La Fête mondiale c’est déjà commencé (2/2)

Publié le par imagiter.over-blog.com

La Fête mondiale c’est déjà commencé  (2/2)

En (1) nous avons entrevu les premiers pas de la Fête mondiale – ici, nous sommes en son cœur le plus brûlant. Allant de surprises en surprises. Après l’acte fondateur de reconnaissance de la transcendance de l’Humanité par rapport à chaque pays…trop séparé – nous sommes emportés par les créativités illimités et inépuisables des autres…En gros, la  Fête mondiale formera l’apex qui résoudra toutes les problématiques par le haut. Fête qui n’a, évidemment, absolument rien à voir avec la très fausse et infiniment vulgaire définition du capitalisme déchu : comment avoir confiance en ce qui n’a pas de cœur ?

 

>>>>>> 3) *** - En plein « cœur » réchauffant de la Fête ?

« La libération de la créativité populaire engendrera des communautés vives [animées/pleines d'entrain] qui surpasseront Athènes, Florence, Paris et d'autres centres célèbres d'autrefois, où la [pleine] participation était limitée à des minorités privilégiées. Tandis que quelques personnes pourront mener une vie relativement solitaire et indépendante (les ermites et les nomades seront libres de vivre [se tenir] à part sauf pour quelques arrangements minimes avec les communautés voisines), la plupart des humains préféreront probablement le plaisir et la commodité de faire les choses ensemble, et ils établiront toutes sortes d'entités publiques [communautaires/municipales/du quartier] : ateliers, bibliothèques, laboratoires, cuisines, boulangeries, cafés, centres médico-sociaux, studios, salles de musique [= petites salles, pour pratiquer la musique], grandes salles [de concert, des fêtes, etc.], saunas, gymnases [salles de gymnastique], cours de recréation, foires, marchés aux pouces (sans oublier quelques endroits tranquilles pour contrebalancer toute cette socialité). Des pâtés de maisons pourront être transformés en ensembles plus unifiés, en reliant les bâtiments extérieurs avec des couloirs et des arcades et en enlevant les barrières entre les cours de derrière pour créer des espaces [cours/champs] centraux plus grands ([pour faire des] parcs, jardins, pouponnières). Les gens pourront choisir entre divers genres et divers degrés de participation, que ce soit, par exemple, de s'engager à faire la cuisine, la vaisselle ou le jardinage un ou deux jours par mois contre le droit de dîner dans une cafétéria commune, ou bien de cultiver la plupart de leur nourriture et de faire la cuisine pour eux-mêmes.

 

Devant tous ces exemples de moins en moins hypothétiques il importe de garder à l'esprit la diversité des cultures qui se développeront. Dans une culture, la cuisine pourrait être vue comme une corvée qui doit être réduite autant que possible et partagée strictement ; dans une autre, elle pourrait être une passion générale ou bien un rituel social estimé qui attira plus qu'assez de volontaires enthousiastes, etc. Et ainsi jusqu’à l’infini…tous les goûts pourront être goûtés et respectés pour eux-mêmes. Tout e monde sera multiplié [[ et non amoindri comme avec l’anti-progrès libéral actuel !]] multiplié de tous les autres. Et de leurs créativités sans limites ! [[Toutes les nuits, il y aura la Fête collective, pour qui en aura le…goût. La société sera vraiment  « ouverte »…soit tout le contraire du si liberticide et si illégalement répressif libéralisme…ce vieil oripeau hideux qui aura été jeté en tout premier, lors de la gigantesque réconciliation mondiale,sans les « troubles fêtes », justement, de l’argent sale !]].

 

Certaines communautés, comme celles nommées dans le troisième paradigme des Communitas (en faisant abstraction du fait que les schémas de Percival et Paul Goodman présument toujours l'existence de l'argent), pourront maintenir [[ juste au départ…]] une distinction nette entre le secteur des gratuités et le secteur des luxes. D'autres pourront développer des formes sociales plus organiquement intégrées, plus comme le deuxième paradigme du même livre, visant une unité maximum de production et de consommation, d'activité manuelle et intellectuelle, d'éducation esthétique et scientifique, d'harmonie sociale et psychologique, même au prix de l'efficacité purement quantitative.[[qui est tellement inférieure face aux qualités quasiment toutes…perdues actuellement !]]” …[[ A noter que les 3 paradigmes cités sont :

**1- )  ville à sécurité planifiée avec un minimum de régulation

**2- ) ville à la consommation rationnelle

**3- ) ville qui intègre la production « et » la consommation,

Et que pour la Fête mondiale le 3ème servirait de modèle de départ. Modifiable tout de suite selon les nécessités (les Communitas sont offertes en lien, pour qui aime développer…)]]…

« Le style du troisième paradigme pourra convenir mieux comme forme transitionnelle au début, quand les gens ne seront pas encore habitués aux nouvelles perspectives et voudront quelque système de référence économique [fixe] pour leur donner un sens de sécurité contre les abus éventuels. À mesure que les gens enlèveront les possibles défauts de la nouvelle civilisation, ces paradigmes seront eux–mêmes transmutés. » Comme tout ce qui suit va nous l’enthousiasmer…

 

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Voici, une toute première vision « abrégée » (ne jamais trop instruire les salauds !) qui se développera, telle une traînée de poudre, par les bouches à oreilles, les suggestions, les intuitions, les pièces jointes, les inFormations destinées à restituer les formes-forces, les inspirations, les SMS, les idées comme leaders, les créativités lancées au galop, etc. qui nous feront traverser tous les REGRETS incohérents – oui ceux où des humains ont la grande nostalgie de ce qui a « entouré » les catastrophes ou les guerres. Là, où tout le monde a pu servir et se rendre utile. A pu extérioriser ses qualités rejetées dans la stupide société de routines insensibles et bien…inhumaines  du foutoir libéral ! Et que catastrophes ou guerres seules INTERROMPAIENT… Là où le quotidien était devenu si ardent, motivant, enthousiasmant…où la société a pris feu, où les humains se sont le plus rapprochés réellement. Ce « passage » est inutile – ce n’est certainement pas la bonne transition - car la Fête mondiale remplacera bien mieux ces tristes palliatifs « mieux que rien » du passé. Elle concentre absolument tout. Tout le meilleur !

 

*** >>>>  Ses maisons du Don, pour qui veut donner et qui a besoin, de recevoir. Mais ce ne sera pas que du matériel, pas que de la nourriture. Loin de là. TOUT. Oui tout en dons possibles…Toutes les activités humaines pourront être offertes : depuis la programmation, la gratuité augmentée des logiciels, jusqu’au cheminement psycho-corporel qui sort des dérélictions morales et affectives, le retour de l’estime de soi, pour tout le monde, les soins portés aux trop humilié-e-s par la barbarie infâme des riches, tous l’accès à toutes les formes de beauté et les moyens d’y parvenir, tous les savoirs humains en partages (cela c’est la fête !),les héritages des communautés « réussies » et les obstacles qu’elles ont dû franchir, le communalisme en marche et une liste qui donne le vertige insurpassable du…bonheur tellement l’abondance (qui n’a rien à voir avec la richesse) sera de retour, etc. Même l’actualité chante à tue tête que c’est possible et que c’est tellement mieux

 

Science -c'est-prouvé -:-l'argent-fait-le-bonheur-surtout-quand-on-le-partage !

« S’il est bien entendu crucial pour un individu de pouvoir subvenir à ses besoins, notre sentiment de bonheur ne semble pas être directement lié au prix des achats personnels que nous faisons. Si l’acquisition de biens onéreux n’entraîne pas le bonheur, que peut-on faire avec son argent pour être plus heureux ?  Partager ses biens procure une plus grande satisfaction que se gâter soi-même [[ l’article en lien le prouve]].  Recevoir et donner activeraient les mêmes aires cérébrales impliquées dans le circuit de la récompense [[ ceux que nous vantons dans la neurophysiologie du…génie. Que tout le monde peut utiliser pour son extase naturelle : le génie « domine » à fond le circuit des récompenses et le circuit de la douleur. Et les génies veulent à fond la Fête mondiale…]]. » Ce qu’il y a de si réjouissant dans la certitude que cela crée TELLEMENT PLUS DE JOIES de donner avec son argent que de ne se servir que soi même – c’est qu’il a été vérifié que cet effet participe bien de la même universalité. Ce pourquoi la Fête peut devenir instantanément mondiale.

 

Les-maisons-du-don-partout-comme-portes-qui-ouvrent-la-nouvelle-civilisation

 

**** >>>> - donc une Fête qui ne sera pas les défaites par l’alcool et tous les produits antisociaux du capitalisme déchu. Que la fête souillée ne sera plus jamais « limitée » » au seul vacarme d’une musique dopée aux décibels plus qu’à la mélodie. Ceci appartient aux sinistres diffamations du libéralisme : la vraie musique c’est tout, ce n’est pas que… cela…où tout le monde retourne à un chez soi…sans les autres. Très séparé-e-s, comme s’il ne s’était rien…passé ! Non, plus aucune INTERRUPTION au contraire : la Fête mondiale nous continue, nous partage, nous met en contact, vibre de sociabilités et d’amour social…Toutes les ambiances juxtaposées et accessibles selon les besoins. Toutes. Les « fêtes » dites réussies étant celles qui mêlent l’enfant enthousiaste et le vieillard aux yeux qui brillent, le plus différent au trop pareil. Le métissage de tous les cœurs et de toutes les émotions. Bref, nous serons…sortis de la barbarie anti-évolution de la consommation chacun-e tout-e seul-e et tellement séparé-e, disjoint des autres !

 

** >>>> **- l’Humanité enfin ACCOMPLIE. Plus jamais spectateurs – toujours acteurs impliquées et donc impliquant, dupliquant l’idée tous azimuts, l’amplifiant de répliques répliquantes qui expliquent en…impliquant toujours plus que chaleureusement. Le développement naturel et à taille humaine…Terminé le spectacle qui sépare, voici que commence la vraie Fête qui réunit et unit…et qui ne finit jamais.

 

**** >>>>>> - La vraie Fête contient tout, répétons-le. Aussi – les comptoirs de civilisation. Avec un des buts de  plus jamais subir la beuverie obscène du libéralisme avec ces (d)élites moisies de nous avons tous les droits, tous les droits, vous aucun. Ou notre fortune illégale provient de notre intelligence et non d’une abyssale bêtise. Nous adorons les inégalités alors qu’il est prouvé qu’elles alourdissent tous les problèmes d’au moins 4 fois plus ! Non, plus jamais de la beuverie obscène du libéralisme qui rend si laids et grotesques tous ses dirigeants…Plus de ces trop fausses élites qui n’agissent que bassement et se prétendent supérieures. Supérieures de quoi sinon de plus de bassesses ? Etc. Comment ? Donner toutes les armes à tout un chacun pour empêcher…

 

….. //// les pervers narcissiques de nous nuire, - les financiers fous de croire qu’ils agissent pour le bien, et donc empirent tout le mal, - les cupides détraqués de pouvoir spéculer, spolier, voler ou mentir, - (ils continueront, sans doute, mais les impacts seront tous déviés. Et n’atteindront plus leurs cibles…)…la Fête n’a d’autre but que de rendre tout le monde heureux dans l’abondance collective. Abondance qui ne vient pas des quantités mais des…qualités qui demeurent illimitées, inépuisables et...renouvelables à l’infini. La pitrerie malade du capitalisme n’a aucun ARGUMENT de poids à opposer à la Fête. Comment pourraient-ils interdire ce qui le surpasse déjà de partout ?  Les comptoirs de civilisation existent déjà mais ne sont pas signalés dans le scandaleux spectacle de la régression collective. Le libéralisme c’est partout corruptions – la Fête surpasse ce tas piteux et miteux ! Toutes les vies ratées du capitalisme appartiennent déjà au passé…

 

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archive.org//-communitasmeans...  Paul Goodman a changé ma vie…

 « En dehors des considérations d’ordre historique concernant les erreurs du passé, le souci chez Goodman [[Paul]] d’attacher l’utopie à la réalité vécue est aussi lié à son empirisme d’Américain et, sur un plan plus théorique, à la philosophie pragmatiste de C. S. Peirce, William James et John Dewey. Pour Goodman comme pour ces « expérimentalistes » (souvent mal compris — ou récupérés par le capitalisme d’affaires), il ne saurait y avoir de coupure entre un idéal lointain et la pratique immédiate, la fin est déjà en gestation dans les moyens, le développement individuel et social n’est pas un processus clos assujetti à un projet rigide et immuable qu’on aurait arrêté a priori : c’est dans l’espace vivant et ouvert de l’expérience que s’élaborent simultanément et la méthode d’action et les formes possibles de l’idéal à atteindre.

Au lieu d’enfermer l’avenir et le réel dans un dessein pré‑établi de façon contraignante et forcément arbitraire, le pragmatisme ouvre l’action humaine à l’imprévisible, à la nouveauté, à l’adaptation créatrice [[ autant le dire tout net aucun des dirigeants étasuniens n’adopte ce pragmatisme – pour l’anti-hiérarchie – dans ses politiques. Seuls les libérés de la démence libérale la pratiquent à fond !]]. Il est de ce fait tout le contraire des conceptions totalitaires de la démocratie et il permet de concilier — grâce à ce que James appelait l’empirisme radical — les vertus apparemment contradictoires du réalisme, de l’idéalisme et de l’utopie. Il fait de l’histoire une invention continue et de la société un laboratoire ou un chantier où tout est toujours à reprendre, à repenser, à recréer. La pensée de Goodman est, par bien des côtés, héritière de cette tradition : le mélange d’audace et de prudence qui caractérise ses propositions, son approche ponctuelle des problèmes, sa méfiance envers l’esprit de système, la nature toujours pratique, concrète et sélective de ses suggestions, mais en même temps la constance de sa vision anarchiste globale, tout cela met en lumière le caractère spécifiquement américain de sa forme de pensée et invite à définir l’utopisme goodmanien non comme un véritable utopisme, non comme une pensée de l’ailleurs, mais bien comme un vitalisme social ou, mieux, comme une synthèse du messianisme onirique et du réalisme expérimental. Il y a une filiation d’évidence entre le « practicalisme » social de James et la « practicalité » adamique de Goodman. »

Transatlantica.revues.org/539

Et ? Tout le passé aspire à la Fête mondiale qui va reconnaître la transcendance de l’Humanité par rapport à chaque pays…trop séparé. Fête qui va la continuer et l’amplifier chaque jour. L’humanité comme apex qui résoudra toutes les problématiques par le haut. Problématiques issues de ces dirigeants des bassesses qui n’ont jamais de jamais tiré vers les solutions vers/par le haut. Mais toujours tirés vers le bas, les mesquineries, les mensonges vraiment très minables, les comportements les plus hideux possibles, etc. Tout ceci ne sera que le passé…

…………………….Le futur étant "toute » la Fête enfin mondiale !

 

…….………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 600 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

Nous pouvons tout dire surtout si cela n'a aucun impact ?

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Les fondations du monde ne sont pas obligatoirement en occident...

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Lorsque la prétendue utopie c'est du grand réalisme...

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les frères Goodman

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qui se contorsionne un peu trop...

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La Fête mondiale c’est déjà commencé  (2/2)
Beltaine...

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la beauté partout par l’insolence des objets de récup’

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La Fête mondiale = tous  les pays à la fête

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La Fête mondiale c’est déjà commencé  (2/2)
Tout le patrimoine commun utilisé à fond. La Fête mondiale seule vaut le détour…

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Paul Goodman a changé ma vie....

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Aventure festive ? Seulement voilà ils ne veulent pas dépenser un sou et font confiance aux autres. Un incroyable lâcher-prise qui ouvre la réflexion à d'autres modes de pensée, à d'autres modes de vie.

Tout dépend d’un-e seul-e ? L'histoire du 100ème singe ou l'espoir de l'humanité..

Le rendez-vous du donner et du recevoir : Karim Sy at TEDxSandaga

Publié dans Victoires**

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