Pourquoi il faut vivre ses expériences et expérimenter la vie ?
De moins en moins d’humains vivent comme des…humains ? Soit ils/elles virtualisent les expériences directes, émotionnelles ou affectives et s’enlèvent la simplicité de les vivre tout simplement ? Se croyant être des « réussites » abstraites, d’objets mornes, de faux chiffres et d’une économie qui oublie que tous ses mots ne parlent que de…santé (oui « épargner » c’est bien garder en vie, protéger de la mort). Étrange n’est-ce pas que plus grand monde ne soit plus plein d’ardeurs, d’enthousiasmes terre à terre oui de…sociabilités : l’hédonisme c’est de la grossièreté inculte face à l’épicurisme qui, lui, distille tous les nectars de la qualité en vivant…naturellement…vivant. Soit en « économisant » toute Économie dans sa propre vie (la santé c’est d’économiser…donc de refuser de « vivre » l’Économie abstraite, métaphysique, hors sol et vraiment…invivable ! S’en passer, point barre, s’autoréguler comme ne font jamais les si odieux capitalistes !). Et donc de…reprendre, tout de suite, les conversations (cette gratuité qui donne toutes les chances à autrui de nous changer – d’où inversement !). Comment vous ne savez pas que les rapports sociaux et interhumains foisonnaient tellement plus dans les années 1960-1970 – oui bien avant l’ère de l’anti-Communication actuelle (plus il y a de technologies moins « ça » communique – donc plus tout déshumanise ? Plus ceci se déconnecte…concrètement. Hé ho, pour vivre « en vrai » des expériences faut rester « dans » le réel. Et arrêter de se shooter hyper dur au libéralisme, ce leurre des fous !
Et de voir ces loques humaines de libéraux qui ne « savent » plus rien…trop insensibilisés par leurs narcissismes-vampires (qu’il faut dégraisser d’urgence (down-sizing). Loques incultes ? Un peu. Pour mentir il faut que les autres « vous croient » (c’était l’ancien but) : là, ils ne font plus « que » mentir alors que nul-le ne les croit plus (à qui profite donc leur vide intérieur ?). Et quoi ? Uniquement pour occuper tout l’espace public et la parole publique ? Tant ils « jalousent maladivement » (il n’y a que les riches qui jalousent ! Et surtout le bonheur triomphant de ceux qui « aiment » la pauvreté !) oui ces riches qui salopent toute la société parce qu’ils jalousent…tout ce qui est public, tout ce qui reste réPublique. Si détraquées les loques du libéralisme. Ils ne vivent plus rien, ne ressentent plus rien, ne sont plus que les miroirs des ombres de leurs anciennes agitations. Des fantômes d’existences. Des tas de tas d’objets et de technologies…égarées Des déshonneurs ambulants. Oui, oui, et tous ceux/ celles qui les suivent les secondent dans ces errements toujours plus…malsains. Le libéralisme ou le refus d’APPRENDRE A VIVRE ? On le dirait bien. Voyez-les, ces junkies des abstractions « économiques » (ces produits hautement coupés…) ne plus VOIR les vrais adultes autour d’eux. Qui leur font ces signes discrets de ne plus se puériliser ainsi, de ne plus « jouer » au responsable en accumulant des…irresponsabilités, d’arrêter de contredire sans cesse les faits flagrants, les têtus totaux, les « valeurs » essentielles (toutes gratuites et prenant tout leur temps, vous remarquerez) – ceci est obsolète, archaïque, trop dépassé, c’est stagner dans le temps nécessaire « d’affirmation de soi par seules oppositions mécaniques » de l’adolescent. Pour un prétendu adulte, qui détruit trop de vies autour de soi, ce n’est plus…excusable.
Surtout, lorsque les vrais grands adultes de la société (qui ont le trait commun de se voir toutes et tous exclus de la médiocratie de l’illégale médiacratie (en gros les médias ne sont plus faits que pour des adolescents attardés de 30, 40, 50 ans ou plus qui …refusent, hystériquement, les réalités de la vie – et se…réfugient, lamentables, dans les mono-maniaqueries, les obsessions passéistes (le libéralisme est tellement défraîchi qu’il faut demeurer « hors de la vie » pour ne pas s’en apercevoir !) oui des compulsions monomaniaques (98 % de la télé ce n’est que…cela !). Et donc ? Cette minorité des « monopolisateurs » illégaux de tout détruisent leurs vies sous nos yeux (ah ces drogués durs aux drogues dures de l’idéologie !) ne vivent plus rien, expérimentent encore moins, ne ressentent guère plus. Et, de la sorte, ne savent plus du tout…penser (nous si ! Notre autorité morale va même les bousculer sérieusement et nous contraindre, peut-être, à les mettre sous tutelle). Tant leur « indépendantisme social », ce séparatisme insupportable qui fait que les riches sont devenus un fardeau si intolérable pour toutes et tous, qu’il nous faille couper leurs illusions tous azimuts. Le séparatisme nuisible ce n’est pas tant la Catalogne que celui des trop riches avec le reste de la société (ils vivent à ses crochets mais refusent d’assumer tous les « devoirs » extrêmement fermes liés à cette…position sociale !) – Leur demande « d’indépendance » devant leurs responsabilités, et les tonnes d’accusations de ne jamais les remplir, n’est donc pas…recevable. Ce sont eux les séparatistes – personne d’autres !
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Et tout cela se passe comme ceci…
Aujourdhui-le-monde-fait-l'amour-et-la-vie-par-internet
« La vie humaine est constitué d‘expériences vécues. Pour vivre, il faut souffrir la vie. Mais que se passe-t-il si les expériences ne sont plus vécues ? Pour faire face au toujours pire qui nous fait face, à l’abyssale déréliction dans laquelle nous survivons et mourrons (car les cancers pleuvent), les gens de ce monde ont deux postures fétiches :
** 1) - La première serait l’opposé stricte de la déréliction, le toujours pire serait selon eux un « toujours mieux » au prix bien évidemment d’un déni incommensurable. Ils distribuent sans ménagement du « mais non, ça bouge » et du « mais non, ça avance, les choses changent, tout doucement, mais ça bouge je t’assure ».
** 2 ) - La deuxième posture (tout aussi confortable et spacieuse), c’est celle de l’Ecclésiaste : Il n’y a rien de nouveau sous le soleil. Là aussi, si vous circulez dans l’Enfer du monde, vous ne cesserez d’entendre ce genre de propos anhistoriques (visant à mettre le couvercle).
Et tout ceci se passe dans une schizophrénie la plus totale : les gens ne veulent qu’une seule chose : parler des problèmes du monde, et les gens veulent en parallèle qu’une seule chose : ne pas parler des problèmes du monde. Ils se rendent bien compte que tous les outils vendus par les Bouddhismes Marchands afin de faire diminuer la pression demeurent inefficients au final. Une heure qui s’écoule dans le monde et nous manquons brutalement de tapis pour recouvrir les monticules de saleté. La vie dans le monde est une course effrénée pour trouver encore des tapis, s’il en reste, pour mettre la saleté dessous (le tapis par-dessus, comme on peut).
Y’a tout qui hurle STOP en continu : la terre, les océans, l’atmosphère, les rivières, les corps, les systèmes digestifs, les systèmes nerveux… On est en train de crucifier la vie. Mais on ne s’arrête JAMAIS car nous avons été programmés ( Père, pardonne leur,… si tu peux, car, je crois bien malheureusement qu’ils savent, désormais, ce qu’ils font…). Nous sommes comme des animaux domestiques qui ont été dressés pour détruire et se détruire (en construisant sans fin). C’est la guerre de tous contre tous et nous n’arrivons pas à y mettre un terme [[ un mot…]] car nous ne voulons pas être hors-jeu [[ mais hors image, comme si on avait rien à foutre du look, des apparences sans issue- c’est comme cela que « les rebelles sur la pochette » se dont avoir…par le look qui se moque, en plus, de nous. Car look veut dire regard, regard des autres. Ce regard pour lequel nous sacrifions nos vies et son meilleur…]].
Nous lisons tous les jours des nouvelles atroces mais là aussi nous avons une astuce : il s’agirait du biais de négativité des médias (les médias se concentrent sur le négatif car c’est ça qui fait de l’audimat). Mais si c’était vrai : pourquoi ce qu’on voit dans le monde avec nos propres sens est encore pire que ce qu’on voit à la télé ? Comment ça pire ?! Qui y’a t-il de pire que les meurtres, les attentats, les injustices, la folie des puissants et du capitalisme ?!
Il y a la mort totale de l’Amitié, de la Charité, de la Convivialité et de la Fraternité. Il y a la fin de milliards et milliards d’expériences de vie quotidiennes qui dans le passé étaient VÉCUES, réellement VÉCUES, et qui, aujourd’hui NE LE SONT PLUS. Voilà le pire du pire du pire (qui sait ne pas faire parler de lui) : le monde est à l’image de cet adolescent qui n’a plus le cœur qui bat à mesure que ses pas s’approchent de la belle puisqu’il ne tente plus de s’en approcher : il la « demande en ami sur Facebook » et ce clic ridicule ne fait plus battre le cœur (comme BAT par exemple le cœur de l’amoureux et du Rossignol dans « Le Rossignol et la Rose » d’Oscar Wilde).
Le cœur du monde ne bat plus, il a cessé de battre, puisque la somme des expériences vécues fond comme la banquise. Les bribes d’expériences vécues restantes forment un sinistre écheveau échevelé de plus en plus pauvre où il manque un fil de plus chaque jour. Car nous en sommes au point où le monde traque chaque expérience vécue pour voir comment on pourrait faire pour qu’elle ne soit plus vécue, en la virtualisant, en la rationalisant, en l’interdisant, en la normalisant, en la transformant en marchandise.
Face à quelque-chose qui est encore vécu dans l’Amitié, la Convivialité, la Charité et la Fraternité, la Loi de l’Argent s’échine afin de trouver comment transformer ce qui est vécu en du non-vécu. Entendu que ce qui caractérise l’expérience vécue est l’expérience du sensible, des sens, et des émotions, et l’expérience dans la physique, dans la matière, dans la durée, où l’on se frotte aux éléments, à l’inconnu, à l’Autre dans le Même et au Même dans l’Autre, à l’odeur, à la sueur, aux fluides, aux ondes, à l’impromptu, au hasard, au mystère, et aux impondérables. Entendu que ce qui caractérise l’expérience vécue est LE RISQUE ET LE COURAGE.
Aujourd’hui par exemple le monde fait l’Amour et La Vie par Internet… La vie n’est plus vécue. Nous sommes MORTS. Au moins les meurtres, les attentats, les suicides, et toutes les folies qu’on voit à la télé constituent pour ceux qui les perpétuent des expériences vraiment vécues qui demeurent irrécupérables par la loi de l’argent. Nous sommes à ce point de la déréliction où les seules expériences à vivre autorisées sont celles de la violence contre les autres ou contre soi-même (burn out y compris). Et à ce stade, on ne bouge toujours pas : on continue avec le travail, l’école, l’argent, les vacances, la retraite, la bagnole, le bordel d’objets, noël, et le crédit.
Même à ce stade, on continue avec le paradigme qu’on a appris à l’école. Même à ce stade, on se réveille le matin et au lieu de se stopper net pour tout reprendre à zéro, on se rue sur ce qui nous appelle. Notre cerveau nous dit : fais-ci, fais-ça, dis ceci, dis cela conformé-Ment au programme qui est en nous et nous nous exécutons. D’ailleurs ce programme n’est pas seulement en nous, il est devenu nous. Esclave [[enclave- en clavier]].
Nous sommes exactement comme un projectile inerte : nous continuons sur notre lancée [[par qui ?]] pour réaliser un rayon de courbure à la con et puis c’est tout [[donc c’est…rien !]]. A partir des paramètres de lancement (vecteur, vitesse), de la gravité et de la densité de l’air, on peut prévoir exactement la forme [[pas ce qu’elle inForme…]] de la courbe. Déterminés nous le sommes, c’est clair. Mais par quoi ? Par le monde ou par la force de vie ? Ce qui nous détermine [[nous termine de solutions Et de résolution très déterminée ?]] est intérieur ou extérieur à nous ? Les regards des gens de ce monde sont sans cesse tournés vers l’extérieur, vers les attendus du monde.
Les gens sont (dé)terminés par l’argent. Le Dieu de l’argent Mammon [[ démon du clair déMon]] est en guerre contre la vie, il mitraille dans tous les sens et les gens sont ses balles.Voulez-vous n’être rien qu’une balle du Dieu Argent qui tue la vie à chaque seconde, ou pressentez-vous autre chose ? Tout autre chose ? Bien autre chose ?
La Vie s’amoindrit chaque jour. Je ne parle pas de nos vies à chacun. Je parle de La Vie. Elle fond, disparaît. Tous les jours, partout : une personne explique à une autre que telle expérience auparavant vécue, ne le sera plus, et, comme pour tout ce qui nous tue : c’est présenté comme un progrès… et NOUS ACQUIESÇONS, et NOUS CONTINUONS D’ACQUIESCER !!! AU LIEU NE NOUS SCANDALISER AU DERNIER DEGRÉ DE LA DISPARITION DE L’EXPÉRIENCE VÉCUE, C’EST A DIRE DE LA VIE-MÊME ! Et si nous étions enfin solidaires et coopérants pour autre chose que le suicide collectif ? [[ N.R.V. Noir Rouge Vert est là pour cela, solide de solidaires et co-Opérant du mouvement en fusion]].
Et si nous refusions catégoriquement quand on nous présente la fin d’une expérience que nous vivions jusqu’alors,… une expérience qui nous faisait battre le cœur,… mais aussi pleurer,… sourire,… suer,…peur,…frissonner,…vibrer,… frémir,… trembler,…bondir,…tomber,…mal,…jouir,… changer,… évoluer,…comprendre,… grandir,…apprendre,…aimer,… pardonner,… SOUFFRIR.
Ce monde de prothèses et d’exosomatisation constante, pour ne plus souffrir, pour ne plus vivre les expériences, est un monde mort. Ce monde qui croit sauver sa vie en ne souffrant pas, la perd. Et tous ces gens qui croient sauver leur vie en ne souffrant plus la vie, la perdent. » …Ces réflexions sont, ici, partagées à cause des émotions brûlantes qui y circulent si bien, plus que pour la structuration des raisonnements qu’elles ont choisie…
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Pédagogisme-à-l'école-:-la-fausse-querelle-faussée !
« Jean-Michel Blanquer serait parti en guerre contre le «pédagogisme». Mais quelle est cette hydre qu’il faut combattre pour redonner son lustre à l’école française? Le «pédagogisme», manière péjorative de désigner une orientation pédagogique, consiste à vouloir «mettre l’élève au centre du système éducatif».
Comme souvent en France, cette querelle est purement idéologique et incroyablement détachée de la réalité du fonctionnement de l’école. Car le pédagogisme est très loin de régner en maître dans les salles de classe. Les travaux de comparaison internationale (voir par exemple les recherches de Nathalie Mons et Marie Duru-Bellat) montrent au contraire que le système éducatif français reste un modèle «académique» dans lequel l’enseignement disciplinaire est ultradominant, avec un curriculum hiérarchique qui ouvre peu l’école sur le monde extérieur et dans lequel l’enseignement individualisé est peu développé. Ces méthodes «verticales» d’enseignement, qui prédominent dans notre pays, ne sont effectivement pas favorables à l’épanouissement des élèves, comme l’a montré une étude menée en 2011 auprès d’un large échantillon d’élèves et d’enseignants dans 23 pays [[ bref, où l’élève n’est pas au centre de l’éducation et où l’inexistant pédagogisme demeure un moulin de Don Quichotte…]].
Cet appel dévalorisé aux valeurs traditionnelles de l’éducation, de l’autorité, de la transmission verticale et autoritaire du savoir, vertus d’une école mythique de la IIIe République abîmées par la modernité, plaît aussi à une opinion toujours réceptive à la nostalgie du «c’était mieux avant». Mais cette démagogie est nocive car l’académisme et le manque de (vraie) formation pédagogique des enseignants sont des défauts du système éducatif français, pointés d’année en année par les experts de l’OCDE. Faire croire à l’opinion que ce sont des atouts risque de se retourner contre les promoteurs de la véritable réforme… »…qui n’aura donc pas lieu du tout. Merci, d’accoucher si rapidement de leur lamentable réalité. Cette révolution est le RETOUR aux conservatismes les plus pitoyables, éculés et poussiéreux. Et la leçon à apprendre de ces non-maîtres demeure qu’ils feraient bien mieux de retourner à l’école. Avec un zéro de…conduite en très « mauvais point » !
La-numérisation-de-l'école-mérite-un-débat-public-contradictoire-qui-n'a-donc-pas-lieu
En plus, d’empêcher et de faire passer à la trappe « l’enfant au centre de l’éducation », ils font semblant de se rebeller contre…ce qu’ils pourchassent (donc contre les fantômes d’eux-mêmes) ? Ainsi, après une non-lutte si âpre, le conservatisme sans alibi…triomphe de son grand vide ! En se montrant encore plus avide de vides…
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Alors la difficulté d’avoir des expériences vécues ? Et tout de suite. Est-ce si …impossible que cela ? Le rire qui est vraie expérience puisque cela…s’apprend, comme nager, comme la bicyclette. Oui, une fois que vous avez ressenti le déclenchement du diaphragme qui « crée » le rire, vous ne l’oubliez plus. Secret du rire qui ne mérite pas les centaines d’€ de la révélation du secret par des hyper bourgeois ? Quel ? Que le rire ne se passe pas dans la tête (comme pour nager ou faire du vélo) mais demande juste de laisser le corps…faire. Quel secret, mazette ! Et donc ? Oui, oui nous pouvons rire à volonté, sans qu’il y ait « besoin » d’une occasion cérébrale de rire. Sans motif ! Surtout, d’ailleurs, lorsqu’il n’y a vraiment aucun motif. Ceci participe à fond de l’hygiène de vie tout simplement…laisser le corps rire lorsqu’il n’y a aucune raison de rire – méthode active pour vaincre les difficultés. Pigé ? Oui cela se fait même si le libéralisme si liberticide ne le voulait pas. Donc, des tas d’expériences vécues (toute une vie ne suffit pas pour épuiser le thème du rire) en riant. Un exemple ? « Elle ne perdait pas une occasion de rire, et riait même quand l’occasion ne se présentait pas (p. 134 - René Barjavel – Cinéma total, 1947). » Quelle impolie cette occasion de ne pas se présenter. Cela ne se fait pas – va tellement s’attacher à un détail amplement anodin, le vain libéral devenu(sans libéralités jamais) …Puisque, ceci décrit, au millimètre prés, les médias mainstream qui ne parlent sérieusement que des futilités mais toujours si futilement des choses essentielles ! Donc qui ne « partagent » aucune vie avec qui perd son temps à mirer ces statues creuses…
Tiens, vous voici accros. Poursuivons alors…tellement ce blog PROUVE, depuis son début, que nous pouvons accéder à tout par nous-mêmes. Et ceci sans vaines technologies (juste l’austérité technique, donc le strict vital). Que les expériences « vécues » c’est gratuit aussi – il suffit de ne PLUS RIEN avoir en nous des dirigeants, et hop, tout se déclenche…L’essentiel des progrès de la vie reste…gratuit (et imposteurs toujours qui font payer ce qui vient …des dons !). D’où ? « Ils ne parlaient pas, ils ne bougeaient pas, sauf pour se serrer encore davantage, ils ne savaient plus quelles étaient de leurs deux mains la sienne et l’autre, ils ne savaient plus où commençait et finissait leur propre corps, ils respiraient d’un même souffle, les battements de leur sang s’ajoutaient, s’unissaient et se désunissaient, leurs pensées n’étaient qu’une, une pensée sans mot, présence de leur corps et de leurs esprits confondus. Ils avaient chaud, ensemble, en eux et autour d’eux. Ils étaient déracinés des jours de la Terre, à la fois bouleversés, un peu tremblants, et sûrs…(p. 138 - René Barjavel – ibidem). »
Du vécu ? Un peu plus difficile mais qui n’a jamais refusé de devenir…expérimenté (soit de vivre les expériences qui surviennent) a tout en lui/elle pour « ressentir », ou revivre en partie, ou continuer de le vivre, ou de s’imaginer très bien…ou bien de s’agrandir de comprendre que ceci est RÉEL et n’est pas une fiction romancée (mais que les médias d’argent, le plus souvent,…sont des fictions !)…oui l’amour inconditionnel (qui n’attend rien en retour – qui « sait » que donner n’a pas besoin d’attendre de recevoir, que qui aime (même si son image était nulle – ce qu’on s’en tamponne des images…) REÇOIT, oui reçoit bien bien plus que qui est (seulement) aimé. Parfois tel un glaçon insensible, d’ailleurs. Oui joli sur la photo…mais très nul pour l’ardeur des vies intérieures…
…………………………………………… Okay ? On se le capte captain ?
…........…(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 600 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Le tableau demeure "aussi" nécessaire que le numérique. Tout ce qui "ne sait qu'exclure au lieu d'inclure" a toujours de toujours tort !
L’argent n’est jamais entré « dans » le temps…il ne le connait certainement pas : le temps reste bien le plus vaste des gigantismes…gratuits…
Consommer moins pour vivre tellement…mieux - Mille et une vies enfin plus seulement rêvées
Krishnamurti - Les expériences vécues…oui c’est se libérer du CONNU. Et accepter donc l’inconnu…(fin de tous les racismes mentaux)
L'enthousiasme, cet engrais qui fait fleurir l'enfance et les…vrais adultes | André Stern
Les expériences vécues c'est accepter de découvrir ce que nous ne connaissons pas...ici, un petit guide-plan....
SSL#6 : L'Ecole a l'Envers [Episode 1/4]
Pour cette 6ème édition (Juin 2017), Inform'Action a invité quatre associations travaillant sur des solutions locales en réponses aux problématiques actuelles. Ce premier épisode est consacr...
http://www.informaction.info/video-positivons-ssl6-lecole-lenvers-episode-14
Remettons à l’endroit du droit ce que l’on voulait nous faire croire à l’envers…
« Tout mouvement de libération de l'homme ne saurait plus passer maintenant que par une déscolarisation.» Ivan Illich .Fort de cette réflexion, Mathilde et Sylvain prolongent le travail d’Ivan Illich en remettant en cause la scolarisation globale de notre mode de vie et toutes ses conséquences. Une perspective vitale pour toute notre société.......Retrouvez leur travail sur http://descolarisation.org/index.php