Lire toujours aussi dangereux ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Lire toujours aussi dangereux ?

Pour les pouvoirs, mieux vaut dix mille humains qui ont désappris à déchiffrer qu’un seul qui a appris à lire. Surtout entre les lignes. L’étymologie de intelligence (inter -legere : lire entre) nous encourage puissamment  a penser ainsi. Pourquoi lire peut à ce point foutre en l’air les hypocrisies ? Dévisser les statues creuses ? Semer le rire dévastateur sur les impostures, tout deviner, nous montrer toutes ces postérités des très postés rieurs ? Bref, démonter carrément le monde et le reconstruire tout de suite après. Si écrire c’est faire « découvrir l’inconnu, clair que l’écrivant l’a vécu bien avant nous…et que de savoir Comment manier les curseurs va bien plus vite si nous savons qui sont les pré Curseurs !

Commençons à ressentir en quoi le délecté est lecteur ? Le délectable qui sait lire sa liction délictueuse ? C’est quoi le délit de qui lit ?....« C'était simple, à la base. Vous deviez acheter ce nouveau livre qu'une amie vous a conseillé. Mais tiens, celui-ci a l'air intéressant aussi. Et le petit mot du libraire sur celui-là me donne envie. Oh et tiens, comme cette couverture est belle. Ah, cet auteur, je l'avais adoré, je ne savais pas qu'il avait publié depuis ! Et c'est ainsi que vous sortez de la librairie avec non pas un mais cinq nouveaux livres.

Ceux-ci finissent tout droit entassés sur votre PAL, votre "pile à lire", cet acronyme qui définit le tas de livres au pied de votre lit ou dans votre bibliothèque qui n'attendent qu'une chose: être enfin ouverts puis dévorés.

Ce-que-signifie-votre-Pal-votre-pile-à-lire-qui-sagrandit-de-jour-en-jour ?

 

Au Japon, il existe un mot pour décrire cette accumulation de bouquins qu'on n'ouvre jamais: le Tsundoku. Mais tous les amoureux des livres qui ont des piles à lire ne sont pas atteints de tsundoku. Certains viendront toujours à bout de leur PAL, quelle que soit sa hauteur. Mais que signifie ce besoin d'avoir à son chevet autant de livres en attente?  [[à noter que ce genre d’article omettent, ou ne savent même pas que cela existe, de citer les secondes mains, les circuits hors argent comme les SELs, les dépôts gratuits dans les rues et tant d’autres…qui effectivement alimentent bien ces PAL…ne parler que pour la minorité trop riche n’est jamais bon…cela ridiculise même…]].

Bon nombre d'entre eux avouent être incapables de s'empêcher d'acheter autant de livres. "Ayant besoin urgent de vêtements neufs, je vais en ville avec cette intention. Je rentre toujours avec des livres et sans achat de vêtements... Un jour je devrai m'habiller avec les pages de mes bouquins...", ironise par exemple Juliette. "J'ai une trentaine de trésors dans ma PAL et je les achète plus vite que je ne les lis.... Je suis atteinte du syndrome japonais Tsundoku", écrit quant à elle Frédérique. Martine, elle, se dit "incapable d'entrer dans ma librairie préférée et sortir les mains vides ! Ma PAL déborde et c'est tant mieux".

Certains affirment même avoir 50, 60, parfois 100 livres dans leur pile à lire [[ très possible, en effet…]]. C'est le cas de Dorothée, qui explique en avoir plus d'une centaine "et pourtant je continue d'en acheter malgré mes bonnes résolutions", écrit-elle. Quand on l'a contactée, impressionnés par ce nombre [[quelle superficialités – toujours squattés par les inutiles apparences…]] pour en savoir un peu plus, Dorothée nous a expliqué que sa PAL est en fait composée d'une centaine de romans ET d'une centaine d'essais. Mais pourquoi autant ? "Je ne résiste pas à l'envie d'acheter de nouveaux livres. Je suis très curieuse et quand j'en prends un, c'est idiot, mais je me dis que si je prends le temps de passer à la caisse, je peux bien en prendre un autre, etc. Je me 'rassure' en me disant que ce n'est pas une 'addiction' malsaine. Certains achètent des paquets de cigarettes, moi de temps en temps j'achète des livres."

"Lire c'est vivre" : Les raisons de ces nombreux achats diffèrent selon les témoignages. Pour quelques-uns d'entre eux, les livres semblent être une véritable ressource nécessaire à leur bien-être. "J'ai la certitude que, quoiqu'il advienne dans ma vie, je trouverai toujours des ressources pour m'apaiser, me poser, avancer, grandir, mûrir", souligne Samia, qui repart régulièrement de la librairie avec trois ou quatre livres en plus pour sa PAL, en commentaire à ce post.

Sylvette, elle, écrit même que "lire c'est vivre". Quand elle entre dans une librairie avec en tête l'idée de simplement voir les dernières parutions, en ressort "avec trois ou quatre bouquins alors que chez moi je n'ai plus beaucoup de place dans les bibliothèques qui se trouvent dans chaque pièce ou presque...". Elle nous explique avoir vraiment envie de tous les lire, affirme qu'il ne s'agit en rien d'achats compulsifs et que d'ailleurs, peu de livres de sa bibliothèque restent fermés à tout jamais.

La valeur du livre est subjective : L'agrandissement de votre pile à lire n'est pas sans aucun sens, bien au contraire. La manière et les raisons pour lesquelles ces objets culturels sont achetés peut dire beaucoup d'une personne. D'autant plus que, comme le souligne Bénédicte Régimont, auteure spécialisée dans la psychologie de l'habitat, "le livre, dans notre société de consommation actuelle, n'a pas de valeur intrinsèque. Sa valeur est subjective, c'est celle qu'on projette en lui, la symbolique, le savoir, l'érudition". Pour elle, il faut se demander quel est l'objet que nous achetons. Est-ce un beau [[toujours la superficialité de l’infantilisation par la consommation…dirigée. Ce qui compte c’est que ce soit un BON livre pas un beau…]] livre? A quel besoin répond-il ? [[sinon nous faire sortir de cette société de déchéance où les prétendus élites ont, quasiment toutes les comportements les plus dégradants pour tous…comme, aussi, de devenir plus humains en quittant tous les conformismes plastifiés d’insensibilités et de carences d’empathies…etc.]. Mais pour d'autres, avoir une pile à lire conséquente répond plutôt à une pression sociale. C'est le fameux "il faut que je lise ça". "Ce sont ceux qui remplissent leurs bibliothèques pour le savoir et la connaissance: si un jour on les interroge sur Balzac, ils peuvent le sortir", poursuit-elle avant de conclure: "il y a une vraie différence entre les bibliophiles pour qui les livres sont de vrais compagnons au quotidien et les boulimiques de livres" [[ à noter qu’il n’y a pas de vraie malbouffe des livres – même les pires font débusquer les travers de la société désorganisée par le haut]]. » Les bourgeois ne connaissent absolument pas tous les usages GRATUITS qu’un cœur ouvert et un esprit délié peut trouver dans toutes les failles de la société. Leurs lectures corsetées les dénoncent. Leurs absences de sens du partage les punit. Et nous nous savons toujours plus sur eux. Et eux toujours moins sur nous

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Longtemps, la lecture a été violemment interdite aux femmes…comme ceci

.....« Émilie, 17 ans, a été victime pendant des années du harcèlement scolaire. Très bonne élève, passionnée de lecture, elle a très vite été mise au ban de la société estudiantine de son collège privé, Notre-Dame de la Paix, à Lille. Elle raconte, dans son journal, son calvaire quotidien ; toutes les insultes, les menaces, les exactions de ses congénères. Son seul refuge : la lecture. Elle s'enferme dans les toilettes à chaque récréation, pour lire et trouver quelques rares instants de répit, avant de retourner en classe, toujours avec la boule au ventre. Ne pouvant plus supporter jusqu'à son existence, Emilie s'est donné la mort... Les parents d’Émilie ont décidé, un an après les tragiques événements, de rendre public le journal de leur fille, pour sensibiliser les parents, les enseignants, les hommes politiques, à la réalité du harcèlement en milieu scolaire, et de la dépression adolescente, qu'on a trop souvent tendance à assimiler à une simple " crise d'ado " »

 

 

Savoir lire reste dangereux. Surtout, lorsque nous devenons capables d’écrire ce savoir lire

 

L'écrivain-qui-fait-un-bras-d-honneur-à-la-rentrée-littéraire-qui-...sort-toujours

« Je ne suis pas un écrivain médiatique.» En pleine rentrée littéraire, la première phrase du nouveau livre de Georges Picard ressemble à un pied de nez. Ou à un bras d'honneur. J'estime que la rencontre d'un auteur et de ses lecteurs doit se faire par la lecture et non par le biais des médias.» Et encore : L'auteur se trahit lui-même lorsqu'il se paraphrase devant un micro ou une caméra.» De quoi ouvrir le «Cher lecteur» (José Corti, 17 euros).

La littérature française manque-t-elle “d'idéal” ou “d'estomac” ? Le débat Jourde / Vilain

Sur le ton de la confidence, dans une prose souple dont il veut qu'elle restitue le timbre de sa voix, au fil de digressions que Montaigne appelait des «sauts et gambades», Georges Picard exprime sa gratitude aux livres, qui ont rendu sa vie plus belle, plus vaste, plus enfantine. A l'écriture, qui est, à l'en croire et pourvu qu'on invente le «point d'hésitation», la seule manière de penser («Je me demande comment réfléchissent les gens qui ne lisent pas ou n'écrivent pas»). Et à son père, un ouvrier qui abandonna l'école à 12 ans, mais avait le goût de la lecture, et ouvrit à son fils «la porte sublime par laquelle sont entrés des mondes, des personnages, des idées, des sentiments inconnus magnifiés par Dumas, Balzac, Lamartine, Musset, Flaubert, etc.».

Venant de lui, on n'y trouvera, en revanche, ni «best-sellers à la noix» ni «marmelades de mots et de platitudes mises en pots par de pitoyables éditeurs». De son passé de militant maoïste, Georges Picard a gardé la détestation de la «sous-culture majoritaire, venimeusement proposée par le capitalisme libéral et marchand». Il publie d'ailleurs «Cher lecteur» chez José Corti, dernier éditeur à l'ancienne au catalogue duquel on trouve, de Julien Gracq, «En lisant en écrivant», dont Picard dit que c'est une incitation puissante à relire et repenser les grandes œuvres. » La lecture est un véritable danger pour les prétendus dirigeants, les faux experts et les vendus à la médiocrité vraiment…invivable !

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Ils n’ont rien trouvé de pire que ce qui suit. Très encombrant mais vraiment pas à la hauteur de la persistance des esprits libres et des cœurs désintéressés…

 

L'industrie-culturelle-comme-porte-avion-du-mondialisme

Une fausse culture au service du mondialisme : La néo-culture inoculée par le biais des nouveaux médias virtuels et des « fake événements culturels », jouant le rôle d’agoras consensuelles, sert les intérêts d’une nouvelle élite supranationale : l’HYPERCLASSE. Nouvelle méta-bourgeoisie, aristocratie numérique, cette fausse élite utilise les flux financiers comme des vecteurs de pouvoir qui permettent d’interrompre ou de relancer des processus de reprise économique qui s’apparentent à de véritables actes de sabotage des économies nationales mises en coupe.

L’HYPERCLASSE met en scène ses penseurs et ses idéologues, tels un Zygmunt Bauman, véritable chantre d’un « éthos cosmopolite » refusant toute forme d’unité constitutive à une Europe qui serait, désormais, la matrice idéale d’une « société liquide » qu’il appelle de tous ses vœux. Le faux changement perpétuel est devenu la nouvelle é-norme, faisant en sorte que la tradition soit laissée pour compte-habilitée. La tradition est caduc, la nouvelle société de l’égalité libérale-libertaire-unilatérale [[autant dire pas de liberté pour tout le monde ]] commande la TRANSGRESSION des anciens codes socioculturels, pour que naisse un éthos libéré de toutes traces d’une civilisation qu’il convient de dissoudre une fois pour toute.

On ne s’étonnera pas, dans ces conditions, que les expositions universelles, à l’instar de l’EXPO 67 de Montréal, aient été conçues comme autant de « moments charnières » d’une mémoire collective détournée de ses finalités réelles. Le récit de cette fiction, mis en scène par certaines avant-gardes commanditées par les oligarchies aux commandes, clame que le Québec s’est « enfin » ouvert au monde lors de ce grand happening mondialiste. Si l’EXPO 67 constitue un temps fort de notre prétendue « émancipation collective », ce fut certainement par le fait que le peuple québécois – canadien français pour parler plus précisément – prenait conscience des « cultures du monde » en conformité avec un agenda politique parfaitement structuré.

C’est à partir de l’EXPO 67 que la divers-cité culturelle est devenue l’antienne obligée d’une ouverture sur les autres. Véritable sas de décontamination, ce passage obligé multiculturel consistait à dissoudre les sédiments de la culture locale en tablant sur la culpabilité et le complexe d’infériorité des autochtones québécois (toutes catégories anthropologiques confondues, ici). On comprendra que, par la suite, d’autres nations seront invitées à s’« ouvrir » de la même manière aux «accultures du démonde ».

Ce n’est pas un hasard si le thème de TERRE DES HOMMES fut mis en exergue pour cette exposition universelle. La « terre des hommes » signifiant une nouvelle humanité prétendument « libérée » des frontières et n’ayant de compte à rendre qu’à elle-même une fois débarrassée des anciennes divinités tutélaires qui régnaient sur la cité. La cité sera internationale ou ne sera pas. Point barre. Il s’agit d’un programme idéologique qui ne tolérera plus aucune exception dans les décennies qui suivront la tenue d’EXPO 67.

S’il est vrai que le peuple québécois avait été, trop longtemps, tenu en laisse par ses élites, cette « ouverture sur le monde » se traduira par une perte irréversible des repères culturels qui permettaient à cette collectivité de se perpétuer en dépit des vicissitudes de son destin. Les traditions culinaires, orales, littéraires, musicales, religieuses et civiques seront balayées sous le tapis d’une nouvelle citoyenneté autant abstraite qu’imposée par les élites aux télé-commandes. La tradition fait, désormais, partie du domaine de la mémoire folklorique et des sous-catégories d’une « culture populaire » qui a cessé de vivre, pour ne plus constituer qu’un ersatz étudié par les anthropologues. Pour preuve, vous n’avez qu’à vous balader dans le centre-ville de Montréal, ou à travers ses faubourgs périphériques, avec le but avoué de débusquer un restaurant qui servirait de la gastronomie québécoise. Quelque chose comme un bistrot parisien ou un bouchon lyonnais qui mettrait en vedette une authentique cuisine québécoise sans prétention. C’est impossible [[il faut manger du plastique…]].

Une ouverture factice qui mène à la négation de soi : Le monde du spectacle a de beaux jours devant lui au Québec et un peu partout en occident. Montréal, métropole des festivals de tout acabit, ne représente du Québec que son incroyable capacité de soumission face aux impératifs dictés par une caste d’opérateurs branchés sur la novlangue de l’hyperclasse. Les travailleurs du « monde de la culture» n’étant que d’habiles techniciens ou figurants, lesquels reproduisent ce que les opérateurs du « système culturel » ont décidé de mettre à l’agenda des événements programmés. Comme dans le monde des médias, tout doit être programmé, plusieurs saisons à l’avance, afin de faire converger l’agenda culturel avec les desiderata d’une classe politique aux ordres.

Les institutions culturelles mettent en scène une foison d’évènements et de festivals dédiés à la littérature et aux cultures du monde, mais très peu d’effort est consacré pour ce qui est de faire la promotion des cultures du terroir québécois. Idem pour l’architecture qui n’a presque jamais pris la peine de réinterpréter la pratique vernaculaire de l’art de construire de nos ancêtres. De fait, il n’y a PAS d’architecture proprement québécoise. Nos praticiens se contentent de faire à l’identique ce que les MAGAZINES BRANCHÉS proposent en termes de star architecture

Le Centre canadien d’architecture (CCA) a présenté une exposition dédiée à l’art de la maquette qui nous aura permis de saisir l’impact des médias dominants sur la pratique de l’architecture en Amérique. L’architecture étant, elle-aussi, soumise aux dictats de l’industrie culturelle, il est normal que ses produits ressemblent de plus en plus à la couverture d’un magazine de décoration dernier cri. L’événementiel est partout et commande une architecture de façade, mal construite et, surtout, érigée sur des sites temporaires qui ne servent qu’à mousser une image artificielle de la métropole, ainsi qu’à capter de volatils marchés immobiliers.» La culture qui reflète les indéfendables intérêts capitalistes n’est plus vue ni vécue par personne…à peine ceux qui sont payés, dans l’ennui épais, de monter ces mascarades…

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C’est l’écrivain qui crée sa propre demande. Et aucune offre imposée ne pourra jamais remplacer cette évidence…

 

Le-meilleur-attaché-de-presse-de-marcel-proust-était-marcel-proust

« Une nouvelle vente aux enchères d’objets ayant appartenu à Marcel Proust (1871-1922) a levé le voile sur les stratégies utilisées par l’écrivain pour faire parler de lui et de son œuvre. L’objet que la maison Sotheby’s mettra en vente à Paris, le 30 octobre, est jugé rarissime : un des cinq exemplaires de Du côté de chez Swann imprimés sur un des plus beaux papiers au monde, le washi.

Trois exemplaires sont au chaud chez leurs propriétaires, un autre a disparu sous l’occupation nazie. Celui qui sera exposé chez Sotheby’s du 26 au 28 octobre, et dont on estime la valeur entre 400 000 et 600 000 euros, n’était pas réapparu publiquement depuis 1942. Des sites spécialisés le décrivent comme un cinquième du « Saint Graal proustien ». Cet exemplaire de Du côté de chez Swann est un cadeau de Proust à Louis Brun, chargé dans les années 1910 de l’édition chez Grasset. Il a été fait quelques années après une publication qui aura demandé du temps, de l’ingéniosité et de l’argent à l’écrivain.

Autopromotion et corruption en milieu journalistique : Pour faire parler de lui et de son livre, Marcel Proust fait appel à des amis, qui écrivent des critiques élogieuses et essaient de caser lesdites critiques dans les pages de journaux, parfois contre un peu d’argent. De temps à autre, Proust lui-même encensait, sous pseudonyme, son livre, qualifiant Du côté de chez Swann de « petit chef-d’œuvre » qui « disperse les vapeurs soporifiques » des autres livres en vente « comme un coup de vent ».

660 francs de l’époque pour un compte rendu avantageux à la « une »…Il les envoyait tapés à la machine à Louis Brun « pour qu’il n’y ait aucune trace de [son] écriture » et afin de ne pas pouvoir être relié « à l’argent qui va changer de main », écrit le Guardian, citant une de ses lettres. Les sommes dont parle le journal anglais vont de 660 francs de l’époque pour un compte rendu avantageux à la « une » du Journal des débats à 300 francs pour une apparition dans Le Figaro, auquel Proust contribuait parfois. Dans une autre lettre, il s’en prend au quotidien, qui aurait coupé une phrase qui le décrivait comme « l’éminent Marcel Proust ». Payer pour des critiques élogieuses, ou même les rédiger soi-même, était une pratique « courante à l’époque », rappelle Benoît Puttemans, spécialiste des manuscrits chez Sotheby’s et grand amateur de l’œuvre proustien. « Proust les a menées d’une main de maître. Il n’était jamais trop direct. » Sauf que…le livre paraîtra à frais d’auteur et de ses ventes dépendront les remboursements pour l’écrivain, qui paya sa fabrication de sa poche. »… Et que l’offre méconnait systématiquement toutes les demandes qui courent dans la vraie société. Ce qui met un retard d’au moins 20 ans et parfois tellement plus…entre celles et ceux qui sont, temporairement et transitoirement, en avance et les humains. Ce pourquoi l’auto-élucidation permanente de la société par elle-même demeure impossible. Comprendre c’est résister. La démocratie est donc sabotée par ses prétendues dirigeants et c’est pourquoi elle n’est plus dans les urnes trop truqués, la démocratie, mais bien dans la rue où tout se rue

 

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Tout comme il faut déprofessionnaliser la politique – il s’agit d’arracher les écrivain-e-s aux mains, devenues tellement incompétentes, des éditeurs de l’offre aveugle et à côté des vrais désirs… comme ceci…“La professionnalisation du métier d'écrivain s'accompagne de sa précarisation croissante”…un effet, en effet, et pas vraiment une cause.

 

La-professionnalisation-du-démétier-d'écrivain-s'accompagne-de-sa-précarisation-croissante

« Qu’est-ce qu’être écrivain, aujourd’hui, en France ? C'est le point d'interrogation qui fait toute la différence : « Déprofession ? Écrivain », 2017, 327 pages, ont écrit les sociologues Gisèle Sapiro et Cécile Rabot en titre de l'enquête qu'elles ont dirigée pour tenter d'appréhender les conditions d'exercice du non-métier d'écrivain aujourd'hui en France. Comment se fait-on reconnaître comme écrivain ? Comment se débrouille-t-on pour vivre de sa plume quand la crise économique, les politiques austéritaires — la nouvelle hausse de le CSG ne sera pas compensée pour les écrivains —, et la surproduction de livres inutiles vous précarisent de plus en plus ? Et comment continuer à écrire quand il faut courir les librairies et les festivals et souvent assumer un second métier pour subsister ? L'équipe qui a mené l'enquête a rencontré nombre d'écrivains, éditeurs, responsables d'institutions.

« Profession : écrivain, ça fait bizarre, ça continue à être bizarre », vous a confié une écrivaine... Pourquoi cette réaction largement partagée ? Être écrivain est traditionnellement considéré comme une vocation pas un métier, car fondée sur le désintéressement, à l'instar de la plupart des métiers de création. L'idée même de tirer des profits de l'écriture peut ainsi apparaître en contradiction avec cette conception vocationnelle. Mais surtout l'image sociale de l'écrivain demeure attachée à l'idéologie romantique du « créateur incréé », pour reprendre l'expression de Pierre Bourdieu, qui est aussi un être en quelque sorte dématérialisé, qui n'aurait pas besoin de moyens de subsistance. Cette image perdure chez nous à la différence des États-Unis ou de l'Allemagne où les écrivains sont plus professionnalisés.

Pour quelles raisons ? En France, la tension entre l'art et l'argent est plus forte qu'ailleurs. Dès le XIX° siècle les auteurs de romans-feuilletons, qui étaient payés à la ligne et multipliaient les dialogues pour améliorer leur rémunération, étaient stigmatisés, traités de « mercenaires de la plume ». On recourait à la métaphore de la prostitution pour désigner ceux qui « vendent leur plume », comme s'ils aliénaient une partie de leur corps. Cette idée est d'ailleurs au fondement de notre droit d'auteur, considéré, à la différence du copyright anglo-saxon, comme un droit personnel, attaché à la personne même de l'écrivain : seuls les droits patrimoniaux peuvent être cédés, et non le droit moral, qui est inaliénable. La conception française du non-métier d'écrivain est encore marquée par cette vision romantique.

Cette conception explique-t-elle l'idée très française que l'écriture ne s'apprend pas, qu'elle relève exclusivement du don ou du talent ? Oui, et c'est là aussi une différence avec les États-Unis où les formations universitaires de creative writing (« écriture créative ») remontent au début du XIX° siècle. A la même époque, pourtant, si l'on observe le recrutement [[sic – aveu très spontané de la caste illégitime qui « se sert », sans argument valable, dans le « vivier »…]] antisocial des écrivains en France, la très grande majorité d'entre eux sortaient de l'enseignement secondaire, c'est-à-dire d'une formation aux humanités, tous disposaient d'un capital lettré [[quelle horreur…]], largement imprégné [[alcoolisme recommandé ?]] par la culture littéraire et classique qui dominait alors. Cette culture va s'effriter peu à peu, d'abord en 1902, avec la redéfinition du baccalauréat et la création de filières non littéraires, et surtout à partir des années 1960, quand les parcours scientifiques deviennent la voie royale, renversant le rapport de force entre sciences et lettres. Néanmoins, l'idée que l'on puisse apprendre à écrire suscite toujours, en France, le scepticisme, en particulier chez les écrivains, même si eux-mêmes animent des ateliers d'écriture dans les écoles ou les prisons.

Les idées évoluent cependant... Ces formations à l'écriture créative bénéficient d'une légitimité croissante [[sauf si l’on demeure très honnête…]]. Depuis quelques années, elles se sont même fait reconnaître en tant que discipline universitaire : 8 programmes diplômants existent aujourd'hui en France, comme par exemple le « Master de création littéraire » crée en 2013 à l'université Paris 8. Ces parcours universitaires s'attachent à l'apprentissage de l'écriture, mais aussi aux aspects pratiques du métier d'écrivain.

Est-ce le signe d'une professionnalisation de ce non-métier ? En fait, on en voit les premiers signes très tôt, avec la reconnaissance du droit d'auteur en 1777. D'abord accordée par le pouvoir royal, sous la forme d'une grâce arbitraire, il est reconnu comme droit sous la Révolution après de nombreux débats. Parallèlement à la vision romantique de l'activité d'écrivain, les premières sociétés d'auteur se constituent : La Société des auteurs dramatiques dont l'idée a été lancée dès 1777 par Beaumarchais pour défendre le droit d'auteur au théâtre, et qui est refondée en 1829, puis, à l'initiative de Balzac et de Desnoyers, la Société des gens de lettres en 1838, pour faire appliquer ce droit à la presse, mais aussi pour moraliser la profession [[ ?]] . Le développement professionnel du métier d'écrivain s'accélère sous la Troisième République, grâce à la loi de 1884 autorisant les syndicats professionnels – celui des auteurs dramatiques créé en 1907 et celui des gens de lettres en 1918 - et à la loi de 1901 autorisant les associations, lesquelles se multiplient. En 1930, l’État crée une Caisse des lettres afin d'élargir le système d'aides aux écrivains qui existait depuis l'Ancien Régime, c'est l'ancêtre du Centre national du livre [[classé désormais dans la rubrique « Télévision » - le chiffre inculte ne permet plus de dé-chiffrer…]]. L'instauration d'un régime général de sécurité sociale, après la guerre, va permettre enfin d'inscrire la notion d'auteur dans le droit social : en 1949, les assurances sociales sont étendues aux écrivains non salariés. De nombreuses questions demeurent malgré tout non résolues. Les accidents du travail ne sont, par exemple, pas pris en compte pour les écrivains, et la question des retraites complémentaires reste compliquée à gérer. La formation continue, adoptée il y a peu, est également difficile à mettre en place.

Les écrivains cherchent d'abord la reconnaissance symbolique [[notons que cette phrase est ventriloquée. Sa puérilité même admet qu’aucun vrai écrivain ne dira cette connerie…]]. Pourquoi ? Le métier d'écrivain est tiraillé entre deux types de reconnaissance : professionnelle et symbolique. L'enjeu de la première est de pouvoir vivre de sa plume et il n'est pas forcément lié à la seconde. La reconnaissance symbolique n'assure pas la reconnaissance déprofessionnelle, et la reconnaissance déprofessionnelle ne dit rien de la reconnaissance symbolique. Un poète, qui a travaillé pour une agence de pub, nous disait avoir pris conscience là du contraste entre « un mot qui valait un million de dollars, et un million de mots qui valent un franc ». Cette contra-diction, tous les écrivains la vivent au quotidien. La reconnaissance symbolique prime pour eux. Or nul ne peut s'auto-proclamer écrivain, il faut que d'autres vous reconnaissent comme tel. Il y a plusieurs cercles de reconnaissance. Ce sont d'abord les pairs, les autres écrivains. Flaubert raconte ainsi, dans sa correspondance, à une époque où la reprographie n'existait pas, les heures passées, la nuit, à lire ses textes à ses amis, en attendant fébrilement leur verdict, au petit matin. Viennent ensuite les éditeurs professionnels qui détiennent le principal pouvoir puisqu'ils décident ou non de publier votre livre et sont capables (ou non) de l'imposer, puis la critique dans les médias, les commissions qui attribuent les bourses et les résidences, les prix littéraires. Et, particulièrement depuis les années 1990, les libraires, les bibliothécaires, les organisateurs de festivals, qui vous distinguent en vous invitant à rencontrer le public. Cette reconnaissance symbolique est une source de fragilité pour les écrivains, parce qu'elle tarde parfois à venir, [[ah bon ! pourquoi donc ?]] parce qu'elle n'est jamais définitivement acquise, qu'elle dépend toujours de l'œuvre à venir : il ne suffit pas d'avoir publié un roman, ou deux, ou trois, pour être certain de voir le suivant accepté par un éditeur. C'est une fois cette reconnaissance symbolique acquise que les écrivains commencent à se préoccuper de leur reconnaissance professionnelle.

Cette fragilité est aujourd'hui aggravée par la montée de la précarisation sur le plan matériel... Paradoxalement en effet, la tendance à la professionnalisation s'accompagne d'une précarisation croissante du non-métier d'écrivain liée avant tout à la surproduction de livres. Plus il y a de livres, plus le marché se disperse, les chiffres de ventes baissent,[[mais pas les chiffre de lectures toujours en gausse – c’est là le mystère de l métaphysique bourgeoise ; au lieu de laisser l’écrivain-e créer sa propre demande, une offre inadaptée puisque reposant sur de vieux graphiques, égare tout le monde…]] et par conséquent les revenus [[pourquoi, ils étaient partis ?]] des auteurs payés au pourcentage sur celles-ci, les éditeurs limitent les à-valoir, pratiquent la compensation entre les titres, et les auteurs, qui sont rarement en position de pouvoir négocier [[d’où le négoce démasqué ?]] sont de plus en plus précarisés. Face à cette situation, de nombreux écrivains sont contraints d'exercer un autre démétier plus ou moins lié à l'écriture comme l'enseignement, l'édition, la traduction, le scénario, qui est souvent leur source principale de revenus. D'autres bouclent leurs fins de mois-valises en multipliant les activités connexes à leur travail d'écrivain, l'animation d'ateliers d'écriture, les résidences, les conférences, les lectures publiques, les rencontres-débats...

C'est nouveau ? Non, c'est une pratique ancienne, mais ces activités connexes se sont largement développées depuis les années 1990 [[ date de la mise en pratique en grand du diktat du on ne publie pas les génies ?]] elles représentent aujourd'hui, pour les écrivains, une ressource économique de plus en plus importante. Car, parallèlement à la multiplication des manifestations littéraires, notamment les festivals, l'idée que ces prestations doivent être rémunérées a beaucoup progressé. A l'origine, cela n'allait pas de soi, on considérait qu'un écrivain ou une écrivaine invité-e à parler de son livre dans un événement littéraire en faisait la promotion et qu'il ou elle bénéficiait ainsi d'un retour sur investissement. Il ou elle était le produit d'appel de son propre livre. Mais force est de constater que les bénéfices que l'on peut retirer de ce genre d'événement sont le plus souvent assez minimes en termes de vente. Et qu'il s'agit en fait d'un travail dont tout le monde profite [[...mais n’en dira rien…]]. Le comédien qui lit un extrait du livre, l'interprète éventuel, l'animateur de la rencontre, tout le monde était payé, sauf l'écrivain. Les sociétés d'auteurs se sont donc mobilisées, de même que certains festivals précurseurs, qui se sont réunis au sein de l'association Relief, pour obtenir la rémunération de ces prestations. Celle-ci s'est peu à peu imposée. Aujourd'hui le Centre National du Livre et la Sofia, qui perçoit et répartit le droit de prêt en bibliothèque, en font un des critères d'attribution de leurs aides aux manifestations littéraires. Et une lettre ministérielle de 1998, reformulée par une circulaire de 2011, permet que ces activités soient rémunérées en droits d'auteur pour les écrivains dont les revenus principaux proviennent de leur activité littéraire.

Quelles sont les conséquences de cette multiplication des activités connexes sur le non-métier d'écrivain ? Elles ont un aspect positif sur le plan de la reconnaissance symbolique et professionnelle [[ décidément tout est fait pour ne jamais parler des …LIVRES et textes ! ]]. Les festivals, les résidences, maintiennent les écrivains dans l'espace public entre deux parutions, ce qui n'est pas négligeable vue la durée de vie des livres en librairie. Mais la multiplication de ces activités peut aussi poser des problèmes d'organisation, vampiriser le temps nécessaire à l'écriture elle-même [[comme s’il y avait…des heures de bureau à ce démétier ?]], casser le rythme de travail [[si c’est de la création, le travail se casse…]], le disperser [[eh non, ce n’est pas le dispersez vous, des manifs…]]. Si elles assurent une présence de l'écrivain dans la cité, l'animation d'ateliers d'écriture dans les classes, les prisons, les hôpitaux, certaines résidences trop exigeantes en terme d'investissement auprès de la population, peuvent également transformer les écrivains en animateurs culturels et les détourner [[de majeurs ?]] de leur tâche principale. Sur le plan de la création, quand elles sont maîtrisées, ces activités connexes peuvent contribuer à faire évoluer les formes de la création. A l'instigation de certains festivals, des écrivains ont ainsi commencé à travailler avec des musiciens, des chorégraphes, pour proposer de nouvelles mises en scène de leurs textes, voire des créations originales hybrides mêlant littérature, musique, vidéo. Ces performances me paraissent constituer une des voies du renouvellement de la création littéraire [[sauf que la vraie radicalité c’est créer le CIRCUIT DES LIVRES et plus jamais le circuit des auteurs (aboli !)…le démétier le met sur le vrai métier]], avec le numérique évidemment, même si les ressources électroniques et le multimédia n'ont pour l'instant suscité qu'un petit nombre d'œuvres innovantes. Ces deux voies n'en sont qu'à leurs prémices.

Plus généralement, comment évolue la place de l'écrivain dans la cité ? De Voltaire à Zola, à Sartre évidemment, l'écrivain a longtemps incarné, en France, la figure de l'intellectuel engagé. [[qui l’a dégagé sinon le putsch illégitime des journalistes de télévision qui ont voulu prendre sa place ? Et alors ? Ces journalistes incultes ont échoué et le « « manque » de la société envers le DIRE DIRIgeant. Et le dire DIRECT direction crie de partout…]]. Depuis la fin des années 1950, celle-ci est en déclin d’œil. C'est d'abord le Vieux Nouveau Roman qui stigmatise l'engagement sartrien. Puis la montée en puissance des sciences humaines et sociales dans un contexte de division du travail intellectuel et de demande accrue d'expertise. Soit Ex perte ? Contre la figure sartrienne de l'intellectuel « total », engagé sur tous les fronts, Michel Foucault théorise la notion d'intellectuel spécifique qui s'engage à partir de ses compétences, sans toutefois renoncer à la dimension critique absente des expertises prétendues neutres. Les écrivains, qui n'ont pas de compétences certifiées, se sont ainsi, peu à peu, mis en retrait. Pourtant, même s'ils ne s'engagent plus de la même façon, les écrivains innovent par leur travail sur la langue, sur la forme, par les interrogations qu'ils portent, les cadres de la pensée qu'ils bousculent ou par les investigations qu'ils mènent sur le monde social, l'histoire, la mémoire. A l'époque où la communication politique utilise les ressorts du storytelling, la littérature la plus novatrice, parfois accusée de formalisme,

………………………………….conserve SEULE une fonction critique. »

………..C’est qu’elle sait lire et donc vit la saveur des savoirs A FOND !

 

………………(à suivre)

……..……………………**********************************

…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

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ainsi font les sauts périlleux à l’intérieur de soi. Yeux ouverts ou fermés, cela fonctionne…en ce qui concerne les résultats corporels – pareil !

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or shcool ….ça la fout mal…

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