Pourquoi absurdement ne croyons-nous pas à la baisse de la violence ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Pourquoi absurdement ne croyons-nous pas à la baisse de la violence ?

D’où viennent ces dénis de la réalité de beaucoup moins de violence ? Alors que les chiffres le soulignent clairement – une bonne partie d’entre nous croient le monde plus violent qu’il n’est. En effet, la grande tendance de ces dernières années ce sont les baisses des violences dans tous les domaines...Ces baisses permettent de mieux distinguer les fauteurs de violences, les sournois pousseurs aux conflits, les faiseurs de guerres, les médias complices et l’ambiance délétère qui fait « croire » ce qui n’est pas.

 

D’où viennent les refus de la vérité des grandes baisses de la violence ? Y répondre c’est entrer dans le fonctionnement mental des humains. Car ? Ce sont les totaux globaux détaillés qui le disent pas des souhaits. Même si le chiffrage reste indécent en ce domaine la vue globale demeure que jamais l’Humanité n’a vécu une période aussi étendue de paix. L’actualité des médias d’argent tente de faire croire l’inverse. C’est qu’une violence prédomine encore : c’est celle de l’Empire. Non celle des nombreux humains. Démonstration par raisonnements et faits objectifs mêlés ? La  prétendue «guerre à la terreur» coûte, au minimum, 250 millions de dollars par jour, oui par…jour, depuis 16 ans aux contribuables étasuniens. Et ? Il faut absolument maintenir « le mythe de la violence » (qu’elle augmente toujours, mon pov’monsieur !) afin que la lie de l’Humanité puisse continuer à rançonner la plus grosse part de ces 250 millions très quotidiens. Faits de la sueur et du sang de tant de…respectable humains. Les prurits de guerre mondiale ne surgissent (comme des diables de leurs boites) que des vendeurs d’armes et de leurs obligés. Comment  le « prouver »? Eh bien, toujours les mots venant à notre aide. Les mots qui « veulent » la même que nous. Preuve. En disant « l’armée est…armée » nous obtenons un foudroyant « par qui ? » Par qui armée l’armée ? - et nous « voyons » l’instrumentalisation scandaleuse des vrais humains par des monstres qui les transforment (contre la plus grande partie de leur volonté) en…vulgaires porteurs d’armes (faut faire marcher le commerce). Ainsi obtenons-nous les causes et les effets rendus très proches, sur la même photo, au point de coïncider (l’armée est armée par les marchands d’armes…)…Donc méfions-nous à fond de qui incite à « croire », aveuglément, à la violence inéluctable (TOUS les faits prouvent que la réalité de la violence est en baisse… « ce sont des chiffres, pas des utopies ! », comme dirait l’inculte). Oui ?

Et donc ? Se voir comme très réalistes, à qui on ne la fait pas, de vrais durs, en exagérant l’impact de la violence c’est ouvrir la porte aux industries de violences et de guerres. Être leurs complices. Ce n’est pas aider la paix. Comprendre exactement c’est résister à fond. Lutter pour la paix c’est ni sous-estimer les égarés de la violence. Ni, parallèlement, ne pas les surestimer. Voyez les graphiques – ils si sont clairs – et c’est comme s’ils n’existaient pas. Et ? C’est que les dénis pleuvent ces temps-ci. Mais ces toxicités coulent toutes du haut de la société de la société, qui ne supporte pas le monde qu’elle a créé ; de ces fausses élites incrustées depuis des décennies dans les médias et qui ont eu tort sur tout – leur « pensée unique » est bien une maladie mentale qui ne survit que par la volonté de…ne rien savoir que son piteux dogme métaphysique ressassé à perte de temps. Vous les revoyez 30, 40 ans après ils sont fossilisés. Pas bougés d’un millimètre. Ils ne connaissent plus rien du réel. Nous pensons pour la société. Sans nous la civilisation se délite. Nous assumons oui leur responsabilités et vivons en symbiose avec la réalité (non ce que voudrions, mais ce qu’elle est ). Et ? Des dirigeants absolument nuls et dépassés par tous les évènements. Et ? Leurs rodomontades ne sont pas la réalité. Qui est ? Celle-ci…

 

La structure de « l’armée, oui par qui donc armée » est exactement la MÊME que celle de la fausse lutte « contre la drogue » qui mobilise, aussi, beaucoup d’argent. Et où nous « voyons » la même répartition des…profits. Une caste s’approprie une partie de ces fonds dédiés à une fausse lutte contre la drogue : qui n’arrêtera que les petits dealers et donnera des bons passe-droits aux très gros trafiquants. Ah oui ! le méconnu « angle aveugle »dont vous nous parliez la dernière fois ? Exactement, pour qui serait une « très mauvaise nouvelle » la libéralisation (tiens donc ils dérégulent partout mais sur-répriment les drogues – cela ne colle pas du tout avec la théorie…quel désordre !) oui la légalisation des drogues (mais pas celle de la fraude fiscale ou des évasions fiscales « dénoncées pour mieux les renforcer », etc.). Trouvé ? Ce serait une très…mauvaise nouvelle pour les dealers. Aussi, en France, le deal avec les dites banlieues (terme nébuleux qui s’agrandit selon les besoins…) est : la prohibition sera maintenue même si 70 % de la population insistait contre. Donc même structure armes et drogues ? Marketing et pub aussi (voir le livre noir de la publicité). Privatisations illégales, banques privées c’est la même structure. Asselineau aura eu le trait de génie de montrer à quel point, depuis 200 ans, les U.S.A refourguent exactement les mêmes faux traités de non libre échange (en fait échanges forcés – moins, actuellement, grâce aux BRICS et aux multipolarismes salvateurs qui vont foutre Ko ce trublion insensé que sont les USA)…et avec exactement les mêmes mots et formules. Congelés, ils y a plus de 200 ans l’oligarchie n’y radote plus que la même obsession monomaniaque. Disruptions d'avec le réel = violences « à travers les autres….

 

Pour-désarmer-il-faudra-être-désarmant

 

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Mythe de la violence alors ? Les chiffres gris, du noir sur blanc, affichent partout (privé et public) une baisse constante et consistante des violences et une grosse majorité de …conformistes (ces malades !) ne croient que ce qu’ils voient. Donc dévoient. Vers ce qu’il est voulu qu’ils voient…La berlue ! Toutes ces images clignotantes du même fait passé en boucle (et qui donnerait l’illusion que chaque fois c’est une « nouvelle » violence – non la même ressassée par la volonté d’êtres …indignes !). Donc ces conformistes sont pris pour de vrais cons ? Quiconque leur ferait cela qu’ils entreraient dans une rage folle, mais si cela sort de télés « connues », de stars connues, de signatures connues, c’est « vrai » (sauf que ces déviants sont « connus » pour ne faire que… mentir). Donc la violence qui grandit sans cesse est une …fake news ? Nous avons prédit dès le départ que le coup du fake afin d’évincer – frauduleusement - les vrais penseurs se retournerait contre les médiocrates à l’origine de cette…mauvaise idée ! (vérifié) ? La fake new c’est dire « plus » de violence – l’information objective de dire « moins ». Et donc qui chochotte de ses crises de nerfs, de ses vapeurs de peurs, de son surjouage selfie est une espèce de salopard qui sème la confusion, la zizanie, le désordre, la démoralisation, la mésentente, la zone et sa merde par-dessus. Disqualifié, le lourd. La violence est un…mythe qui ne sert que les vendeurs d’armes. Et donc ? Trump va dégoiser que les armes ce n’est pas le problème essentiel dans toute violence par les…armes. Sûr le problème c’est le vêtement. Changeons de vêtements et plus de violence. Simple non. Bonjour. Que dites-vous ? Vous dites simple je dis bonjour, oui simple comme bonjour.

 

Oui, oui, exactement comme si toutes les actualités nous étaient servies sur un plateau afin de dénouer tous les…non-dits. Ce qui est l’acte le moins violent qui se puisse imaginer. Seuls les guerriers de la paix peuvent manier de tels explosifs. Eh oui guerrier, il faut être un lion au cœur brûlant afin de prendre dans ses bras nus tous les vrais…lâches de la guerre. Allez sur le terrain, vous verrez ce sont des…lâches. Hurlez, ils tombent de peur de peur de…tomber. Et, ensuite (fin de cette guerre..), voûtés qu’ils sont, incapables d’assumer. D’assumer toutes les conséquences de leurs actes dissymétriques, déséquilibrés, inéquitables. Oui, sauf quelques pervers durs, même les fascistes n’assumaient pas. Je ne savais pas, j’obéissais aux ordres, geignent-ils. Peu qui osent je le voulais et je l’ai fait avec plaisir. Alors ? Il est plus courageux de ne pas se battre sans plier – que de se battre et de plier, ensuite, sous le fardeau de ses crimes ex-légaux…

 

Comment-prendre-les-meilleures-décisions-de-paix ?       en ne se décidant pas pour la guerre…

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Le-réel-déclin-de-la-violence-par-steven-pinker-

« Tout comme ce n’est pas parce que vous n’aimez pas quelque chose que cela ne vous aide pas ; ce n’est pas parce que c’est contre-intuitif que c’est nécessairement faux. La violence sous toutes ses formes, individuelles et collectives, n’a cessé de diminuer dans le Monde et au cours des millénaires ; c’est la thèse que défend, données à l'appui, Steven Pinker, professeur de psychologie à Harvard et auteur du livre "La part d’ange en nous: Histoire de la violence et de son déclin." Une théorie qui va à l’encontre des idées reçues, et des nouvelles catastrophiques qui nous parviennent quotidiennement via les médias…mercenaires (presse, web, radio). Pourtant, Steven Pinker l'affirme : "nos ancêtres étaient beaucoup plus violents que nous le sommes, la violence est en baisse depuis très longtemps et nous vivons durant ce qui est probablement la période la plus paisible de l'existence de notre espèce (...) et je vais vous le prouver."

Steven Pinker s’est consacré pendant 30 ans à l’étude de la violence, et son verdict, aussi étonnant que cela puisse nous paraître, est que la violence est en déclin. Un résultat contre-intuitif, qui va à l'encontre de la croyance populaire [[disons, plutôt, afin de ne plus sinuer en rombières…à cause des manipulations au sommet on nous « fait » croire plus que nous croyons…]] et qui suscite le scepticisme [[de qui ne « sait » pas et ne veut pas trop savoir…]] : les actes de terrorisme (à Paris, Nice, Bruxelles, etc.), le conflit du Darfour, etc. [[le tout « instrumentalisé » par les médias…d’argent !]]. Comment estimez-vous la violence au cours des siècles ? Un sondage rapide, et la réponse de la majorité des sondés à cette question est : il y avait moins de violence avant, et plus on avance, pire c’est [[ils auront bien appris…la leçon !]]. Dès lors, pourquoi tant de gens se trompent au sujet de quelque chose de si important ?

Plus il nous est facile de nous remémorer certains événements, plus nous jugeons probable qu'ils surviennent - l’esprit humain n'est pas très bon à juger des probabilités, comme l’ont démontré les psychologues Amos Tversky et Daniel Kahneman. Et à Steven Pinker de nous éclairer: "nos facultés cognitives nous prédisposent à croire que nous vivons une époque violente, particulièrement quand elles y sont exhortées par des médias dont le mot d’ordre est “plus ça saigne, plus c’est porteur”. L’esprit humain a tendance à juger de la probabilité d’un événement en fonction de la facilité avec laquelle il se remémore des exemples, or il est bien plus probable que des scènes de massacre soient diffusées sur nos écrans et gravées dans nos mémoires que des séquences montrant des personnes mourant de vieillesse. Le pourcentage de morts violentes aura beau être très bas, en chiffres absolus, il y en aura toujours suffisamment pour remplir [[abusivement et avec intention de tromper…]] les journaux télévisés du soir, de sorte que l’impression de violence qu’auront les gens sera sans commune mesure avec les proportions véritables." Aussi, rajoute Steven: "notre psychologie morale est un autre facteur qui déforme notre perception du danger (...) Parallèlement à la diminution des comportements violents s’est opérée une baisse des attitudes tolérant ou glorifiant la violence, et souvent, ce sont les comportements qui jouent un rôle précurseur." Comme l'explique Steven Pinker, il y a une "élévation de nos critères « d’appréciation" de la violence. Entre hier et aujourd’hui, notre "seuil de tolérance" a changé : on ne brûle plus de "sorcières", on ne joue pas à ce jeu du moyen-âge qui consistait à brûler un chat (l'animal étant hissé sur une estrade puis descendu par un harnais dans un feu - le chat brûlé vif, hurlant de douleur, ce qui provoquait l’hilarité des spectateurs), etc.

Plus proche de nous, c’est aussi une manifestation du mythe de l'âge d'or, du "c’était mieux avant", et que cette belle citation explique poétiquement: "Le passé est un pays étranger : les choses s’y passent différemment," L.P. Hartley. Notre mémoire est parfois une "Historienne révisionniste qui réinterprète le passé à l’aune de nos intérêts présents", comme le déclarent les psychologues Carol Tavris et Elliot Aronson (lire notre article "Autojustification et dissonance cognitive: pourquoi ai-je toujours raison ?" )

"La part d’ange en nous", de Steven Pinker, est une rigoureuse analyse multidisciplinaire et dont le thème est la violence - et à la croisée de la philosophie, de la linguistique, de l’histoire, de la sociologie [[ les 3 savoirs qui font le plus peur aux mauvais dirigeants…]] et de la psychologie. 30 ans de travail, de compilations de données, de recherches et des faits incontestables. Le talent de Steven Pinker, c’est son côté pédagogue : lui qui explique, et réexplique ses théories, ses concepts, en les amendant de nouvelles données - et une à la fois. Le talent c’est aussi l’écriture : un style teinté d’humour, léger, compréhensible, et rempli d’exemples. Une lecture qui, certes, demande du temps – 1 000 pages - mais d’une extrême utilité. "Nous sommes ici en présence d’un livre majeur que devraient lire tous les journalistes, tous les politiciens [[et dont il devient évident qu’ils ne l’ont …pas lu, tellement ils se situent loin de la vraie réalité ]] et toute personne qui s'intéresse à l’évolution de nos sociétés," Le monde va mieux, cela ne fait aucun doute [[et ce malgré les prétendus dirigeants…]]. Cela n’empêche pas qu’il reste beaucoup à faire" - tant sur le plan individuel, que collectif. En outre, aller à la rencontre des gens - leur parler, les écouter activement, les comprendre, échanger - et s’ouvrir au monde est plus que jamais nécessaire: "Plus les gens dépendent les uns des autres, moins ils ont avantage à se nuire," expose Matthieu Ricard.

"La part d’ange en nous" [[sans adhérer au titre qui dévie la force des arguments ]], de Steven Pinker, est un livre vivant: sur son site web Steven tient à jour ses données afin d’étayer encore plus sa thèse du déclin de la violence. "Quelles qu'en soient les causes, le déclin de la violence a de profondes conséquences. Cela devrait nous forcer à nous demander non seulement "Pourquoi la guerre ?" mais aussi "Pourquoi la paix ?" [[et grâce à qui la paix, qui sont les vrais méconnu(e)s ?]]. Pas seulement "Que faisons-nous mal ?", mais aussi "Que faisons-nous bien ?"

Car nous faisons quelque chose de bien,

………………….et ça serait, bien, de découvrir ce que c'est"…

……………………..ce que ce blog s’est attelé à faire. Qui diffame ? Pas le bas, le haut. Il est tellement plus dur de lutter contre des puissants (donc des toxiques) que contre des dépourvus…Et malgré cela le message que la paix, qui est bien en train de mettre K.O. les salauds, progresse…

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Oui tout souligne et marque solidement un beaucoup moins de violence. Pourquoi un tel étiage ? La nature humaine aurait-elle changé ?

Le-progrès-n'a-pas-encore-tout-à-fait-disparu-:-la-paix-approche

Et Steven Pinker de s’interroger. « Pourquoi la violence a-t-elle ainsi décliné ? Sur tant d’aspects ? La nature humaine aurait-elle changé ? Pourquoi nous comportons-nous de manière moins violente ? » Pour Pinker, notre nature n’a pas changé. Nous sommes des entités complexes et si nous avons des inclinaisons à la violence, nous avons aussi des tendances qui la contrebalancent. Pour Pinker, l’histoire, les circonstances…ont favorisé nos inclinaisons pacifiques. 1) -  Pour comprendre cela, il faut distinguer ce qui motive et explique notre violence, à savoir : la rage (une réaction quasi instinctive), la domination et l’exploitation des autres (qui consistent à utiliser la violence pour atteindre un but), la vengeance et la violence idéologique… 2) - Mais on a aussi des processus qui favorisent la non-violence : comme la maîtrise de soi, l’empathie (la capacité à ressentir ce que les autres ressentent), les normes morales et les tabous (ce qu’on ne peut pas faire) et bien sûr la raison (c’est-à-dire le fait que nos facultés cognitives résistent et considèrent la violence comme un problème jamais une solution : jamais la séduction n’aura fonctionné…). Qu’est-ce qui a conduit à développer ces processus-là, cette « part d’ange en nous », au détriment des premiers ?

[[Divers facteurs sont venus « épauler » la nature humaine]] (…) Dernier facteur explicatif du recul de la violence : les révolutions des droits. Le développement des droits civiques a fait reculer la plupart des violences [[ce pourquoi la « violence sociale » actuellement ce sont les…riches qui dénient le droit des…autres et se croient tout permis, en se foutant des conséquences. Honte donc sur eux. Coupables « et » responsables !]] : violences raciales, violences à l’égard des femmes, des enfants et des animaux [[ et les si retardataires libéraux voudrait « entrer » au lieu de prétendre, loufoquement, créer le progrès en régressant en tout ?]]… La criminalité a diminué à mesure que les droits ont progressé, souligne Pinker, en alignant des graphiques sur le recul du lynchage aux États-Unis entre 1880 et 1960, ou des crimes à l’égard des communautés. Les viols à l’encontre des femmes ont chuté de 75 % entre 1970 et 2010. Les autres violences domestiques à l’encontre des femmes suivent la même tendance. Pour les enfants, les graphiques montrent la chute des punitions corporelles, des emprisonnements, des abus et agressions physiques ou sexuelles à leurs égards… Même la fessée est de moins en moins acceptée à travers le monde. Et la révolution du droit des animaux entame la même tendance, avec la baisse du nombre de chasseurs et la montée du nombre de végétariens…

Et ? Les êtres humains deviennent plus précieux vivants que morts, puisqu’on peut leur vendre quelque chose. Pour Darwin [[qui a toujours honni le darwinisme social – pas de plus fort, chez lui, mais de la coopération et de l’entraide]] - et Peter Singer, notre sens de l’empathie, par défaut, s’applique à nos proches. Or, ce cercle emphatique s’est étendu [[ preuve inattendue : pourquoi « avoir mal » pour ce qui se passe…ailleurs et qui, objectivement, ne nous est rien. Nous souffrons pour de …parfaits étrangers à nos vies concrètes. Oui ? Et les racismes n’ont toujours pas l’air plus…dépités ? Allons, allons, un peu de réel…]] : de la famille aux proches, du village au clan, de la tribu à la nation… en passant à ceux qui appartiennent à d’autres genres, races, espèces… Le développement de nouvelles perspectives, via le voyage, la littérature, l’information, nous a permis d’adopter le point de vue des autres [[sauf les…prétendus dirigeants, dont le devoir est pourtant…l’unité, non la division…]] Et cette considération empathique s’est traduite par un comportement empathique. Enfin, nous avons tous pris l’ascenseur de la raison : l’alphabétisation, l’éducation… nous ont appris à penser plus abstraitement et plus universellement. En apprenant à transcender notre point de vue, il devient plus difficile de privilégier nos seuls intérêts par rapport à ceux des autres. Les cycles de violence nous semblent plus futiles et plus vains. « La violence apparaît comme un problème qu’on peut résoudre plutôt que comme une compétition qu’on peut gagner » [[le dernier en date « la violence des riches » (ne pas vouloir partager) demeure à résoudre avec ou sans eux !]].

Ces interrogations nous poussent à nous poser la question de ce que nous avons réussi. Qu’avons-nous fait de bien et qui a été fécond ? [[ arrêter d’idolâtrer l’argent, ne plus y « croire », ainsi qu’à l’omniscience divine des financiers fait…reculer nettement la violence. Nous avons « réussi » parce…que ils n’ont rien à proposer comme « vie réussie » qu’un tas de pacotilles sans intérêts, que du matériel indigne de la grandeur humaine…non mais, ils pourraient s’essuyer les pieds, et le cœur, avant d’entrer…]].

Pinker s’amuse ensuite à répondre à quelques questions. Les animaux ? Ils nous aident à pousser notre capacité empathique encore plus loin, car ils ne peuvent pas se battre eux-mêmes pour leurs propres droits ou se mobiliser. La défense des droits des animaux nous amène à un degré de civilisation supplémentaire. Le changement climatique ? Il n’est pas certain que le changement climatique conduise à des violences globales. Bien sûr, ce défi majeur du 21e siècle risque de se traduire par une intensification des souffrances, par des migrations, des conflits locaux, des violences…Les tensions sur les ressources ne conduisent pas nécessairement aux conflits…Les grandes sécheresses des années 30 n’ont pas conduit nécessairement à des guerres.

Les médias sociaux ? « Les médias sociaux accroissent l’empathie, j’en suis convaincu », estime Pinker. Ils favorisent l’interdépendance. Bien sûr, leur usage peut conduire à des abus, mais nous allons trouver les moyens de contrer leurs aspects négatifs et de développer leurs aspects positifs. Il faut juste un peu de temps, comme lors d’une réponse immunitaire. Le vieillissement ? Le vieillissement de la population favorise la diminution des violences physiques. On estime que le pic des violences physiques a lieu entre 15 et 30 ans. Plus on prend de l’âge et moins on se dispute. Le vieillissement de la population est donc un facteur de déclin de la violence globale. Un monde moins violent est aussi un monde plus heureux, incontestablement. En fait, nous n’avons pas de preuve scientifique à porter au crédit de ceux qui avancent que nous serions intrinsèquement violents [[ leur fausse « nature humaine » pue trop la concupiscence cupide. Ce sont eux qui sont dégoûtants pas les humains…]]. »

Dernière question : QUI reste violent ? La violence globale baisse fortement - donc il en reste. Alors, dans cet élan de déclin général de la violence, qui …refuse nihilistiquement ? Simple qui ne veut d’aucun débat de fond sur… la menace du bouleversement climatique et de la limite rationnelle des ressources naturelles, Et hurle, comme un Bush, que les pollueurs et gaspilleurs ne changeront jamais de style de vie. Qui, du haut de leur claire folie, éructent que ce n’est pas négociable. Comme si cette insanité allait convaincre… Paraissant tant comme des chérubins attardés, agitant le hochet de la société de consommation. Et tapant du pied avec des NA, NA, NA, NA, NA, NA, NA, dérisoires comme…seuls arguments. Probant, n’est-ce pas ? N’empêche que nous devons affronter l’ultime barrage : qui a INTÉRÊT à la violence. Autant dire que c’est là que les corruptions intellectuelles, les junk théories, ces arguments foireux et malsains, les cynismes moraux, les idiots émotionnels et l’incapacité à aimer les autres font rage. Voyons voir…

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« [Depuis 16 ans, pour que son oligarchie militaire terrorise le monde et eux avec, les contribuables étasuniens dépensent beaucoup plus que 250 millions de dollars par jour –]

Selon le rapport périodique Cost of War du Département de la Défense, depuis le 11 septembre 2001, le gouvernement étasunien a dépensé 1460 milliards de dollars pour guerroyer à l’étranger. D’après le rapport d’International Business Times, cela représente 250 millions de dollars par jour pendant 16 ans consécutifs.

La-guerre-à-la-terreur-coûte-250-millions-de-dollars-par-jour-depuis-16-ans-aux-contribuables-étasuniens

 

Publiée par le blog Secrecy News de la Fédération des scientifiques étasuniens, la nouvelle version du rapport couvre les activités liées à la guerre depuis les attentats terroristes du 11 septembre jusqu’à mi-2017.

Selon le rapport, bien que la guerre contre le terrorisme [[ terrorisme causé par leur soutien premier à Saddam Hussein !, etc.]] soit toujours rondement menée, l’opération Iraqi Freedom (2003-2011) et l’opération Enduring Freedom (2001-2014) expliquent la plus grande partie du coût, soit plus de 1,3 billion de dollars.

Il faut noter que cette analyse ne couvrant que les dépenses directes liées à la guerre, elle n’indique certainement que l’aspect inférieur de l’estimation du coût des guerres étasuniennes jusqu’ici. Par exemple, en 2014, un rapport de la branche de recherche non partisane du Congrès, a révélé que le gouvernement avait déjà déboursé plus de 1,6 billion de dollars dans la guerre au terrorisme. L’estimation des dépenses de guerre se monterait donc à environ 337 millions de dollars par jour pendant 13 ans [de 2001 à 2014].

L’année dernière, un rapport publié par le Dr Neta Crawford, professeur de science politique à l’université Brown, a révélé que les dépenses étatiques, pour la sécurité intérieure et pour les anciens combattants, des ministères de la Défense, étaient encore plus élevées. Elles atteignaient presque 5 billions de dollars.

En outre, les zones de guerre où l’armée étasunienne a été diligemment engagée ces dernières années, comme la Libye et la Somalie, n’ont même reçu de mention particulière dans le rapport. Si 250 millions de dollars par jour pour une période de 16 ans semble déjà beaucoup trop pour des dépenses de tueries et de destructions, on peut être assuré que le véritable coût financier de la guerre au terrorisme est bien plus élevé.

Comme l’a expliqué International Business Times, la guerre contre le terrorisme est devenue la guerre la plus coûteuse des États-Unis depuis la Seconde Guerre Mondiale :

Selon Congressional Research Service, dans l’histoire des États-Unis, la seule guerre ayant coûté plus que la guerre mondiale au terrorisme est la Seconde Guerre mondiale, soit plus de 4,1 billions de dollars en dollars d’aujourd’hui. Les dépenses directes liées à la guerre du Viêt-nam se sont montées à 738 milliards de dollars en dollars d’aujourd’hui.

D’après le rapport de StockBoardAsset.com, si on jette un coup d’œil sur l’empire étasunien, on voit qu’il y a près de 800 bases militaires dans plus de 70 pays et territoires étrangers [[ces migrants perpétuels ne sont jamais cités…]].

Afin de maintenir cette armée dans le monde, le sénat a approuvé cette année une facture militaire de 700 milliards de dollars. Cette somme éclipse le plafond des dépenses militaires de 549 milliards de dollars, établi par la Loi de 2011 sur le contrôle budgétaire. Il y a d’autres signes montrant que la débauche de fonds va s’amplifier, car le discours se durcit avec le prochain ennemi des États-Unis dans le collimateur. » ….Où nous voyons à quel point l’éthylisme qu’est la guerre est ce qui reste le plus caché au monde. Faire perdre le sens des proportions. Qui est ? C’est…parce que 700 milliards au lobby de guerre qu’il faut…resserrer aussi brutalement tout le reste, tant maltraiter les vraies…majorités. Et donc ? Ces guerres, plus qu’inutiles, sont d’abord dirigées CONTRE la population de leur pays. Bilan de la défaite de la raison ? U.S.A. 100 millions de pauvres à cause…de ce budget abusif. Qui, entre autres, …oublie que l’URSS a chutée, surtout oui surtout à cause de son budget militaire trop dopé ! Ce pourquoi risquer la paix est un milliard de fois moins…dangereux (et plus réaliste) que de laisser des aventuristes inconscients et incultes jouer avec ce qui …les dépasse !

http://www.imagiter.fr/2016/08/Pourquoi-nous-risquons-la-paix

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Comme vous voyez nous connaissons le sujet à fond. Et contre l’horreur absolue (croyez-le entrer dans le cerveau détraqué de ces fous demande plus de courage que l’on croit. Ne pas abandonner avant d’avoir tout compris contraint même à s’en rendre malade. C’est dire, pas pour les chochottes et leur chocottes…). Ainsi le lien suivant où les humains sont…instrumentalisées et violentés (l’armée est armée par les marchands d’armes qui effacent tout l’humain pour « l’instrumenter » en porteur et manieur d’armes…oubliant tout le reste…). Oui ? Nous l’avons « résolu » (si t’es résolu, déterminé, sûr que tu résous beaucoup plus…) dans un livre dont vous trouvez les coordonnées en fin d’article. Il se télécharge gratuitement…

La-guerre-par-instrumentalisation-:-la-stratégie-du-jeu-du-moulin

 

« Depuis le début ce n’étaient pas les améliorations sociales, ni politiques, ni économiques ou religieuses en Afrique qui étaient le véritable but, oui ce n’étaient même pas leurs ressources pétrolières ! Car ce que sait la géologie moderne aujourd’hui, les faiseurs de guerre le savent depuis longtemps : des scientifiques de haut rang désignent le pétrole comme la circulation sanguine de la Terre. Pour le dire autrement, de même que dans le corps humain le sang perdu est reproduit immédiatement, il en est de même dans les entrailles de la Terre pour le pétrole consommé. La terre est donc un organisme, c’est pourquoi les bellicistes laissent parfois brûler des gisements de pétrole entiers sans inquiétude, si l’on pense par exemple à l’Irak et à différents autres endroits. Avec l’occupation des pays extracteurs de pétrole, les stratèges mondiaux ne veulent donc pas en premier lieu des gains financiers pour eux-mêmes, mais des pertes économiques pour les autres. En d’autres termes, il s’agit en priorité de l’empêchement d’une quelconque autarcie, c’est-à-dire d’une indépendance économique de tous les pays qui ne sont pas encore dépendants d’eux. Évidemment, les gisements de pétrole confisqués servent en même temps d’argent de poche sur le chemin de l’établissement d’une structure de propre pouvoir, mais seulement en deuxième priorité. Etc. »

Cette introduction à une démarche de pensée difficile peut être très efficacement renforcée par le livre « Assentiments aux sentiments – Premiers pas vers une paix mondiale ». Dont la première partie est une étude très anthropologique des armées (oui comme si c’était des tribus incompréhensibles). Et la seconde l’affrontement de tous les discours et concepts qui s’opposent, déloyalement, à la paix (très très multidisciplinaire donc qui n’intéresse pas l’université qui semble bien s’être congelée au milieu du…XX ème siècle !). La bonne nouvelle au bout de cette étude tressée d’humours de premières qualités…est…

………………………que la structure même du langage c’est la Paix !

 

…….......…(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, « Assentiments aux sentiments – Premiers pas vers une paix mondiale ».

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 600 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

baisse évidente mais...déniée (Voir bien plus de graphiques dans le livre de 1 000 pages)..

baisse évidente mais...déniée (Voir bien plus de graphiques dans le livre de 1 000 pages)..

Homicides en évidente grande baisse – le fait que les médias mercenaires les passent en boucles abusives ce n’est que pour donner « l’illusion » qu’il y a bien plus de drames qu’en réalité. Ces procédés déloyaux les disqualifient définitivement : en aucun cas, ils ne peuvent participer à la construction de la vraie démocratie !

Homicides en évidente grande baisse – le fait que les médias mercenaires les passent en boucles abusives ce n’est que pour donner « l’illusion » qu’il y a bien plus de drames qu’en réalité. Ces procédés déloyaux les disqualifient définitivement : en aucun cas, ils ne peuvent participer à la construction de la vraie démocratie !

Enfants – si toutes les courbes ne sont pas perçues comme définitivement descendantes c’est qu’il est fait exprès de ne pas les voir telles qu’elles sont…

Enfants – si toutes les courbes ne sont pas perçues comme définitivement descendantes c’est qu’il est fait exprès de ne pas les voir telles qu’elles sont…

Pourquoi absurdement ne croyons-nous pas à la baisse de la violence ?
non cela ne fonctionne pas ainsi...

non cela ne fonctionne pas ainsi...

mais comme ceci...

mais comme ceci...

Ne plus accepter comme une évidence fatale. Ces discours décrivent surtout des mentalités et ne sont absolument pas des analyses rationnelles sur la réalité mondiale.

Ne plus accepter comme une évidence fatale. Ces discours décrivent surtout des mentalités et ne sont absolument pas des analyses rationnelles sur la réalité mondiale.

qui est FOU ?

qui est FOU ?

les salauds profitent du fait que les autres...respectent la loi.

les salauds profitent du fait que les autres...respectent la loi.

C’est qui l’ennemi ? Pas celui que l’on semble nous désigner !

C’est qui l’ennemi ? Pas celui que l’on semble nous désigner !

qui crée les guerres

qui crée les guerres

et qui sème les paix ?

et qui sème les paix ?

la paix est une volonté...de paix.

la paix est une volonté...de paix.

l'argent de la guerre suivi à la trace

l'argent de la guerre suivi à la trace

La « guerre à la terreur » coûte, au minimum, 250 millions de dollars par… jour depuis 16 ans aux contribuables étasuniens. Avec cela une sacrée paix pourrait rayonner partout…

La « guerre à la terreur » coûte, au minimum, 250 millions de dollars par… jour depuis 16 ans aux contribuables étasuniens. Avec cela une sacrée paix pourrait rayonner partout…

De telles images, venant du camp de concentration d'Auschwitz, ont été enracinées dans notre conscience pendant le 20e siècle et nous ont donné une nouvelle compréhension de qui nous sommes, d'où nous venons, et de notre époque. Lors du 20e siècle, nous avons assisté aux atrocités de Staline, Hitler, Mao, Pol Pot, du Rwanda et à d'autres génocides, et bien que le 21e siècle n'ait que 7 ans, nous avons déjà vu un génocide au Darfur et les horreurs quotidiennes en Iraq. Cela nous amène à mal comprendre notre situation : nous pensons que le progrès nous a amené une violence terrible, et que les peuplades primitives vivaient dans un état d'harmonie que nous avons perdu.

Le sociologue Laurent Mucchielli était l'invité d'une émission de France 3 à l'occasion de la publication de son livre "L'invention de la violence ».

Ne surtout pas admettre les définitions des fausses élites occidentales, non universalistes, encloses dans de minables intérêts et ne sachant plus penser « global » (dont mondial). « Leur » monde n’est pas rationnel du tout. Et alors ? N’écoutons plus leurs errances… Caroline Galacteros, docteur en Science politique, directeur de séminaire à l'Ecole de Guerre, vient de publier "Manières du monde, manières de guerre" (Nuvis, 2013). Elle répond à nos questions : - En quoi les grandes évolutions économiques, politiques, sociales, scientifiques, etc. des dernières décennies ont-elles influencé la façon dont l'Occident envisage le monde et conduit la guerre ? - Vous parlez des sociétés post-modernes occidentales comme d'un ensemble d' « oxymores ». Pourquoi ? - Vous évoquez une sphère politique qui « surnage pathétiquement et tente de faire diversion ». Que préconiseriez-vous pour contrer ce que vous qualifiez d' « impuissance de la puissance » et de « régression éthique » ?

Magnum et la violence en images (mémoire sur 70 ans)

Les Mythes de l'économie #3 : TRAVAIL, SALARIAT ET VIOLENCE INSTITUÉE

Ne rien omettre (nous n’avons rien à cacher) : Dans le secret de la violence sociale

Les longues files d'attente dans les administrations permettaient de nouer des liens entre les gens avant le choc de simplification.

Puisque c’est partout que nous devons prendre tout le temps position sur le commerce des armes

Pour approfondir : The Origins of Language, Reason & Violence - Steven Pinker.

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