En mieux comment une bibliothèque publique nous change ?
Surtout aux U.S.A. ? Puisque, sans même le vouloir, le fonctionnement des bibliothèques publiques étasuniennes contredit, point par point, l’absurde déviance Trump, déviance toujours autant sans issues autres que catastrophiques. Comment est-ce possible ? Réponses dans un film - «Ex Libris» - qui se sous-titre « exploration d'une utopie réelle au cœur de l'Amérique ». Et dans tous les documents assemblés qui nous permettent de mieux concevoir la toute importance de cette information.
« Le nouveau documentaire de Frederick Wiseman transforme la description du fonctionnement formidablement varié de la bibliothèque publique de New York en voyage extraordinaire au sein de la démocratie en actes quotidiens.
Ex-libris-exploration-d'une-utopie-réelle-au-coeur-des-USA
« On dit, et on a raison, que Frederick Wiseman est un cinéaste qui réalise des documentaires sur les grandes institutions américaines. On a raison même si c’est réducteur : il a aussi tourné des fictions, filmé ailleurs qu’aux États-Unis, etc. Avec Ex Libris, The New York Public Library, le réalisateur ajoute donc un nouveau chapitre à cette description commencée il y a cinquante ans avec l’hôpital psychiatrique (Titicut Follies) et jalonnée de 40 films. Sauf qu’on n’a presque pas dit ce que fait Wiseman, et très particulièrement ce nouveau film. Oui, il documente le fonctionnement de lieux qui organisent la vie collective de son pays.
Une histoire, une idée, un monde : Mais ce faisant, il raconte des histoires, il rend visible des idées, et il donne accès à un monde. C’est vrai de tous ses films, c’est éclatant dans celui-ci. Sommet incontestable d’une œuvre exceptionnelle, Ex Libris s’approche doucement, s’assoit dans l’ombre, écoute. Un homme parle, de science et de croyance, sa présence autant que sa parole explicitent une des missions de la librairie publique. C’est émouvant et un peu formel. N’importe.
C’était juste un point d’entrée, dans un univers en expansion, dont le film ne va cesser de déployer les multiples dimensions, de rendre sensible l’infinie variété des émotions, pensées, défis, joies et conflits. Mieux, comme tout film digne de ce nom, il en suggère bien davantage: Ex Libris dure 3 h20, et il ne cesse de distiller l’envie qu’il dure le double, de rendre sensible combien davantage se joue dans la pièce d’à côté, avec cette femme qui passe dans le couloir et qu’on aurait pu accompagner, dans les lieux où on n’est pas allé.
Les lieux ? Beaucoup connaissent le bâtiment principal de la Bibliothèque publique de New York, avec ses lions de pierre. Même ceux qui ne sont jamais allés au coin de la 5e Avenue et de 42nd Street à Manhattan y sont entrés grâce à de multiples films –Le Port de la drogue, Diamants sur canapé, Ghostbusters, Sex and the City, The Wiz, L’Affaire Thomas Crown, L’Honneur des Prizzi, À la rencontre de Forrester, au moins deux Spiderman… et bien sûr Le Jour d’après dont elle est le décor principal. C’est là que ça commence, mais après… Après, selon des stratégies de narration et de composition qui sont la signature de ce cinéaste, Wiseman emmène dans la diversité des endroits, des enjeux, des présences humaines qui y cohabitent et qui transforment ce qu’on appelle «une institution» en un univers.
On y profitera de cette élégance utile qui est une des marques du style de Wiseman (le style c’est l’homme) : quand quelqu’un a quelque chose à dire, on l’écoute. Quand il y a un morceau de musique, on l’écoute aussi, en entier. Tout le contraire du saucissonnage goujat, méprisant pour ceux qui sont filmés comme pour ceux qui regardent le film, qui est la marque de la plupart des documentaires, sans parler de la gougnafière télévision. On y verra aussi ce pour quoi Wiseman a développé un savoir-faire unique (notamment depuis Berkeley) : son talent à rendre passionnantes des réunions de travail. Des gens discutent, argumentent, décident, s’engueulent. Et là se joue de l’amour et de la peur, de la pensée et du courage, des alliances et des découvertes. C’est Shakespeare et La Guerre des étoiles, mais appliqués à des choix de tous les jours.
Et ce n’est pas fini ! Parce que la Public Library de New York, ce n’est pas un bâtiment, ni 10, ni 25 mais 91. 91 lieux différents, par leur vocation, leur implantation locale, leurs pratiques, leurs publics. Partout dans l'immense métropole newyorkaise. Ce sont des lieux voués aux livres bien sûr, à la mise en accès des savoirs et des plaisirs de la lecture biens sûr, mais aussi à la musique, à la danse, au théâtre, au cinéma. Et encore à l’accompagnement scolaire, à l’assistance aux personnes en grande difficulté, aux enfants, aux personnes âgées, aux handicapés, aux SDF, aux immigrés… Ce sont, d'abord, des lieux voués aux gens. Partout dans la ville [[ la connaissance pour vraiment faire connaissance…]]. Soit…
L'anti-Trump absolu : Non pas ce qu’est effectivement la démocratie aux Etats-Unis, pour une grande part un leurre ou un bricolage d’imperfections et de malfaçons, mais ce qu’elle a voulu être et raconté au monde qu’elle était. Et ce qu’elle est effectivement, parfois. La New York Public Library filmée par Wiseman, c’est l’anti-Trump absolu : la recherche du bien commun, l’intelligente association de politiques publiques et d’initiatives privées, l’inlassable community building, la reconnaissance des puissances de l’esprit et du rôle politique du sensible, le parti-pris de la générosité, de l’exigence et de la précision. C'est déjà... pas mal. »…d’autant plus d’y entrer (pour les aficionados, dans les moindres recoins de la vie, comme exposé dans le film et les documents – pour les autres, de simplement le savoir peut motiver très fortement. Regonfler à fond. Qui que nous soyons, quoi que nous faisons, où que nous soyons, nous pouvons toutes et tous vraiment…changer le monde…en commençant. Une fois commencé, en général, c’est toujours continué. L’époque préfère vivre « sous plastique » et trop en sont collés au stade de « ne pas commencer » (parce que parce que par…ce que…la honte vécue lorsque ces stupides et creuses fausses raisons sont toutes dénudées devant ces « stagneurs » !). Voici que c’est entièrement gratuit que de… « commencer » à tout changer (mais nous en recevons les plus grands trésors que l’argent ne pourra jamais acheter...il n’atteint que la matériel soit 20 % de la vie humaine selon la courbe de Pareto…).
La bibliothèque qui est l’organisation où nul n’est autoritariste envers personne, mais l’organisation « spontanée » qui permet à absolument tout le monde d’y entrer sans subir la moindre contrainte. Sinon les évidentes règles de la raison et du bon sens. Oui cette organisation devient le modèle anti-politiciens de métiers qui nous …déplie et déploie chaque détail de la démocratie vivante. Et une envie de rester méticuleux en tout… soyons, alors, CONSCIENCIEUX : la conscience est cette petite voix qui refuse de nous laisser sombrer dans les laxismes, et les facilités : tout dans la nature se régule (rien ne se dérégule) nous devons, de ce fait, nous réguler en écoutant la VOIX de la conscience. Oui comme ceci
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« Lorsqu’il s’agit de notre compréhension de la crise mondiale actuelle, chacun-e de nous semble s’insérer quelque part le long d’un continuum de prise de conscience qui peut être grossièrement divisé en cinq étapes [[ ce qui n’a donc rien à voir avec une supériorité ou non – il y a simplement plus d’ardeurs dans l’exigence envers soi, de clarté dans les accomplissements successifs et de discipline dans les efforts – ce qui n’est pas supériorité mais bien clairvoyance rationnelle et fiabilité affective!) :
Aider-à-l'échelle-de-la-conscience-collective ?
1. En sommeil profond. À ce stade, il ne semble pas avoir aucun problème fondamental dans l’organisation du monde : seulement quelques petites lacunes secondaires dans les comportements et les moralités. Lacunes qui peuvent être rapidement résolues à l’aide d’une attention appropriée portée à l’élaboration de règles. Les gens à ce stade vivent superficiellement, ne veulent rien savoir, rien apprendre et rien discuter, sont toujours en frustrations. Et considèrent même qui montrent l’intelligence des problèmes comme des…arriérés. Cependant, ils gardent une tendance à des explosions occasionnelles d’irritations lors de périodes électorales ou de la publication trimestrielle des bénéfices des entreprises, etc. [[ Et là, ils exigent que tout le monde prête une attention démesurée à leurs paroles. Bref, totales incohérences et chaos complet de vie]].
2. Conscience d’un problème fondamental. Que ce soit le changement climatique, la surpopulation, le pic pétrolier, la pollution chimique, la surpêche océanique, la perte de biodiversité, le corporatisme, l’instabilité économique ou l’injustice sociopolitique, un problème [[et un seul !]] semble retenir l’attention complètement. Les gens à ce stade ont tendance à devenir d’ardents militants pour leur cause choisie. Ils ont tendance à être très volubiles quant à leur problème personnel, et aveugle à tous les autres [[ Un très bon départ mais une insensibilité de fond : pourquoi séparer tous les problèmes et n’en privilégier qu’un seul ? Clair qu’un problème ne peut trouver sa solution que dans l’unité des solutions globales. Les pouvoirs dispersent tout afin de ralentir au maximum les …prises de conscience. Justement, parce qu’une fois, une prise bien assurée – nous pouvons sans cesse tout escalader, tout franchir, tout affranchir et…élargir notre conscience. « Prendre conscience » d’une problématique ce n’est pas s’arrêter là mais se montrer capable de continuer…]].
3. Conscience de nombreux problèmes. Alors que les gens absorbent des évidences de différents domaines, la conscience de la complexité [[qui est le contraire de…compliqué. Le complexe, lui, peut être simple lorsque le cœur se joint à la réflexion]] commence à croître. À ce stade, une personne s’inquiète de la hiérarchisation des problèmes en termes de leur urgence et de leur force d’impact. Les gens à ce stade peuvent devenir réticents à reconnaître de nouveaux problèmes [[leurs cœurs sont trop petits…]] – par exemple, quelqu’un qui s’est engagé à lutter pour la justice sociale et contre le changement climatique peut ne pas reconnaître le problème de l’épuisement des ressources. Ils peuvent penser que le problème est déjà assez complexe, [[penser ceci c’est n’avoir pas vraiment…compris !]] et que l’ajout de nouvelles préoccupations ne ferait que diluer l’effort à déployer pour résoudre le problème de « plus haute priorité » [[Le défaut ici est un manque d’unité intérieure – le corps n’est pas du tout écouté, les facultés pas toutes utilisées, la sensibilité pas assez expérimentée. Bref, il y a manque d’exigences dans les réflexions et d’endurances dans le déploiement de la compréhension globale. Qui s’obtient par une construction quotidienne qui 1) exige de quitter l’imagerie sociale, les prétendues modes, les tics et les conformismes, la non-pensée des télés, etc. bref une zone de confort qui fait que nous ne vivions pas la vie en direct. Mais trop par procuration. 2) de se « construire « sa propre vie intérieure…comme au niveau 5 de la progression et du progressisme…]].
4. Conscience des interconnexions entre les nombreux problèmes. La réalisation qu’une solution dans un domaine peut aggraver un problème dans un autre ? Cependant, cette ouverture grandissante de la conscience marque le début de la pensée systémique à grande échelle. Elle marque aussi la transition entre penser la situation en tant qu’un ensemble de problèmes à la pensée de celle-ci en tant que situation difficile. [[ Ce qui est plus qu’étonnant est que nous sommes dans ce qu’il y a du de meilleur dans le mouvement situationniste. Construire une situation ajouté à la pensée unitaire se retrouve ici dans cet apprentissage si sensuel de la conscience. Les situation(niste)s ne cherchaient pas, systématiquement, la révolution mais quelque chose de bien plus vaste : la transformation des mentalités !]].
5. Conscience que la situation difficile englobe tous les aspects de la vie. [[formulation extrêmement situationniste]]. Ceci inclut tout ce que nous faisons, comment nous le faisons, nos relations à autrui, ainsi que notre traitement du reste de la biosphère et de la planète physique. Avec cette réalisation, les vannes s’ouvrent, et aucun problème n’est exempté de l’examen ou de l’acceptation. Le concept même de «solution» est mis à nu et mis en face : toute solution commence par une réSolution intérieure, résolution qui a déjà « pour soi » résolu le problème…[[ et donc le fait que trop se soient stoppés dans les acquis plastifiés des situationnistes est néfaste. Ils avaient excellemment ressentis à quel point réPliquer, duPliquer, bref, ne pas vivre le ComPliqué, enfonce chaque cellule de notre corps dans une aliénation aveugle d’elle-même. Ce pourquoi leur cri à la vie (il faut demeurer le plus vivant possible chaque jour) n’a pas été…suivi. Ce qui impliquait les zones de front – là où les refus individuels sortent de leurs gonds et vont ronfler leurs inconnues violences. Genre ? Ne rien me demander à moi – juste aux autres, moi je suis un roi réussi, indémontrable, qui, du haut de ma…hauteur, peut conseiller et critiquer tout le monde mais sans symétrie, sans me mettre en risque (et tout le monde peut penser pareillement – donc blocages et blocus généralisés dans les…têtes). Le moment actuel se nomme, alors, « expliquer c’est impliquer ». Il n’y pas d’autre moyen – infiniment corporel – de parvenir à exPliquer sans imPliquer tout le corps. Sinon nous étouffons dans « le stade dupliqué-répliqué-compliqué » (compliqué mais pas de la conscience du complexe qui détient toutes les solutions se…simplifiant l’une l’autre !) nommé « société de consommation !]].
Impliquer ? De plicare, « plier, replier, envelopper dans le sens de…sous-entendu ». Donc ne pas impliquer n’a que des implications qui virent virus aux complications infinies et sans issues… (ex Pliquer étant déplier, déployer, développer, rendre explicite, dénouer les mal entendus toujours plus sous-entendus mais avec plus personne pour les Entendre !). Et donc ? Expliquer sans impliquer est bien…empêcher toutes explications, interdire toute compréhension « collective » (avec implications de tout le monde). Plus clair ?
Ce point de vue situationniste qui trouve que c’est dans la vie la plus quotidienne que les pouvoirs, dépourvus de tout honneur, et de toute…humanité, souillent au point d’en faire la terre de l’ennui, du vide intérieur, de la misère morale et affective (et c’est afin d’y « échapper » que nous achèterions sans rimes ni raisons…) – oui de LA vie la plus quotidienne que tout peut devenir aventures incessantes, expériences immenses, arts réalisés et rencontres humaines à l’infini. Qui a n’a pas suivi cette route s’est stupidement appauvri. Qui l’a suivi vit sans cesse les trésors inépuisables des…gratuités. En 2017, ce seront les prises de consciences en ricochets grandissants « sur l’adaptation et la résilience locale. Qui passent au premier plan, comme en témoigne le Transition Network (Réseau de transition) et la Permaculture Movement (Mouvement de la permaculture). Pour ceux et celles qui sont sur la voie extérieure, le développement communautaire et les initiatives locales de développement durable auront un grand attrait. La politique des partis organisés semble moins attrayante aux personnes de ce stade, cependant [[ sauf pour celles qui ont compris le communalisme de la Commune et la décentralisation des enjeux…globaux !]]. Peut-être que la politique est considérée comme une partie du problème, ou peut-être est-elle simplement considérée comme un gaspillage d’efforts lorsque l’action réelle a lieu au niveau local [[ attention extrême portée à tout ce qui nous entoure. Et le ridicule du mot « environnement » (ah où cela donc environnement ? Bêêêê, oh environ par là, dans les environs, en gros. Le flou et l’inexactitude de ce concept plus que flottant montrent la nudité morale de qui se cachait derrière ce mot. Il n’y pas…d’environnement, pas de décor, pas de séparatisme possible pour l’humain : la nature qui nous habite est la même que celle où nous habitons. Nous sommes des animaux, des végétaux et des minéraux dont nous n’avons pas encore pris conscience. La Vie est une. Et nous ne sommes pas…séparés de tous nos frères de vie !]].
Et donc aucune difficulté à approfondir sa richesse intérieure au point que tous les milliardaires de la…gratuité ne peuvent se rencontrer que dans la pauvreté non miséreuse. Vouloir cette pauvreté c’est de toutes les expériences de la vie. Tout ce qui est essentiel est hors des prix, hors de prix, donc « valeur suprême » - le gratuit - l’argent n’achète que le matériel : soit un confort glacial un confort sans réConfort. La technologie peut s’économiser au point de n’en garder que son centre (la permaculture bat toutes les techniques sur-matérialisées en prêtant juste attention à la « vraie » nature, en n’intervenant que le minimum et en…l’imitant). Donc ces vies de niveau 5 résolvent tout en le…vivant. DéTerminés cela s’appelle : être résolus c’est résoudre tout. Nous sommes déterminés, terminée la problématique, tous les nœuds sont dénoués en nous…Trouver les formules qui formulent les solutions c’est devenir plus que scientifique. Les mots qui font sens. Etc. Il ne reste que le dernier stade pour le niveau 5 : S’UNIR, s’unir absolument. La pensée unitaire (le meilleur des apports situationnistes) ne peut que parvenir qu’à l’unité et l’unification de tous les combats parcellaires en un but collectif. Celui qui mouvemente un mouvement mondial : abolir les prétendus dirigeants. Et assainir la planète de leurs pensées et sensibilités de fous dangereux. A l’évidence qui n’ont PRIS CONSCIENCE de rien. Et donc n’ont aucune des qualités nécessaires pour diriger les grands nombres
Dernière approche : comment manifester le message de Gandhi : «Devenez le changement que vous voulez voir dans le monde» au niveau personnel le plus profond ? … « Ou dans un langage clair : «Pour guérir le monde, commencez d’abord par vous guérir.» S’il vous plaît, gardez un œil vigilant sur votre propre progrès progressiste et, si vous rencontrez quelqu’un d’autre qui peut être dans cet état, s’il vous plaît, offrez-lui une oreille attentive. Pourquoi ? D’après mes observations, chaque étape successive contient environ le dixième de la population de celle qui la précède. Ainsi, alors que peut-être 90 % de l’humanité est à l’étape 1, moins d’ sera à l’étape 5 (et aucune d’entre elles n’est susceptible d’être un politicien, un financier ou un médiatique). Une personne sur dix mille * soit environ…0,01% de la population française. Le nombre de celles qui ont choisi la voie intérieure au stade 5 semble aussi être d’un ordre de grandeur plus petit que le nombre de celles qui sont sur la voie extérieure [[sauf que le mieux c’est de vivre les deux en même…temps !]].
Naviguer sur cet(te) imminent(e) (transition, changement, métamorphose – appelez ça comme vous voulez [[ okay – ce sera mutons mutuels, la mutation « implique » tout le monde, chacun-e émulant les autres…]]), requerra de nous tous – peu importe les chemins choisis – de coOpérer dans la prise de décisions éclairées lors des moments difficiles. »
…soit que la pensée unitaire ne peut qu’aboutir dans l’unité collective…
……………….afin de mieux atteindre un but commun (abolir les fausses élites)
….....……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 600 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
/https%3A%2F%2Fwww.leblogducinema.com%2Fwp-content%2Fuploads%2F%2F2017%2F09%2FTiticut-Follies.jpeg)
TITICUT FOLLIES, le premier film de Wiseman, ressort en salles
Premier film du documentariste Frederick Wiseman, TITICUT FOLLIES ressort en salles en copie restaurée après plus de vingt ans d'interdiction de diffusion aux Etats Unis. Un grand film cinglant ...
https://www.leblogducinema.com/critiques-films/critique-titicut-follies-861854/
Et là, Ex Libris, suivant un certain nombre de fils (bien d’autres auraient été possibles), raconte encore autre chose. Rien moins que la démocratie américaine en acte.
/http%3A%2F%2Fwww.slate.fr%2Fsites%2Fdefault%2Ffiles%2Fstyles%2F1090x500%2Fpublic%2Fatberkeleywiseman.jpg)
Lignes à haute tension: "At Berkeley" de Frederick Wiseman
Pour faire de quatre heures consistant, pour l'essentiel, en des réunions filmées, un des films les stimulants et vivants qu'on puisse voir en ce moment dans un cinéma, il faut l'art de la mise ...
http://www.slate.fr/story/83889/lignes-haute-tension-berkeley-frederick-wiseman
Soyons, alors, CONSCIENCIEUX : la conscience est cette petite voix qui refuse de nous laisser sombrer dans les laxismes, et les facilités : tout dans la nature se régule (rien ne se dérégule) nous devons, de ce fait, nous réguler en écoutant la VOIX de la conscience.
Entretien avec Frederick Wiseman
Frederick Wiseman investit une grandE institution du savoir et la révèle comme un lieu d'apprentissage, d'accueil et d'échange. La New York Public Library incite à la lecture, à l'approfondissement des connaissances et est fortement impliquée auprès de ses lecteurs. Grâce à ses 92 sites, la 3ème plus grande bibliothèque du monde rayonne dans trois arrondissements de la ville et participe ainsi, à la cohésion sociale des quartiers de New York, cité plurielle et cosmopolite. Comment cet incomparable lieu de vie demeure-t-il l'emblème d'une culture ouverte, accessible et qui s'adresse à tous ?
THE NEW YORK PUBLIC LIBRARY trailer | BFI London
New York Public Library installed a book train conveyor system
Agnès Varda / Frederick Wiseman - arte.tv
Habitus de classe et individualité selon Bourdieu -- Philippe Corcuff
Idées rebelles en quelques mots : Habitus, une manière d'être, une allure générale, une tenue, une disposition d'esprit. L'habitus est, pour Pierre Bourdieu, le fait de se socialiser dans un peuple traditionnel, définition qu'il résume comme un « système de dispositions réglées ».
Cette vidéo a pour but de présenter de façon synthétique et simple les différents types de bibliothèque ainsi que les caractéristiques qui leur sont attachées. La typologie de l'UNESCO est passé au peigne fin, décrivant les spécificités de structures comprenant bibliothèques nationales, BCD et CDI d'établissements scolaires, ou encore bibliothèques municipales et associatives.
Histoire des bibliothèques : d'Alexandrie aux bibliothèques virtuelles