La Fin sordide des ex-classes moyennes ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

La Fin sordide des ex-classes moyennes ?

« Tout pour moi et rien pour les autres » Ecrit vers 1750 comme slogan du…libéralisme à peine naissant. Et qui prouve que « la main invisible des marchés » est une grave falsification de l’Histoire. En effet, Adam Smith n’a usé de cette image que pour glorifier les avantages de la …division du travail. Apaisant les craintes ainsi : ne craignez rien, vous, vous allez donner de la qualité. Mais les autres aussi. La certitude que « même leur égoïsme » sera d’accord avec la conservation de la qualité protège ce futur fort de la …division du travail. D’où l’image du comme si une main invisible harmonisait ce chacun-e produit son meilleur et « profite » du fait que les autres fassent pareil. Facile à vérifier : suffit de lire le texte. Ce passage se situe juste après l’épisode sur les « épingles » ! Vu ?

En effet, jamais l’auteur des « sentimentaux moraux » n’a soutenu la finance au point même d’affirmer que « l’argent n’est pas la richesse mais juste sa mesure »…et que si nous voulons connaître les « vraies » richesses d’un pays (soit ses terres fertiles, ses talents humains, l’ampleur de sa conscience collective, etc.) il faut retirer du total tout l’argent en circulation « Sinon ce serait compter deux fois ». Comment un auteur aussi clair peut être transformé en son inverse : celui qui garantirait (et sanctifierait ?) l’omniscience divine des marchés…et l’enfantillage de leur autocorrection magique de tout (grâce à leur prétendue main invisible, si truquée, qui n’aura conservé qu’un doigt majeur !) ? C’est creuser sa propre poubelle : Adam Smith a toujours été le ferme ennemi des financiers. Et comme il a eu raison. Puisque nous voici face à sa grave corruption intellectuelle (tous les concepts du néo libéralisme sont faux !) dont le lien apparaît là…

Le-marché-peut-désormais-être-accusé ?

Ceci est le pourrissement du POUR SOI SEUL qu’est le scandaleux capitalisme (ce crime contre l’humanité ?). Qui n’aura jamais rien fait pour la civilisation: certains attestent de ces fainéants de la haute administration (nationale et internationale) radotant les mêmes non-pensées éculées depuis tant d’années défraîchies. Ne se…réactualisant jamais. Démontrant, ainsi, une paresse de cœur vraiment exagérée. Oui ces…fainéants …seraient démasqués ? Pas ceux de la productivité de l’économie …réelle française (une des plus hautes du monde) …non eux…eux ! Paradise papers : les « premiers de cordée on encore frappé ». A savoir si ce sont les corrompus du vol des impôts des autres ou ceux qui les démasquent ces « premiers de cordée » ? Et donc retour collectif complet au réel ? Que voyons-nous ? Tout ce qui « fait encore société », qui tient les humains ensembles, tout ce qui défend la civilisation, tout ce qui rend la solidarité la plus solide de toutes (solides solidaires, c’est écrit dedans !) vient des pensées POUR TOUS. De ces universalités discrètes des mutualisations, des partages du travail, des grands héros de la gratuité (notons que la non acceptable diffamation du « si c’est gratuit, c’est parce que tu es le produit » - outre la grossièreté de tutoyer à tout vent, n’est « valide » que dans le monde…marchand (et son esprit de spectacle – soit tout y est truqué afin de masquer que seul le guichet gagne, illégalement, tout !). Donc le « vrai » gratuit existe bien, il est non marchand – autant dire que le futur lui appartient déjà !, etc.

Bref, toutes ces pensées du social, de démocratie sociale, de la Sociale, des socialités qui ne peuvent qu’exclure les sociaux-traîtres (ce social à listes que…pour eux leurs listes, qui ont trop sali le mot « socialisme » qui ne leur appartient surtout pas !), etc. qui. auront fondé « notre » monde : services publics, Sécurité sociale, pas de passe-droits, oligarchies énergiquement combattues, redistribution très ferme des richesses et par l’impôt et par les aides…qu’aux nécessiteux de ces aides, inversion de toutes les priorités, usage de la prison contre les imposteurs qui se sont fait passer pour des élites, fermeture de la Bourse, cette fouteuse de troubles mondiaux qui, en 100 ans, n’aura offert comme plus-value à la société complète que…0,10 % - tout le reste ils l’ont illégalement…monopolisé (oui ces monopoles tant honnis par la Commission européenne lorsqu’il s’est agi de privatiser illégalement. Les services publics appartenant au…public, pas au privé. Mais qui ne réagit pas devant le…monopole des banques privées sur la BCE (pourtant organisme public). Bref, tout ce qui est – très illégalement - combattu par le libéralisme POUR MOI SEUL aura bien été toutes ces riches idées pour Toutes et Tous !

Comment cela n’a pas paru évident, plus vite, aux amput-é-e-s du cœur ? Si facile de hurler pour son seul intérêt cupide. Très difficile de parler …pour toutes et tous. De défendre l’intérêt des autres. Les précautions éteignent beaucoup l’élan de départ. Aussi – faire de cette difficulté (due au seul respect) une « preuve » de la supériorité du capitalisme – c‘est se faire avoir par un constat de flagrant délit. Pour faux et usages de faux…Oui les libéraux sont pris la main dans le sac. Dès qu’ils font main haute sur l’état…ils ne sont plus qu’interventionnistes. Exagérant leur main mise sur trop de thèmes laissés, auparavant, libres et spontanés…Bafouant leur propre idéologie. Se vautrant dans tous les ajustements autoritaristes (donc anti-libéraux !) dont le métreur reste la corruption (tant de tapages autour de l’évasion fiscale, ce véritable crime contre la République et la vertu redistributive de l’impôt…loyal – et jamais AUCUN résultat signifiant. Où trône l’anomalie ? Sinon que les fausses élites sont pour…l’évasion fiscale. Que les fraudes (fiscales et autres) ont les autorisations politiques qu’il faut, et que l’information subventionnée devrait aller direct en prison (ses propriétaires) pour falsification incessante des…analyses !

Paradise-papers-:-étonnante-fake-news-de-la-presse-subventionnée

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Et comme la pensée unitaire existe (que vous parliez de fiscalité ou de vie intérieure, de puissance des concepts sincères ou du service public du Crédit tout reste lié par la même unité immunité) …oui nous retrouvons sans cesse l’actualité (comme si elle voulait faire…évoluer l’humanité !) qui…renforce toutes nos démonstrations (comme si elle voulait les aider). Et donc ? Hier la profanation du mensonge sur l’omniscience « divine » de l’économie. Aujourd’hui la mise à nu des ex-classes moyennes (eh oui, elles n’existeraient plus !) et que sont-elles devenues. Elles la HONTE de l’époque ? Qui auront tant gobé les absurdités inhumaines du libéralisme. Et, pire, qui auront, sans cesse, tenté d’imposer (sans discussion !) à tout le monde ces toxiques insultes à la vraie pensée (ainsi, dans trop d’universités des idéologues patentés interdisent aux « vrais » économistes de transmettre le futur en gestation. Trahissant ainsi tous les génies du passé qui avaient su faire entrer « l’universalité » dans l’université – et traînant les déshonneurs d’enliser la Terre dans le provincialisme stérile du néo-libéralisme !).Ou, nous-dit-on ces graves paresseux des multinationales qui ne savent que ressasser ce qu’ils/elles n’avaient pas compris au départ – soit la dangereuse toxicité mondiale du libéralisme…uniformément antisocial. Etc. Bref, tout un monde si arrogant d’être incapable de se voir tel qu’en lui-même

Qui ne « savent pas » penser ? N’ont pas le cœur pour. La liberté d’esprit et la non-peur de l’inconnu. Les pires étant, sans doute ces technocrates immobilisés dans des concepts morts depuis longtemps et trop fainéants pour remettre quoi que  ce soit en question. Oui cela vaut la santé collective que d’aller voir de prés…

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Le double jeu des classes moyennes « Indéfinissables classes moyennes : se retrouvent sous cette étiquette l’employé et le cadre supérieur, le technicien et l’avocat, l’instituteur et le professeur d’université, et même... certains dirigeants d’entreprise. Un double mouvement traverse toutes ces catégories : d’un côté, une partie d’entre elles contestent un système dont elles sont victimes ; de l’autre, elles se veulent partie prenante de ce même système. D’où le caractère ambivalent [[ cet euphémisme parait vraiment cabossé]] de leurs rapports avec la bourgeoisie comme avec les classes populaires.

C’est un lieu commun de la politologie sondomaniaque de considérer que « la France veut être gouvernée au centre » et que les batailles pour le pouvoir, comme en football, se gagnent ou se perdent en « milieu de terrain ». En termes plus sociologiques, ce constat revient à souligner l’importance prise [[ mais au conditionnel puisqu’elles se font leurrer et spolier dans les grandes largeurs par ces prétendus dirigeants, qu’elles ont la bêtise d’admirer, et donc ne représentent plus qu’un force…négative. Soit un poids inerte et bardé de mauvaise volonté qui empêche tous les changements. Disons que ces classes ne sont plus respectables du tout ! Il faudra faire sans elles…]]  par ce qu’il est convenu d’appeler les « ex-classes moyennes ». Laissant aux experts le soin de débattre sur les contours exacts de cette énorme nébuleuse (où l’on range aussi bien des employés prolétarisés que des cadres embourgeoisés, des salariés modestes et des petits patrons, des travailleurs sociaux et des universitaires), soulignons ici que la notion de « moyenne » appliquée à ces populations doit être entendue ­ plus encore que dans son sens locatif habituel, désignant un ensemble de positions intermédiaires dans le continuum social ­ dans un sens « dynamique » renvoyant aux tensions contradictoires qui travaillent en permanence cet ensemble hétérogène, à l’intérieur du processus de « moyennisation » [[plus clairement défini en… « médiocratie », la médiocrité trop moyenne qui …régnerait…]].

En d’autres termes, on ne peut pas définir les classes moyennes en se contentant de les situer quelque part sur la rampe qui va du bas de l’édifice social, où des classes populaires vivent péniblement leur vie de laissées-pour-compte, aux étages supérieurs, où des oligarchies de nantis gouvernent à leur guise et jettent l’argent par les fenêtres [[ surtout celui des classes moyennes qui adorent tant se faire flouer qu’elles ne soutiennent que les personnages qui vont la spolier en plus grand. Quant à la critique sociale c’est juste du pipi de chat : cela sent trop fort l’ammoniaque maniaque et ceci ne démontre jamais rien. Rien qui ne se poursuive par des actions…enfin intelligentes !]].

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Du fait que les différentes fractions des classes moyennes occupent des positions plus ou moins éloignées des deux pôles, positif et négatif, de l’accumulation capitalistique et de la domination sociale, leur socialisation dans cet entre-deux soumis à une double gravitation entraîne une structuration caractéristique de la personnalité chez leurs membres. Ceux-ci, en effet, quelle que soit leur position dans cet espace, doivent constamment se définir par leur double rapport à ceux du dessus et à ceux du dessous. Dominants-dominés et dominés-dominants, ils ne cessent de proclamer, telle la chauve-souris de la fable : « Je suis oiseau, voyez mes ailes ; je suis souris, vivent les rats ! »[[ rappelons que le constat du « les classes moyennes n’existent plus » provient de l’examen suivant - avant : pauvres, moyens, riches et 2017 : pauvres, riches et trop riches. Faut s’adapter aux temps tentants…]].

D’où le caractère fondamentalement équivoque-ventriloque, ambivalent, comme dirait la psychanalyse, de leurs rapports avec la bourgeoisie, d’une part, et avec les classes populaires, d’autre part. Dans les deux cas, on peut observer un rapport contrasté d’attraction/répulsion qui se manifeste dans des stratégies compliquées d’alliance ou d’opposition avec le « bourge » et avec le « prolo ». C’est ainsi que les membres des ex-classes moyennes, souvent issus des classes populaires, ou redoutant d’y plonger, sont tiraillés entre l’inclination à une rupture distinctive irréversible avec la masse indistincte et la tendance à la solidarité et à la compassion envers les petites gens, parfois si proches. La composition de ces deux tendances spontanées engendre nombre de pratiques de condescendance qui consistent à se pencher avec bienveillance sur le sort des « gens du peuple » pour les instruire, les animer, les insérer, les soigner, les conseiller, s’en faire les porte-parole, en particulier au plan politique, et utiliser à son profit le crédit de l’alliance avec les plus dominés dans la compétition avec les plus dominants.

On observe la même ambivalence dans le rapport à la bourgeoisie. Celle-ci fascine [[ vraiment absolument rien de fascinant dans ces graves échecs de vies qui JALOUSENT, si maladivement, la joie sincère des pauvres, les vies ardentes d’artistes et l’intelligence fulgurante – par contre nul-le qui les jalouse une fois qu’elle/il les aura vu de prés…]] littéralement les classes moyennes, qui rêvent d’accéder à l’art de vivre [[ alors qu’il n’y en a pas vraiment pas beaucoup d’art dans leurs sinistres vies…]] grand-bourgeois, tel qu’elles le fantasment. Mais, faute d’en avoir les moyens effectifs, les petits bourgeois vivent souvent la relation à leur modèle sur le mode bovarysant du dépit amoureux [[ faux – ce sera vraiment l’inverse mais avec les…inclassables !]] qui, en réponse à la morgue et à la condescendance des puissants, peut se transformer en ressentiment agressif, voire autopunitif.

D’une façon plus générale, l’ambivalence des classes moyennes est à la racine de leur rapport au monde social existant. Elles tirent de celui-ci tous les bénéfices et privilèges dont elles jouissent, et peut-être plus encore que les bénéfices réels, forcément limités [[ de leur faute : qui a autant dispersé et émietté les luttes sinon qui n’a jamais su…penser ?]], provenant de la relative redistribution des biens matériels et symboliques, l’espoir de bénéfices futurs liés à leur possible promotion ou à celle de leurs enfants [[ quels lunatiques puisque que, chaque année, leur prouve leur déclassement – les bourgeois ne s’intéressent pas aux médiocres l’étant bien assez déjà eux-mêmes]].

En même temps, les petits bourgeois qui aspirent à entrer en grande bourgeoisie [[où cela ? Vous êtes vraiment sûrs ? ]] ne cessent de buter de mille façons sur les obstacles, le plus souvent insurmontables, qui s’y opposent, car la mobilité sociale, qu’on a tendance à surestimer en fausse démocratie, n’est pas de nature à entraîner une redistribution générale des capitaux à chaque génération ni à enrayer les mécanismes anti-républicain de reproduction sociale [[ surtout lorsque l’on passe son temps à les nier et dénier dans la « volonté de ne rien savoir » !]].

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Dissension ou dissidence ? Les classes moyennes sont donc structurellement destinées à vivre entre espérance et déception, entre enthousiasme et désenchantement, [[ bref, dans l’amateurisme et l’immaturité, dans les gamineries grotesques et l’anomie volontaire]] dans un système qui par nature ne peut qu’engendrer et exacerber des revendications qu’il ne peut satisfaire. La logique objective de leur condition conduit les petits bourgeois à développer deux sortes d’attentes. Les unes, proportionnées aux capitaux dont ils disposent réellement [[avec 40 % de patrimoine de…spoliés depuis 1989, ils pourront s’armer de patience longue…]], les aspirations orthodoxes si l’on peut dire, ont toute chance de recevoir satisfaction, ce qui a pour effet de renforcer l’adhésion et d’alimenter le consensus. Les autres, les aspirations hérétiques, exorbitantes par rapport aux capitaux réels, ont toute probabilité d’être rejetées comme d’irrecevables prétentions, ce qui a pour effet d’attiser la frustration et d’alimenter la contestation.

(…) il semble difficile d’imaginer que les classes moyennes, en dehors de minorités par moments plus radicales, puissent se mobiliser contre le système au point de mettre son existence en péril. La contestation, qui peut s’exprimer parfois sous une forme violente, est en général une contestation dans le système et non une contestation du système. D’où le succès que rencontrent dans ces populations les différentes variantes (de droite et de gauche) de la pensée néoréformiste, qui ont en commun de considérer que tous les aspects du fonctionnement du système peuvent être légitimement discutés, mais que le principe même de son existence doit rester en dehors des limites de la discussion légitime [[ bref, à part être fous, ils font quoi ces petit-bourgeois gentilshommes ?]].

[[Pas de difficultés de compréhension ces « moyens » n’ont d’autres fin que de « servir » le système. Et plus il les lèsent, plus ils s’entêtent à paraître plus ridicules…]]. Et la dissension n’est pas la dissidence puisque, moyennant quelques concessions arrachées aux dominants [[ genre nous avons 6 mais ils nous ont pris 10 – pas une seule fois où leur soumission n’aura pas été leur…dépossession !]], tout finit par rentrer dans le désordre général. Les classes possédantes et dirigeantes ont depuis longtemps appris à gérer les soubresauts et les ruades des populations qu’elles ont attelées au char de leur domination.

Toutefois, il serait impossible aux dominants d’instaurer leur hégémonie sans la collaboration complaisante et diversement intéressée [[ où est donc la prétendue « ambivalence » - il n’y en, a aucune - les stupides ex-classes moyennes ne sont que les ennemies de leur propre futur et volent même un meilleur avenir à leurs enfants. Meilleur avenir qui ne peut passer que par la fin de l’oligarchie…sinon où seraient donc les arguments ?]] des différentes fractions des classes moyennes, et singulièrement des corporations assurant des fonctions d’encadrement, de direction, de formation et information, etc., obligées de servir pour se servir.

Il faut insister sur cet aspect des choses, et particulièrement sur le fait que, en accomplissant ce travail de maintien de l’ordre symbolique indispensable au règne des puissants, les cadres et autres auxiliaires de la domination parviennent à se convaincre  [[ sauf que cette croyance lunatique ne repose que sur la volonté de ne rien savoir, la désinformation droguée hors des faits réels et des chiffres, la fuite terrorisée devant tout débat de fond,  donc la lâcheté la plus intégrale…dans ces conditions, ces sinistres bigotes ne croient, sur le fond, en…rien  !]] qu’ils défendent vraiment [[ nous ne les croyons pas – ce sont des simulateurs dissimulateurs !]] des valeurs universelles de liberté, de justice et d’humanité [[ que leurs soi-disant maîtres attaquent sans cesse – allons donc, un peu de sérieux…]]. Ils n’ont pas, ­ sauf cas particulier de cynisme, ­ le sentiment, ni a fortiori la volonté, de servir un système d’exploitation, d’oppression et de corruption [[ oui, ceci doit être une grinçante plaisanterie !]] puisque à leurs yeux ce système, pour autant qu’il fasse l’objet d’une réflexion explicite, est globalement bénéfique, conformément au credo du catéchisme néolibéral dont ils sont imprégnés [[ ce sont des « croyances primaires » qui ne se fondent que sur un déni complet du réel ! Donc une sévère aliénation. Ces moyens deviennent très malades de n’en rien savoir…]].

Assez-du-séparatisme-indépendantisme-des-riches

Comme l’ensemble des classes moyennes, conditionnées dans et par le système lui-même, ils n’arrivent pas à en concevoir clairement la nature [[ ce qui leur suppose une sous sous-intelligence : il n’est pas trop compliqué de comprendre ce système ]]. Leurs propres investissements dans le système font écran à sa perception objective. Ils ne peuvent le percevoir qu’à travers les clichés enchanteurs qui servent à euphémiser l’impitoyable concurrence sociale et le règne inique de la force [[ en gros, ce sont des drogués durs à la…propagande. Quel déshonneur de se quémander, si pitoyablement, aussi…irresponsables !]].

Ce qui demande un effort pénible, ce n’est pas de penser dans et avec la logique du système, mais de penser contre, c’est-à-dire contre ses propres conditionnements. Un tel travail de socioanalyse est assez difficile à effectuer. Peu de gens l’entreprennent et parmi ceux qui l’entreprennent, peu ont la constance de le poursuivre. Sans doute parce qu’il change peu ou prou la vie de l’intéressé, en dérangeant les petits accommodements passés avec le monde [[ ce descriptif nous fait ressentir combien les vrais esprits critiques et indépendants paraissent comme de grands héros et – par contraste – les moyens comme vraiment des…minables. Qui ont perdu toute légitimité à parler pour…les autres. Tellement, déjà pour eux-mêmes, cela sonne si…faux. La logique et la dialectique ne jouent jamais…chacun-e récolte les élucubrations, ou non, qu’il/elle sème…]].

En tout cas, cette hypothèse a toute probabilité d’être vérifiée dans les classes moyennes, dont les membres à la fois aiment leur destin social pour ce qu’il leur procure et le détestent pour tout ce dont il les frustre (et ce par quoi ils se sentent le plus frustrés, ce n’est peut-être pas, contrairement à une idée reçue, de ne pouvoir consommer plus, mais de se savoir confusément voués à une indépassable médiocrité…qui ne vient que de leur FAUTE. Servir un tel système ne peut que parvenir à se disqualifier soi-même…).

Quoi qu’il en soit, la plupart se contentent de penser leurs expériences en particulier et le monde en général au moindre coût intellectuel et affectif [[ tout est low cost et dérisoire chez eux]], au moyen d’une panoplie idéologique de mythes et de lieux communs [[ quels rêvasseurs stériles ces personnages qui ne peuvent plus obtenir aucun RESPECT !]] sans cesse revivifiés et réactualisés par des médias assez représentatifs, dans l’ensemble, de l’ahurissant bricolage intellectuel, à la fois hétéroclite et paresseux, qui caractérise l’inculture des classes moyennes et qui fait d’elles les comparses et les victimes de toutes les impostures.

L’inculture des classes moyennes, dont la presse, quotidienne et magazine, se repaît tout en la thématisant, fournit une espèce de prêt-à-penser témoignant en fait de la démission d’une pensée qui prend acte de ce que le monde est devenu, comme si l’histoire avait atteint son stade terminal et qu’il n’y avait plus rien d’autre à faire qu’à aménager et gérer l’existant, ici et maintenant, le plus malsainement possible. La vacuité théorique et l’indigence philosophique de la vision médiatique de l’histoire n’ont d’égales que celles de la vision de l’établissement politique en général. [[conclusion : ils/elles NE SAVENT absolument PAS penser ni ressentir et ne peuvent se targuer de si cette miteuse défaite pour contraindre quiconque à « devenir comme eux/elles ». Surtout pas !]],

Ce qu’expriment tous ces porte-paroles, ce n’est rien d’autre que leur inconscient social ou, si l’on préfère, « l’esprit du système » qui les possède, les transformant en frénétiques envoûté-e-s, qui pense en eux et parle par leur bouche. Il est sûr qu’avec de tels chamans ratés les classes moyennes ne sont guère menacées d’extralucidité ni d’hérésie. Non plus que d’un désir inconsidéré de changer vraiment les choses. »

……………….ni de vivre comme des humains debouts !

…………..Pas terrible comme Fin – et nul qui regrettera ces larves incarnées…

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Pourquoi-2017-ne-sera-pas-une-bonne-année-pour-le-pouvoir-d-achat

« L'Insee estime que la progression de leur pouvoir d'achat "va ralentir". À fin juin 2017, la croissance du pouvoir d'achat des ménages était deux fois moindre qu'à la même date en 2016 (0,7% contre 1,6%). Et ce ralentissement du pouvoir d'achat va mécaniquement jouer sur la consommation, principal moteur de la croissance. » Tout porte en effet à croire que le pouvoir d’achat RECULE en 2017, année si exemplaire de la…hausse des prédations des trop riches. Et que donc ? Cette baisse du pouvoir d’achat vient des…ex-classes moyennes si incapables de penser sain et de défendre leurs propres intérêts. Et qui, pour cela, aident bien trop déraisonnablement les trop riches à piller « toute » la société. Pourquoi savons-nous cela ? Facile. Depuis combien d’années, un politicien n’a plus prononcé ce mot  de pouvoir d'achat? La réponse contient le pourquoi qui est « parce qu’il leur est impossible de « garantir » la moindre hausse significative du pouvoir d’achat ». La régression libérale c’est tout plus cher et moins de revenus pour y accéder. Vérifions - ce qui est le verbe de vérité que vérifier.

L’évasion fiscale met en danger la démocratie ? Autre son de cloche ? La routine inexcusable du discours des médias subventionnés osait que c’était, uniformément, les pauvres ou la gauche radicale (sans jamais expliciter comment…) le danger – ici, changement complet de site mental : c’est donc le Haut de la société son ennemie ? Ce sont les premiers de cordée le véridique danger pour la société ? 40 % des profits des multinationales sont, immédiatement, cachés (pourquoi cachés ?) dans les enfers fiscaux…Et les preuves que ces fraudes massives sont « aidées » abondent…

 

Se-débarrasser-des-paradis-fiscaux-c'est-possible-mais-que-si-on-le-veut

 « En France, le nombre de juges d’instruction travaillant au pôle financier de Paris a reculé : "Vingt-sept juges en 2001, treize en 2007 et huit en 2012, détaillait l'an dernier l'eurodéputée verte Eva Joly dans un article publié l’an dernier. Au pôle financier de Nanterre, le nombre de juges est passé de sept à trois…Le phénomène n’est pas propre à la France : selon la Fédération syndicale européenne des services publics, 56.000 postes d’agents du fisc ont été supprimés entre 2008 et 2012 (à l’époque où Sarkozy, donc, clamait que les paradis fiscaux, c’était "terminé" !). De telles injustifiables réductions d’effectifs, dans des administrations qui rapportent tellement plus qu’elles ne coûtent, sont ubuesques. »…en même temps que très instructif. Ainsi, est-il lutté contre l’évasion fiscale…en ne luttant pas du tout. Est-il fake newer des révélations laissées sans suites (sinon à la marge si euphémisée) mais le cœur de cible, jamais ne sera seulement-ce interrogé – hého, on se réveille, ce sont les banques qui FONT l’enfer fiscal (enfer car ce sont les ex-moyens et les pauvres qui paient pour ces grands fraudeurs) sans les « réguler » d’abord, les banques, rien ne bougera. Fraudeurs si vantés, parallèlement, par les mêmes médias mainstream. Quelle schizophrénie : de faire semblant de blâmer et, en même temps, de ne pas faire semblant de vanter ! Seules les ex-classes moyennes qui ne savent pas penser y parviennent…rappelons que ces ex-classes moyennes saturent de leur présence les médias. Tout comme leur « base sociologique » n’est que de 11 % et va en…diminuant (défaut flagrant de…non-représentativité comme en politique complètement disqualifiée ces …non représentatifs dans un état de Droit !) leur crédibilité suit ce mouvement de très basses eaux. Puisque que font-elles ces ex-classes moyennes des médias sinon glorifier, sans cesse, l’argent…même lorsqu’il pourrait apparaître qu’elles le blâmassent.

« Sur le plan national, chaque pays peut donc traiter plus vigoureusement cette délinquance, qui est une des plus coûteuses pour la communauté : on parle ici, pour la seule France,  de 80 milliards d’euros "volés" aux autres contribuables. » Prison pour les braqueurs et leurs…receleurs ? Et donc ? Puisqu’il est dit que ce sont les premiers de cordée, les soi-disant créateurs de richesses (qu’ont-ils « besoin » de frauder massivement si c’était… vrai ?), les vrais causateurs de la misère sociale, etc. le cœur du système. Et donc ?

Les fraudeurs sont "au cœur du système" – ils sont même « le » cœur du système - que parce que nous le voulons bien. Il serait parfaitement possible de s'en dégager. Tellement facilement. Mais avons-nous les bons leaders pour cela?

Rappelons, enfin, que l’évasion est le pendant du vol légal (la fiscalité actuelle est-elle une fraude ?) par le non paiement des impôts dus par les riches. "L’optimisation fiscale" légale est le nom de cette fraude aux impôts. Pur marketing  que cette optimisation (cy)inique qui est, en effet, une…diminution. Optimiser c’est ne pas se…fiscaliser. Ne pas payer d’impôts. Et donc ? Ces langages sales sont concoctés par les ex-classes moyennes. Les grandes entreprises multinationales (grâce à ces ex-classes moyennes) optimisent beaucoup trop, par exemple. Et donc ? Tout est clair. L’environnement très urgent est repoussé aux années 2030-2035. Et le cœur du système (fraudes, putschs, privatisations illégales ( encore 5 % des « biens publics » de bradés ce jour), évasions, spoliations, vols en direct de plus de 40 % du patrimoine des ex-classes moyennes, accaparements des terres, spéculations délinquantes, déshonneurs boursiers, etc.) est renforcé, oui le cœur du système.

 

Ce qui veut dire ? Que les délinquances des riches vont augmenter – puisque l’enfumage est placé avant : mais nous nous « occupons » des fraudes voyons. Il n’y en a aucune puisque nous faisons semblant de les dénoncer. Et que ? Sans la honte que représentent ces ex-classes moyennes…

 

…………………………...tout ceci serait tellement VISIBLE déjà !

 

 

 

......……(à suivre)

 

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 600 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

La Fin sordide des ex-classes moyennes ?
La Fin sordide des ex-classes moyennes ?
tout va bien pour elles – sauf le pouvoir d’achat ?

tout va bien pour elles – sauf le pouvoir d’achat ?

et en Europe ?

et en Europe ?

La Fin sordide des ex-classes moyennes ?
A fin Septembre 2017 l'inflation est de 1% par rapport à Septembre 2016

A fin Septembre 2017 l'inflation est de 1% par rapport à Septembre 2016

La Fin sordide des ex-classes moyennes ?
La Fin sordide des ex-classes moyennes ?
La Fin sordide des ex-classes moyennes ?
ne pas oublier les faits qui les défont...

ne pas oublier les faits qui les défont...

Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot. Sociologie de la bourgeoisie Alors que l'idée de classe sociale semble tomber en désuétude, le groupe formé par la noblesse et la très grande bourgeoisie forme bel et bien, selon les auteurs, une seule et même classe sociale, cohérente et consciente d'elle-même. Elle existe en soi, mais aussi pour soi, en ce sens qu'elle développe toute une série de stratégies et de « techniques sociales et éducatives » destinées à garantir sa cohésion et ses intérêts. Les écoles privées, les rallyes, les lieux de vacances (Saint-Moritz, Megève, Arcachon, Deauville...), les bottins (Bottin mondain, Who's who), les cercles (Automobile club de France, Jockey Club, Cercle de l'union interalliée...), les loisirs (vernissages, bals, golf, courses hippiques...) : tous ces cénacles contribuent à préserver l'entre-soi. Les auteurs montrent que ce souci d'endogamie va jusqu'à un contrôle du territoire. Que ce soit à Paris, Londres, Madrid, Bruxelles, Bordeaux, les « quartiers chics » sont très clairement circonscrits (pour Paris, ils se trouvent dans les vie, viie et xvie arrondissements). Ceci est du séparatisme mal vu ailleurs. Tous les procédés d’évitements, de fuites, de ruptures, de protectionnismes et d’anti dialogue social sont donc utilisés par les illégaux indépendantistes bourgeois !

Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot. Sociologie de la bourgeoisie Alors que l'idée de classe sociale semble tomber en désuétude, le groupe formé par la noblesse et la très grande bourgeoisie forme bel et bien, selon les auteurs, une seule et même classe sociale, cohérente et consciente d'elle-même. Elle existe en soi, mais aussi pour soi, en ce sens qu'elle développe toute une série de stratégies et de « techniques sociales et éducatives » destinées à garantir sa cohésion et ses intérêts. Les écoles privées, les rallyes, les lieux de vacances (Saint-Moritz, Megève, Arcachon, Deauville...), les bottins (Bottin mondain, Who's who), les cercles (Automobile club de France, Jockey Club, Cercle de l'union interalliée...), les loisirs (vernissages, bals, golf, courses hippiques...) : tous ces cénacles contribuent à préserver l'entre-soi. Les auteurs montrent que ce souci d'endogamie va jusqu'à un contrôle du territoire. Que ce soit à Paris, Londres, Madrid, Bruxelles, Bordeaux, les « quartiers chics » sont très clairement circonscrits (pour Paris, ils se trouvent dans les vie, viie et xvie arrondissements). Ceci est du séparatisme mal vu ailleurs. Tous les procédés d’évitements, de fuites, de ruptures, de protectionnismes et d’anti dialogue social sont donc utilisés par les illégaux indépendantistes bourgeois !

Guilluy : la classe moyenne a disparu. Car une "nouvelle bourgeoisie" en France vivant dans des "métropoles mondialisées", une classe qui "est dans une logique de laisser à l'écart tous les autres territoires", soit "60% de la population" française est EXCLUE.

et les exclus ne peuvent appartenir à une classe moyenne, sociologiquement parlant.

Les 3 classes sociales traditionnelles : pauvre, moyenne, riche Elles ont mutés en : pauvre, riche, très riche. Moyen a disparu…

Le capitalisme n'est pas réformable - Entretien avec Alain Accardo

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V
Bravo pour votre site, je crois qu’il dépanne beaucoup de personnes, moi en tout cas il m’est très utile, continuez comme cela et bon courage !!!!
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I
transmettre fait ressentir ce qui sort de l'ordinaire. Bien vu...