utilisation. Elle est née sous l’impulsion notamment de Wikimedia et des éditeurs en open access PLOS et eLife.
La mode est à l’« open » en sciences. Logiciels open source (« logiciels libres »), articles en open access (« accès gratuit », opposé au modèle par abonnement), open data (« données ouvertes »)… Et maintenant open citations, qu’on pourrait traduire par « références ouvertes ».
La référence ou citation est une notion d’apparence anodine qui constitue pourtant une sorte de squelette de la connaissance scientifique. En fin d’article de recherche, les auteurs ajoutent systématiquement une longue liste de travaux antérieurs qu’ils estiment pertinents. Ces références bibliographiques permettent au lecteur de voir quels autres chercheurs s’intéressent à ce thème. Aux historiens d’étudier la naissance d’une thématique. Aux sociologues d’analyser les interactions entre équipes ou disciplines. Aux évaluateurs de « mesurer » la qualité d’un travail par le nombre de citations reçues, par exemple.
Les liens que ces citations tissent ont inspiré les fondateurs de Google pour leur moteur de recherche : un site est d’autant plus haut dans le classement des réponses à une requête de l’utilisateur qu’il est souvent « cité », c’est-à-dire que des pages Web pointent vers lui.
Gigantesque index : Avant Google, dans les années 1960, le linguiste américain Eugene Garfield, disparu en février 2017, avait vite compris l’intérêt de ces références pour les transformer en un lucratif marché. Il a compilé toutes ces citations, et les a vendues sous forme d’un gigantesque index afin d’aider les chercheurs à identifier des concurrents, de futurs collaborateurs ou à estimer leur influence. Il a même inventé l’un des étalons de la qualité d’une revue scientifique, le facteur d’impact, qui repose sur le nombre de citations reçues par les articles publiés par un journal. « D’unités de connaissance, les articles de recherche sont devenus des unités comptables », regrette Yves Gingras, directeur de l’Observatoire des sciences. Pourquoi ce regret ? Parce que le comptable n’est le plus grand scientifique de tous les temps ! Et que, partout, où l’argent fou monopolise un domaine…tous les savoirs reculent…et diminuent énormément d’intensité…les curiosités. Le capitalisme hait l’intelligence et il ne s’en cache pas…il veut mettre à l’index de ses « index pour ne pas agir ni…évoluer », tout esprit ardent et…curieux. Ces guéris par la cure…Le capitalisme n’aime pas du tout notre santé. Curieux que bien peu l’aient compris et la mauvaise santé commence, très souvent, par la…tête !
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Repenser-l'évolution-grâce-à-l'adn-noir
« L’existence de gènes que nous ne sommes pas capables de détecter suggère que la sélection naturelle n’est peut-être pas la seule force à l’œuvre dans l’évolution des espèces, écrit ce chercheur de l’université d’Oxford.
Mais parfois, nous sommes confrontés à un mystère. Dans le génome de certains organismes, des gènes semblent manquer, alors qu’on les retrouve dans des espèces similaires et qu’ils sont indispensables à leur survie. Ces gènes apparemment manquants ont été baptisés “l’ADN noir”.
Nous ne attardons pas sur l’ampleur d’une telle découverte mais sur le fait aussi éclatant que le bourgeois est vraiment anti-évolutif. Il ne veut d’aucune Évolution et n’y a, d’ailleurs, jamais rien compris. Lire Darwin en…direct, fait comprendre infiniment…l’inverse de ce qui est bafoué dans les livres. Oui, jamais il n’a fait de la sélection naturelle la…finalité de l’Évolution (comme l’embourbé bourgeois le croit : évaluer n’est pas évoluer !) mais une de ses forces agissantes…il y a, aussi, le monde vivant (faune et flore) avec les « qualités » qu’il a inventé et…transmis aux humains (oui l’altruisme et l’entraide – surprenant, n’est-ce pas, c’est pourtant dans le texte réel : altruisme et entraide, etc. existaient…avant que l’humain ne paraisse…), etc. Bref, le bourgeois anti-évolutif demeure à la porte de tout, n’entre jamais dans le corps des choses, dans le vif du sujet, dans la chair des vrais mots. N’expérimente et ne ressent rien…ll va donc demeurer à l’entrée de la…sélection – sans jamais chercher à savoir ceci : oui sélection, mais qu’est-ce qui se passe après ? Ses piteuses phrases : « la sélection naturelle sert à l’évolution », etc. s’effondrent toujours devant la plus banale question - « oui mais c’est quoi le contenu intégral de l’évolution ? »…en la rengaine déconnectée de…« l’évolution c’est l’aboutissement de la sélection naturelle (de l’évaluation) ». Ici – finis les examens d’entrée, nous sommes propulsés dans le cours qui court, nous apprenons avec une curiosité insatiable le contenu enchanteur de la vraie Évolution ! Où a donc toujours la tête, le bourgeois, ce rêvasseur si égaré ?
Comme vous voyez le futur appartient à fond à la…curiosité ardente…
………Que rejettent les anti-évolutifs bourgeois (ce si médiocrates)…
cadeau…oui, cadeau...
….si votre curiosité vous guide à ouvrir : 3 minutes de pur bonheureusement…
…........……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
…………Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
#32 - ROMAIN PAILLARD: LE DROIT D'ÊTRE CURIEUX TOUTE SA VIE
Funny & Crazy Juggling
Qui n'est pas un peu curieux ? Mais, ce besoin de savoir est-il réellement un vice ? (selon les diffamateurs bourgeois) N’est-ce pas, plutôt, le manque de curiosité, le toxique vice ? Vice qui rend inhumain et antisocial.
La réalité…de ce qu’est devenu « l’infini servage des femmes » de Rimbaud ?
Jardin des curiosités
Oubliez vos habitudes et devenez curieux. Sortir de notre zone de confort et de s’ouvrir. Pour devenir créatif, il faut se « mettre dans des conditions de voyage »...Suffit de remplacer, partout, le mot travail par tout autre chose...et tout fonctionne harmonieusement.
Curiosité ... le plus beau des prétendu défauts ?