Il y a tout de même une logique…(2)

Publié le par imagiter.over-blog.com

Il y a tout de même une logique…(2)

La pourriture de ces cœurs c’est qu’ils s’accrochent, tels de hideux ivrognes, au moindre gain possible, catastrophes je prends, destructions de la nature je prends, le climat va nous nuire, je prends, etc. Se vautrant, ainsi dans leur propre vomi…non, il faut expulser tous ces grands ratés de la parole publique. Ces drogués de l’argent fou ont perdu tout droit de décider…pour nous. Ceci représente très précisément tout l’effondrement moral, complètement inadmissible, des grands malades capitalistes ? « Marchés carbone », « droits à polluer », « dérivés climatiques », « obligations catastrophe » : on assiste à une prolifération des produits financiers « débranchés » de la nature. Faute de s’attaquer à la racine du problème, la non-stratégie néolibérale choisit de financiariser l’assurance des risques climatiques. C’est l’essor de la « finance anti-environnementale » comme réponse capitaliste [[donc folle…]] à la crise qu’eux seuls ont fabriquée. »  

Les-vils-marchés-financiers-spéculent-sur-toutes-les-catastrophes ?

 

Les marchés financiers spéculent déjà [[ comme des malades mentaux…]] sur les catastrophes que provoquera le bouleversement climatique - peut-il y avoir plus grave déchéance ? Impossible de se prétendre citoyen lorsque l’on est tombé aussi bas.

Tirer profit des catastrophes : nouvelle tendance de déchéance à la pourriture chez les spéculateurs ?...« Les créanciers, dont la stratégie était d’acheter des titres à un prix très bas pour empocher ensuite un gain maximal, n’auront donc pas gain de cause pour cette fois…Mais ce n’est pas la première fois que des créanciers tentent de tirer profit de catastrophes naturelles : de plus en plus répandues, les « CAT bonds » – ou catastrophes bonds – sont des produits financiers qui permettent de se couvrir contre des risques précis comme les catastrophes naturelles… et d’assurer des investissements très rentables pour ceux qui spéculent sur les catastrophes naturelles . » Porto Rico, touchée par l’ouragan Maria, l’île a subi des dommages colossaux en termes d’infrastructures. Si l’administration de Trump a mis du temps à réagir et continue de minimiser la catastrophe, la réaction des créanciers de l’île ne s’est quant à elle pas fait attendre…maximisant le cataclysme.

Porto-Rico-les-créanciers-à-l'affût-de-tirer-sans-cesse-profit-de-la-misère

Pensant profiter de cette nouvelle vulnérabilité, la « Prepa » (Puerto Rico Electric Power Authority) a fait une offre au gouvernement portoricain, incluant 1 milliard de dollars de prêt supplémentaire, ainsi qu’un remboursement à hauteur de 85% de la valeur des titres lors de leur émission. Une offre très désavantageuse par rapport à celle qui avait été faite en avril dernier avant la destruction de l’île : jugée « non viable », elle a été refusée par le gouvernement portoricain.

Selon le journal indépendant The Intercept : « L’offre était en fait pire en termes d’allègement de dette [[la folie capitaliste se symptômatise en disant allègement pour net alourdissement, etc. !]] que celle proposée par le même groupe de créanciers en avril, bien avant que l’ouragan n’ait détruit la plus grande partie des infrastructures de l’île ».

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Devenus extrêmement conscients que toute l’insécurité vient de leurs manières de s’assurer que tous les gains des risques resteront pour eux et toutes les réalités des vécus pour les autres – nous savons, lucidement, que tant que ces parasites devenus déments de voracités s’accrocheront à l’économie réelle, nous ne serons pas…en sécurité. Un livre écologiste « La nature est un champ de bataille » vient même nous le rappeler. Oui, ils souillent jusqu’au tréfonds de la nature nourricière – et défendre ou protéger la nature devient donc, aussi, mettre hors d’état de nuire ces dangereux forcenés, les pires ennemis (cy)iniques de la civilisation.

« Face à la catastrophe écologique annoncée, les bonnes âmes appellent l’humanité à « dépasser ses divisions » pour s’unir dans un « pacte écologique ». Cet essai s’attaque à cette idée reçue. Il n’y aura pas de consensus environnemental. Loin d’effacer les antagonismes existants, la crise écologique se greffe au contraire à eux pour les porter à incandescence. Soit la localisation des décharges toxiques aux États-Unis : si vous voulez savoir où un stock de déchets donné a le plus de chances d’être enfoui, demandez-vous où vivent les Noirs, les Hispaniques, les Amérindiens et autres minorités raciales. Interrogez-vous par la même occasion sur le lieu où se trouvent les quartiers pauvres... Ce « racisme environnemental » qui joue à l’échelle d’un pays vaut aussi à celle du monde.

La-nature-est-un-champ-de-bataille

 

Surcroît de catastrophes naturelles, raréfaction de certaines ressources, crises alimentaires, déstabilisation des pôles et des océans, « réfugiés climatiques » par dizaine de millions à l’horizon 2050... Autant de facteurs qui annoncent des conflits armés d’un nouveau genre, auxquels se préparent aujourd’hui les militaires occidentaux. Fini la guerre froide, bienvenue aux « guerres vertes ». De La Nouvelle-Orléans au glacier Siachen en passant par la banquise de l’Arctique, l’auteur explore les lieux marquants de cette nouvelle « géostratégie du climat ».

Cet essai novateur de théorie politique fournit une grille de lecture originale et critique, indispensable pour saisir les enjeux de la crise écologique actuelle [[ c’est ou la vie ou la folie capitaliste, en gros…]]. À travers l’exposition ‘ « désédifiante » des scénarios capitalistes face à « leur propre » désastre environnemental, il fait œuvre - salutaire - de futurologie critique [[ comprendre, c’est résister !]]. » Oui, oui. Prenons encore plus de recul et voyons les véritables…logiques à l’œuvre !

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« Cette société porte sa propre critique en elle (…) Il suffit, pour s’en apercevoir, de constater les lacunes de la pratique sociale et de ne pas combler les trous en prenant pour de la « réalité » substantielle les brumes verbales qui flottent dans ces fissures ou ces abîmes. Le but, l’objectif, la légitimation officielle de cette société est la satisfaction…rentable. Bien trop minable et petit but. (…) Ainsi la consommation « organisée » (donc complotée) ne divise pas seulement les objets mais la satisfaction engendrée par ces objets. Le jeu sur les motivations, dans la mesure même où il y a prise sur elles, les dément ou les détruit. Sans d’ailleurs jamais avouer la règle de ce jeu [[or, dès que les personnages cherchent à cacher aux autres le maximum de choses, il a toujours été dit qu’ils complotent entre eux. Rien ne permet de penser qu’il faille changer ce descriptif]] ( p. 154- Henri LefebvreLa vie quotidienne dans le monde moderne, 1968). »

 

Déjà, nous venons d’apprendre que cette société caractérielle ne « veut pas » qu’il soit décrit et parlé d’elle telle qu’elle fonctionne…concrètement. Elle ne désire que des opiumisateurs. Des mensonges permanents sur sa réalité flagrante…Elle ne veut surtout pas de la logique (alors que « ses » médias osent divaguer en la « loi implacable du marché » précisée en « il n’y a pas une pensée unique c’est qu’il n’y pas d’autre…alternative que la capitalisme. C’est le réalité qui est unique ».) Ce qui nous fait entrer, tout de suite, dans la FOLIE obsessionnelle mono-maniaque : radoter une chose, sans cesse, jusqu’à ce que l’on parvienne à le « croire ». Et puis, par une hystérie débridée, tenter de fatiguer tellement les autres qu’ils disent, parfois, de très vagues oui. Mais sans y croire jamais. De ces floues approbations arrachées, il est fait comme s’il y avait unanimité « absolue » en faveur des IRRATIONALITÉS capitalistes (même pas « relative », même pas dans tes rêves, il n’y a qu’une minorité détraquée qui « veuille » de l’arriération capitaliste). Toute sa pensée reste, de par ces faits, …illogique, déraisonnable, ne supportant pas les mises en face des têtus totaux, des faits confirmés et de ses propres déraisonnements.  Comme ceci. « En fait et en vérité (mais qui l’ignore ?) un grave malaise a toujours régné dans le capitalisme. C’est que sa satisfaction généralisée s’accompagne d’une crise généralisée des « valeurs », des idées, de la philosophie, de l’art, de la culture. Le sens disparaît, et ils tentent de le faire réapparaitre autrement, sans réussir. Il reste un vide énorme, le vide de sens, que rien ne vient remplir sinon la rhétorique de la propagande (p. 154 – ibidem). »

 

Le fait est qu’il n’y a plus aucun but et aucune finalité « d’avouables »  dans une telle anti-société. A peine soi-disant satisfait que l’insatisfaction revient. Et ainsi de suite jusqu’aux nausées…Mais cette insatisfaction (devenue maladie) veut chasser toute raison, tout bon sens, toute prise de conscience, tout sursaut qui dirait « Hé, ça ne fonctionne pas. Faut changer de disque, faut se calter de ces conneries absurdes ! »…Ce qui produit que, des décennies après, il y ait tous ces mêmes avachis, vaches qui ne peuvent changer de leur routine, qui vivent toute leur vie dans l’insensée répétition. Répétition, cette pétition qui n’est toujours pas écrite.

 

Devenus anesthésiés, soit insensibilisés, rendus insensibles, décervelés, fuyant les pensées et les sentiments, évitant de s’interroger sur les pratiques ‘(sont-elles pratiques, me rendent-elles la vie plus pratique ?) – Seul qui sera resté naturel, spontané (ce qui te fait bondir ailleurs à chaque fois que tu ressens la proximité des intoxications des corruptions), voué à la sincérité ou à la simplicité (à force de se mentir à soi-même, soi-même est devenu un…labyrinthe) - conserve sa santé mentale, affective et…morale ! Sinon – pour les déséquilibrés qui se braillent « branchés », impossible de se poser les saines questions : ne faut-il pas distinguer fortement entre satisfaction, jouissance et bonheur ? Ce qui est le début de tous les égarements : l’économisme est erroné car il ne sait pas ce qui constitue la société…entière – il veut la rétrécir à un mécanisme bien trop puéril. Et ne se maintient que dans l’infantilisme.

 

« Examinons de plus près le dispositif central de la consommation « dirigée » [[ pour n’être que cette somme irrationnelle, cette sommation farfelue qui ne va que refuser  de faire son total. Soit la destruction dévorante des produits et leur seule « philosophie »  (sic)…. ne surtout ne jamais se demander : et que se passera-t-il quant tout sera…consommé ? La position la plus tarée : détruire est…devenue la Raison de la société Folle !]], oui son dispositif central : l’obsolescence programmée [[donc surtout pas complotée vont délirer les paranoïaques]]. L’obsolescence a été étudiée et changée en technique. Les spécialistes de l’obsolescence ne s’occupent que de la démographie des objets, corrélée avec les courbes des profits escomptés. La rotation du capital inclut la mise à mort des produits (p. 157 – ibid.). » Cette pure folie (qui exclut plus de 80 % de la réalité selon la conscience vue par Pareto) est donc la « folie obligatoire » de la société dissociée. Et sa condamnation toujours plus ferme : la vie « réelle » pourrait ne plus jamais se figer dans la quotidienneté (cette prise en otage par la délinquante consommation – mais sauter dans la vie passionnée et dans les intensités sentimentales. Oui passer à tout autre chose, passer à bien plus grand et inclusif. Cette société est chaque jour plus accusée ! « L’éphémère, non désiré, non voulu, jamais de qualité, n’aura été que le monopole d’une classe sociale, celle qui devait devenir la spécialiste de la mode et du goût. Mais n’a jamais réussi à se rendre crédible aux yeux des grands talents. Et n’est donc demeurée que dans sa seule médiocrité (p. 159 – ibid.). »

 

>>>> - La ruse de l’Histoire ? C’est que ces imposteurs ont perdu toutes traces de leur propre aliénation, qui est la plus forte de toute la société. Impossible de « faire confiance » à de tels dirigeants. Ceci se passe même comme cela : « Nous mettons, ici et ailleurs, en accusation les idéologues qui prétendent reléguer la théorie (la leur) dans des philosophies surannées. Malgré leurs questions qui se veulent narquoises sur les « complots » idéologiques et sur les « sujets » de ces conspirations, ils servent juste la stratégie de classe. En toute fausse conscience. Ni mieux ni plus mal que les autres : ceux qui savent et ce qui ne comprennent rien (p. 180 – ibid....rappelons que ceci a été écrit en…1967). »  Et donc ? Toujours la malsaine rengaine qu’ils ne veulent surtout pas SAVOIR comment leur société fonctionne…effectivement, qu’ils sont en fuite perpétuelle. Que leurs aliénations grandissent chaque jour – et que la nôtre diminue. Alors que ces paragraphes écrits en…1967 sont encore plus vrais en…2017. Cet auteur méconnu (génial dans sa théorie de « la société bureaucratique de consommation dirigée ») n’est pas un devin si divin. Seulement, il analyse admirablement la société. Et, avec le recul, il a su trouver là où la société allait…pourrir le plus. « L’aliénation est devenue une pratique sociale : une stratégie de classe qui a besoin d’écarter la philosophie comme l’histoire pour brouiller et embrouiller l’affaire et inhiber la conscience de l’aliénation généralisée [[…le progrès depuis 1967 ? Est qu’eux seuls sont restés « complètement » aliénés et ça se voit…]].

 

Cette stratégie avait et a toujours des masses de manœuvres : les classes moyennes, les grandes flouées, à qui la conscience de leur aliénation échappe, bien qu’elles aient alimenté les chroniqueurs de l’aliénation en tant que sujette aux malaises (p. 180 -- Henri LefebvreLa vie quotidienne dans le monde moderne, 1968). Ce sont les enfants rebelles de ces classes moyennes qui auront, par leurs percées et par moments, secoué cette maladie grave. Et augmenté les …sauvés du désastre capitaliste toujours plus flagrant. Il n’est que de constater le ridicule absolu des vieilles pleureuses des complotistes…alors que depuis les années 1960 ceci aura été « leur » fonctionnement à eux. Et surtout pas celui de ceux qui en auront assez pris conscience pour le dire. Surtout pas (qui voit des complots partout sinon qui les cause ? Pas qui en détecte un de temps en temps). Une fois de plus la grande folie bourgeoise c’est de prendre les effets pour les causes. A force de plus savoir penser ils ne savent plus …globaliser, passer du particulier au général, raisonner en remontant et redescendant les structures. Bref, se faire baiser en grand par « l’or des fous », ce qui brille niquant alors les têtes folles. Le moment « conspirationniste » est la condamnation morale irréductible du capitalisme : s’ils « s’abaissent à cela c’est qu’ils sont foutus ! ». Oui, ils sont devenu tellement fous qu’ils ne savent plus ce qu’ils font. La paranoïa est le trouble fétiche de qui a perdu…le vrai contrôle sur soi. Nous l’avons toujours, nous, ce contrôle et les « faux » dirigeants (the fakes ones) plus vraiment…

 

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Socio-logique, éco-logique, psycho-logique, anthropo-logique, géo-logique, ethno-logique, météoro-logique, agnoto-logique  etc. …Tous les savoirs unifiés, tous, sont logés dans la logique : nous le verrons encore plus en trois (3).

Il reste sidérant que des analyses parfaites écrites il y a 50 ans sont encore plus VRAIES aujourd’hui. Ce qui démontre…

**** 1) – que les pouvoirs se sont vitrifiés dans le retour putréfié du semblable. Pas un milligramme de changement. Ainsi, accusant les travailleurs de « délit de conspiration » mais toujours pas les syndicats patronaux, Medef y compris. Prenant, sempiternellement, les résultats ou effets pour les causes – ce qui contient une grave détérioration de tous les sens guidant dans le réel – ils croient toujours dans les mêmes chimères, complètement gogos d’eux-mêmes. Ces pouvoirs faisandés dans la routine ne font que les mêmes choses, ne radotent que les mêmes hors sujet, perdant tout depuis…50 ans. Alors que tout ce qu’ils déraillent est déjà si bien analysé et synthétisé – ils sont devinés jusqu’à l’os…

*** 2) - que nous avons toutes et tous quelque chose de très grave à nous reprocher ! de méconnaître, de ne pas écouter les bons, de ne pas entrer dans les raisonnements sains, d’ignorer les réels penseurs, de méjuger, de mésestimer, de sous-évaluer - bref, de censurer autant que les prétendus dirigeants…

toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

Oui, les analyses complètes déjà impeccables en 1967

…………………………ne peuvent qu’être encore plus efficaces en 2017 !

 

 ………….…(à suivre)

 

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Les lycéens qui postulent aux formations de l’enseignement supérieur par le portail Admission post-bac seront-ils à l’avenir mieux informés de leurs chances d’accéder à tel ou tel établissement en fonction de leur profil ou du classement de leurs vœux ? C’est en tout cas ce que souhaite la mission Etalab, chargée de la politique d’ouverture et de partage des données publiques.

Les lycéens qui postulent aux formations de l’enseignement supérieur par le portail Admission post-bac seront-ils à l’avenir mieux informés de leurs chances d’accéder à tel ou tel établissement en fonction de leur profil ou du classement de leurs vœux ? C’est en tout cas ce que souhaite la mission Etalab, chargée de la politique d’ouverture et de partage des données publiques.

Les logiciels ne sont plus logiques...l'oubli du sens véritable de ce mot semble très dommageable.

Les logiciels ne sont plus logiques...l'oubli du sens véritable de ce mot semble très dommageable.

Bien entendu, le phénomène a une dimension économique, même en Allemagne. Tous les Allemands ne roulent pas en BMW en rêvant à leurs prochaines vacances à Majorque. Mais la motivation économique a joué un rôle beaucoup moins important que dans le cas du Brexit ou de l’élection de Donald Trump. Dans un sondage réalisé pour le groupe de diffusion de la télévision publique allemande ARD, 95 % des électeurs de l’AfD évoquaient les menaces « contre la culture et la langue allemandes ». Le tout tellement…fantasmé et rêvassé que les bras en tombent…

Bien entendu, le phénomène a une dimension économique, même en Allemagne. Tous les Allemands ne roulent pas en BMW en rêvant à leurs prochaines vacances à Majorque. Mais la motivation économique a joué un rôle beaucoup moins important que dans le cas du Brexit ou de l’élection de Donald Trump. Dans un sondage réalisé pour le groupe de diffusion de la télévision publique allemande ARD, 95 % des électeurs de l’AfD évoquaient les menaces « contre la culture et la langue allemandes ». Le tout tellement…fantasmé et rêvassé que les bras en tombent…

tenter maladroitement de les retrouver...

tenter maladroitement de les retrouver...

Il y a tout de même une logique…(2)

Richard Thaler : Prix Nobel d'Économie 2017 et Nudge, le coup de pouce irrationnel

Le monde merveilleux de l’économie comportementale ?

Entretien avec Henri Lefebvre - 1972, I - Les spécialistes ont tous les droits, sauf celui d'imposer silence à la pensée critique au nom d'une conception du réel qu'ils explicitent rarement et qui ne s'impose en rien.

Entretien avec Henri Lefebvre - 1972 – II (sur 4) Des grands groupes «informels» c'est-à-dire basés sur du langage et des rapports langagiers, remplacent à l'échelle globale les groupes destitués. Ces grands groupes sont plutôt biologiques que sociaux: les femmes, la jeunesse, les vieux, etc. Il nous faut donc retourner à la pensée UNITAIRE qui unifie toutes ces parcellarisations et les ensemble dans un même ET UNI mouvement. CQFD...

Clément Rosset - Remarques sur l'idiotie

extrait de l'émission Post Scriptum de Michel Polac ORTF, 11 janvier 1971 avec Edgar Morin, Jean-Pierre Cartier, Jean-François Revel, Jean-Marie Domenach, François Reichenbach, Jean-François Bizot et Clément Rosset.

Tel le Sdf qui démasque la société de consommation...

Logique logiciel (le logiciel met, illogiquement, la logique dans le futur)....

Différence entre le RATIONNEL et L'IRRATIONNEL !

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