La seule mondialisation de la pauvreté ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

La seule mondialisation de la pauvreté ?

De la pauvreté mondiale à l’exclusion et à la détresse ? Afin de couper court à cette régression - il ne s’agit que d’aller à contre-courant de la guerre et de la mondialisation. Mondialisation qui signe ceci qui ne tient pas l’explication : « moins de pauvreté mais plus d’inégalité ». Les chiffres, en effet, semblent tellement biaisés (par exemple, le paradoxe où l’écart entre riches et pauvres n’arrête pas d’augmenter – allié avec l’incompatibilité de l’annonce de la diminution péremptoire et univoque de toutes les pauvretés). Pour le moins, il y a des augmentations régionales de la pauvreté. Des « diminutions différentielles » qui recouvrent seulement des réductions purement nominales (sur le papier) mais une misère de fait qui augmente (dans la vraie vie). Ceci se démantèle par le véritable…pouvoir d‘achat. Ah oui, on vous dit « plus riches, soit moins pauvres » mais vous pouvez acheter moins (donc, concrètement, vous êtes appauvris). Alors moins de pauvres mais tous plus appauvris ? Donc nous sommes bien devant la contradiction oxymoresque de « Moins de pauvreté allié à plus d’inégalité ». Qui nous fait sauter de…« dans l’absolu plus de pauvreté » au…dans le relatif du « dans ce cadre très restreint, il y a moins de pauvreté ». Nous ne sommes pas vraiment sortis de l’auberge. Alors deux grandes pistes la mondialisation …des pauvres en vrais chiffres. Et, selon l’évidence « les guerres appauvrissent les pauvres », allons-nous améliorer les éclaircissements par le texte de l’allocution liminaire de Michel Chossudovsky lors de la conférence nationale de la Philippine Sociological Society (PSS), University of the Philippines, Cebu, du 7 octobre 2017 ? Le 7 octobre 2017 qui marque le 16e anniversaire de l’invasion illégale de l’Afghanistan par les USA et l’OTAN.

 

« La sociologie de la justice » doit être envisagée dans l’optique d’un nouvelle oligarchie qui détruit les pays souverains à coups de conflits armés et de « changements de régime ». Des pans importants de la population mondiale s’appauvrissent aussi en se faisant imposer des réformes macroéconomiques meurtrières. Cette nouvelle désorganisation mondiale se nourrit de la misère humaine et de la destruction de l’environnement, créée un apartheid social, encourage le racisme et les conflits ethniques et mine les droits des femmes. »

……………………............*******************************************

Désindustrialisation, inégalités, famines, migrants…la mondialisation est vraiment sur le banc des accusés. À l’origine, c’était un slogan pour l’union de toutes les nations vers un monde plus sûr et plus prospère, s’appuyant sur l’idée selon laquelle le maximum d’ouverture aux échanges ne pouvait que procurer le maximum de possibilités de développement.

« C’était un rêve créé de toutes pièces pour obliger l’ensemble des pays du globe à emprunter le chemin du faux libre échange [[ à sens unique]], de la mise en [[non]] concurrence tous azimuts et des surprofits [[aux détriments de qui ?]]. Ainsi, entre 1985 et 1997, le rapport entre les échanges extérieurs (importations et exportations) et le PIB est passé de 17 % à 24 % pour les pays développés et de 23 % à 38 % pour les pays en développement. Entre 2000 et 2010, le commerce des produits manufacturés a augmenté en moyenne de 4,8 % par an en volume. Le commerce mondial de marchandises représente plus de 15 200 milliards de dollars en 2010 contre 12 100 milliards après la récession de 2009, et 16 100 milliards en 2014, selon les chiffres de l’Organisation mondiale du commerce.

La-mondialisation-dans-tous-ses-chiffres-par-Clotilde-Mathieu

Pourtant, les inégalités Nord-Sud se maintiennent dans les échanges mondiaux. Une partie des pays du Sud restent à l’écart de la mondialisation. Alors que l’Europe de l’Ouest, l’Asie de l’Est et l’Amérique du Nord réalisent 80 % du commerce mondial, l’Afrique avec 14 % de la population mondiale ne représente que 2 % des échanges. Les pays du Nord, grâce à la domination de leurs bourses mondiales (New York, Tokyo, Londres, pour la finance, Chicago pour les matières premières) continuent de fixer les prix des matières premières [[ où est le « libre » échange alors ?]] produites par les pays du Sud (céréales, pétrole, gaz, café, cacao, coton, minerais, etc.).

Les entreprises multinationales des pays du Nord continuent de dominer les marchés mondiaux et délocalisent une partie de leur production dans les pays en voie de développement. Ayant des débouchés immenses à l’exportation, ils ne sont nullement contraints d’augmenter le pouvoir d’achat de leurs employés pour écouler leurs marchandises. De fait, les pays du Sud, émergents ou non, jouent le rôle de clients ou de sous-traitants [[très maltraités…]] des grandes entreprises des pays du Nord et les inégalités se creusent. Car au-delà de l’intensité des échanges, c’est surtout l’évolution de leur structure qui marque cette période. La montée du commerce de produits identiques, du poids des firmes multinationales dans le commerce mondial, et la participation d’un nombre toujours plus grand de pays aux échanges, et notamment des pays en développement ont impliqué une évolution sensible de la division internationale du travail. Si bien que la circulation des biens et services se substitue à celle des personnes. Et l’ouverture devient synonyme de concurrence entre les travailleurs du monde entier. La réduction du salaire pour assurer une plus forte rentabilité du capital [[qui n’assume plus…ses devoirs !]] est alors à l’œuvre au travers de toutes les réglementations émises par les organismes internationaux. Et pour ceux qui n’arrivent pas à se hisser aux niveaux exigés [[ ?]] par cette hyper-concurrence, une seule voie : la faillite ou l’exclusion.

En France, selon les études de l’Insee, ce sont entre 13 500 à 36 000 emplois par an qui sont perdus du fait de la mondialisation. Et depuis 2002, le nombre de personnes pauvres au seuil de 50 % du revenu médian a augmenté de 760 000 (+ 20 %) et le nombre au seuil de 60 % a progressé de 678 000 (+ 9 %). Les taux sont passés respectivement de 6,5 à 7,5 % et de 12,9 à 13,5 %. Aux États-Unis, de 2000 à 2010, 15 millions de personnes ont basculé dans la pauvreté, leur nombre passant de 31,6 millions à 46,2 millions. Au total, ce sont 633 millions de travailleurs dans le monde qui vivent sous le seuil d’extrême pauvreté, moins d’un dollar par jour. Alors qu’à l’autre bout de l’échelle, Carlos Slim Helu, le plus riche du monde, vit avec 94 millions de fois le seuil de pauvreté mondial, ce qui représente 18 millions de fois la richesse médiane par adulte.

Mais la libéralisation des échanges est aussi une des causes majeures de la faim dans le monde. Si la part de population mondiale en situation de sous-alimentation a baissé en 40 ans, puisqu’elle était de supérieure à 30 % au début des années 70 pour passer aujourd’hui à 15 %, 925 millions de personnes dans le monde souffrent de faim chronique en 2010 [[ autour d’un milliard en 2017]], selon l’Organisation des Nations unies.  Les émeutes de la faim qui se sont produites en 2007 et 2008 dans plusieurs pays pauvres importateurs de denrées alimentaires en ont fait un sujet d’actualité brûlant. Elles ont attiré l’attention de l’opinion internationale sur la grave crise qui résultait du renchérissement de produits de base [[du fait des affameurs qui causent les…affamés]]. Cette crise alimentaire couvait depuis que le Fonds monétaire international (FMI), entre autres dispositions pour désendetter les pays notamment de l’Afrique subsaharienne, avait encouragé le développement des cultures d’exportation (éminemment spéculatives) au détriment des cultures vivrières traditionnelles. Au problème de la sécurité alimentaire s’ajoute la pollution des sols par le recours intensif aux engrais et pesticides et la déforestation massive. »

Ainsi – aux niveaux les plus concrets, la mondialisation-que-pour-les-riches aura dégradé les cadres de vie des pauvres, leur alimentation, leur sécurité alimentaire, leurs garantis d’activités et jusqu’à leur pouvoir d’achat. Le Nord continue à vivre sur le dos du Sud, à lui voler son argent, à lui spolier ses ressources naturelles, à lui faire payer plusieurs fois la même dette, à exporter « ses » guerres chez eux, etc. Bref – le tableau général n’est certainement pas d’un mieux dû à la mondialisation. Mais , plutôt, d’une extension du post-colonialisme qui fragilise tous leurs avoirs. Il fait être un conformiste très insensible et sous informé, pour croire aux insultes de fausses informations sur une meilleure situation de la pauvreté dans le monde ! C’est faux…

………………………….......*******************************

Tous les médias mainstream se nourrissent de trompes-l’œil, et ne veulent surtout pas rendre compte de la réalité. Ainsi les jongleries verbales demeurent les seules…actions . Telles ? La « croissance inclusive » comme but…oui mais toujours reporté à plus loin…à plus tard…toujours après-demain…jamais tout de suite !

De-la-pauvreté-mondiale-à-l'exclusion-et-à-la-détresse-:-allons-à-contre-courant-de-la-guerre-et-de-la-mondialisation !

« Nous sommes parvenus au seuil de la crise la plus grave de l’histoire moderne. La guerre est présentée comme une entreprise favorisant la paix. La justification des guerres menées par les USA est la « responsabilité de protéger » (R2P), dans l’intention d’instaurer une « démocratie » occidentale (à la Trump) partout dans le monde. Les conflits mondiaux font partie intégrante du scandaleux programme néolibéral. Guerre et mondialisation sont étroitement liées [[avec le déversement incessant de la propagande de la « fausse » diminution de la pauvreté – or des guerres si imposées rendent toujours plus pauvres les civils et leur familles…]]…

Nous avons affaire à un projet impérialiste qui sert en gros des intérêts économiques et financiers mondiaux dont Wall Street, le complexe militaro-industriel, les géants du pétrole, les conglomérats biotechnologiques, les grandes sociétés pharmaceutiques, la narcoéconomie mondiale et les géants des médias et de l’information. L’invasion de l’Afghanistan le 7 octobre 2001, marque aussi le lancement officiel de la soi-disant « guerre mondiale contre le terrorisme », qui a servi de prétexte aux guerres et aux interventions « illégales » menées par les USA et l’OTAN au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne, en Asie centrale et en Asie du Sud-Est.

La guerre mondiale contre le terrorisme est une fausse guerre : Al-Qaeda et ses différentes filiales, dont le groupe armé État islamique-Daech, sont des créations des services secrets étasuniens, une réalité qui est abondamment confirmée. Doctrine de l’utilisation préventive d’armes nucléaires : Simultanément, un revirement majeur de la doctrine nucléaire des USA s’est produit avec l’adoption de la doctrine de la guerre préventive, autrement dit, de la guerre comme mesure « d’autodéfense » [[agresser les pays chez eux pour se défendre de leurs …invasions chez soi : il fait avoir perdu tout honneur pour mentir à ce point !]]. La doctrine de la guerre préventive s’applique aussi au recours aux armes nucléaires à des fins préventives. En 2002, l’administration étasunienne a fait valoir l’utilisation d’armes nucléaires contre les ennemis des USA en tant que mesure d’autodéfense. L’administration Trump menace ouvertement le monde d’une guerre nucléaire. Comment peut-on s’opposer à cette proposition diabolique et absurde lancée par l’administration « nihiliste » étasunienne voulant que l’utilisation d’armes nucléaires contre l’Iran ou la Corée du Nord va « rendre le monde plus sûr »?

Recherché : le mouvement antiguerre : Depuis l’invasion et l’occupation de l’Irak, le mouvement antiguerre semble mort [[malgré les prix Nobel]]. C’est le militantisme parcellaire souvent financé par Wall Street qui domine, concentré uniquement sur des questions bien précises liées à l’environnement, au changement climatique, au racisme et aux droits civils. Invariablement, les guerres et les crimes de guerre de grande ampleur commis par les USA et l’OTAN dans le cadre d’un prétendu programme antiterrorisme, ne font l’objet d’aucune dissidence publique organisée. La devise est non sequitur : l’hypocrite « nous sommes contre la guerre, mais nous soutenons la guerre contre le terrorisme. »

La propagande de guerre est généralement admise et donne un visage humain aux atrocités commises par les USA et l’OTAN et à leurs violations des droits de la personne. Par contre, les gouvernements des pays agressés par les USA sont accusés à la légère de tuer leurs propres ressortissants. La désinformation des médias chamboule la réalité. La Corée du Nord ne constitue pas une menace à la sécurité mondiale. Avec ses 20 ogives nucléaires B61 déployées sous commandement national, la Belgique possède un arsenal plus important que la RPDC (qui aurait apparemment 4 bombes nucléaires).

Les bombes nucléaires B61 non déclarées se trouvant dans cinq pays européens (Belgique, Pays-Bas, Allemagne, Italie Turquie) sont dirigées à la fois contre la Russie et le Moyen-Orient [[suspectes préférences, non ?]].  Les médias de masse évitent d’avertir l’opinion publique qu’une attaque nucléaire des USA contre la Corée du Nord ou l’Iran pourrait causer la Troisième Guerre mondiale qui, pour reprendre les mots d’Albert Einstein, serait « terminale », car elle entraînerait la destruction de l’humanité.

Dans une guerre nucléaire, les “dommages collatéraux” toucheraient l’ensemble de l’humanité. Ayons le courage de proclamer que « toutes les armes nucléaires ou conventionnelles, que tout ce qui est utilisé pour faire la guerre, doit disparaître! » (Fidel Castro Ruz, conversations avec Michel Chossudovsky, 12 au 15 octobre 2010).

 « Je ne sais pas avec quelles armes sera menée la Troisième Guerre mondiale, mais je sais que la Quatrième le sera avec des bâtons et des pierres. » (Albert Einstein). La guerre est scandaleusement présentée comme une entreprise humanitaire. La sécurité mondiale exige que l’on pourchasse Al-Qaeda dans le cadre d’une prétendue campagne antiterrorisme. Les gens sont amenés à croire que le groupe armé État islamique et Al-Qaeda menacent le monde. En vérité, Al-Qaeda et ses nombreux groupes affiliés, ainsi que le groupe armé État islamique (Daech), sont sans exception des créations des services secrets des USA. Ce sont des actifs des services du renseignement.

Lorsqu’une guerre nucléaire patronnée par les USA devient un « instrument de paix », qu’elle est tolérée et acceptée par les institutions mondiales et les plus hautes instances, y compris les Nations Unies, il ne serait plus possible de revenir en arrière : c’est qu’on aurait irrémédiablement précipité la société humaine dans la voie de l’autodestruction.

…………………………..*****************************************

Et ce que les médias d’argent « évitent », aussi, de dire c’est que ces « coups de monde » (sur le modèle de putschs illégaux) appauvrissent encore plus les pauvres. Et ce pour 2 grandes catégories de raisons

** 1) - Du colonialisme au postcolonialisme : L’histoire postcoloniale est une continuation de l’histoire coloniale ayant donné naissance au programme impérialiste des USA, rendu possible en grande partie par le retrait et la défaite par les USA des anciennes puissances coloniales (ex. Espagne, France, Japon, Pays-Bas). Ce projet hégémonique [[donc sans aucun « libre » échange possible que des échanges « forcés » !]] des USA consiste pour une large part à transformer les pays souverains en territoires ouverts sous le contrôle [[ liberticide pour les pays]] des intérêts économiques et financiers dominants. Des instruments militaires, économiques et du renseignement sont utilisés pour mener à bien ce projet hégémonique [[donc qui « refuse » toute vraie…concurrence et échanges équitables…]].

La militarisation démontrée par les bases et les installations militaires des USA déployées partout dans le monde (il y en a plus de 700), dans le cadre de la structure de commandement au combat unifiée, soutient indéniablement un programme économique mondial [[ comme si le monde entier « était à eux » !]]. De plus, ce déploiement miliaire reçoit tout l’appui de la politique macroéconomique des USA, qui impose des mesures d’austérité à toutes les catégories de dépenses civiles, en vue de dégager les fonds requis pour financer l’arsenal militaire étasunien et l’économie de guerre [[ « leurs » guerres ont donc créé les quasi 100 millions de pauvres étasuniens. Cette oligarchie, peu légale, est la claire ennemie des habitants du même pays…]].

** 2) - La mondialisation de la pauvreté : La « mondialisation de la pauvreté » de l’ère postcoloniale découle directement de l’imposition de réformes macroéconomiques meurtrières sous la gouverne du FMI et de la Banque mondiale. Ces institutions issues des accords de Bretton Woods sont des instruments de Wall Street et de l’establishment corporatif [[donc « très archaïques et bouffis d’égoïsmes crispés sur des droits acquis », selon les vils médias français avant les…illégales privatisations ]].

Le profil temporel de ces réformes, qui a mené à un processus de restructuration économique d’envergure mondiale, a une importance capitale. Le début des années 1980 a été marqué par l’attaque en règle du programme d’ajustement structurel (PAS) sous la conduite du FMI et de la Banque mondiale. Les « conditionnalités par politique imposée » [[donc toujours sans AUCUN libre échange !]], dirigées en grande partie contre des pays du tiers monde endettés, sont utilisées comme moyen d’intervention en vertu duquel les institutions financières internationales basées à Washington imposent un menu fixe composé de réformes de politique économique meurtrières comprenant des mesures d’austérité [[ à sens trop unique et trop « disqualifiée » dans le sens que cette « fausse » austérité enrichissent tant les déjà trop riches ]], la privatisation [[ce scandale de la pire des gestion possible ]], l’élimination progressive des programmes sociaux [[la preuve !]], des réformes de l’anti commerce « libre », une compression des salaires réels, [[bref, la très grave régression de l’absurde capitalisme !]], etc.

Les années 1990 coïncidaient aussi avec l’expansion et l’agrandissement de l’OTAN, ce qui a entraîné des dépenses massives consacrées à la « défense » et ce malgré la disparition de «l’excuse » de la disparition de l’URSS. Bien au contraire, le néolibéralisme nourrit le complexe militaro-industriel.

Ce qui est en jeu, c’est la « tiermondialisation » des pays dits développés, qui crée un chômage massif dans plusieurs pays de l’UE comme l’Espagne, le Portugal et la Grèce, dont les économies sont aujourd’hui soumises aux mêmes réformes selon le modèle du FMI que celles qui s’appliquent aux pays du tiers monde. Cela signifie que la mondialisation de la pauvreté a étendu son emprise, en appauvrissant non seulement les pays de l’ancien bloc de l’Est et des Balkans, mais aussi les pays dits à revenu élevé de l’Europe de l’Ouest [[ la pauvreté diminue en étendant, partout, son …existence concrète et le…nombre de pauvres. En fait, si nous regardons bien, il n’est jamais dit « le nombre de vrais pauvres » diminue…juste « la » pauvreté diminue. Ce qui situe bien ce vil mensonge dans la grande puérilité qu’aura toujours été l’inadmissible capitalisme…]].

……………………….........***********************************************

De l’oubli systématique de certains épisodes d’une « construction » globale si nuisible aux très…grandes majorités ? « De façon plus générale, les années 1990 ont coïncidé avec la guerre « humanitaire » de l’OTAN contre la Yougoslavie, qui a servi de tremplin à l’augmentation de la capacité militaire de l’OTAN et à sa mondialisation au-delà des frontières de l’Atlantique Nord datant de l’époque de la Guerre froide.

La crise asiatique de 1997-1998 constitue aussi un seuil important dans l’évolution du cadre économique néolibéral, car elle montrait qu’au moyen de manipulations spéculatives effectuées sur les transactions sur devises et le marché des produits de base, il est possible de déstabiliser l’économie nationale des pays visés [[ rappelons que spéculer est un délit et que là nous atteignons, en plus, la réalité des États gangsters , qui cumulent spéculations illégales et plans de déstabilisations « contre » d’autres pays…tout est dit !]]. À cet égard, les spéculateurs institutionnels sont maintenant capables de faire augmenter artificiellement le prix des denrées de base, ou encore de faire monter et descendre le prix du pétrole brut. « La pauvreté, c’est bon pour les affaires. » [[avouent les (cy)iniques, si fainéants et horriblement nihilistes…].  Elle permet d’approvisionner l’industrie et des secteurs de l’économie de services en biens fabriqués à bon marché partout dans le monde.

Ce processus de restructuration économique généralisé (qui a atteint de nouveaux sommets) repose sur la compression des salaires et du coût de la main-d’œuvre partout dans le monde [[…à ajouter des anti Droit du Travail : partout où la productivité est bonne, comme la France (et donc ses travailleurs « ne peuvent tout simplement pas » être fainéants avec une telle productivité), il s’agit juste - non, de partager les plus-values mais bien de « spolier » le travail de son énorme participation aux…bénéfices communs…ceci est la réalité de la déforme contre le Travail !]] , tout en réduisant le pouvoir d’achat de centaines de millions de gens [[qui évidemment sont devenus « moins pauvres » avec un pouvoir d’achat ratiboisé…]]. Cette compression de la demande des consommateurs finit par provoquer une récession et une hausse du chômage [[ ce pourquoi le Fmi vient de dire que si les riches ne …paient pas d’impôts il n’y aura plus beaucoup de…croissance !]].

L’économie de faibles salaires va de pair avec des taux de chômage excessivement élevés qui, dans les pays en développement, découlent de la destruction de la production régionale et locale, sans oublier la déstabilisation de l’économie rurale. Cette « armée de réserve des sans-emploi » (Marx) contribue à maintenir les salaires au strict minimum. Une main-d’œuvre bon marché est aussi importée de pays appauvris (Inde, Bangladesh, Philippines, Indonésie, etc.) et utilisée par l’industrie de la construction et l’économie de services. »…Mais a des effets « induits » que les têtes de linottes capitalistes (qui ne connaissent rien aux vraies affaires globales…) ne peuvent comprendre :

*** a ) - Demande globale : Cette restructuration économique mondiale a entraîné une hausse spectaculaire de la pauvreté [[ depuis 2009 oui..]] et du chômage. Bien que la pauvreté soit considérée comme un avantage côté offre [[osent les vrais (cy)iniques ]], parce qu’elle favorise des niveaux de salaires faibles, l’économie mondiale basée sur une main-d’œuvre bon marché entraîne inévitablement un effondrement du pouvoir d’achat [[ donc des possibilités de consommer, tête vraiment folle]], qui à son tour fait monter les taux de chômage [[donc baisse la consommation, moteur mondial de la croissance, etc….]]..

La main-d’œuvre bon marché et la compression du pouvoir d’achat sont des piliers du néolibéralisme. Les politiques keynésiennes orientées sur la demande des années 1970 ont fait place au programme macroéconomique néolibéral dans les années 1980. Le programme de politique économique néolibérale adopté partout dans le monde soutient l’économie mondiale basée sur une main-d’œuvre bon marché. Avec l’abandon des politiques orientées sur la demande [[sauf au Portugal !]], le néolibéralisme ressort comme le paradigme économique dominant.

*** b) - Ajustement structurel dans les économies développées : L’effondrement généralisé des niveaux de vie[[ concrétisé par la disparation rapide des ex-classes moyennes]], qui est la conséquence du programme macroéconomique, ne se limite plus aux soi-disant pays en développement. Aux États-Unis, le chômage est généralisé; dans plusieurs pays de l’UE, dont l’Espagne et la Grèce, les taux de chômage sont extrêmement élevés. Simultanément, les revenus de la classe moyenne sont si comprimés que la classe moyenne tend à s’amenuiser, les programmes sociaux sont privatisés, les filets de sécurité sociale, y compris les prestations d’assurance-chômage et les programmes d’aide sociale, sont amoindris.

*** c) - Sous-consommation : [[oui, un comble de stupidité dans une société de…consommation]]…L’effondrement généralisé du pouvoir d’achat favorise une récession dans l’industrie des biens de consommation. La production de marchandises n’est plus destinée aux nécessités de subsistance (nourriture, logement, services sociaux, etc.) de la majorité de la population mondiale. Il y a une dichotomie entre « ceux qui travaillent » dans l’économie basée sur une main-d’œuvre bon marché et « ceux qui consomment ». L’injustice fondamentale de ce système économique mondial, c’est que « ceux qui travaillent » ne peuvent se payer les biens qu’ils produisent [[ retour direct à Marx…]].  Autrement dit, le néolibéralisme ne favorise pas la consommation de masse, bien au contraire [[et, malgré tout, la pauvreté continuerait à diminuer…ne paraissent-ils pas plus fous ces nieurs et renieurs des réalités flagrantes ?]] : le développement d’inégalités sociales extrêmes à l’intérieur des pays et entre les pays finit par causer une récession dans la production des biens et services essentiels (y compris la nourriture, les logements sociaux, la santé publique et l’éducation).

L’absence de pouvoir d’achat par « ceux qui travaillent » (sans oublier ceux qui sont sans emploi) entraîne une chute de la demande globale. Mais on assiste en même temps à une hausse de la « consommation de luxe » (au sens large) par les couches de la société aux revenus élevés. Soit, les deux secteurs dynamiques de l’économie mondiale sont :

  1. la production destinée aux couches de la société aux revenus élevés.
  2. la production et l’utilisation d’armes par le complexe militaro-industriel.

L’économie mondiale basée sur une main-d’œuvre bon marché, de pair avec la restructuration des mécanismes financiers mondiaux, créent une concentration des revenus et de la richesse sans précédent, qui favorise un développement dynamique de l’économie fondée sur les produits de luxe (au sens large) (Marx, sous-section IIb). La section III dans l’économie mondiale contemporaine, c’est la production d’armes, qui sont vendues partout dans le monde [[sans jamais de limitations…budgétaires…]], principalement aux gouvernements. Ce secteur de production aux USA est dominé par une poignée de grandes sociétés, dont Lockheed Martin, Raytheon, Northrop Grumman, British Aerospace, Boeing, et ainsi de suite [[la vente d’armes appauvrit toujours les plus pauvres…]].

La politique néolibérale favorise le développement d’une économie mondiale basée sur une main-d’œuvre bon marché qui entraîne une baisse de la production des biens de consommation indispensables (Marx, sous-section IIa). La faible demande de biens et services indispensables cause à son tour un vide dans le développement des infrastructures et des investissements sociaux (écoles, hôpitaux, transport public, santé publique, etc.) qui soutiennent le niveau de vie de la grande majorité de la population mondiale [[ niveau de vie donc très clairement…appauvri !]]…

*** d) - La reproduction de ce système économique mondial repose sur la croissance et le développement de deux grands secteurs : le complexe militaro-industriel ainsi que la production destinée à la consommation de luxe par les couches de la société aux revenus élevés.  La seule façon de l’enrayer, c’est en criminalisant la guerre, en stoppant l’industrie de l’armement et en enlevant la gamme d’instruments politiques néolibéraux générateurs de pauvreté et d’inégalité sociale.

……………………………**************************************

Création d’un réseau communautaire élargi : Ce qu’il faudrait, c’est parvenir à briser « l’opposition contrôlée » en créant un réseau communautaire élargi qui chercherait à enrayer les modèles d’autorité et de prise de décision liés à la guerre et au programme politique néolibéral. Il est entendu que les déploiements militaires des USA (y compris d’armes nucléaires) sont en définitive utilisés pour soutenir de puissants intérêts économiques. Ce réseau serait établi à tous les niveaux dans la société, les villes et les villages, les lieux de travail et les paroisses, à l’échelle nationale et internationale. Les syndicats, les associations d’agriculteurs, les associations professionnelles et commerciales, les associations étudiantes, les associations d’anciens combattants et les groupes confessionnels seraient invités à s’intégrer à la structure organisationnelle antiguerre. Ce mouvement devrait aussi s’étendre aux forces armées, qui est d’une importance capitale comme moyen de briser la légitimité de la guerre parmi les militaires.

La première tâche consisterait à neutraliser la propagande de guerre au moyen d’une campagne efficace contre la désinformation des médias. Les médias institutionnels seraient directement visés, ce qui mènerait au boycottage des principaux organes de presse, qui sont responsables de transmettre la désinformation dans la chaîne médiatique. Cet effort nécessiterait en parallèle la mise en place à la base d’un processus de sensibilisation de nos concitoyens à la nature de la guerre et de la crise économique mondiale [[à l’imitation de ce texte et d’autres…]], qui permettrait aussi de « faire passer le mot » de manière efficace par une mise en réseau avancée, au moyen des organes de la presse alternative sur Internet, etc.

La création d’un tel mouvement, qui remettrait fortement en cause la légitimité des structures du pouvoir politique, n’est pas une tâche facile. Pour ce faire, il faudra une solidarité, une unité et un engagement sans précédent dans l’histoire du monde. Il faudra aussi lever les obstacles politiques et idéologiques dans la société »…

…………………………….. et parler d’une seule voix.

 

 

……(à suivre)

 

…………………….%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

 

toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer),  onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

la mondialiastion vue par l'autre bout de la lorgnette ?

la mondialiastion vue par l'autre bout de la lorgnette ?

Les inégalités à l’intérieur des États augmentent Comme le constate Angus Deaton, prix Nobel d’économie, l’inégalité croissante découle du progrès économique de ces dernières décennies. Dans un pays émergent, l’amélioration du niveau de vie ne bénéficie en effet pas de la même manière ni en même temps à tous les habitants. La mondialisation économique a surtout profité aux…couches trop aisées. Le Crédit Suisse estime que 0,7 % de la population possède un peu plus de la moitié de la richesse mondiale. En comparaison, les deux tiers inférieurs en détiennent moins de 3 %. Et donc…sont moins pauvres !

Les inégalités à l’intérieur des États augmentent Comme le constate Angus Deaton, prix Nobel d’économie, l’inégalité croissante découle du progrès économique de ces dernières décennies. Dans un pays émergent, l’amélioration du niveau de vie ne bénéficie en effet pas de la même manière ni en même temps à tous les habitants. La mondialisation économique a surtout profité aux…couches trop aisées. Le Crédit Suisse estime que 0,7 % de la population possède un peu plus de la moitié de la richesse mondiale. En comparaison, les deux tiers inférieurs en détiennent moins de 3 %. Et donc…sont moins pauvres !

l’inégalité mondiale a très clairement augmentée

l’inégalité mondiale a très clairement augmentée

La seule mondialisation de la pauvreté ?
la granbde perdante de "la mondialiastion de l'illégale finance" c'est la...classe moyenne- Et cette évaporée qui la déffend ancore

la granbde perdante de "la mondialiastion de l'illégale finance" c'est la...classe moyenne- Et cette évaporée qui la déffend ancore

il est plus pris au pays pauvres qu’il ne leur est donné…

il est plus pris au pays pauvres qu’il ne leur est donné…

le court terme ne fait que tromper – l‘Histoire, la vraie, c’est les temps longs...

le court terme ne fait que tromper – l‘Histoire, la vraie, c’est les temps longs...

Si quelqu’un voit une…diminution dans ces toboggans erratiques c’est qu’il/elle est atteint de maladie « idéologite » : qui voit diminution des pauvretés ne veut pas voir les faits. Que les papiers. Qui voit une aggravation des pauvretés entre plus dans la complexité…

Si quelqu’un voit une…diminution dans ces toboggans erratiques c’est qu’il/elle est atteint de maladie « idéologite » : qui voit diminution des pauvretés ne veut pas voir les faits. Que les papiers. Qui voit une aggravation des pauvretés entre plus dans la complexité…

Sur le long terme la mondialisation augmentent toutes les inégalités

Sur le long terme la mondialisation augmentent toutes les inégalités

tout n’y est que trompes l’œil dans ses présentations

tout n’y est que trompes l’œil dans ses présentations

Les augmentations de pauvretés réelles sont noyées dans de la malhonnêteté intellectuelle

Les augmentations de pauvretés réelles sont noyées dans de la malhonnêteté intellectuelle

où voir une amélioration globale ?

où voir une amélioration globale ?

La seule mondialisation de la pauvreté ?
  temps partiels subis = masquer le chômage réel

temps partiels subis = masquer le chômage réel

La France est un des rares pays où la pauvreté globale a diminué ? Ce qui inclut que mondialement la pauvreté n’a pas vraiment diminué ?

La France est un des rares pays où la pauvreté globale a diminué ? Ce qui inclut que mondialement la pauvreté n’a pas vraiment diminué ?

« Les riches doivent aider »…la vulgarité incroyable que recèle la réponse nous ramène à ceci… Le premier congrès général de la Première Internationale le 3 septembre 1866 « a montré sa devise en toutes lettres : Pas de droits sans devoirs, pas de devoirs sans droits ». Ajoutant même un si bien vu :  « le peuple ne veut plus combattre follement pour le choix des tyrans (p. 29 – P.O. Lissagaray – Histoire de la Commune de 1871 - (1876-1896)). ». Et que donc ? Le riche a bien trop de droits, il en oublie tous ses devoirs. Plus illégal que lui est-ce possible ?

« Les riches doivent aider »…la vulgarité incroyable que recèle la réponse nous ramène à ceci… Le premier congrès général de la Première Internationale le 3 septembre 1866 « a montré sa devise en toutes lettres : Pas de droits sans devoirs, pas de devoirs sans droits ». Ajoutant même un si bien vu : « le peuple ne veut plus combattre follement pour le choix des tyrans (p. 29 – P.O. Lissagaray – Histoire de la Commune de 1871 - (1876-1896)). ». Et que donc ? Le riche a bien trop de droits, il en oublie tous ses devoirs. Plus illégal que lui est-ce possible ?

fake new donc …8% de la population mondiale concentre 50% des revenus créés sur toute la planète. Pire, alors que 1% des plus riches a vu augmenter ses revenus de 60% entre 1988 et 2008, les 5% les plus pauvres n’améliorèrent leur situation en rien. Conclusion presque inexorable ? La globalisation accentue l’inégalité mondiale : les riches sont chaque fois plus riche et les pauvres, plus pauvres. On sera très très surpris, dès lors, de voir qu’une des conclusions du rapport Milanovic publié soit la suivante : « [En comparant les chiffres], nous nous trouvons face à ce qui pourrait avoir un fait historique d’importance : probablement pour la première fois depuis la Révolution industrielle, les inégalités sociales ont été réduites entre 2002 et 2008 ». [[ah bon, et plus depuis ?]]… La Perrette globalophobe voit se briser son pot de lait : rappelons que nous sommes à fond pour la « vraie » mondialisation, celle des peuples libres…

fake new donc …8% de la population mondiale concentre 50% des revenus créés sur toute la planète. Pire, alors que 1% des plus riches a vu augmenter ses revenus de 60% entre 1988 et 2008, les 5% les plus pauvres n’améliorèrent leur situation en rien. Conclusion presque inexorable ? La globalisation accentue l’inégalité mondiale : les riches sont chaque fois plus riche et les pauvres, plus pauvres. On sera très très surpris, dès lors, de voir qu’une des conclusions du rapport Milanovic publié soit la suivante : « [En comparant les chiffres], nous nous trouvons face à ce qui pourrait avoir un fait historique d’importance : probablement pour la première fois depuis la Révolution industrielle, les inégalités sociales ont été réduites entre 2002 et 2008 ». [[ah bon, et plus depuis ?]]… La Perrette globalophobe voit se briser son pot de lait : rappelons que nous sommes à fond pour la « vraie » mondialisation, celle des peuples libres…

Cette population qui a contribué à financer la globalisation ? Maintenant, à quoi doit-on le fait que les 5% les plus pauvres de la population globale stagnent et que le revenu du 1% le plus riche augmente à des rythmes de 60 % ? Très simple : les 5% les plus pauvres représentent cette partie du monde qui, jusqu’en 2008, avait à peine accès à la globalisation à cause d’énormes obstacles de leurs caciques locaux (spécialement, de grandes régions d’Afrique). En revanche, le 1% le plus riche représente cette population qui a contribué à financer la globalisation en élaborant les biens que cette nouvelle classe moyenne émergente a commencé à demander, c’est-à-dire ceux qui ont apporté, jusqu’à la date d’aujourd’hui, une plus grande valeur ajoutée au sein du processus d’internationalisation des nos économies prédatrices.

Cette population qui a contribué à financer la globalisation ? Maintenant, à quoi doit-on le fait que les 5% les plus pauvres de la population globale stagnent et que le revenu du 1% le plus riche augmente à des rythmes de 60 % ? Très simple : les 5% les plus pauvres représentent cette partie du monde qui, jusqu’en 2008, avait à peine accès à la globalisation à cause d’énormes obstacles de leurs caciques locaux (spécialement, de grandes régions d’Afrique). En revanche, le 1% le plus riche représente cette population qui a contribué à financer la globalisation en élaborant les biens que cette nouvelle classe moyenne émergente a commencé à demander, c’est-à-dire ceux qui ont apporté, jusqu’à la date d’aujourd’hui, une plus grande valeur ajoutée au sein du processus d’internationalisation des nos économies prédatrices.

2 000 milliards de $ annuels vont du Sud vers le Nord – donc les riches vivent aux crochets des pauvres. C’est cela qu’ils veulent CACHER chaque jour…La croissance sans fin des inégalités : l'horreur des chiffres en 3'. Avec la réponse à pourquoi la croissance économique sans fin accroît les inégalités sans fin et donc la misère sans fin.

La mondialisation nous a-t-elle tous rendu plus pauvres ? La réponse est oui. Socialement et humainement cela ne fait pas un pli…économiquement c’est oui aussi !

Quelques chiffres révoltants sur la pauvreté en France

Les pays pauvres dans la prétendue mondialisation fraternelle

Rapport de l'OCDE : la croissance creuse les inégalités. Y a-t-il explosion des inégalités sans augmentation des pauvretés ? Bizarre, non ?

Dans les 25 métropoles qui totalisent 40 % de la population sont concentrés les cadres, les techniciens spécialisés et l'essentiel des immigrés. C'est là que 80 % du PIB du pays est produit. Hors de ces villes, dans le reste de la France, se retrouvent des millions d'employés et d'ouvriers, qui constituent… la «France des fragilités». Ils vivent dans la précarité et constatent le fossé grandissant qui les sépare des urbains entrés dans l'ère numérique. « En face » ce sont les immenses périphéries – soit la grande majorité que la minorité illégale piétine….

Faux…c’est qu’en 2015 la Banque mondiale a imposé, sans concertation, une nouvelle modalité de calcul. Elle a fait monter la barre de la pauvreté. 1 $ 90 et non 1 $ 25 . Et avant 1 $. Le pouvoir d’achat n’ayant pas quasiment doublé en une quinzaine d’années c’est donc bien un acte de tricheurs. La pauvreté ne diminue certainement pas (voir les autres vidéos jointes)…la mondialisation pour les minoritaires est donc bien un échec pour les majorités. C’est ainsi

Expliquez-nous... le seuil de pauvreté qui varie selon les caprices indéfendables des politiciens et de leurs illégaux…sponsors.

La mondialisation a-t-elle rendu tous les pays plus pauvres ? Selon Arnaud Montebourg, la mondialisation sans limite « a ruiné beaucoup de pays de la planète. Tous les pays pauvres sont devenus plus pauvres (...) Seule la Chine s’en est sortie » . Verdict : très exagéré ? Le trublion n'en est pas à un jugement à l'emporte-pièce près. Surfant sur la vague protectionniste ambiante et le triomphe de Donald Trump, l'un des politiques les plus virulents contre le ‘faux » libre-échange, Arnaud Montebourg tire à boulets rouges sur la mondialisation qui n'a profité, selon lui, qu'à la Chine.

Si la pauvreté diminuait vraiment pourquoi tant persécuter les pauvres ? Ce serait une fierté des résultats et des porteurs de ces résultats qui devraient se montrer…

La mondialisation fait vraiment baisser le vrai pouvoir d’achat. Donc appauvrit ! Tout le reste n’est que manipulations peu reluisantes de chiffres. Non crédibles

La dette ne vient surtout pas de l’augmentation des dépenses publiques (qui ont baissé de 2 % en 100ans)…non elle vient de la dette faite uniquement des riches à hauteur de 60 % du PIB. Donc très dommageables cadeaux fiscaux illégaux aux trop riches. Riches qui ne savent ni gérer l’argent commun ni répondre de leurs actes

Croissance et inégalités. Bizarre que la croissance fasse « augmenter » à ce point les inégalités. Vous êtes sûrs que c’est une croissance « partagée » ?

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article