Le marché peut désormais être accusé ?
Tous les mensonges grossiers, les théories absurdes et les refus de démontrer quoi que ce soi se retournent, désormais, contre le capitalisme. Pas d’anticipations rationnelles, pas d’homo eoconomicus, pas de rencontre rationnelle offre-demande et demande-offre, pas de « main invisible » chapeautée par la finance folle (que reniait Adam Smith)…mais bien une économie…réelle et tous ses parasites-voleurs virtuels. Prêts à inventer n’importe quoi afin de dévaliser plus…La finance n’est pas une production – elle ne peut se substituer à l’économie…réelle. Surtout pas ! Les contenus sont plus importants que l’argent. Etc. Bref, en très résumé toute l’utopie monstrueuse des marchés s’écroule dans des flots de poussières. Comment est-ce possible ? Justement comment n’est-ce pas possible que ceci se sache? La société doit se défendre contre tout ce qui l’attaque : elle a reconnu dans le capitalisme maniaco-cupide son pire ennemi. L’antisocial absolu. Et donc tout se détricote, tout se défait. Ils ont tout à cacher et nous absolument rien.
Ainsi, comme nous l’avions bien esquissé dans nos précédents textes, le capitalisme va disparaître parce qu’il n’a aucun contenu sérieux. Que des arraisonnements. De grossières imitations. Une grave incohérence interne. Des concepts qui ne tiennent absolument pas ensemble. Et le tout très bâclé, relâché, débraillé – sans la moindre tenue. Ce qui contraste si durement avec le mythe que nos dirigeants sauraient tout et seraient tout-puissants. Qu’il existerait littéralement un Pouvoir Supérieur qui régirait notre économie mondiale. Ce qui n’est pas du tout le cas. Ce qui fait de que cette entreprise d’affrontement à l’air libre des concepts libéraux n’est guère une…profanation d’un sacré inexistant - mais bien un retour collectif au vrai réel. Ils ont voulu se draper dans une religion : la doctrine capitaliste était asséné comme un dogme d’infaillibilité papale. Il ne le peut plus l’être. Et l’onde de choc de cette prise de conscience se fera comme ceci…
>>>> - D’abord, la mise à bas de tous ses concepts loufoques. Que nous avions formulé ainsi : « L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ! »
>>>> Ensuite, l’impact que l’avenir sans eux peut avoir sur nos vies concrètes que ces « armures caractérielles » très régressives - dont nous avaient enveloppé ces concepts – vont laisser certain-e-s plus nus que d’autres…pas préparés à voir cette piteuse métaphysique (jamais scientifique) autant démantibulée.
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Tu te laisseras conduire par l’égoïsme… et tu entreras gentiment dans le troupeau des consommateurs ! Tu utiliseras l’autre comme un moyen pour parvenir à tes fins ! Tu pourras vénérer toutes les idoles de ton choix pourvu que tu adores le dieu suprême, le marché ! Tu violeras les lois sans te faire prendre ! Et la liste de la corruption généralisée par le haut est très longue. Mais n’est qu’un enfumage pour tout autre chose. Quoi ?
En-finir-avec-le-mythe-des-anticipations-rationnelles
« Les modèles des faux économistes sont basés sur la rationalité des acteurs ; or ceux-ci, en particulier sur les marchés financiers, agissent de façon irrationnelle. La crise est inhérente au système lui-même, et non à des chocs extérieurs. »…Voici qui met à bas, en très peu de mots, tous les misérables calculs des économistes libéraux ! La lâcheté de toujours se planquer derrière autrui, de clamer que ce seraient leurs mauvaises volontés qui saboteraient tout, que le système est attaqué parce qu’il a trop raison, que ce système « divin » s’auto-corrige par magie, etc. tout ceci se voit pulvérisé (et ses imposteurs, passibles de prison, démasqués !). La démagogie de faire de chacun-e un super savant qui n’a que des motifs ultra sidéraux, qui ne veut que le bien des autres en …se servant abondamment soi-même et…sans s’occuper s’il en reste pour autrui – tout ceci s’effondre dans le gros grotesque. Toutes ces hypocrisies se montrent plus que lézardées. A en croiser partout les lézards de ces esbroufes. Comme ?
Modèles-systèmes-et-managérialisme-en-santé/-néo-managérialisme-et-néo-libéralisme
« L’homo oeconomicus, rationnel mais déraisonnable, développe une forme d’idiotie rationnelle, calculante, qui fait frémir devant tant…d’inhumanité. Cet idiot rationnel, très grand arriéré affectif, cet « agent économique », qui renvoie aussi au point de vue bourgeois, se comporterait sur le marché de façon totalement cohérente, et quantifiable (de même que les prix évolueraient mécaniquement en fonction de l'offre et de la demande…et que les spéculations interventionnistes n’ont plus, alors, aucun sens, mais n’en persistent pas moins !), disposerait aussi de moyens technico-théoriques élaborés qu'il maîtriserait parfaitement (flux économiques statistiquement appréhendés), mais, d'un certain point de vue, reste totalement dénué de personnalité sensible et de conscience incarnée [[donc n’est plus un être humain mais un…échec dénaturé !]], en ce qu'il semble mû par une illogique antisociale abstraite et automatisée (l’illogique marchande), par une logique dépouillée de toute finalité subjective et concrète [[ et pourtant, ce libéralisme défendrait l’individualisme « triomphant » - donc en le sabotant sans cesse !]] ; finalité subjective qui pourrait être, par exemple, l'épanouissement du lien social, la vertu qualitative des créations vitales, les sentiments moraux du « vrai » Adam Smith, etc. (et qui se voit sauvagement exclue du système). »
L'idiot-moral-qu'est-le-libéralisme-?
Juste l’idéologie de l’égoïsme porté au niveau d’une monstruosité ? Oui nous sommes dans l’enfer des tautologies, des pléonasmes auto-admirateurs. Un de ces idiots utiles (qui tente de remplacer le « idiot moral » trop parlant !) qualifie même de «naturelles » les anticipations rationnelles (qui ne se terminent, pourtant, qu’en…irrationalités !) et s’étonne qu’il ait fallu si longtemps à la dite science économique pour accepter et utiliser cette hypothèse. Les anticipations rationnelles sont le plus souvent présentées comme l’hypothèse que les agents « se servent de toute l’information dont ils disposent » [[encore faut-il savoir l’analyser objectivement, donc avec son cœur aussi…]] pour établir leurs prévisions. Sous cette forme, en effet, quoi de plus naturel comme hypothèse : si l’on accepte l’idée d’un agent rationnel, pourquoi donc ne se servirait-il pas de toute l’information dont il dispose, puisque l’on suppose habituellement que le traitement de l’information n’est pas coûteux (même pas en temps) ? La soi-disant justification consiste à ne rien justifier du tout, à poser que puisque les agents sont rationnels leurs anticipations sont « rationnelles », sans trop creuser le concept [[ quelle superficialité insouciante pour soi tandis que les arguments contraires sont « déloyalement » trop malmenés – donc faut écouter les déraisonnables fictions de ces malades qui, en contrepartie, n’écoutent plus rien de rationnel ?]], ou poser que les agents en tâtonnant finissent par trouver tout seuls le vrai modèle de l’économie (on se demande alors à quoi servent les économistes si grassement payés pour…déraisonner en se déguisant de si fausses rationalités ?). » Alors, où nous menaient donc ces tristes mesquineries conceptuelles ?
Philosophie-et-société/-Les-croyances-/-l'idéologie-néolibérale
« Pour Tzvetan Todorov, l’idéologie ultralibérale jouit aujourd’hui d’une grande popularité et, grâce aux réseaux établis par ses partisans, devient d’une redoutable toxicité. Cette idéologie, qui finit par s’opposer au libéralisme classique, présente toute entrave à la libre entreprise comme un pas vers le goulag. Les êtres humains sont réduits à leurs besoins économiques et considérés comme des individus autosuffisants (asociaux en naissant…). L’idée même d’un bien commun, voire de société, est traitée comme une fiction néfaste [[ tant de cruautés ne pouvaient conduire qu’à la brutalité illégalement barbare déguisée en fausse « loi de la nature » !)]]. Le combat ultralibéral est mené au nom de la liberté [[se la monopolisant pour soi seul, afin de demeurer sûrs qu’elle soit bien comprise !]]..... La liberté est certes une belle valeur, mais quand c’est celle des détenteurs du pouvoir, elle devient source d’oppression. La liberté du renard dans le poulailler signifie la mort des poules.” Interview. cité dans Les Inrocks [en ligne]. 2017. » disparition-d'un-humaniste-tzvetan-todorov-
Cette idéologie aura donc « inventé l’homo œconomicus, personnage qui, non seulement n’agirait que par âpre égoïsme, mais aussi comprendrait parfaitement quel serait son propre intérêt. Cette société utopiste serait formée de possédants égoïstes dont le jeu conjugué s’harmoniserait de lui-même. [[on se croirait dans un conte de fées…sauf que cette fiction est en train de détruire la civilisation ET la Nature !]]. Certes, la majorité de la population n’adhère pas à cet idéal absurde, mais elle le subit. Une partie de la population lutte pour ne pas être déracinée, pour conserver sa culture et ne pas être le rouage de la machine « folle » économique. Mais, la majorité s’y plie avec une docilité étonnante. Les possédants sont très minoritaires et la majorité de la population est composée de travailleurs mobiles, flexibles, sans culture, voués à la machine productive. Les premiers utilisent une armée de gestionnaires et d'administrateurs pour gérer les entreprises ainsi que quelques vils intellectuels pour énoncer l’idéologie la plus désappropriée qui fut. »
Bruno-Latour-les-trop-riches-refusent-puérilement-l'-idée-d'-un-monde-commun
Et, cette minorité, ayant une terreur immense de tout contact avec des humains sensibles et intelligents, qui démantibuleraient, suite à ces contacts perspicaces, leur maigre palais – se font séparatistes acharnés de la société. Ils mettent un indépendantisme protectionniste en place : alors que l’opinion demeure très défavorable à tout enfermement protectionniste et séparatisme par l’évasion fiscale (toujours vilipendée et jamais contrée ! voir les nouveaux panama papers). Antisociaux et ennemis de la civilisation – ces trop riches jettent le masque : déraisons partout ! Leur idée de corruption maximale est : il ne faut plus vivre en société (où cela alors ? Sur le nuage trop fragile d’un égoïsme solipsiste (seul soi croyant dans les vertus de cette anomie). Disons, clairement, qu’avec eux l’Humanité n’a aucun avenir !
A ce sujet qui veut rester exhaustif notre ouvrage : onglet 2 "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" (voir données en fin de texte)
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Alors plus de superman, nommé homo œconomicus ou economicus, mais bien un idiot moral incapable de répondre du moindre de ses actes ? Un égaré au cœur saccagé par la drogue dure idéologique ? « Mais, même selon ces hypothèses, il n’y a aucune raison de penser que l’économie s’auto-organiserait, par magie, vers un état socialement satisfaisant ni même simplement efficace. Comme l’a dit Joseph Stiglitz (Prix Nobel 2001), « la main invisible est invisible parce qu’elle n’existe pas ». De fait, dans les années 1970, les économistes non orthodoxes [[les vrais !]] ont démontré qu’il était impossible de trouver un mécanisme correspondant à la main invisible. Pour contourner [[toujours aussi hypocritement]] ce problème, ils ont fait l’hypothèse que l’activité de l’économie ne peut être perturbée que par des chocs exogènes [[une non-science, selon Karl Popper, est une activité qui se rend…irréfutable. L’économie qui n’est pas une science n’est plus qu’un piteux déploiement métaphysique basée sur la compulsion in god we trust comme cela il va nous truster dans un monopole complètement non…universel !]]. Cette foi plus qu’irrationnelle est évidente dans le secteur financier et s’exprime dans l’hypothèse des « marchés efficients » [[avec bulle papale d’infaillibilité auto-réalisatrice – ne reculant devant aucun grotesque, oui ils en sont tombés là !]]. »
Ce qui explique, qu’à chaque fois que l’économie nationale ou mondiale entre en crise, les économistes au pouvoir soient surpris et démunis. Ils ne savent que radoter les dogmes creux d’une religion inexistante. Et ne peuvent incarner les concepts donc les faire vivre devant nous, nous les rendre…intelligibles. Sauf que – là - plus d’anticipations rationnelles, plus d’homo eoconomicus, plus de rencontre rationnelle offre-demande et demande-offre (donc plus de marchés efficients), plus de « main invisible », etc.…la « loi implacable des marchés » tourne son doigt très visible pour…accuser ces marchés qui auront commis tant d’actes illégaux – et d’autant plus qu’illégaux puisque rien en eux n’est d’essence divine (Pour citer Thomas Sargent (Prix Nobel 2011), « les agents à l’intérieur du modèle, l’économètre et Dieu, tous partagent le même modèle…fantasmé ».). Donc rien de divin : le partage universel et l’inclusion complète. Mais des sordidités qui se tournent bien plutôt du côté de la lie de l’humanité. De son pire. De son inexcusable avidité. Jamais rationnelle celle-là. De laquelle, ils vont devoir tout remBourser !
La-fin-si-bienvenue-de-l'-homo-economicus
“Par David Spector (chargé de recherche au CNRS et professeur associé à l’École d’économie de Paris). La Grande Dépression de 1929 a accouché d’une discipline nouvelle : la macroéconomie moderne, fondée par John Maynard Keynes, qui a inspiré les politiques publiques après-guerre. La grande récession, depuis 2008, a-t-elle transformé la science économique d’une manière comparable ? L’analogie entre ces deux périodes est trompeuse parce qu’elle ne tient pas compte d’une différence essentielle : les économistes des années 1930 ne disposaient d’aucun outil pour penser une crise sans précédent, alors que ceux des années 2000 s’appuient sur les travaux de leurs prédécesseurs [[sombrant, alors, dans le gâtisme de la monomaniaquerie ?]].
Imposture : Selon un discours répandu, la crise actuelle aurait révélé que l’« économie orthodoxe », impuissante à la prévoir puis à la résoudre, était une imposture [[pas une science qui sait…prévoir]]. Tous ces cumuls de manquements bien réels n’auront connus que la main humaine : les risques dus aux crédits immobiliers subprimes et au comportement d’organismes financiers peu régulés avaient été sous-estimés par beaucoup d’économistes, parfois sujets à des conflits d’intérêts cruellement mis en lumière dans le film Inside Job (2010). Les dix dernières années illustrent de manière spectaculaire la pertinence de la macroéconomie keynésienne la plus classique. La sortie de crise américaine et le relatif échec européen – dû à un resserrement budgétaire prématuré en 2011 [[l’austérité échoue toujours !]]– confirment l’utilité des déficits publics temporaires. Contrairement aux prédictions des Cassandre, l’expansion monétaire n’a suscité aucune inflation et les déficits publics américains n’ont pas fait augmenter les taux à long terme. » [[ pas de miracles : seulement le dogme « irréfutable » du capitalisme n’a rien à voir avec la…réalité des faits. D’un côté nous avons un blabla d’enfumage. Et, de l’autre, des faits reliés à aucune analyse de fond. Sauf celles des esprits désintéressés !]]. »
Le court-termisme condamne toute possibilité de sérieux du capitalisme ? « Dans la Silicon Valley, beaucoup déplorent la vision étriquée qui règne sur les marchés boursiers, obnubilés par les résultats trimestriels [[et ne croyant pas dans sa propre théorie !]]. La Long-Term Stock Exchange [“Bourse à long terme”, LTSE] viserait à corriger ce défaut. Soutenue par des personnalités de la Valley, cette société entendrait déposer d’ici la fin de l’année un dossier auprès des autorités réglementaires américaines dans le but de créer une plateforme boursière. “Actuellement, il n’y a qu’une chose qui compte : « Qu’avez-vous » dit le trop stupide Wall Street ? [[et non « quel est votre potentiel ? »]] « On se fiche des évolutions futures », affichent les hébétés [[ alors que les contenus prédomineront toujours sur l’argent. Argent qui n’est, au départ, qu’un « contenu » et surtout pas une divinité omnisciente ! A moins d’être fou de croire en une telle chimère…]]. »
(voir la vidéo jointe)
S’APPROPRIER LES CONCEPTS DU NÉOLIBÉRALISME – Michel Feher…en 5 techniques dont la…3) - Comment se caractérise pour vous le « sujet » néolibéral ?
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Et dans le plus concret ? L'-argent-de-la-Bce-doit-être-réorienté-vers-la-création-de-valeur-ajoutée-et-le-développement-des-...services-publics
« Quels leviers pour y parvenir ? Rappelons que la BCE injecte des milliards d’euros de liquidités chaque mois. L’Eurosystème a racheté 2 178 milliards d’euros de titres et fournit 769 milliards d’euros de refinancement aux banques (bilan fin octobre). Chacun sait que cet argent n’est pas – ou très peu – allé dans l’« économie réelle », ni pour la transition écologique ni pour l’emploi et sa sécurisation [[ce qui est , à la fois, une aberration et une trahison. Aberration que de « sacrifier » le réel pour des rêvasseries séparatistes. La société peut vivre sans les trop riches. Eux pas. Trahison ? La BCE qui n’est pas une banque privée – malgré le putsch toujours pas…sanctionné ! – mais une banque publique dont le rôle reste de financer l’économe réelle. Clair ?]]. Le chômage est plus élevé en zone euro que dans les autres grandes économies, et la croissance postrécession, plus faible [[ trop volés par les dividendes sans rapport avec le réel raisonnable !]]. Les divergences internes sont aggravées et les relations de domination se durcissent en faveur du grand capital allemand [[ qui, en plus, de trop « se monopoliser » la BCE, se conduit, ces jours-ci encore, de manière très répréhensible envers la Grèce. Tout est dit là !]]. Tout cela est un terreau béni pour ceux qui attisent les ressentiments nationalistes sur fond de crise sociale. [[créée par les antisociaux au pouvoir….]]. »
Que voyons-nous de concret ? Cette fausse Union est tournée …illégalement, vers le soutien aux marchés de capitaux. Illégal ? La BCE financée par les contribuables européens doit avant tout aider au fonctionnement des services publics (dont elle aura été une émanation – avant le putsch des banques pour la privatiser en sous-main). Ce constat incontournable souligne à quel point les privatisations en Europe auront toutes été illégales. Puisqu’un service public à buts non lucratifs n’est pas un…monopole. Tandis que le privé, qui a volé cette place (mais sans plus de services rendus aux citoyen-ne-s) aura établi des « monopoles » devenus…insupportables ! Résultats ? La majorité des privatisations sont illégales et doivent être rétrocédées…Comment ?
Qui-escamote-le-beurre-:-à-en-croire-de-plus-doctes-ce-serait-à-cause-du-marché
« Qui escamote le beurre ? A en croire de plus doctes, ce serait à cause du marché » Si le marché de la baratte a tendance à s’emballer, les spéculateurs mais aussi les thésauriseurs alimentent ce phénomène, explique dans sa chronique Benoît Hopquin, [[ Le retour sous les projecteurs des « affameurs » et des «accaparateurs» de l’Ancien Régime, sont des mots sans la moindre équivoque possible… Sommes-nous dans un Ancien Régime qui vit sa fin – les dévoiements de la Vème République et l’hospitalité outrancière aux délires métaphysiques du capitalisme en dressent le constat. La gigantesque « imposture capitaliste » (ce flot de stupidités) prend fin…]]. » Oui comment ?
Sus-au-court-termisme-de-Wall-Street-l'égaré
Si la théorie capitaliste étaient…vraie, elle ne pourrait que s’installer dans le long et moyen terme (elle a tout le temps puisqu’elle est fondée). La fuite en avant du court-terme est l’aveu qu’elle est fausse (et que ces boursiers savent qu’elle est fausse) - d’où l’aspect grand banditisme, pillages des gaspillages du peu reluisant court-termisme. Sans horizon et sans issue. De l’aveu même des boursiers loi de l'offre et de la demande ou de la demande et de l’offre ne peut plus fonctionner, n’a pas le temps de fonctionner – lorsque l’activité essentielle des robots bousiers est, au millionième de seconde, d’adresser des ordres incessants d’achats à la hausse et de ventes à la baisse. Compulsions illégales qui n’ont aucune stratégie, aucun plan d’avenir, sinon la délinquance de l’avidité – d’ailleurs des taxes, immédiatement prélevées, à tout clic inférieur à 20 secondes ferait baisser ce faux marché de plus de 90 % - c’est dire que le court-terme peut être bloqué à…très court-terme ! Oui, comme cela…
Cac-40-les-profits-des-entreprises-ont-grimpé-quatre-fois-plus-vite-que-leur-chiffre-d-affaires Oui, enfin, un autre symptôme de leur déconnexion complète envers le réel. Comment pouvons faire plus de profits que de gains engrangés ?
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« Ce sont les lois de la physique qui régissent l’économie mondiale. Les lois de la physique affectent l’économie mondiale de plusieurs façons. L’économie est une structure dissipative. Les entrées d’énergie ont permis à l’économie de rester dans un « état d’équilibre » (c’est-à-dire dans un état de croissance) pendant une très longue période. Finalement - la capacité d’une économie à croître doit prendre fin. Le problème est qu’il faut des quantités croissantes d’énergie pour lutter contre l’entropie croissante (coût d’extraction énergétique plus élevé, besoin de dette croissante et augmentation des niveaux de pollution) du système. L’économie doit finir, tout comme la vie des plantes et des animaux individuels (qui sont aussi des structures dissipatives) doit s’achever. [[ce que nous avons formulé ainsi : économiser l’Economie c’est s’en passer complètement. Et c’est « possible » vu que tous les concepts capitalistes sont …faux et démontrés faux. Se passer d’une entité « parasitaire » et non naturelle ne pourra donc pas affecter la…survie de l’Humanité !]].
Nous luttons contre les lois de la physique. S’attendre à ce que nos dirigeants gagnent la lutte contre les lois de la physique est assez risqué [[ vu leur psychorigidité mentale et affective]]. Certaines des actions de nos dirigeants semblent extraordinairement stupides. Par exemple, si la baisse des taux d’intérêt a décalé le Peak Oil, proposer de relever les taux d’intérêt alors que nous n’avons pas résolu le problème de l’appauvrissement de déplétion pétrolière sous-jacent semble très peu conseillé [[autant dire que ces personnages si superficiels, sans aucune pensée incarnée en eux, ne se précipitent que sur les…faux reflets !]]. »
Ainsi – se trouve résolu le mystère de l’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose ! Oui cela crève le cœur depuis tant d’années, de voir les étudiant-e-s gavés de mensonges toxiques, de drogues dures – pour eux, mais pour toutes et tous, nous avons démonté tous ces faux concepts. Et prouvé que le capitalisme est une anti-science qui ne fonctionne qu’à la métaphysique la plus nuisible. Surtout par son hystérie monomaniaque de se dire…irréfutable, divine et incontournable. Contourner nous venons de le faire !
Et pourquoi agir ainsi ? Pas pour cette traversée douloureuse de toutes ces aberrations qui sont autant d’insultes pour la grande pensée universelle de l’Humanité. Non – c’est parce que ces idiots immoraux et ces arriérés affectifs nous empêchent de nous occuper d’AUTRE CHOSE. C’est un détour plus que superflu et entièrement inutile…Et c’est là tout le fond de la question : le libéralisme aura été la plus grande corruption intellectuelle pour ne jamais s’occuper de la Réalité la plus concrète ! L’essentiel est de protéger la Nature, de se rendre biomimétiques, de relier tous les sites de permacultures et de les unifier afin de renverser l’évolution des …pollutions (air, eau, terre, et inflammation interne des corps d’où carences des anti-inflammatoires naturels !). De revenir à l’égalité (qui seule protège l’individu et lui permet d’exprimer toutes ses différences – l’inégalité écrase toutes les diversités, donc c’est le tous pareils partout !). L’immense trésor de la vie intérieure (où la gratuité établit son triomphe) nous permet de procéder au « saut qualitatif » (mutons mutuels) et au saut quantique de l’Évolution réelle. De passer à un état de civilisation au-dessus, plus haut, plus transcendant, etc.
Oui un futur d’une beauté incroyable. Dont la porte ne s’ouvre (sauf pour les anticonformistes qui se faufilent partout) donc où la porte ne s’ouvre pour toutes et tous qu’en commençant par…
…..Économiser l’Économie. De nouvelles relations sociales nous attendent.
…..……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 600 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
et ceci n’est que le début d’une bonne centaine de pages – à part le « matériel » l’argent n’achète rien d’essentiel.
2 000 milliards de $ va du Sud vers le Nord – donc les riches vivent aux crochets des pauvres. C’est cela qu’ils veulent CACHER chaque jour…
Conférence Gesticulée sur l'énergie et le climat De et Par Pascal Sachet et Manuel Moreau
Homo-economicus - Michael Lainé - Aux confins de la raison 1/6
S'APPROPRIER LES CONCEPTS DU NÉOLIBÉRALISME - M. Feher
" S'APPROPRIER LES CONCEPTS DU NÉOLIBÉRALISME " - entretien avec Michel Feher ces 5 films sont associés à un article de Mediapart : ...
S’APPROPRIER LES CONCEPTS DU NÉOLIBÉRALISME – Michel Feher…en 5 techniques dont la…3) - Comment se caractérise pour vous le « sujet » néolibéral ?
L'homo oeconomicus existe sauf si tous ces Homo-economicus qui existent (aussi) se mélangent tous…seule la déraison y règne !
Comment marche la loi de l'offre et de la demande ? D’après les modèles microéconomiques classiques, l’homo economicus a deux fonctions : produire et consommer. Lorsqu’il produit, il cherche à maximiser son profit sous la contrainte des coûts de production. Lorsqu’il consomme, il cherche à maximiser son « utilité » sous la contrainte de ses revenus. De cette manière, seul le profit motive la production et seul le revenu permet de satisfaire les besoins humains. Programme tellement vaste qu’il ne peut… contenir que 1 % de l’humanité…
L' Encerclement La démocratie dans les rets du néolibéralisme
Aussi dérisoire …La théorie "libérale" des Relations internationales en une minute
Dardot et Laval: comment sortir de la nuit néolibérale (fait !)