Dépasser les limites ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Dépasser les limites ?

Les trop mauvaises habitudes des prétendus dirigeants c’est l’auto-éloge si monologué. Cumulé avec l’insulte trop prompte de tout ce qui n’est pas eux (et fort salubrement, pour l’avenir de la société, n’est pas eux !). Et donc ? L’honneur des véritables penseurs est peu porté. Qui est ? Que lorsqu’il le faille, et sans faille, accuser et engueuler ces prétendus dirigeants lorsqu’ils ONT TOUT FAUX. Eux seuls dépassent les limites…et personne d’autre. Tant qu’ils n’auront pas changé de mentalité (à l’évidence la leur n’est plus du tout adaptée) la Terre ira mal. Peu coûteux que de leur faire changer de mentalité, oui ou non ? Nous allons largement le démontrer et montrer.  

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Trois menaces insensées dont les têtes de linottes des télés ne sont même pas capables de pressentir la pressante réalité.

** 1) -

Végétaux-grands-laissés-pour-compte-de-la-médiatisation-des-extinctions-massives-:-pas-assez-spectaculaire

« Un nombre incroyable d’articles est consacré aux disparitions animales. WWF affirme, qu’en 40 ans, la Terre a perdu la moitié de sa faune sauvage. En effet, la disparition de la faune sauvage a un côté spectaculaire mais n’oublions pas que le lion mange la gazelle et que la gazelle mange de l’herbe. Prenons le problème à la racine, histoire de filer la métaphore.

Déjà en 2010, la FAO demandait que « des efforts extraordinaires soient déployés non seulement pour préserver la biodiversité (mise en danger par l’activité humaine et les changements climatiques) mais aussi pour l’utiliser, plus particulièrement dans les pays en développement ». Elle affirmait également qu’entre 1900 et 2000, 75% de la diversité des cultures avait été perdue.

L’agrobiodiversité : faire du bien à la planète et se faire du bien. Le groupe de recherche Biodiversity International a récemment publié un rapport qui a la grande qualité de faire la lumière sur les espèces qui ne sont pas des stars de l’extinction de masse : les plantes. On peut en convenir : plus difficile de pleurer pour du blé que pour un petit pangolin, mais la différence est que le blé se situe bien en amont de la chaine alimentaire. Le rapport en question est intitulé Mainstreaming Agrobiodiversity in Sustainable Food Systems (Intégrer l’agrobiodiversité dans des systèmes alimentaires durables) et montre le risque de concentrer l’alimentation et les cultures mondiales autour d’une poignée d’espèces : si elles viennent à disparaître, tout le système alimentaire est remis en cause [[ la futilité et l’immaturité de l’agriculture intensive n’est plus à démontrer : faire de l’agriculture une source mécanique de profits et non, hors tout profit possible, l’acte sacré de créer de l’aliment est, en effet, d’une redoutable puérilité. Au bout, il n’y a que du…simplisme !]].

Une étude menée par deux chercheurs de l’université de Stanford et un chercheur de l’université de Mexico l’affirme : l’époque que nous vivons ressemble bien à une sixième extinction de masse. Notre espèce est en train de réussir le tour de grand malheur d’escamoter 114 fois plus vite qu’en 1900 les autres espèces qui vivent sur la planète. Et ce qui est inquiétant et peu médiatisé, c’est que la décroissance des populations touche également des espèces communes comme le chardonneret par exemple. Et les plantes de tous genres, notamment les céréales (qui constituent tout de même la base de notre alimentation). Les céréales, pas assez sexy pour être sauvées ? [[ oui c’est aussi dérisoire que cela : la veulerie sournoise des spectateurs est telle que tout n’est qu’amusement pour ces cerveaux égarés. La honte infinie est eux…]].

La solution pour pallier ce danger : l’agrobiodiversité. Autrement dit, se mettre à cultiver des espèces et des variétés plus rares, moins consommées, afin de favoriser à la fois un régime alimentaire équilibré et une biodiversité qui resterait biodiverse. « Cette publication nous rappelle le potentiel inexploité de nos régimes alimentaires [[trop occupés à faire des profits immérités que de se nourrir intelligemment…]] – les milliers d’aliments qui n’arrivent jamais [[ras le bol du primitivisme de « l’industrie » agroalimentaire qui ne sait rien de la vie…]] jusqu’à notre assiette – et en quoi exploiter cette diversité ne fait pas que construire des systèmes alimentaires plus résistants et durables mais aussi une communauté mondiale plus forte et florissante », témoigne Simran Sethi, l’auteur de Pain, vin, chocolat : la perte lente des aliments que nous aimons.[[ le capitalisme n’est plus un gain mais une perte permanente due au fait que ce soient les médiocres qui dominant…]]

Ann Tutwiler, la directrice générale de Biodiversity International explique dans un entretien accordé au Guardian :: « La biodiversité alimentaire est pleine de super-aliments mais peut-être que le plus important, c’est que ces aliments soient aussi disponibles et adaptables aux méthodes et conditions de culture locales»

Il ne faut évidemment pas arrêter d’alerter et d’œuvrer pour empêcher la disparition des espèces animales menacées, mais il faut aussi que cette préoccupation ne fasse pas écran devant la diminution de la biodiversité végétale, qui en est la base. Le robinet coule, c’est très louable de nettoyer les éclaboussures mais autant couper directement l’eau  [[ la sagesse commune doit revenir – les grands esprits doivent remplacer les scandaleux imposteurs des médias toujours plus superficiels et certainement trop inaptes pour nous aider à trouver des solutions bien collectives…]]."

2) –

Les-forêts-tropicales-rejettent-désormais-plus-de-Co2-qu'elles-n'en-stockent

 

« L’étude qui fait la lumière sur cette mystérieuse reconversion, et qui alerte afin que nous agissions pour inverser le processus, a été réalisée par six chercheurs américains, dont 4 du Woods Hole Research Center. Il s’agit de l’aboutissement de 12 ans de recherche. Ce protocole a d’abord nécessité la création d’un satellite extrêmement précis, permettant de mesurer le poids de la partie émergée des forêts, donc des feuilles et des tiges. Grâce à l’observation de terrain et à une technologie développée par la NASA, le lidar, les chercheurs ont pu concevoir le satellite en question. Puis ils ont utilisé un algorithme comparant des portions de 500 m2 de forêt et calculant les gains et pertes de densité en CO2 des forêts.

Les arbres ont la capacité d’absorber du CO2 et de le stocker sous forme de feuilles, de tiges et de racines. Simplement, deux phénomènes sont à l’œuvre : d’une part la déforestation (ça tout le monde est au courant) mais aussi la diminution des capacités des arbres restants à absorber le dioxyde de carbone. La déforestation, toujours selon ladite étude, est la cause de 31% des émissions de carbone des forêts : l’arbre stocke le CO2 mais le relâche dans l’air lorsqu’il brûle, lorsqu’il pourrit. Le reste des émissions, soit 69%, provient de la dégradation des forêts restantes [[ toujours le si grave abrutissement du spectateur : ce qu’il ne voit pas n’existe pas. Eh bien, majoritairement, c’est ce qu’il ne voit pas qui existe le plus. Le merveilleux cerveau est là pour nous faire comprendre ce qui…ne se voit pas. La régression ahurie des spectateurs n’est plus admissible…]].

Clairement, on ne va pas demander à l’Amazonie de retenir sa respiration le temps que l’on trouve une solution. Par contre, Wayne Walker déclare : « Les forêts sont une solution très commode [contre le réchauffement climatique, ndlr]. Les maintenir intactes et restaurer celles qui ont été perdues est relativement simple et peu coûteux ». Alessandro Baccini, directeur de la publication, renchérit : « Si nous voulons empêcher la température planétaire d’atteindre des niveaux dangereux, nous devons réduire drastiquement les émissions et augmenter la capacité des forêts à absorber et à emmagasiner le dioxyde de carbone ». [[les routines des prétendus dirigeants, qui radotent toujours les quelques mêmes actes impuissants en boucle, doivent être expulsées de l’espace public. Honte sur leurs impostures…]]. »

 

Cette inversion des fonctions naturelles est GRAVISSIME. Le génie du carbonifère avait été…d’enterrer le gaz carbonique en utilisant la vie végétale…la folie de l’inculture technocratique est – et plus que stupidement – de l’extérioriser pour des buts plus qu’inavouables. La nature est géniale et la technostructure un vrai cancre face à elle. Seuls des esprits sans routines ni idéologies peuvent nous sortir de l’ornière de l’arriération technique. Arriération si toxique lorsque alliée à la « société bureaucratique de consommation dirigée » selon l’analyse si géniale d’Henri Lefebvre. Que les destructions dues à la folie furieuse du profit ( ce coût comme les autres que le profit) aura donc réussi à inverser les…processus vitaux : les arbres rejettent du gaz carbonique au lieu de le stocker (comme le génial carbonifère le fit il y a si longtemps)…la solution la plus efficace c’est de transformer complètement l’organisation sociale. Trop d’incultes et de médiocres prenant des places qui ne sont pas les leurs…Rien n’a encore vraiment été dit !

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3) –

Dans-les-glaces-immaculées-du-centre-de-l'arctique-pour-la-première-fois-un-nuisible-gros-morceau-de-plastique-a-été-découvert

 

« Chaque année, au moins 6,5 milliards kg de plastique sont déversés dans les océans. Un chiffre qui peut grimper pour atteindre les 8 millions de tonnes de déchets par an. Cela représente 206 kg de plastique par seconde, qui flottent sans fin, emportés par les courants, et finissent par se désintégrer en microparticules qui sont ensuite ingérées par la faune marine.

On a tous en tête cette image du fameux « septième continent de plastique ». En réalité, il en existe plusieurs, au sein de chacun des cinq océans de la planète (Atlantique Nord, Atlantique Sud, Pacifique Nord, Pacifique Sud et océan Indien). Ils se trouvent dans ce qu'on appelle les gyres océaniques, ces gigantesques courants en forme de spirale situés au cœur des océans et provoqués par la force de coriolis [[due à la rotation de la Terre]].

Mais pour la première fois, une mission scientifique dans l'Arctique a découvert la présence de plastique au milieu même de l'océan glacial. [[ l’humour noir dirait « on n’arrête pas les régressions » - puisque, toujours, les bourgeois auront été contre les progrès de l’évolution collective…]]. Il y a de cela seulement quelques années, il était impossible de s'approcher en bateau à plus de 1 600 kilomètres du Pôle Nord : tout était couvert de glace. Mais aujourd'hui, une partie de la calotte polaire a fondu, laissant libre l'accès à la mer jusqu'à l'océan Arctique central. Jamais une expédition scientifique n'avait pu naviguer aussi loin sans s'équiper d'un brise-glace.

>>> *** L'équipe internationale de chercheurs a découvert des morceaux de polystyrène de taille conséquente, échoués sur des zones de glace éloignées, au beau milieu de l'océan Arctique. Cette triste découverte a été faite à quelque 800 milles marins du Pôle Nord géographique. La pureté contaminée…

Tim Gordon, biologiste marin en charge de l'expédition polaire, rapporte qu'en vingt-cinq ans d'explorations en Arctique, il n'a jamais vu cela. C'est la première fois qu'il découvre des morceaux si gros de plastique à cet endroit si éloigné du reste du monde [[ les régressions dues à l’incompétence flagrante de l’inculture capitaliste indigne, peu à peu, toutes les formes d’esprits – reste à s’unifier et s’unir dans le mouvement de son abolition salubre…]]…

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Des négligences de graves étourdis (prétendus « responsables ») que les têtes de linottes des journaux  mercenaires ne sont pas capables de trouver toutes seules ?

Tellement d’exemples, malheureusement, qu’il s’agit d’en extraire les plus percutants afin d’ouvrir de sains débats : face à ces …gouffres de bêtises cravatées !

>>> ** - Est-il-idiot-de-laver-les-rues-avec-de-l'eau-potable-:-trois-idées-reçues-bien-fausses-sur-l'eau

« L’eau, cet élément indispensable fait beaucoup parler. On parle de gaspillage, de pollution, de mauvaise utilisation. Quand est-il vraiment ? Bernard Chocat Professeur émérite, docteur-ingénieur en génie civil et urbanisme, nous en dit plus sur les idées reçues. [[En 2017, ce sont les préJugés qui détruisent le plus la société…et c’est le haut qui a le plus de préJugés…]].

La perception de l’eau et la compréhension des enjeux qui s’y rattachent sont paradoxales dans notre société. D’un côté, l’eau est un bien commun à l’ensemble des habitants de notre planète. Nous en dépendons tous pour notre vie et notre survie, et nous l’utilisons et la côtoyions tous les jours dans notre vie quotidienne. L’eau est d’ailleurs un sujet de conversation usuel (on parle de la pluie et du beau temps lorsque l’on a rien à dire) sur lequel nous avons tous des opinions très tranchées (l’eau est trop chère, l’eau n’a pas bon goût, l’eau est polluée, le changement climatique est la cause des inondations, etc.).

D’un autre côté, la méconnaissance [[bien renforcée par la déchéance des médias d’argent…]] des citoyens sur les enjeux réels de l’eau, comme sur les systèmes techniques ou organisationnels qui sont utilisés, est souvent déconcertante. Cette méconnaissance, souvent associée à des idées reçues, induit des comportements inadaptés, inefficaces, voire contre-productifs : imaginer que l’eau va bientôt manquer conduit, par exemple, à considérer que fermer le robinet lorsque l’on se lave les dents est un geste citoyen essentiel [[ toujours la folie furieuse du spectateur/ spectatrice qui mène le monde : la fuite devant le réel leur paraît…essentielle…]].

En réalité l’eau ainsi rejetée est restituée au milieu naturel après épuration et n’est donc pas vraiment perdue. L’eau n’est pas, comme le pétrole, une ressource limitée. Elle est en permanence recyclée et remise en circulation par la nature. La vraie question est donc celle de la qualité de nos réserves. [[et l’apprentissage des actes de …bon sens…tels…]]…Jeter un seul mégot de cigarette dans la nature conduit ainsi à polluer plusieurs mètres cubes d’eau [[ce genre de délinquances, l’égoïsme anti écologique, devrait être tellement plus martelé…]], alors que le robinet qui coule lorsque l’on se lave les dents « gâche » moins d’un mètre cube en toute une année ! Faire la chasse aux idées reçues dans ce domaine constitue donc un enjeu éducatif important si l’on veut mieux gérer ce bien précieux [[ libérer l’espace médiatique qui corrompt en devenir millionnaire en « comment arrêter de saccager comme des brutes la Terre » serait , enfin, un grand service social (plus t’es riche, plus tu pollues ? comme dit la chanson…)…]].

On parle du « petit cycle de l’eau » pour désigner les circuits de l’eau en ville (alimentation, distribution, récupération, évacuation). Il est donc finalement assez logique de penser que l’eau urbaine tourne en circuit fermé et que la qualité des milieux aquatiques naturels n’a que peu de lien avec celle de l’eau du robinet.

En réalité, l’eau distribuée dans les réseaux publics urbains est prélevée dans une ressource protégée, généralement située à l’amont de la ville. Après usage, elle est le plus souvent récupérée par le système d’assainissement et finalement restituée au milieu naturel, à l’aval de la ville. Il s’agit donc plus d’une parenthèse urbaine, une étape du grand cycle naturel de l’eau, que d’un véritable « petit cycle de l’eau ».

Les eaux usées ne sont donc pas directement recyclées pour produire de l’eau potable et l’usine de traitement, dont la fonction est de traiter l’eau brute pour la rendre potable, ne doit pas être confondue avec l’usine d’épuration, dont le rôle est de nettoyer les eaux usées avant leur restitution au milieu naturel. Entre deux villes consécutives situées sur une même rivière, l’eau retrouve une fonction naturelle : support de vie pour les espèces aquatiques et support d’usages variés. Toute pollution rejetée dans le réseau et qui échappe à l’usine d’épuration se retrouve donc… dans la rivière. De la même façon, tout polluant déversé dans l’environnement risque de se retrouver dans la réserve que nous utilisons pour fabriquer l’eau que nous consommons à notre robinet. L’eau des villes est donc la même que l’eau des champs ! [[ ce genre de « migrations » tellement destructrices restent tellement peu décrites…où sont passés les esprits…pratiques, qui étaient si pratiques ?]].

En France, l’eau du robinet est probablement le produit alimentaire dont la qualité est la plus contrôlée, et il est possible d’en boire sans aucun risque pour sa santé, partout en France métropolitaine (ce qui n’est malheureusement pas le cas partout dans le monde).

Pourtant, beaucoup s’en méfient ou se disent gênées par son goût, ce qui les conduit à préférer consommer des eaux en bouteilles, supposées être de bien meilleure qualité. En réalité, cette idée tient beaucoup plus du fantasme que de la réalité.

Sur le plan réglementaire, il n’existe en effet que deux types d’eau : les eaux minérales naturelles qui ne représentent que certaines eaux en bouteille, et les eaux destinées à la consommation humaine, qui comprennent les eaux distribuées au robinet par les réseaux publics ainsi que la plupart des eaux en bouteilles, notamment celles qualifiées d’eaux de source.

Il n’existe strictement aucune différence de qualité sanitaire entre les eaux destinées à la consommation humaine distribuées par les réseaux publics, et les eaux destinées à la consommation humaine vendues en bouteille. Les deux doivent satisfaire exactement les mêmes contraintes de qualité, et près des 2/3 des eaux du robinet sont des eaux d’origine souterraine.

La seule différence importante entre l’eau du robinet et la plupart des eaux en bouteille est donc finalement son coût ! De plus, l’impact environnemental d’un litre d’eau en bouteilles est 100 à 2 000 fois plus fort que celui d’un litre d’eau du robinet (fabrication des bouteilles, transport et recyclage (ou absence de recyclage) des bouteilles).

Est-ce idiot de laver les rues ou les voitures avec de l’eau potable ? Dans la plupart des villes françaises, il existe un seul système de production et de distribution d’eau. Celui-ci distribue une eau de très bonne qualité, puisqu’elle est destinée à la consommation humaine. Mais cette eau est utilisée pour tous les usages, y compris ceux pour lesquels une eau de qualité médiocre serait en apparence suffisante : lavage des rues, arrosage des plantes, chasses d’eau des toilettes, etc. Ceci apparaît comme un gâchis.

En pratique, la solution du réseau unique, même si elle paraît totalement illogique, est de très loin la plus économique. Le coût des traitements nécessaires pour rendre l’eau potable est en effet très nettement plus faible que les dépenses que nécessiteraient la construction et la maintenance d’un deuxième réseau d’eau non potable. C’est également la solution la plus fiable sur le plan sanitaire. D’une part parce qu’elle élimine les risques d’erreur de branchements et d’utilisation, et d’autre part parce qu’elle permet d’augmenter les débits dans les conduites, ce qui diminue le temps entre la production de l’eau et sa distribution, et limite ainsi les risques de développement de bactéries.

Pour autant, ceci ne signifie pas qu’il n’est pas intéressant d’utiliser d’autres ressources, et en particulier de stocker l’eau de pluie localement, par exemple pour arroser la végétation ou laver les rues. [[ et d’arrêter de traiter cet acte salubre comme un…délit…les délits ce sont les esprits capitalistes qui les cumulent à loisir….]].

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Le-plastique-est-un-fléau-pour-la-planète-voici-ses-alternatives-:-que-les-médias-d'argent-omettent-de-dire !

 

Seule solution : supprimer les plastiques. Mais les lunatiques en costards cravates se précipitent toujours sur des gadgets-qui-brillent avant de réfléchir [[ réfléchir fait partie d’une de leurs fainéantises…]]. Bien abolir l’usage du plastique exige (avant) de se montrer pates à répondre à « par quoi le remplacer ? » – et…d’écouter les réponses. Oui, les solutions de remplacent abondent mais les médias d’argent « omettent » d’en parler. Où ont-ils la tête ? Ce blog en a fait le partage, notamment du plastique biologique à base d’algues – ce n’est donc pas insurmontable pour des personnages qui se proclament tellement « supérieurs » à nous. Où sont tes œuvres, imposture ? Ici, quelques solutions très résumées…

« D’autant plus que cela éviterait d’importer du plastique d’Asie (80 % des sacs plastiques le sont actuellement), tout en créant de l’emploi en France ! [[« la rationalisation des coûts » ne semble, hypocritement, se concentrer que sur le seul comment voler la productivité du travail et non sur comment moins détruire le nid de la vie humaine – la Nature. Dont acte d’inexcusables incohérences…]].

*** Le plastique biosourcé (ou bioplastique) est léger, solide, imperméable. Il n’est pas recyclable mais peut-être composté directement à domicile. Il est composé d’amidon de pomme de terre et de maïs. Il semblerait que pour l’heure, il soit le grand favori au problème des sacs plastiques dans la nature. Attention de ne pas les confondre avec les plastiques oxo-fragmentables qui eux, ne se désagrègent jamais complètement.

*** Le kraft a longtemps été oublié sauf chez les primeurs. Résistant, naturel, biodégradable et non contre-indiqué au contact des aliments, le papier brun est aussi recyclable entre 6 et 8 fois. De plus, il est plus économique à la fabrication qu’un plastique biosourcé mais reste plus énergivore.

 » EN MOYENNE, LE COÛT EST DE 5 EUROS LES 1000 SACS DE PLASTIQUE CLASSIQUE, CONTRE 15 EUROS POUR UN ÉQUIVALENT EN PAPIER ET 25 EUROS POUR LE PLASTIQUE COMPOSTABLE A DOMICILE » – PIERRE FAYARD, Président de l’Association Française des Fabricants de Films et de Sacs Plastiques. 

[[Cependant…]] *** La fibre synthétique, comme le polypropylène (PP) est de plus en plus utilisée dans les supermarchés. Et pour cause : il fait également office d’objets publicitaires et permet de porter jusqu’à 40 kg, tout en étant recyclable.

*** Algopack a prouvé qu’une algue pouvait remplacer le plastique. La transformation se fait sans produits chimiques et ne nécessite pas beaucoup d’eau. Bioplastique par excellence, il se dégrade très rapidement.

** Toujours dans l’univers marin, les carapaces de crevettes seraient également un excellent concurrent au plastique. La chitine est un glucide contenu dans la carapace du mollusque. Elle est biodégradable, solide, résistante et totalement naturelle. Des chercheurs du Wyss Institute for Biologically inspired engineering à Harvard aux Etats-Unis sont en train de mettre au point un plastique compostable à partir des crevettes.

*** Enfin, créer du plastique à partir d’eau n’est peut-être plus un rêve. En effet, la trouvaille provient d’Australie, où l’entreprise Zeo a mis au point Zeoform. Ce matériau écologique est révolutionnaire et puisqu’il est à base d’eau, il est universel. Aussi beau que le bois, polyvalent que le plastique, il est aussi très solide. Zeoform est composé de cellulose et fait l’objet d’une formule brevetée. Grâce à ses prouesses, cette matière pourrait remplacer le plastique car il permet la fabrication d’objets : brosses à dents, meubles, outils, instruments de musique, lunettes… Modulable à l’infini, il n’attend qu’à être façonné par la main de l’Homme pour prendre vie [[comme il demeure dégradant pour tout le monde que tant de bonnes idées se voient évacuée, manu militari, par la véritable barbarie qu’est le capitaliste…tout ce qu’il ne faut pas faire il le…fait ! Parce que…plus routinier que lui, impossible !]]. ».

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Inexcusables têtes en l’air trop occupées à faire des profits sur le dos des autres (limiter cette activité si toxique des profits, des rentes passives et du vol des efforts des vrais actifs…) – têtes rêvasseuses (sauf lorsqu’elles passent à la télé pour dire le très exact inverse de ce qu’elles font, surtout ne font pas – oui tel négliger de parler de « toutes » les infos utiles)….enfin – jamais d’espoir avec eux (nous sommes juste invités à voir ces gugusses creux faire des profits complètement illégaux en nous extasiant sur le vide complet de leurs vies gâchées (le problème c’est qu’ils gâchent aussi celles des autres – celles des majorités écrasantes) . Donc de l’espoir qui est révolutionnaire (comme tout le monde le sait).

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S'affranchir-à-100%-de-la-sociéte-de-consommation-qui-fait-des-sommes...

Voir la vidéo : la société de consommation est une indignité collective qu’il nous faut quitter à la seconde. Sommation, faire la somme décrit un calcul arithmétique, qui fait une addition permanente mais…refuse, très maladivement, d’inscrire le total. La délinquance grave qu’est la société de conSommation est donc la pire fuite devant la réalité qu’il est possible de concevoir ! Quittons cette fuite des lâches…

**) -

8-mythes-très-courants-sur-la-nutrition

....d’usage plus courant soit pour la vie quotidienne.

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Tout-n'est-pas-perdu-12-innovations-écologiques-qui-redonnent-de-l'espoir-tout-n'est-pas-perdu

Pollution, agriculture de masse, animaux en voie de disparition, réchauffement climatique etc, le sort de la planète semble scellé. Toutefois, des projets écologiques d’envergure redonnent un minimum d’espoir pour l’avenir.

Ici, nous en trouvons douze de ces projets pour tous… « L’Homme a détérioré son habitat, cela est un fait. Tout le confort industriel connu à ce jour relève en partie d’un mépris environnemental manifeste. Afin de sauver la planète et de laisser un espace viable pour les générations futures, de nombreux architectes ou personnes lambda proposent des projets écologiques vraiment incroyables."

LA GRANDE MURAILLE VERTE DE CHINE, etc.

 

 

……(à suivre)

 

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (qui a démuni les démunis ? qui a déshérité les déshérités ? qui s'est emparés des désemparés ? qui a détressé les détressés ? qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs, endetteurs, capital au noir ou argent clandestin, etc),  onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

imaginons les sols qui vont avec…

imaginons les sols qui vont avec…

un outil pour l’adaptation de la nourriture aux climats

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la diversité du vrai vivant

la diversité du vrai vivant

Dépasser les limites ?
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quelle diversité en si peu d'espace....

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 Découvrir de tels morceaux de déchets plastiques dans un tel endroit est un signal inquiétant. Cela montre que la fonte des glaces pourrait permettre que de hauts niveaux de contamination soient apportés par les courants

Découvrir de tels morceaux de déchets plastiques dans un tel endroit est un signal inquiétant. Cela montre que la fonte des glaces pourrait permettre que de hauts niveaux de contamination soient apportés par les courants

Une menace de taille qui pourrait être « potentiellement très dangereuse » pour la faune qui peuple l'Arctique.

Une menace de taille qui pourrait être « potentiellement très dangereuse » pour la faune qui peuple l'Arctique.

Comment ce plastique a-t-il bien pu arriver là ? Avant l'été 2050, les scientifiques craignent que l'intégralité de l'océan Arctique se retrouve complètement dénuée de glace. Ils pronostiquent en tout cas la fonte totale de la calotte polaire, si l'évolution des courbes de densité glaciaire poursuit son cours actuel.

Comment ce plastique a-t-il bien pu arriver là ? Avant l'été 2050, les scientifiques craignent que l'intégralité de l'océan Arctique se retrouve complètement dénuée de glace. Ils pronostiquent en tout cas la fonte totale de la calotte polaire, si l'évolution des courbes de densité glaciaire poursuit son cours actuel.

algues tueuses...

algues tueuses...

Agrobiodiversité vs. sixième extinction massive : on doit utiliser tous les outils à notre portée.

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Banques de compensation : la Nature à crédit - #DATAGUEULE 35...les bourgeois toujours égarés dans l'économie comme métaphysique hors réel...

L’agrobiodiversité, ou biodiversité agricole, est la part de la biodiversité reconnue comme ressource par des agriculteurs pour la production agricole...

agroforesterie pour la vraie biodiversité

Les infrastructures écologiques ?

eau propre – eau sale

le goût des eaux

Des plastiques à base d'algues 100 % biodégradables - FUTUREMAG – ARTE

Quelques conseils judicieux de ma ferme autonome, que je résumerai pour les moutons courageux par: il suffit de vouloir pour pouvoir. De la motivation, du courage, de la patience et l’envie d’apprendre. Être responsable de ses choix, évaluer ses besoins, travailler pour vivre, pas vivre pour travailler et consommer à outrance. C’est le commencement du bonheur non ? C’est pas un beau projet ça ?

Comment sont fabriqués les sacs bio plastiques qui remplaceront progressivement tous les sacs plastiques classiques. On les appellent aussi sacs plastiques bio ou sacs plastiques organiques

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