L’abolition de la Bourse est de retour ! (2/2)
Tout doit devenir une entreprise ? Le ciel, le charbon, chacun-e d’entre nous, juste des entreprises monomaniaques ? Cette phagocytose ravage actuellement le monde. Comment ? L’extension maniaque de l’entreprise, l’idée unique, la pensée obsessionnelle – l’état une entreprise, chaque individu une entreprise, et puis…les arbres des entreprises, ils doivent « se vendre », ils doivent accepter l’exploitation – cet appauvrissement terrifiant de la diversité vivante pour n’être plus qu’une monoculture…sans issue. Oui, l’invivable simplisme d’un « domaine unique » est la scène d’une pensée qui ne veut pas se savoir, se connaître dans le moindre détail, se voir bien en face. Ses non-dits battent beaucoup trop le si peu qui reste dit, la pensée libérale fuit toute vérification par le réel, n’admet pas ses propres résultats, exporte sur les autres (Freud disait « projeter ») son propre fonctionnement…intérieur. Ce qui est le contraire de l’objective réalité. Libéralisme un vain fantasme ? Une très toxique lubie ? Un irréalisme avéré…Pire ? Les libéraux tellement jaloux des fonctionnaires –il n’est que de lire leurs écrits des années 1920 à 1950 puis leurs resucées plus ridicules des années 1980-1990 pour voir à quel point cette jalousie maladive les brûle – et donc ?
Leur immaturité crache « Tout le monde est jaloux des riches » (simplifient-t-ils le monde)…Surtout pas, c’est archi faux : nous restons, en conséquence, dans la seule cour de récréation à jouer à qui sera le plus puéril. Nous ? Surtout pas jaloux des « pauvres » riches, nous les plaindrions si le débat n’était pas que leur isolationnisme séparatiste, et leur fonctionnement par seules corruptions et diffamations, n’étaient pas les plus toxiques qui soient pour la société complète. Pour sa santé mentale et affective. Pour le futur commun, plafonnement des patrimoines et revenus limités sont bien une condition impérative de survie. Rien ne se défend dans la théorie détraquée du libéralisme. Ayant tenté de phagocyter, de rendre très interchangeable le mot liberté, mais avec une telle maladresse il a donc été vite ressenti que la liberté c’est que pour eux. Et pas pour les autres. C’est donc le liberticide et non le libérateur-libéralisme…il n’est que de voir l’état 2017 du libéralisme ? Son but y est bien de précariser tout le monde, donc de mettre dans la vraie prison de l’insécurité…aucun amour des autres, pas de compassion, insensibilités aux drames et donc incapacité radicale aux liens sociaux et interindividuels…
Tout cela parce qu’ils sont inaptes à concevoir un autre fonctionnement que l’homme-machine, les collectivités-entreprises (à côté desquels les fourmilières paraissent si civilisées du fait de leur grande diversité interne). Étant bien incapables (nuisible déficience !) de concevoir l’autre - ils sèment partout le trop même. Le trop pareil, diffamé sur l’égalité qui est justement le tous très divers – est ici à l’œuvre : le libéralisme ou tous pareils ?…Cette grave bêtise partout étalée, de la vraie folie libérale, doit être stoppée net. Les réparations que cet enfantillage irrationnel a provoquées sont trop énormes. Une immense société humaine ne peut fonctionner aux simplismes. Les terribles simplificateurs, annoncés par Lautréamont-Ducasse, ont fait assez de mal comme cela. Eux-mêmes veulent sortir de leur trop suicidaire folie, oui, mettre fin à leur règne déglingué et ils nous saurons gré : l’état qui fonctionne comme une entreprise, vraiment faut être plus que cinglé pour dégoiser une telle ânerie ! Oui, oui, il nous faut aller voir cette gigantesque « anomalie » de très prés !
……………………….....*****************************************
Enfin leur fin ? Achever la bête immonde ? Que s’est-il donc passé depuis le dernier Occupy ? Des progrès immenses de tout le langage, des utilisations de concepts qui ridiculisent tant les libéraux, les têtus totaux de chiffres qui contredisent si fortement toutes leurs mégalomanies. Bref, un effondrement fatal de leurs promesses, une inaptitude flagrante à gérer les sociétés (leur court termisme coûte une colossale fortune à TOUT LE MONDE…il faut tout réparer et réparer après ces incultes médiocres qui n’auront créé que des problèmes. Pour une maladie si inexcusable ? Laquelle ? La convoitise sans limites pour l’argent des…autres. Soit le parasitisme le plus dégradant possible? Les pique-assiettes libéraux les plus indécents ? Des menteurs et des tricheurs « permanents » sans grandeurs. Bref, le pire de l’Humanité qui aura paru faire illusion : disant une chose (leur propagande si alléchante) mais faisant très exactement son contraire (leur réalité si désolante). Désormais, nous avons les rênes en main. Et nous allons les éjecter de toutes les décisions qui nous concernent tous. Et qu’ils auront parasitées pour seulement…s’enrichir si indignement. Selon l’abjection du « tout pour moi et rien pour les autres ». Oui les libéraux ? Du tout piteux et miteux.
Le (1/2) aura été centré autour d’un texte très synthétique et encore mieux …articulé. Un petit chef d’œuvre et un des meilleurs depuis la survenue d’un Ovni résident président. Qui ? Ne comprend pas le monde existant ni ce qui s’y passe, qui demeure confit (à vie ?) dans sa scolarisation et n’en pond que des décisions toujours plus irréalistes. Nous adorons admirer et complimenter. Le texte cité mérite les deux. En (2/2) nous avons, au démarrage, un texte bien plus brut mais qui traduit très bien le sentiment général : il faut mettre fin et vite au grand désastre libéral. Pour tant de raisons mais surtout parce qu’il est devenu…le comble de toutes les inhumanités possibles – et que nous restons tous, en premier lieu, des êtres humains ou rien. Si insensibles et donc…insensés ! L’erreur de Descartes c’est ne pas avoir compris le « Je pense et je sens donc je suis » et le Dr Damasio a pu facilement prouver, à notre époque, qu’une intelligence sans sensibilité n’est…pas du tout une intelligence mais bien une monstruosité d’idiotie…donc insensibles = insensés. Insensibles (comme le libéralisme, la plus archaïque et bestiale des postures humaines) = insensés ! Hors de la Raison, illogiques, infiniment corrompus moralement (même s’ils croyaient bien faire !) et bien en train de cumuler toutes les …perversités existantes = autant dire que ce libéralisme là a perdu tout…sens des réalités. C’est donc bien un clair lui ou nous ? Soit sa folie s’étend soit le futur de l’Humanité et de la civilisation mondiale triomphe. La bête immonde doit être mise en cage. Les dompteurs sont déjà là ! Une mince esquisse ?
………………………………************************************
Wall-Street-comment-achever-la-bête-immonde-Michel-Santi ?
« Quelle est la raison profonde – intime –des crises financières ? Comment sont provoqués les krachs et pourquoi les bulles implosent-elles ? Toujours pour une simple et unique raison qui est que les paris irraisonnés et démesurés entrepris par le monde de la finance le sont avec de l’argent emprunté ! Le dernier épisode de crise grave – les subprimes – n’ayant à cet égard pas failli à cette règle élémentaire d’un secteur bancaire repu, toujours et éternellement préoccupé de majorer ses profits, mais qui finit par imploser sous le poids d’un levier contracté faramineux. Culture de la dette et du risque à outrance mise en pratique par plusieurs générations de banquiers considérant l’augmentation régulière de leur bonus année après année comme un fait acquis, voire naturel. Pour ce faire –gagner toujours plus-, c’est l’ensemble de cette corporation qui s’est retrouvée à la manœuvre pour développer comme à l’infini le bilan de leur banque-employeur et en récolter logiquement les fruits sonnants et trébuchants. Ainsi, Citigroup – qui avait mis un siècle à parvenir en 2001 à un bilan de 1’000 milliards de dollars- put-elle le doubler en six ans puisque celui-ci avait atteint la taille de 2000 milliards en 2007, juste avant les subprimes.
Il faut nourrir la bête, donc, et tout le monde s’est mis à ce petit jeu fort lucratif, même les émergents et les nations en développement qui ressentent aujourd’hui rudement le choc des endettements tant privés que publics. C’est donc la course globalisée aux profits qui règne sur le monde depuis le démarrage de ce millénaire, mais à condition évidemment que ces bénéfices soient engrangés le plus rapidement possible. Dans cette optique, il va de soi que les investissements à destination de l’économie réelle – rentables sur le moyen voire le long terme – sont totalement délaissés au profit de tous les instruments à même de cracher des profits sur le très court terme. Un tel paradigme – combinant l’endettement, le levier et la raréfaction des investissements productifs – a donc imposé la nécessité de politiques monétaires révolutionnaires – en tout cas inédites – dont l’objectif est de venir au secours d’une économie cruellement en manque de liquidités.
En effet, les baisses de taux quantitatives n’ont été lancées et amplifiées qu’à la faveur d’un constat sans appel, qui est que seule la création monétaire serait susceptible de tirer nos économies de la torpeur où les ont plongées et la déficience des investissements et la croissance hyperbolique d’un système financier parasitique. Et pour cause: tous ces artifices – qui appartenaient à l’arsenal théorique des banques centrales – étaient considérés avec une sorte d’effroi jusque là car suspectés d’attiser l’hyperinflation. Près de dix ans après la plus grosse crise financière depuis la Grande Dépression, après plusieurs trillions de dollars, d’euros, de yens et de yuans créés à partir du néant, nos banquiers centraux donneraient beaucoup pour obtenir un taux d’inflation de seulement 2% au sein de nos nations occidentales étouffées par une stagnation caractérisée – voire causée – par une absence morbide d’inflation.
C’est en fait à un autre mal bien plus insidieux qu’elles sont désormais confrontées, celui-là même que le Japon tente désespérément de combattre sans succès depuis vingt ans : la déflation. Le lien de cause à effet entre la masse monétaire et les prix a effectivement été rompu à partir du moment où les banques ont cessé de prêter à l’économie pour se concentrer sur le casino planétaire qui leur permettait de multiplier des profits tout aussi virtuels que massifs. Voilà pourquoi les records des mois et des années précédents enregistrés sur les marchés boursiers étaient aberrants. Voilà également pourquoi ils appartiennent aujourd’hui à des temps révolus. Car on ne peut indéfiniment et impunément spéculer, jouer, se payer avec de l’argent fictif.
Aujourd’hui, Wall Street rejoint enfin Main Street dans son infortune.
Comment-la-mondialisation-ratée-refait-basculer-dans-l'univers-des-rentiers ? Ne jamais gober les apparences : ces "rentiers" ne sont surtout pas ceux à qui on voudrait nous faire croire...*******************************************
Libéralisme-moderne-et-trouble-mental ?
La personnalité obsessionnelle compulsive
Comment-savoir-qu'on-est-enfermé-dans-une-bulle-d'hystérie-collective ?
qui rejoint des névrosés hystériques…
Pour son enquête sur l’investissement et le surinvestissement dans les quatre grands cabinets d’audit et de conseil anglo-saxons, Sébastien Stenger s’est fait recruter comme stagiaire pendant trois mois dans un des Big Four : « Le 20 août 2013, Moritz Erhardt est retrouvé inanimé dans sa douche, foudroyé par une crise d’épilepsie après avoir passé trois nuits blanches au travail. Le décès du jeune Allemand de 21 ans, stagiaire chez Bank of America Merrill Lynch pour l’été, met en lumière les rythmes de travail dans les grandes banques d’affaires, le stress, le manque de sommeil, la pratique du magic roundabout : le salarié rentre chez lui en taxi tard dans la nuit, se douche, se change, puis reprend le même taxi pour repartir au travail.
A la suite du choc provoqué par ce décès, la banque propose aux stagiaires de terminer plus tôt leur travail. D’après le Financial Times, ceux-ci décident de travailler jusqu’au dernier jour, dans l’espoir de décrocher le poste très compétitif d’analyste à plein temps proposé à la moitié d’entre eux. Surprenant ? Pas vraiment. Malgré une vie privée quasi inexistante et une compétition harassante, ces métiers continuent d’attirer les jeunes diplômés. En 2014, la banque Morgan Stanley aurait reçu pas moins de 90 000 candidatures pour un stage d’été de summer analyst, pour 1 000 places proposées.
Les banques d’affaires représentent le paroxysme du rapport au travail de l’élite des affaires. Dans son ouvrage Au cœur des cabinets d’audit et de conseil, l’enseignant chercheur à l’ISG et à l’université Paris-I-Panthéon-Sorbonne Sébastien Stenger enquête sur l’investissement et le surinvestissement dans les quatre grands cabinets d’audit et de conseil anglo-saxons surnommés les « Big Four » (Deloitte, EY, KPMG et PricewaterhouseCoopers). Les carrières y sont sélectives et compétitives, la culture encourage les salariés à repousser leurs limites.
« Des moments de vie indigènes, cocasses » : Mais, en dépit des horaires à rallonge, de la compétition et du stress, les Big Four restent très attractifs auprès des jeunes diplômés. Pourquoi ? Quel est le sens que donnent les individus... etc.» Tout ce qui est fait désormais est de la pure IDÉOLOGIE, du concentré extrêmement toxique…qui ne fait plus que du mal. Par exemple, un élève qui a très mal assimilé ses cours, ne peut percevoir ce à quoi va aboutir son enfoncement dans l’idéologie « totale »…Soit en très limpide ?
Taxation-de-l'-immobilier-un-choix-idéologique-de-destruction-des-classes-moyennes
« Les députés ont adopté jeudi 19 Octobre en commission la mesure la plus controversée du projet de budget 2018, la transformation de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF) en impôt sur le seul patrimoine immobilier. L'ISF, que paient aujourd'hui 351.000 foyers dont le patrimoine dépasse 1,3 million d'euros, sera remplacé par un « impôt sur la fortune immobilière » (IFI), de façon à exempter de taxes les valeurs mobilières et les placements (actions, assurance-vie...).
L'imposition des patrimoines immobiliers, qui sont bien souvent le seul patrimoine de plus de 60 % des Français est une injustice flagrante dans la mesure ou la valorisation de l'immobilier n'est en général que le reflet de la réelle dépréciation monétaire. Dépréciation déjà taxée par les confiscations sur les plus-values. Déjà les placements habituels des classes moyennes, livrets, produits bancaires sans risque, ne rapportent strictement rien, en surtaxant le dernier refuge, on achève de laminer les classes moyennes. C'est un choix politique délibéré. [[mais un suicide collective par …inculture évidente et incapacité nuisible à se mettre à la place des autres !]]
Macron veut lutter contre ce qu'il appelle la rente. C'est un contresens. Ceux qui ont de la rente et qui en bénéficient contrairement à ce que pense Macron qui n'a rien compris, ce sont ceux qui utilisent leur pouvoir d'endettement pour avoir accès aux guichets du système bancaire et ainsi profiter du pillage du bien public : la monnaie. La rente n'est plus chez les petits propriétaires, elle est chez les kleptos, la classe ploutocratique, laquelle s'enrichit vraiment en dormant, s'enrichit en ne payant pas d'intérêt sur ses dettes. Il suffit de regarder les structures de financement des groupes LVMH, Bolloré, Drahi et autres chouchous de la classe politique.
Le projet de Macron, c'est d'empêcher que les classes moyennes ne deviennent un jour supérieures et ne viennent concurrencer les classes ultra-supérieures dont il est le représentant harki au mépris de ses origines.
Tout le monde, heureusement d'ailleurs, n'a pas vocation à spéculer en Bourse, les classes moyennes ont besoin de produits et de choses simples pour loger leurs économies ou constituer un petit patrimoine afin d'aider leurs enfants. ou même simplement pour garder leur dignité lors de leur retraite, ce qui est souvent le cas des artisans et petits patrons de PME. Un petit avoir immobilier préserve leur autonomie et les empêche de sombrer dans la dépendance. La taxation de Macron et de ses suiveurs est beaucoup plus importante socialement qu'il n'y parait, elle est une mesure de destruction de l'ordre social. » …Ahurissant n’est-ce pas ? Après les chimères de la « destruction créatrice » (comme si les guerres bâtissaient des villes neuves à chaque bombe ?) ou du ruissellement ( ce cynisme d’une cruauté inouïe de devoir « se contenter » des miettes appartient bien à l’âge barbare, normalement révolu, de la société !) – faire revenir cette barbarie est donc « foncièrement »…irresponsable. Et, prouve (par la bande) que la protection outrancière des véritables grands « rentiers de la Bourse », des dividendes excessifs, du vol « légalisé » des plus-values des autres, des escrocs financiers bancaires, etc. (qui voient leurs pertes payées par les…contribuables – ce qui n’est évidemment pas le cas d’un propriétaire d’immeuble) est bien conscient de lui. Quelque part !
…………………………………********************************
Oui. A reprendre tous les pilonnages qui ont précédé les toujours aussi illégales privatisations des services publics puisque aucun monopole ne peut s‘exercer lorsqu’il n’y a…pas de buts lucratifs. Ceci n’aura été qu’un immense vol de biens appartenant à tous par une caste privée qui n‘en a jamais eu le moindre droit…ses médias ont ressassés des :
** Égoïsmes corporatistes
** Replis sur des droits acquis crispés
** De l’archaïsme et de la ringardise
** Le non respect des vrais créateurs de richesses et de contenus
** Le sur-assistanat, le clair vivre sur l’argent des autres sans rien faire
** Les très privilégiés des services publics (aux salaires bloqués depuis plus de 20 ans)
** Les syndicats à l’origine du travail précaire (sic)
-- >>> -- Des rentiers, les sur-protégés de l’État (tout ceci est si facile à vérifier – les bandes télévisées sont toujours là – et nous avons longuement discuté avec tous les humains qui ont vécu ces années 1990 et, depuis, ces régressions évidentes…tout les corrobore). Or – ce qui n’était que diffamations, à l’époque, devient vérités flagrantes aujourd’hui. Les libéraux sont bien ce qu’ils prétendaient que les autres étaient (alors qu’ils ne l’étaient pas, eux)…Oui, les libéraux sont contre toutes les formes de libertés pour les autres, ils ont imposés (sans votes) l’aberration inqualifiable que les états soient gérés comme des entreprises (voir le désastre Raffarin et l’irrationnelle RGPP). Bref, ils ont systématiquement fait l’inverse dans ce qu’ils affichaient dans leurs propagandes qui n’ont connu vraiment aucune décence.
Quant aux harcèlements que la population a subi afin d’arracher (illégalement toujours) les privatisations, les débuts des grands monopoles du privé (tellement nuisibles au regard des clairs bienfaits des services publics – revenons à un complet service public du crédit pour le vérifier…), du financement par d’absurdes nationalisations de leurs pertes des banques devenues oui… si « usurières », etc. (liste vraiment longue). Il suffit de relire la liste des calomnies et d’appliquer ces descriptions aux imposteurs des dividendes et de la finance internationale : à cause d’eux l’austérité est imposée à tout le monde sauf à…eux…afin de leur permettre de s’enrichir encore plus sur l’austérité…des autres. Dont ils sont, en plus, la cause principale ! Plus privilégies désuets, impossible ! Reprenons la liste des calomnies ayant permis les…privatisations des biens de toutes et tous…
*** Égoïsmes corporatistes : les porteurs de dividendes atteignent bien les sommets de tous les égoïsmes. Ils ne sont qu’une corporation bardée de lobbies peu légitimes, appliquant à fond « le corporate » (selon le mot anglais) étant donc absolument corporatifs, jusqu’aux tréfonds d’eux-mêmes. Mettre fin à leurs corporatismes si vieillots…
*** Crispations sur des droits acquis : de voir les irrationnels porteurs de dividendes complètement crispés sur leur bénéfice à deux chiffres, devenus totalement insensibles à tout intérêt général – nous savons que nous avons affaire à des personnages…plus qu’archaïques. Mettre fin à leurs droits acquis qui empêchent tant la société de…progresser.
*** De l’archaïsme et de la ringardise : voir plus haut, les très anti-progressistes de la finance. A cause de ces esprits obstinés et…tournant le dos au progrès social – tout est bloqué. Face à la survie de la vie et de la planète, les comportements irresponsables de la finance la ringardise donc complètement. Nationaliser tout le crédit fera revenir tout le monde à la réalité…les initiatives individuelles ne seront plus spoliées. Ni écrasées par les si illégaux monopoles des multinationales qui empêchent toute réelle concurrence. La concurrence « libre » reviendra. La culture sortira par exemple de sa longue glaciation de plus de 40 ans. Mettre fin aux refus du progrès communs par les ringards de l’argent sale…
** Le non respect des vrais créateurs de richesses : les plus-values se créent sur la productivité, la productivité est animée principalement par le travail. Et les passifs investisseurs - qui ne font rien sinon vivre en parasites sur la productivité des autres, sur les plus-values créées par d’autres - spolient donc clairement les…producteurs de richesses. Les inventeurs de contenus…Une estimation très basse calcule un minimum de 5 000 milliards d’euros jusqu’à plus de 10 000 milliards d’€ et plus de spoliés par les monopolisations des « plus-values » provoquées par les dividendes vraiment…abusifs. Donc que les dividendes doivent…rembourser illico…Les « valets » des investisseurs (les managers) sont payés grassement pour leurs trahisons par rapport à l’intérêt général. Et leurs destructions du futur commun. Mettre fin à la nationalisation de leurs pertes…nationalisons plutôt la partie « abusive » de leur patrimoine (dû aux spoliations sur tous) et de leurs revenus (volés aux productivités des…autres).
*** Le sur-assistanat, le vivre sur l’argent des autres sans rien faire ; actuellement les trop riches qui peuvent frauder avec félicitations, peser sur les revenus de chacun-e par les enfers fiscaux, ne pas payer d’impôts ET, en plus, être subventionnés et exonérés - sont des modèles insurpassables de sur-assistanats, des protégés de l’état. Mettre fin à ses chouchous illégaux. En réPublique tout privilège reste …interdit !
*** Pas de privilégiés des services publics : non, les illégaux privilégiés actuels sont les rentiers aux dividendes qui VOLENT les investissements nécessaires à la survie de toute la société (2,6 fois le montant des investissements versés aux « sur-privilégiés » des dividendes). A cause de qui les salaires de la fonction publique sont bloqués depuis plus de 20 ans ? Oui bloqués et peinent à suivre l’augmentation du simple coût de la vie. Soit des rentiers « à ne rien faire » sinon à étaler une arrogance hors du commun. La bureaucratie du privé pullule partout. Les privatisations auront commencées, en 1986, sur le faux motif « du monopole du public » oui mais d’un public à but non…lucratif . Et ces privatisations auront enchéris à fond TOUS LES PRIX. Ceci ne s’est pas arrêté avec l’évident BOND des prix lors du passage à l’euro (en gros, tout a triplé ou plus en quelques mois mais comme l’habitude des chiffres était tout autre trop peu s’en sont aperçu !)…et les très alarmantes précarisations actuelles qui ne seraient pas intervenues…sans ces privatisations incompréhensibles. Enfin, des élus qui trahissent à ce point leur fonction : brader tout ce qui appartient à tout le monde et poursuivre en enrichissant, uniquement, ceux qui ont déjà beaucoup trop. Donc au détriment de la majorité des populations. Impossible d’y voir la marque du respect pour la réPublique ou la moindre couleur démocratique dans ces piteux effondrements dans les stupidités libérales…ces très grands ennemis de la liberté pour tous. Juste la leur et …à n’importe quel prix. Bref, le pacte des plus toxiques gangsters…
…………………...........***********************************
La scélérate RGPP révision générale des politiques publiques (RGPP) où l’état est géré comme une entreprise afin d’offrir ses bénéfices …aux banques, à la spéculation boursière et aux…imposteurs libéraux (qui ne voulaient rien devoir à l’état et lui doivent… plusieurs fois sa dette, tellement ils se sont à ces dons directs). C’est dire…commencée, officiellement en 2007, la RGPP est remplacée en 2012 par la MAP (modernisation de l'action publique).- en fait, l’encadrement appliquait ces absurdités bien avant. Des exemples alors que l’administration qui se permet d’avoir des productivités, parfois, bien supérieures au privé (selon les dates et les secteurs) et des qualifications évidentes : dès les années 2000 tous les audits publics auront été réservés au privé – mais ces libéraux ne sont pas du tout traité en privilégiés…
Le « unfair advantage » de l’état libéral ? La RGPP doit disparaître. Les bénéfices ce n’est pas ce que l’état doit faire…Clair que cet état doit être délobbyisé, délibéralisé, régulé, arraché à la structure malsaine de l’entreprise (valable pour les objets mais surtout pas pour les…humains), déréformé (les seules réformes acceptables sont celles CONTRE l’oligarchie, contre l’argent qui vole les médias de tous et contre les politiciens quoi trahissent sans cesse leurs électeurs – sinon toute réforme est éminemment…suspecte). L’État ne doit pas faire des bénéfices mais rester…bénéfique. Équitable. Répartissant également les richesses et gérant rationnellement les ressources. Pratiquant à fond les biens communs. Et remplaçant l’abject profit (toujours « contre » le plus grand nombre) par…les solidarités actives.
Bref, le retour à la réPublique la publique gestion de la vie de tous…
………………(à suivre)
………………………………****************************
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
En érigeant en modèle le " risque " contre la " rente ", Emmanuel Macron ignore les résultats de la recherche sur les motivations réelles de nos choix économiques, estime l'économiste Christi...
grave erreur de perception qui disqualifie beaucoup de sa réflexion non complexe...et vient du détraquement évident du libéralisme !
Trebor Scholz lance le Platform Cooperativism Consortium le 11 novembre 2016. Sorti chez l’éditeur alternatif OR Books (qui fonctionne en impression à la demande), leur livre Ours to Hack and to Own. The Rise of Platform Cooperativism, a new Vision for the Future of Work and a fairer Internet (« À nous de hacker et de nous approprier. L’émergence du coopérativisme de plateforme, une nouvelle vision pour le futur du travail et d’un internet plus juste ») propose un panorama mondial de ce type d’alternatives. On y retrouve les contributions d’auteurs comme McKenzie Wark, auteur d’Un Manifeste Hacker, Saskia Sassen, la sociologue des villes mondialisées, Michel Bauwens, le promoteur du P2P (pair à pair), ou encore Francesca Bria, la conseillère numérique de Ada Colau à Barcelone et coordinatrice de la récente initiative D-Cent de démocratie directe et de promotion des monnaies sociales numériques. Pour n’en citer que quelques-uns…
Nathan Schneider «Le sens des mots» Pages 14 à 19 « Dans les environs de Barcelone, parmi les milliers de membres de la Coopérative intégrale catalane, j’ai pu avoir un aperçu des coopératives du XXIème siècle. Plutôt que de garantir des emplois démodés, ces travailleurs indépendants s’entraident pour devenir moins dépendants des salaires, et plus en mesure de s’appuyer sur le logement, la nourriture, les soins aux enfants et le code informatique qu’ils ont en commun. Ils échangent avec leur propre monnaie numérique. Dans des cas comme celui-ci, les lignes traditionnelles entre travailleurs, producteurs, consommateurs et déposants peuvent devenir plus difficiles à tracer. » « Une partie de l’héritage coopératif a déjà joué dans la culture technologique. L’Internet repose sur des outils libres et open source construits à travers des prouesses d’auto-gouvernance de pair à pair comme Wikipédia et Linux. Si vous visitez plusieurs bureaux d’entreprises technologiques, du garage d’une start-up au Googleplex, vous rencontrerez des équipes auto-organisées qui créent des projets selon une méthode ascendante (bottom up). Pourtant, cette démocratie ne semble pas atteindre la salle du conseil d’administration ; là-haut, les choses relèvent encore beaucoup du corporatisme d’entreprise du XXème siècle où c’est celui qui possède le plus d’actions qui prend les décisions. Il y a pare-feu. Nous pouvons pratiquer la démocratie partout, semble-t-il, sauf là où elle compte vraiment. » (…) « Cela doit changer. Les gouvernements devraient reconnaître que les plateformes coopératives permettront de conserver plus de richesses au sein de la communauté et qu’en ce sens elles serviront leurs administrés. Plutôt que d’essayer (et d’échouer) de dire “non” à des gens comme Uber, les institutions devraient dire “oui” aux coopératives de plateforme. Nous avons besoin de lois qui facilitent la création et le financement de coopératives, ainsi que d’investissement public dans le développement de ces entreprises – des financements que les entreprises extractivistes ne cessent d’obtenir. »
et sans les énormes majorités...
C’est que…Special investigation La Bourse est Truquée, Les Loups De Wall Street Documentaire 2017
La Bourse Pas à Pas - Qu'est-ce qu'un dividende ? et autre « la Bourse non ce n’est pas risqué » …cela dépend pour qui pour les contribuables qui remboursent toutes les pertes c’est très risque. Pour qui voient ses créations de plus values volées c’est encore plus risqués. Quand seuls les gros boursiers sur le moyen terme, en général, ne perdent jamais rien (les petits presque toujours). etc...
Tout est dans le trompe l’œil…La bourse monte-t-elle vraiment à long terme ? Tout un discours à rallonge pour se rassurer contre vents et marées...
Les 3 plus gros mensonges sur la bourse ? (vu de l’intérieur)... Vus de l’extérieur ? Tout ce texte et, en général, ce blog…