Propagation de la monotonie ?
Durant le premier quart du XX ème siècle, le monde était tellement passionné de tout l’univers, de l’astronomie et de ses découvertes. Aujourd’hui, il y a comme une marginalisation des percées cosmiques. L’insensibilité et l’indifférence envers tout ce qui nous dépasse, nous surpasse d’immensités, semble gagner du terrain (nous en faire perdre donc…) – et ce, principalement, dans les médias mainstream qui se retirent toujours plus de la…réalité. Pour le reste, les humains normaux se passionnent toujours autant pour le salubre essentiel. Qui est ces jours ci ? Que la « partie manquante » de l’univers aura été détectée et, en partie, rendue visible. Qu’il y a des approches éducatives et expérimentales qui nous rassemblent vers des contacts bien plus intimes avec la réalité (qui n’est pas qu’abstraite !) du cosmos et de la physique. Nous allons donc entrapercevoir ces 3 cheminements convergents dans ce texte.
Tout d’abord, le mot monotonie est purement technique, mathématique et ne correspond en rien aux sensations émotionnelles et affectives attachées au vocable habituel. Soit ? Du grec monos, seul et tonos, ton. Le un seul son de cloche, en sorte. Le soporifique monochrome trop ennuyant, ce monocle de la vision très restreinte. Ce monolithe insensé du monologue généralisé. Oui, ce lassant monôme uniforme, armé des déroutantes routines, qui égarent et déroutent…le béton mouton ton…
Ici, la monotonie tente d’enthousiasmer, de passionner pour le sujet qui, au sens réactif, n’a rien de vraiment monotone…« En préfiguration de la « Galerie des Ateliers », l’ENSCI-Les Ateliers *** accueille l’exposition « Propagation de la monotonie » dont la démarche est conçue par F93, une association de culture scientifique située à Montreuil, qui associe sciences, techniques et culture. À l’occasion de la semaine de la science, du 7 au 15 octobre, cette exposition aura «mis en récit le vaste équipement scientifique qu’est le grand collisionneur de hadrons (LHC). » Soit le plus grand accélérateur de particules au monde. Une démarche profondément originale qui nous met du côté des admiratifs des sciences et de bidouilleurs de ses potentiels méconnus ! *** Accueil à partir de 17h30 à « La Galerie des Ateliers » de l’ENSCI - 48 rue Saint Sabin, 75011 Paris.
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« L’ENSCI-Les Ateliers, qui a vocation à former des créateurs industriels et des designers textiles généralistes dans une acception ouverte et panoptique du terme, a à cœur d’incarner la pointe la plus avancée de la présence exploratoire du design dans tous les champs de la société où s’exprime un besoin. C’est précisément cette mission qu’elle s’est assignée depuis sa création en 1982 en utilisant tous les moyens mis à sa disposition depuis lors. L’actualité, l’international, la production industrielle, l’humanitaire, l’innovation, l’espace public, constituent le panel de ses supports de transformation.
Technologies-à-la-pointe//-propagation-de-la-monotonie
Sans jamais s’ancrer durablement dans une sectorisation des savoirs et dans l’utilisation de méthodes et d’outils stéréotypés, ce dont pourrait parfois souffrir la formation du designer, l’ENSCI-Les Ateliers a toujours privilégié une vision holistique de la discipline. (…) « Il s’agit de mettre à jour un espace de rencontre, de présentation, d’échange des connaissances, qui permette de singulariser une vision du design en adéquation avec l’esprit qui souffle ici même. Afin de préfigurer cette volonté, nous avons choisi d’accueillir, dans nos murs et dans l’attente de voir ce lieu éclore, un projet réalisé par F93. Parmi les différents projets de recherche que mène cet organisme de médiation, Propagation de la monotonie débute par une question : comment représenter l’ineffable contenu au cœur du Grand collisionneur de Hadrons? C’est un pari qui prolonge cette réflexion avec la réunion d’anthropologues, de vidéastes, de designers, d’artistes et de photographes afin d’aborder cette problématique de médiation technique et scientifique et finalement la faire sortir de son cadre [[ donc pluridisciplinarité revendiquée et résultats allant plus du côté des grandes synthèses significatives que de l’éparpillement des hyper spécialisations…Le choix même n’est pas anodin : l’hadron appartient à I‘interaction forte, dite aussi « la colle de l’univers » (ce qui avec l’appellation « gluon » devient tout à fait explicite). Et que, afin de faire image, nous pourrions dire que hadron et gluon sont l’extériorisation de l’amour de l’univers. De ses « attachements » au sens concret comme affectif…]]. »
PROPAGATION DE LA MONOTONIE - SEUL LE PASSAGE COMPTE
Le passage même où cela passe ou le récit tout entier « se » passe..« Propagation de la monotonie est le nom donné à une démarche ayant pris pour objet le Large Hadron Collider, ou grand collisionneur de hadrons, l’accélérateur de particules le plus puissant du monde. Cette initiative est une sorte de défi face à l’éloquence des chiffres qui entourent cet équipement scientifique : un anneau de près de 27 km de circonférence, lové 100 mètres sous terre à la frontière de la France et de la Suisse, permettant à des particules lancées à 99,99 % de la vitesse de la lumière d’entrer en collision quelque 600 millions de fois par seconde.
« Ce pourquoi il a fallu revoir nos conceptions d’expérimentations : en effet, comment considérer dans le cas présent les frontières que nous avions, jusque-là, tenter d’établir entre le scientifique et le culturel, le subjectif et le « naturel », l’apparent et le réel ? Défi de conception encore : ne faudrait-il pas renouveler nos récits afin qu’ils soient capables, en particulier, d’articuler un accélérateur de particules avec ce qui lui semble a priori séparés : la société, les imaginaires, l’existence ?
A l’issue d’une œuvre minutieuse de plus de deux années, associant de multiples modes d’appréhensions (anthropologique, littéraire, visuel, graphique), une installation audio-visuelle a vu le jour. L’ensemble des personnes ayant contribué à son élaboration aurait le sentiment d’une victoire modeste si elle permettait, ne serait-ce qu’un peu, d’accéder au LHC, cette « cathédrale » enfouie, désireuse de se connecter à la fois à l’immensité de l’univers et aux mystères de l’infiniment petit.", conclut Marc Boissonnade, directeur de F93.
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La science ne doit pas demeurer derrière sa vitrine d’éloignement, mais son récit même doit se voir approprié par tout le monde. Les démarches de cette familiarité, enfin acquise, sont décrits dans l’exposition mais, tout autant, dans une toute autre expérimentation. Celle du Centre d'Études et de Recherches sur les Technologies du Sensoriel ....qui peut se décrire comme « une sensibilisation aux sens », ce qui demeure tout de même la moindre des choses. Puisque sans sensitivité ni sensibilité, aucun sens ne pourrait nous offrir son…sens !
« Véritable laboratoire d’innovation sur le sensoriel, Certesens s’étend sur 750 m² aux Deux-Lions. Un espace que le public a pu découvrir ce week-end lors des portes ouvertes organisées dans le cadre du « Joli mois d’Europe », qui a pour but de montrer les projets soutenus par les fonds européens comme le FEDER. A l’heure où l’innovation est partout, ce centre d’études sur les technologies du sensoriel ouvert en 2012 attire les regards.
Technologies-à-la-pointe//-bienvenue-dans-le-royaume-des-sens
A l’année, Certesens c’est un laboratoire qui multiplie les tests et les expériences scientifiques autour du sensoriel et ce dans tous les domaines possibles : le marketing, la publicité, l’ergonomie à l’instar du travail dans les nouveaux TGV, mais aussi la botanique comme pour le travail sur les classifications de roses au château du Rivau… Commerce, mais aussi le tourisme, les loisirs…, le sensoriel est partout sans forcément que l’on s’en aperçoive.
Chez Certesens les cinq sens humains sont minutieusement analysés et décortiqués. « On ne s’en rend pas forcément compte mais il y a une forte corrélation entre tous les sens » explique Alexandra Desprès en nous proposant un petit test ludique : Prendre un bout de bois dans chaque main et deviner le plus léger. Le résultat est bluffant et beaucoup se trompent à cause de la vue, les deux objets étant de taille différente mais finalement du même poids. « Il y a la vue mais aussi la répartition du poids qui entre en jeu » explique Alexandra Desprès après que l’on se soit trompé. Un atelier ludique de sensibilisation aux sens parmi la dizaine de proposés au public. Ici on joue sur l’odorat, là sur le toucher avec différentes textures…
Mais derrière l’aspect ludique de la chose, c’est bien une véritable recherche sur le sensoriel qui repose sur trois axes nous explique-t-on : la perception, l’émotion et la sensation. Trois caractéristiques propres à chacun mais qui à grande échelle permettent de définir et d’affiner pourquoi tel produit marche bien ou non, si telle matière sera préférable à une autre…Si le marketing sensoriel est souvent vu négativement comme un outil manipulatoire, chez Certesens on se défend de cette image. Ainsi pour Régine Charvet-Pello, qui est à l’origine et à la tête de l’entreprise : « Il ne s’agit pas de berner le consommateur, mais au contraire de comprendre ses besoins. Le but est de donner envie à l’usager, de l’accompagner mais pas de lui faire de fausses promesses sans rien derrière. Il ne s’agit pas par exemple de mettre une bonne odeur dans un magasin juste parce que cela sent bon et que cela va attirer le client ».
Partir à la conquête et comprendre la complexité des sens, et pour cela Certesens s’est doté de nombreux outils de pointe et de méthodes d’analyses sensorielles comme l’eye-tracker qui détermine avec précision où votre regard se pose le plus souvent sur une image. Idéal pour les publicitaires en vogue souhaitant distiller leurs messages par exemple. Mais si Certesens travaille sur des produits d’industriels, des PME et des grandes entreprises privées ou publiques, l’autre aspect de ce centre d’études est son travail de veille sur les matériaux. Possédant aujourd’hui une matériauthèque d’environ 6000 références, Certesens est en capacité de proposer à ses clients la quasi-totalité des matériaux en fonction des sensations qui leur sont caractérisés et de les associer. Un aspect primordial de ce centre d’études pour Mme Charvet-Pello : « Nous pouvons économiser de la ressource en connaissant et en anticipant les sensations des matériaux. Nous mettons en place le programme RENEICSENS pour aider justement les entreprises dans cette voie grâce à l’approche sensorielle ».
Autre approche technologique qui peut nous permettre, à terme, de nous réapproprier l’ensemble des forces productrices, de les économiser et d’en faire l’usage le plus sensé possible. Puisque la démarche demeure de réorganiser l‘ensemble de la société. De l’arracher des mains des aventuristes irresponsables qui se prétendent dirigeants et de retrouver les hiérarchies de la raison : la vie et la nature en tout premier et les profits vraiment en bons derniers…Et que n’importe quel angle d’approche peut convenir dans ce coup de filet du « réformer les réformateurs ». Non plus le bas de la société recevant les coups nuisibles de ces grands maladroits mais le haut de la société se retrouvant les yeux en face de leurs béances inacceptables. Nous, nous trouvons dans les démarches de réappropriation de tout - ce genre de dirigeants égarés ne méritant plus d’en avoir un morceau de tableau de bord !
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« Lorsqu'on lève les yeux au ciel par temps dégagé et loin de la pollution lumineuse des villes, on peut contempler des millions de petits points brillants qui sont autant d'étoiles et de galaxies. Mais ce que l'on voit n'est qu'une infime partie de ce que les astronomes ont pu détecter avec leurs télescopes : des centaines de milliards d'étoiles dans la seule Voie Lactée, et des centaines de milliards de galaxies dans l'univers observable.
La-moitié-de-la-matière-manquante-de-l'univers-a-été-retrouvée
Cette masse énorme de matière n'est pourtant qu'une goutte d'eau dans l'océan. Les scientifiques ont en effet estimé la quantité de matière qui devrait être présente dans l'univers, en se basant à la fois sur la théorie et sur les observations du fond diffus cosmologique, la "lumière fossile" de l'époque qui a suivi de peu le Big Bang. Avec ces estimations, on est loin du compte.
Le côté obscur de l'univers : Il y a bien sûr le cas de la matière sombre et de l'énergie sombre, prévues elles aussi par les théories les plus communément admises aujourd'hui, et qui composent la plus grande partie de l'univers. On estime en effet que l'univers serait composé (environ) de deux tiers d'énergie sombre, et d'un quart de matière sombre, éléments nécessaires aujourd'hui pour expliquer nos observations, par exemple le mouvement des galaxies. La matière ordinaire, elle, n'en représenterait qu'autour de 5%. [[ce qui est, tout de même, très déstabilisant dans le sens que nous…ne voyons que quasiment rien. Nous ne voyons pas 95 % de la réalité complète. Ce qui reste plus …qu’énorme. Affolant !]]. »
La matière sombre demeure encore invisible à nos observations et fait l'objet de recherches assidues, tant sur le plan de l'infiniment petit, pour identifier les particules inconnues qui la composeraient, que de l'infiniment grand, en espérant en détecter de grandes quantités de manière indiscutable. La face sombre de l'univers n'est pourtant pas le seul mystère de la matière. La matière "ordinaire", celle que l'on peut voir et dont on connaît les particules qui la composent (essentiellement la matière dite baryonique), n'est pas toute présente à l'appel, loin de là. On estime que l'on n'a jusqu'ici pu en comptabiliser que 10 %, même en prenant en compte les galaxies que l'on ne peut pas observer directement (celles qui sont cachées par la tranche de la Voie Lactée, par exemple). Il devrait donc y avoir dix fois plus de matière observable qu'on a pu en voir jusqu'ici. Où est-elle cachée ? [[ L’invisible domine notre vision du monde : la métaphore est porteuse . à chaque seconde, 90 % du « visible » ne l’est pas. L’invisible mange l’essentiel notre vision, vision obtenue par les observations concrètes…]].
Selon les modélisations, elle se trouverait dans des filaments reliant les galaxies les unes aux autres. Diffuse, froide, peu lumineuse, elle est quasiment impossible à détecter. Des observations effectuées grâce au télescope spatial Hubble ont permis de confirmer l'existence de cette matière intergalactique, composée essentiellement d'hydrogène et d'oxygène, en se servant de quasars (les noyaux très lumineux de galaxies lointaines) comme d'une lampe torche pour l'illuminer [[Ces filaments constituent l’essentiel de la matière de l’univers, mais matière si peu visible, nous explicite le nom même de l’univers, cet un uni qui verse. Qui va vers et nous rend tous univers. Que la présence des filaments prédomine nous dessine clairement un univers entièrement relié, sans séparation, sans frontières, sans discrimination ni racisme, chacun de ses lieux se montre aussi important que tous les autres : bref, nous avons une leçon nette que, seuls, les prétendus dirigeants ne veulent pas suivre : l’Humanité une doit se relier sans plus de…séparations et d’ostracismes ! Les structures antisociales du capitalisme antinature, antivie et si plouc envers l’universalité, nous le montrent en effet comme un séparatiste borné et un protectionniste complètement attardé. Retrouver l’univers c’est renoncer à la prétendue universalité du capitalisme : son fonctionnement malsain ne le réserve qu’à la minorité la plus nuisible de l’Humanité. Donc out and exit…Redevenons universels !]]. »
Mais même ces observations-là n'avaient trouvé qu'environ la moitié de la fameuse matière manquante. Où était donc l'autre moitié ? Deux études, réalisées indépendamment l'une de l'autre, viennent aujourd'hui apporter une pierre importante à l'édifice. Pour réaliser cet exploit, les chercheurs ont eu l'idée de superposer des clichés de galaxies avec les relevés du fond diffus cosmologique. Les différences notées entre des paires de galaxies leur ont permis de mettre en évidence les fameux filaments, et de trouver ainsi environ 30 % du total de la matière (normale) de l'univers.
On le voit, le compte n'est pas encore entièrement bon, mais on progresse. Le fait d'avoir une méthode novatrice pour cartographier les filaments, couplés aux prochaines générations de télescopes spatiaux, est de très bon augure pour découvrir l'intégralité de la matière diffuse entre les galaxies. Pour Hideki Tanimura, de l'institut d'astrophysique spatiale de Paris-Sud, co-auteur de l'une des deux études et cité par NewScientist, " le problème des baryons manquants est résolu".
Optimisme méthodologique. Changer de regard, modifier nos visions sur les choses reste toujours porteur de solutions. Et plus et à côté des routines qui ensablent – tout le monde peut y ajouter son grain de sel, devenir le grain de sable qui enraye les mécanismes inhumains. Fait changer les choses. Bref, influence les évènements et les rapports humains. Ces trois exemples rassemblés, ici, tous tournent le dos au libéralisme sans issue.
Pluridisciplinaire comme la pensée unitaire (qui relie tout et remet de la sensualité dans toutes les disciplines intellectuelles)…
Nous devons juste unifier tous nos savoirs comme tous et toutes nous unir…
…………………………. afin d’enfin abolir tous ces loufoques conservatismes.
………………(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Un hadron est un composé de particules subatomiques régi par l'interaction forte. Dans le modèle standard de la physique des particules, ces particules sont composées de quarks, d'anti-quarks et de gluons. Les particules constituant un hadron sont appelées de manière générique partons. Les quarks (ou antiquarks) présents dans le hadron tout le long de son existence sont appelés quarks de valence, à l'opposé des particules (paires quark-antiquark et gluons) qui apparaissent et disparaissent en permanence dans le hadron, du fait de la mécanique quantique, et qui sont appelées particules virtuelles. Les gluons sont les vecteurs de l'interaction forte qui maintient les quarks ensemble.
Les hadrons communs sont classés selon leurs constituants en différentes sous-familles : • Mésons : hadrons bosoniques, formés par des configurations de paires quark/antiquark. • Baryons : hadrons fermioniques, formés de trois quarks.
Grand collisionneur de hadrons - Wikipédia
Le Grand collisionneur de hadrons , Large Hadron Collider ( LHC) en anglais, est un accélérateur de particules mis en fonction en 2008 et situé dans la région frontalière entre la France et la...
https://fr.wikipedia.org/wiki/Grand_collisionneur_de_hadrons
Le Low Energy Ion Ring, faisant partie de la chaîne d'accélération des ions lourds étudiés par le LHC.
Les innombrables galaxies de l'univers ne composent qu'une partie de sa matière "ordinaire" (NASA/ESA/S. Beckwith(STScI) and The HUDF Team) : 5 % ?
Des filaments entre les galaxies composeraient une partie de cette matière que les scientifiques recherchent depuis longtemps. Deux équipes les ont identifiés.
Le Photomatemps - Une expérience SMART ZERO
Le "Large Hadron Collider »
De quoi est faite la matière ? L'univers tout entier ? D'où viennent les forces qui régissent le cosmos ? Qu'est-ce que le modèle standard ? Toutes ces réponses en 4 minutes !
De quoi est constitué un hadron ?
The Mandela Effect On World Geography
Qu’y a-t-il de commun entre un insecte, un virus, un pixel et une particule subatomique ? Sophie Houdart répond : « Ils sont parfois anonymes, toujours capricieux et proliférants, mortels et difficiles à voir l’œil nu. » Lorsqu’elle propose à ses collègues de consacrer un atelier à l’« ontologie propre et aux modes d’action » de ces « petits êtres », certains s’étouffent. Vous appelez ça de l’anthropologie ? Le scepticisme n’y fera rien : Sophie Houdart a des complices qui, réunis sur la plateforme Artmap , semblent s’amuser beaucoup à faire voisiner des robots, des scarabées, des installations et des machineries de toutes sortes. Leur mot d’ordre : les objets d’abord. Soit « repeupler les sciences sociales ». Oui, mais avec quoi ? Un mammouth incarnant « la sagesse de la nature », le virus de la grippe aviaire, un fauteuil roulant, une action en bourse, des levures et des clones, la statue de Stephen Hawking et des djinns… Un étonnant inventaire d’objets vivants et inanimés, mais jamais inertes, exemplifiant chaque fois la manière différente dont les hommes et les choses inter¬agissent et font société. On aime ou on n’aime pas mais, comme elle l’explique, on gagne toujours à attribuer ne serait-ce que temporairement une existence active aux choses.
Le Défi PolyAl, découvrez les créations des 19 élèves designers d’ENSCI Les Ateliers
Bolshoi Simulation
The Cosmic Web, or: What does the universe look like at a VERY large scale ? L'univers qui ressemble à une grande échelle ?
lorsque les grands filaments dominent…
la matière noire et l’énergie sombre