Laisser « courir » notre imaginaire

Publié le par imagiter.over-blog.com

Laisser « courir » notre imaginaire

Émouvoir c’est mouvoir. L’émotion fait donc tout respirer et vainc les inerties. L’imagination participe, aussi, des principes vitaux de l’univers, nous transmet son énergie indomptable. Les pouvoirs se discréditent à vouloir faire oublier ces saines forces en nous. Les sentiments servent aux assentiments : pas de sentiments, pas de possibilités de dire oui…L’imagination est donc le sport le plus sain de toute la société. Laissons la courir de fond….

Action !...« Faut surtout pas dépasser d’un cœur. Surtout pas un seul cœur ! Il parait que personne ne nous voudrait, ni ne nous voudra jamais, ni grands, ni immenses, ni absolus. Alors, que nul ne s’y hasarde aujourd’hui. Ça risque de mal tourner ! ( p. 182 - Lise Thouin – « Toucher au soleil…et tant pis si ça brûle », avril 2001). »...Oui nous avions mal entendu ce n’est pas que personne ne doive dépasser d’une seule tête, mais bien d’un seul cœur. Un grand cœur cela dérange trop, cela dérange…énormément. Donc – pas un cœur qui dépasse, les chochottes qui ont les chocottes. Il y a juste le droit de dépasser d’un…portefeuille (ou plusieurs), d’une liasse de billets de banques frigides ; de dépasser beaucoup d’insensibilités et de fagots d’inhumanités. Mais de cœur, vous n’y « pensez » pas (ce pourquoi il est tant essayé d’éteindre toute pensée…). La société inégalitaire c’est encore plus « tous pareils », tous identiques (l’identité c’est l’identique devenu !) que les sociétés égalitaires. Tellement plus de malsains mimétismes et de conformismes dédiés à ne…plus être…et ne plus être…humain. Oui, l’inégalité, en plus, (et un comble) c’est demeurer hyper solennels, compassés, repassés à l’amidon, psycho rigides, raides comme la froideur…Donc, plus questions de tout cela : à bas les inégalités d’ennuis toutes directions…Oui, secouons toutes ces vieilleries, toutes ces ringardises défraîchies. Nous voulons être bouleversé-e-s, être mouvementé(e)s. Mais pas par des spectacles-salles-d’attentes. Non, uniquement, par la VRAIE VIE. La vie des autres, la vie de toutes et tous. Ce n’est plus haut les cœurs, ni bas les cœurs – mais les cœurs droits devant ! La  (r)évolution qui vient déborde de sentiments. Tous différents, tous qui nous rendent différents même celui qui nous différencie en-ci, de-ci et en ceci différencie, si si la si do. A bas le tous pareils, tous momifiés, tous rigides d’inhumains, tous paralysés de la glaciale inégalité si conformiste et qui n’agite qu’un modèle et un unique modèle…unique. Un politique (très pareil aux tous pareils) ne voit même qu’une seule vie « réussie » possible : celle où l’argent partout dégouline…sans nous ! C’est dire que les équivoques, les impasses, les abysses de malentendus, les chemins sans issues, pullulent.

 

« On ne remet plus rien en question. Ni soi-même, ni la société, ni rien du tout. Ce serait absolument démodé et ridicule de se poser des questions essentielles, je vous préviens ! Que cela soit bien clair entre nous : si vous parlez encore publiquement de ces insignifiances, c’est terminé, moi, je ne vous connais plus. Pour moi, c’est déjà fait, je ne me connais plus du tout (p. 180 – ibidem).” Et des politiciens véreux ont même tenté de faite gober que nous ne puissions plus « changer la vie ». Du tout. Un peu que nous allons le refuser ce diktat de corrompus, ne pas jouer le jeu, faire péter les hypocrisies (si nous sommes dans l’inégalité oui…tout est permis, oui ou non ? Donc soyons toujours plus gais et attendris…)…laissons courir l’imaginaire si nous laissons « tout » courir. D’ailleurs, de  les voir agir, ces ex-politiques rétrécis en politiciens, ne nous remplit plus que de répulsions à hautes doses. Ce ne doit pas être bon pour la santé que d’être comme eux, de ne suivre que leur route où la « réussite » sonne si faux. Et si creux. Tournons, soigneusement et précautionneusement, le dos à ces erreurs de direction. Dirigeons nous direct là où il y a de l’imaginaire, des mots non corsetés, des insolences insolites, là où il existe des humains qui cajolent le joli…Libérons l’imaginaire et à fond. Capitalisme (ou libéralisme), tire tes pattes d’argent sale. Nous ne voulons plus ce toi dans le secteur. Tu ne sais rien de la vie. Et pire : tu ne sais pas vivre « en » société. Ah bon, tu veux, en plus, la démonstration ? « Je la vois grave et lourde de conséquences, cette tendance d’aujourd’hui qui veut qu’on banalise et qu’on ridiculise tout ([[sauf, bien sûr, l’argent casino et les gueules compassées-istes de qui leur vouent un culte si anachronique !]]. L’indifférence et la dérision-déraison, ça finit par tuer. Sous le faux prétexte de garder le contrôle, on se met à tout standardiser ; tout pareil et plus qu’identique, un seul rang, une seule inégalité. C’est comme si plus rien n’avait d’importance …ni d’exportance On fait tout à la sauvette, sans magie pour les cœurs. Tout est bâclé et tout le monde est piétiné. Plus le temps. Plus le temps pour rien d’autres que les objets et le froid coupant des refus de contacts et de relations (p 178 – « Toucher au soleil…et tant pis si ça brûle ».…).  

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Laisser « courir » notre imaginaire. Le lui permettre. Désenclaver toute l’imagination. Accomplir tous les gestes qui la décongèle. Déprivatiser les rêves. Sûr que les avides possesseurs ont, eux aussi, des rêves mais ce sont tous…des cauchemars pour les…autres. Pour autrui, ces rêves n’en sont pas du tout Et ? Paradoxe, immense paradoxe…Rêver aujourd’hui demande un immense COURAGE. Cauchemarder c’est le résultat du pitoyable laxisme effondré,  comme de se pisser sur soi, en somme. Comme les lâches…Alors, toutes et tous aux rêves sains ! En commençant déjà…

« Vous avez sûrement déjà entendu cette question posée à un jeune enfant : que feras-tu quand tu seras grand ? En l’écoutant, c’est l’enchantement qui est présent, la joie d’entendre l’enfant partager son rêve ! Les rêves nous permettent de pénétrer dans un monde de possibilités et d’émerveillement ! Étant enfants, nous avions cette facilité de rêver, d’écouter et de laisser « courir » notre imaginaire. Jeune, on se nourrissait de nos rêves, on leur donnait Vie !

Où sont passés nos rêves d’enfant ? L’inspiration du moment était une source de création et de passage à l’action; on mettait en scène un jeu ou un personnage. L’imaginaire était comme un terrain fertile où on ensemençait nos rêves. C’était un moyen accessible de faire « naître » un monde qui nous était propre : être un professeur d’école, un pompier, une mère, un acrobate… Nos rêves prenaient vie ! On le croyait vraiment. Et même si certains ont eu une enfance difficile, nos rêves nous permettaient de vivre autrement ; ils étaient notre porte vers un monde rempli d’espoir et de potentialités accessible à tous et à chaque instant !


Le-courage-de-rêver

 

Avec le temps, à cause de notre éducation salie par les pouvoirs, de nos interactions avec nos pairs, souvent les pires ; à cause du regard posé sur nous et de celui que nous avons posé sur le monde ; à cause des adultes qui nous ont entourés, la pulsion créatrice de nos rêves s’est vue affectée, parfois même anéantie. Nous avons perdu notre direction, le sens de notre boussole intérieure. Notre GPS est devenu celui de notre entourage. Nous avons fini par nous conformer, soit de perdre notre forme originale. Nos rêves se sont vus voilés par l’effraction de la perception extérieure. Notre confiance s’est vue contaminée.

Retrouver le courage de rêver…La rêverie, à l’état d’éveil, nourrit la joie de vivre. Rêver devient une inspiration constante, une propulsion dans le quotidien. Il est important de se permettre de vivre cet état à n’importe quel âge et en toute circonstance. Rêver est essentiel à notre équilibre, ça nous permet d’accéder à une vie remplie d’espoir et d’énergie ! Trop souvent, dans la course quotidienne [[paradoxalement, nous ne laissons plus « courir » notre imagination ]], nous perdons oui le fil de nos rêves, pris par ce brouhaha incessant des abusives exigences et de la performance. Pour satisfaire notre besoin de sécurité, nous nous emprisonnons dans une cage dorée, dans l’oubli de notre potentialité ! Ce qui est merveilleux, c’est que la vie a le don de nous ramener sur le droit chemin de nos besoins intérieurs par différents moyens, même si nous nous sommes perdus depuis longtemps. Grâce à une relation, un film, un livre, une expérience ou même un article qui nous tombe sous la main, comme celui-ci entre autres, nos rêves ressurgissent ! Ah, oui, je me souviens… comme un appel qui revient de loin ! Ces images qui se déroulent parfois comme un film projeté par notre imaginaire, insufflées par une vision intérieure, celle de l’appel de notre Être.
La peur d’avoir peur… ? Ces rêves peuvent aussi venir nous bousculer, car ils nous confrontent à nous-mêmes, à une réalité parfois imprégnée d’histoire fausse, de « je n’ai pas le choix »; une réalité remplie de peurs, peur de ne pas réussir, peur de manquer, peur de perdre, peur, peur, peur… La logique intervient comme un éclair : « Attention, il ne faut pas trop rêver, tu as des responsabilités [[ justement, le rêve est là pour épauler…]]. » Et ce rêve peut se retrouver sur une tablette ! Écouter l’appel de nos rêves demande du courage. Oui, beaucoup plus de courage que de se draper dans les apparences. Écouter ses rêves, c’est choisir d’être vivant et de nourrir la joie de vivre. Rêver devient une source de Jouvence constante.
Avancer, malgré les… malgré [[ ces malgré qui maugréent, qui ronchonnent le mal du gré, le mal gré, le gréement foutu n’importe comment, le gréement sans plus d’agrément… ]] :
Saviez-vous que la plus grande peur de l’être humain n’est pas la peur de l’échec, mais bien la peur de sa magnificence? [[nous avons bien plus peu de « réussir » à fond nos vies intérieures que d’échouer dans la soi-disant vie « sociale »…]]. Je vous invite à prendre un moment et à vous poser cette question : si je meurs demain, est-ce que je me serai réalisé ?[[soit s’être entièrement compris et s’être concrètement accompli…]].  Si vous hésitez à dire OUI, c’est qu’il vous reste des rêves inaccomplis. Alors, pourquoi attendre? Attendre d’avoir plus de temps, plus d’argent ou peut-être de rencontrer quelqu’un? En attendant, nous nous éloignons de nos rêves et nous n’avons aucune confirmation que demain viendra. Avoir le courage de vivre pleinement maintenant, c’est avoir le courage de se réaliser dans la réalité (réalisée, elle). Il suffit d’un rêve et d’une action. Même si devant les obstacles nous avons tendance à nous décourager et parfois, à perdre pied, il faut avoir confiance ! Ce qui est important, c’est de retrouver notre chemin, faire confiance à notre processus de vitalisation ; c’est de continuer à marcher devant, malgré les malgré ; c’est oser vivre dans le vrai sens du terme. C’est dire OUI à la vie!...Je passe à l’action !

Quelle sera votre action aujourd’hui pour effectuer ce rêve qui vous tient à cœur ? Avec une poignée de courage et une pincée de confiance, la réalisation vous ouvre toute grande ses portes. Vous méritez bien cet honneur !

Je dis OUI à la vie!

Vis ta vie comme si tout est possible
Vise ta réalisation comme un archer devant sa cible
Clarifie le « pourquoi » et continue d’acquiescer
Quand tu doutes… dis-toi que c’est le reflet des peurs comme un nuage qui passe
Quand les autres parlent avec leurs doutes, dis-toi que l’humain n’est pas parfait et c’est pour cela qu’ils se…perfectionne
Quand tu tombes… dis-toi que c’est pour apprendre l’art de la maîtrise
Quand tu hésites… sache que ça fait partie du processus
Choisis tes pensées
Travaille sur ton attitude
Sois sélectif de ton environnement
Aie du discernement quand tu écoutes les autres
Maintiens ton regard sur ce que tu veux créer
Apprends de ce qui ne te convient vraiment  pas
Sois clair avec ton cœur
Marche vers l’avant comme si tu recevais un honneur
Sache qu’il y a toujours quelqu’un sur ton chemin qui a une pensée pour toi
Et sois certain d’une chose, ta vie est le reflet du regard que tu y poses.

Réussir sa vie…

C’est marcher vers l’avant avec cœur!
C’est avoir une vision qui reflète l’espoir!
C’est pouvoir partager l’immensité qui est en toi!
C’est choisir d’être vivant à chaque instant!
Réussir sa vie, c’est dire OUI à la Vie ! (Par ANTOINETTE LAYOUN). »

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…« être » vivant ce n’est pas « avoir » vivant. La réussite n’a strictement rien à voir avec les objets, avec avoir. Qui a trop, souvent « n’est » rien. Mais rien. Réussir c’est très principalement sa vie intérieure…là, où des pouvoirs indignes et des fausses élites ne peuvent pas faire illégitimement irruption. Et ne jamais respecter les règles, tout en imposant, acariâtrement, aux autres de respecter ce qu’ils ne respectent jamais. Allons, allons, ils n’y connaissent rien de rien sur ce

…………………………………………………… qu’est réussir !

 

 

………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Notre imagination a déjà le pouvoir …Toutes ces photos, dont de couverture, sont de nous. Prises avec un appareil très banal. Ce n’est pas le matériel-l’objet qui fait la photo mais le regard-l’humain. Ainsi la photo de couverture est prise dans une fête foraine de nuit…suffisait d’attendre la lumière pour nous croire sous les tropiques…de jour !

Notre imagination a déjà le pouvoir …Toutes ces photos, dont de couverture, sont de nous. Prises avec un appareil très banal. Ce n’est pas le matériel-l’objet qui fait la photo mais le regard-l’humain. Ainsi la photo de couverture est prise dans une fête foraine de nuit…suffisait d’attendre la lumière pour nous croire sous les tropiques…de jour !

Entre donc par la fenêtre…

Entre donc par la fenêtre…

Prenez donc l’ascenseur – et saisissez-vous des chaines de la façade…

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Où j’ai rangé mes papiers ?

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Donde esta ? oui Où est-ce ?

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Dans le palais où pissent les chiens

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Une miniature qui nous téléphone ?

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Le reConstituant reConstitué…

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C’est mieux quand le rideau est baissé…

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Redevenons sérieuses…

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croisements des regards...

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ces moutons qui ne méritent pas les comparaisons...

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romantismes sous ou sur la surface ?

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"Rompre la clôture de l'imaginaire" pour faire changer la société. Telle est l’agitation du marre, du dard, du reprend la barre, d’où part ce qui pare, du…rare art.

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Hubert Reeves répond à : Quel est le rôle de l'imagination en science? Un rôle …essentiel, vital. Et donc ? L’imagination est « vraiment » scientifique !

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La puissance et les prétendus pièges de l'imagination

Un Voyage Imaginaire - Léo VAN ROY

Sur les structures anthropologiques de l'imaginaire

Raymond Devos supporter l'imaginaire

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Bonjour, j’ai eu le plaisir de me rentre sur ce blog, l’ambiance, la qualité des installations, le sentiment de liberté de bien être vous gagne des vôtre arrivé…
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Ce que vous décrivez s'appelle...l'accueil. Une Qualité que jamais le marketing n'aura. offrir le sentiment de liberté, le summun...