Si c’est agréable d’être important c’est tellement plus important d’être agréable

Publié le par imagiter.over-blog.com

Si c’est agréable d’être important c’est tellement plus important d’être agréable

Curieux avec curiosités (3) - Ce qu’il a de rutilant c’est que le curieux attire la curiosité. Curiosités qui amplifient les possibilités de le demeurer, curieux. Ce qui ne peut plus, alors, qu’entrer dans l’effet boule de neige. Reste à empêcher toute « routinerie » (mot valise entre rouerie et routine) dans les styles curieurs, oui cet autre versant rieur de toute curieuse démarche…Ce qui devient, alors, fascinant avec les mathématiques, c'est que même les concepts les plus connus et apparemment les plus simples peuvent continuer à susciter la fascination et à créer l'événement autour de la curiosité même. Nous finirons par les infinis mathématiques mais nous commençons par la musculation…des neurones ! L’activité physique prouve avoir de multiples effets bénéfiques sur le fonctionnement du cerveau. Notamment, par les créations de nouveaux neurones et la lutte contre le vieillissement. Voyons de prés.

Les-neurones-se-musclent-aussi

 

« Dix mille pas et plus. Ah, cette sensation délicieuse de bien-être et de détente totale après un jogging matinal, une séance de marche rapide ou de natation [[pas la peiner de chercher à battre des records !]]. Les bénéfices immédiats sur le cerveau de l’exercice physique, dus à la libération de neurotransmetteurs (endorphines, dopamine…), sont bien connus des pratiquants, même occasionnels. Mais c’est sans doute à long terme que les effets cérébraux du sport se révèlent les plus puissants. Le sujet est devenu un champ de recherche à part entière, et des dizaines d’articles scientifiques sont publiés chaque année.

Par exemple, ces multiples études menées chez des ­rongeurs et chez l’homme, il a été démontré que l’exercice physique stimule la mémoire et retarde le déclin cognitif [[ cognitif oui ça cogne…]]. Bouger régulièrement permet aussi d’augmenter le niveau d’attention et d’autres capacités intellectuelles, comme la planification, le ­contrôle, voire la créativité [[les penseurs de fond disent tous que penser ressemble à un marathon, une course…de fond !]]. Sans compter l’impact positif sur l’humeur et l’anxiété qui font de la marche, du jogging ou du vélo des outils thérapeutiques à ne pas négliger dans la dépression et dans bien d’autres maladies mentales.

Les premiers indices des effets de l’exercice physique sur les neurones ont émergé dans les années 1960, avec les travaux d’un trio de chercheurs américains. A l’université de Berkeley, en Californie. ­Marian Diamond, David Krech et Mark Rosenzweig étudient comment les conditions de vie peuvent modifier le cerveau de rats. Pour cela, certains sont placés dans un milieu dit enrichi : ils restent en groupe dans une grande cage, avec accès à des jouets et activités variés (roues, échelles, tunnels…). Chaque jour, ils sont autorisés à explorer un labyrinthe pendant trente minutes. Les autres sont mis dans des cages individuelles, où ils n’ont aucun contact avec leurs congénères. Après quatre-vingts jours de ce régime, les animaux ont été sacrifiés et leur cerveau disséqué. »…Ces premières études ont permis, ensuite, de comprendre à quel point l’explosion des inégalités artificielles (construites par la société) NUIT A LA SANTÉ. Collective comme individuelle. Comment appauvrir au-delà du raisonnable, les humains, c’est limpidement les condamner à la maladie. Que l’égalité c’est bon, à la fois, pour la prospérité collective (le Fmi ne vient-il pas d’admettre que l’égalité c’est bon pour la croissance commune ?), excellent pour la santé publique, pour le niveau global de l’intelligence qui augmente avec la diminution forte des inégalités, pour l’inventivité générale de la civilisation, etc. Bref ? Que le libéralisme et ses toxiques délires sur les inégalités « voulues par dieu » (alors qu’elles sont, socialement, fabriquées de toutes pièces) n’a donc plus AUCUN argument. Ce qui reste curieux ? Oui, alors que le capitalisme est vaincu intellectuellement, moralement, affectivement et…pratiquement, il puisse encore durer – est-ce dû à une carence globale des curiosités ? Inactivées ? Ainsi, pour les véritables penseurs, il n’y a jamais eu de différences entre le côté manuel et le côté intellectuel de la vie. En tout cas, surtout pas de supériorités entre eux. Ils se complètent et ont tellement besoin l’un de l’autre. Penser c’est du sport de fond. Et le cerveau a-t-il, alors, besoin d’une nourriture adaptée ? 

Voilà-tout-ce-dont-votre-cerveau-a-besoin-pour-être-en-bonne-santé

 

En résumé : huiles végétales, légumineuses, légumes verts, fruits, avocats et bananes…sont les aliments du plus grand bénéfice pour le cerveau qui a besoin de graisses…mais pas n’importe lesquelles. A compléter par « La diététique du cerveau », sous-titré…de l’intelligence et du plaisir, du Dr Jean-Marie Bourre, (1990) qui a la particularité de présenter des tableaux des molécules chimiques nécessaires à la vie mentales. Des aliments qui en contiennent le plus. Et les dosages qui sont les bons pour le fonctionnement harmonieux de la tête. Le tout lié avec des explications vraiment très élaborées. Un livre vraiment pro-intelligence (ce qui reste plus rare que nous pourrions le penser)…

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Ce blog reçoit toujours des témoignages que nous mettons en forme, recevons les accords de ces mises en formes et  en vêtissions utilement des textes…Celui qui nous a le plus touché ce dernier mois ?... « Je (toujours ce je de synthèse des témoignages regroupés) fais du vélo d’assez longue distance et pas pour « battre » des records. Pas pour briller ou bien seulement à l’intérieur de moi. Puisque le vélo permet, entre autres, de devenir le paysage, de se fondre dans l’immensité, d’en faire partie…prenante. C’est que la peau respire au rythme de l’air qui résiste à mon avancée. Les odeurs pénètrent tout le corps telles des rivières de paix. Les fluides ronronnent en moi. Bref je sens et ressens à plein. Et, il m’est même arrivé dans des lieux très isolés (peu de circulation, quasiment pas d’humains) dans un silence si…majestueux de seulement exister de vivre…un unisson de la nature incroyable.

 

Il y en eut d’autres. Ne parlons que d’un, le plus proche de la perfection. Je m’avançais sans bruits et…un jeune oiseau demeurait à un mètre au-dessus de moi à suivre ma course et à chanter à tue tête son bonheur. Puis, plus loin, désirant m’arrêter, je vis un plaisant virage et à peine…stoppé, un demi-cercle de vaches curieuses dans ce champ en pente, s’approchèrent « ensemble » au maximum de la clôture. Me dévisageant avidement, elles faisaient comme leurs commentaires entre elles en se lançant des regards de compréhensions. L’oiseau demeurait immobile et en chant. L’air même semblait participer à l’idylle. Le petit ruisseau ruidait son cristallement. Les insectes écoutaient. Et le tout semblait tellement….familier ( ?)…Tout l’environnement n’était-il pas entré dans un unisson sans faille : la Nature avait pu partager le même instant de vie avec une nature humaine en paix intégrale.

 

Ceci, rien de notre prétendue civilisation ne pourrait en rendre, fidèlement,  compte (pas de lieux ni d’oreilles pour cela). C’est que nous sommes en infini retard sur l’Evolution. Elle reste évoluée et nous très peu, en moyenne. Le langage peut nous aider à vite rattraper ces retards ? Il sait faire faire des pas de géant. Ceci délie les langues : la prise de conscience que le but est proche. Et que ce but concentre tout. C’est-à dire ? Qu’il commence maintenant et se montre, en même temps, bien plus loin. Il se poursuit mais il est déjà entièrement présent ici. Que ce but est la transformation elle-même, l’accomplit, l’accompliment, nous complimente et nous entraîne dans son mouvement complet. »

 

Ce qui nous a enchanté dans ce témoignage ce sont ces liens de causalités que certains regards peuvent poser sur ce récit (alors qu’ils n’existent pas). C’est « devenir un morceau du paysage »  n’intervenant pas mais participant à fond, ne jugeant pas mais ressentant au maximum. Bref, des moments d’harmonies complètes que seule peut offrir la Nature. Et auxquels des humains, parfois, parviennent à accéder. Le curieux c’est qu’il y en ait si peu qui osent s’offrir le cadeau le plus somptueux de la vie : se sentir faire partie de l’univers. Vivre l’universalité – la plus sensuelle des sensations sensationnelles…

 

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Alors que…Ce système ne bouge pas d’un millimètre entièrement congelé dans ses immenses torts : 50 ans après il radote et refait très exactement les mêmes choses. Voyons comme il demeure hallucinant de relire cette analyse écrite en…1967.

« Examinons de plus près le dispositif central de la consommation très « dirigée » [[très voulue donc - pour n’être que cette somme irrationnelle, cette sommation farfelue qui ne va que refuser que de faire son total. Soit la destruction dévorante des produits et leur seule « philosophie »  (sic) à la place des véritables humains…. ne surtout ne jamais se demander : et que se passera-t-il quant tout sera…consommé ? La position la plus tarée : détruire est…devenue la Raison de la société Folle !]] oui ce dispositif le plus central de la société dirigée de consommation : l’obsolescence programmée [[ donc surtout pas complotée vont délirer les paranoïaques]]. L’obsolescence a été étudiée et changée en technique. Les spécialistes de l’obsolescence ne s’occupent que de la démographie des objets, corrélée avec les courbes des profits escomptés. La rotation du capital inclut la mise à mort des produits (p. 157 – - Henri LefebvreLa vie quotidienne dans le monde moderne, 1968). » Cette pure folie (qui exclut plus de 80 % de la réalité selon la conscience vue par Pareto) est donc la « folie obligatoire » de la société dissociété. Et sa condamnation toujours plus ferme : la vie « réelle » pourrait ne plus se figer dans la quotidienneté (cette prise en otage par la délinquante consommation). Mais passer à autre chose, passer à bien plus grand et plus inclusif. Cette société est chaque jour plus accusée ! L’obsolescence programmée est un crime inexcusable. Crime contre la raison, contre les enfants, contre le futur, contre l’auto-limitation si raisonnable, c’est le crime d’une société qui se débraguette et laisse aller ses bas instincts, d’une société qui se criminalise…par le haut, crime total, complet qui contient tous les autres. Ecrit en 1967, ce diagnostic si sain devient une accusation contre cette plus qu’indigne obsolescence programmée. Que rien de sensé ne peut justifier ! Le fait que 50 après nous semblions n’avoir pas avancé d’un millimètre provient de la lâcheté de la plupart de ne pas faire le simple effort de changer de mentalité. Donc de montrer tellement peu d’amour pour les autres ! Et beaucoup trop de laxismes pour soi-même…curieux, non ?

Déprogrammer-l'obsolescence-puisque-programmée

« Il est carrément temps d'agir car, avec ce remplacement de plus en plus rapide des objets, on accélère la raréfaction des matières premières, on accumule des montagnes de déchets toxiques, on accroit les inégalités sociales et on détruit des emplois de réparation non délocalisables. Alors que faire ? Les solutions existent pour lutter contre ce phénomène au niveau national, européen et international : réorientation des dépenses publiques, extension du système de garantie, affichage de la durée de vie des produits... Il s'agit avant tout d'une question de volonté politique et de changement des mentalités. Car l'obsolescence programmée n'est surtout pas une fatalité. »

 

La-première-plainte-contre-l'obsolescence-programmée-2 ans-après-la-loi ?

 

« Deux ans après l'instauration du délit d' « obsolescence programmée » dans la loi française, une première plainte vient d'être déposée. Le texte vise plusieurs fabricants d'imprimantes. Mais sur le plan juridique, les spécialistes que nous avons pu interroger sont divisés quant aux chances de succès de cette plainte. » Trop curieux : une loi existe mais surtout afin de n’être pas appliquée ? Alors qu’elle est si simple d’utilisation, il va être inventé de nombreuses hypocrisies afin de retarder (frauduleusement) les…faits. Soit plus du tout d’obsolescences « programmées » (expression clairement appartenant aux « ententes illicites », aux préméditations, donc aux complotages afin de contourner les lois…). Et donc ? Les véritables délinquants de la société (crime contre la nature et crime contre l’avenir des enfants) demeurent toujours les mieux traités. Une seule plainte depuis 2 ans ? Il faut bien que les curiosités…l’emportent !

 

8-mythes-très-courants-sur-la-nutrition

D’usage plus courant, soit pour la vie quotidienne – à la lecture de ces tromperies, chacun-e peut découvrir où et quand, comment et pourquoi il/elle se sont faits leurrer en grand ! Alors que…même les infinis…s’unissent et se rassemblent…

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« La démonstration que la mathématicienne américaine Maryanthe Malliaris et son homologue israélien Saharon Shelah viennent de publier, qui prouve que deux ensembles mathématiques infinis ont la même taille, était attendue depuis près de 70 ans. Pourtant, elle concerne des nombres connus de tous.

*** Le premier de ces deux ensembles s'appelle N: c'est l'ensemble des entiers naturels, c'est-à-dire 0, 1, 2, 3, et tous les nombres entiers qui suivent. Nul besoin d'être Cédric Villani pour comprendre que cet ensemble est infini.

*** Le second s'appelle R: c'est l'ensemble des nombres réels, c'est-à-dire tous les nombres que vous connaissez, ceux de la vie réelle. Il inclut les nombres entiers, les nombres décimaux, les nombres rationnels (ceux qui peuvent s'écrire comme des fractions), et même les nombres irrationnels (ceux que l'on ne peut pas écrire comme des fractions, le plus célèbre étant le fameux pi). De -19 à 172,38273601 en passant par 1/3 et pi, tous les nombres sont réels. Et il y en a évidemment une infinité (le «évidemment» ayant été prouvé).

Deux-mathématiciens-démontrent-que-les-deux-ensembles-mathématiques-infinis-sont-égaux

>>>> - L'une des différences majeures entre les deux ensembles, c'est que si N est un ensemble dit dénombrable (on peut en lister les éléments, même si cette liste serait certes infinie), ce n'est pas le cas de R, comme le prouva le mathématicien allemand Georg Cantor à la fin du XIXè siècle. Pour le dire plus trivialement, on ne peut pas lister les éléments de R: il y en a "trop"[[ le langage qui sait tout mieux et plus profondément que nous dit, d’ailleurs les nombres sont nombreux…un fourmillement innombrable…]].. C'est un ensemble continu, c'est-à-dire qu'il n'y a pas un nombre, puis le suivant: on peut toujours en trouver un qui se trouve compris entre les deux.

Pour montrer que des ensembles sont de même taille, on établit un jeu de correspondances entre leurs éléments. Comme l'explique cet article de Quanta Magazine, pour montrer qu'un ensemble de voitures et un ensemble de conductrices sont de même taille, il suffit d'attribuer une voiture (et une seule) à chaque conductrice, puis de vérifier qu'il ne reste aucun conducteur sans voiture ni aucune voiture sans conducteur. Ce principe fonctionne exactement de la même façon avec les ensembles infinis.

Cantor a par exemple démontré que N était de même taille que l'ensemble des entiers pairs. Il suffit pour cela de «numéroter» les nombres pairs: 0 est le zéroième, 2 le premier, 4 le deuxième, etc.

entiers naturels

0

1

2

3

4

 

entiers pairs

0

2

4

6

8

 

primes

0

2

3

5

7

 

1

2

3

4

5

(natural numbers – entiers naturels)

2

4

6

8

10

(entiers pairs - evens)

2

3

5

7

11

(primes - nombres premiers)

             

Chaque entier pair étant relié de cette façon à un et un seul entier naturel, le principe des automobiles et des conductrices est respecté, ce qui montre que l'ensemble des entiers naturels et l'ensemble des entiers pairs est de même taille. Pas simple à accepter lorsque les ensembles infinis ne vous sont pas familiers: on a l'impression qu'il y a deux fois plus de nombres entiers que de nombres pairs, ce qui n'est vrai que si on considère un ensemble fini de nombres (par exemple c'est vrai si on ne considère que l'ensemble des nombres de 1 à 10).

Cantor a permis d'aplanir les choses. Il y avait au moins deux sortes d'infinis: l'infini dénombrable (celui de N, de l'ensemble des nombres pairs, etc.) et l'infini indénombrable (comme celui de R). La question qui planait depuis environ 70 ans était la suivante: y avait-il d'autres types d'infinis entre ces deux grandes catégories? Des sortes d'infinis intermédiaires? Malliaris et Shelah viennent brillamment de démontrer que non, ce que Cantor avait supposé sans parvenir à le démontrer. Cette propriété, nommée hypothèse du continu, est la première des 23 problèmes présentés par le mathématicien David Hilbert en 1900 comme tenant en échec le monde des mathématiques.

Pour démontrer l'inexistence d'autres types d'infinis, Malliaris et Shelah ont prouvé que N et R sont en fait de même taille en «mesurant» chacun de ces ensembles. Merci de ne pas répéter à vos enfants que l'on peut mesurer quelque chose d'infini : les professeurs de mathématiques de sixième passent leur temps à expliquer qu'on ne peut pas mesurer une droite, par exemple.

Pendant de nombreuses décennies, les mathématiciens et mathématiciennes se sont cassées les dents sur ce problème parce que la méthode choisie pour l'aborder n'était vraisemblablement pas la bonne. Beaucoup ont cru toucher la vérité du doigt en étudiant des sous-ensembles bien choisis de N et de R, jusqu'à ce que le mathématicien Paul Cohen débarque avec le forcing, méthode démontrant que l'hypothèse du continu ne pouvait être démontrée à l'aide de la théorie des ensembles. Une découverte qui lui valut d'ailleurs la médaille Fields en 1966. 

Pour atteindre leur objectif si convoité, Maryanthe Malliaris et Saharon Shelah ont en fait montré que les nombres p et t (habituellement écrits en lettres gothiques) étaient égaux. Qui sont p et t ? Quanta Magazine tente de résumer la signification de chacun de ces nombres bien connus en théorie des ensembles. Bon, ça se complique, vous pouvez aussi passer au paragraphe suivant. p est le plus petit nombre de sous-ensembles infinis de N tel que l'intersection de chacun de ces ensembles ne soit pas vide et tel qu'il n'y ait pas de pseudo-intersection (famille d'ensembles de N tels que chaque élément de la famille est constitué de tous les entiers naturels sauf un nombre fini d'entre eux).

Ou encore au suivant. Quant à t, il s'agit du plus petit nombre de sous-ensembles de N qui puisse être ordonné tel que les uns soient inclus dans les autres, le tout sans pseudo-intersection non plus. À ce stade, il n'est pas interdit d'avoir décroché, à moins d'aspirer à la médaille Fields.

Toujours est-il que c'est en prouvant que p et t étaient égaux (alors que beaucoup imaginaient que p était inférieur à t) que Malliaris et Shelah ont démontré que l'infini de N et celui de R étaient en fait égaux. Il n'existe donc pas d'intermédiaire entre le dénombrable et l'indénombrable, ce qui prouve l'hypothèse formulée par Cantor il y a plusieurs siècles. »

Au niveau de notre simple vie, cette « démonstration » prouve qu’il y a bien plus d’évènements et de phénomènes dans l’égalité que l’idéologie veut bien le dire. Que l’absence d’intermédiaires justement devient la toute première condition d’accéder à l’égalité (préférable a l’équité, qui n’a pas su remplacer l’égalité dans les grands combats sociaux – n’est-ce pas les (cy)iniques ?). Et que donc ?

L’égalité demeure tellement plus accessible que l’idéologie nous le laisse croire.

...........Légalité de l’égalité prouve l’illégalité des inégalités. C’est ainsi !  

 

………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 500 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Si c’est agréable d’être important c’est tellement plus important d’être agréable
sciences kaléidoscopes...

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Le huit fractal

Le huit fractal

Si c’est agréable d’être important c’est tellement plus important d’être agréable
beautés advenues par les sciences

beautés advenues par les sciences

art et science

art et science

Si c’est agréable d’être important c’est tellement plus important d’être agréable
Si c’est agréable d’être important c’est tellement plus important d’être agréable
Tous les infinis ne sont égaux. 1	2	3	4	5	…	(natural numbers) 2	4	6	8	10	…	(evens) 2	3	5	7	11	…	(primes)

Tous les infinis ne sont égaux. 1 2 3 4 5 … (natural numbers) 2 4 6 8 10 … (evens) 2 3 5 7 11 … (primes)

István Juhász, Saharon Shelah, Maryanthe Malliaris, Jouko Väänänen – photo by Joan Bagaria

István Juhász, Saharon Shelah, Maryanthe Malliaris, Jouko Väänänen – photo by Joan Bagaria

Ian Stewart

Ian Stewart

tout va bien que si on ferme les yeux….aujourd'hui, nous savons que non...

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En tout, il nous faut mettre des...prises de terre !

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Curiosité ... le plus beau des prétendu défauts ?

Qui n'est pas un peu curieux ? Mais, ce besoin de savoir est-il réellement un vice ? (selon les diffamateurs bourgeois) N’est-ce pas, plutôt, le manque de curiosité, le toxique vice ? Vice qui rend inhumain et antisocial.

Tout ce que l'on ne vous dit pas sur le cerveau

Neale Walsch – oui regardez, souriez, touchez

Smart zeroes

La réussite la plus curieuse des conférence gesticulées "Le Mensonge des 3 petits Cochons"...du grand art.

Publié dans curieux et curiosités

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