Contre Courants : comment rester dans le sens du flot ?
La rencontre avec l’aberration ? Nombres de prétendus esprits libres ne mesurent tout que par les seules diffusions des médias d’argent. Sans appel. Médias qui font tout pour dissimuler la vie intellectuelle réelle des pays, médias qui escamotent les valeurs les plus partagées et redessinent tout en idéologie (genre seul qui est riche a le « droit » concret de diffuser). Résultats des courses ? Bien peu savent vraiment « ce qui se passe sur Terre ». Ce qui est mont(r)é dans les médias vendus ce sont juste des montages particulièrement frauduleux. Retrouvons donc le fil probe (celui qui rend tout probant, ou non), revenons dans les flots qui avancent…Rencontres donc avec l’aberration ? Si trop de prétendus esprits libres ne mesurent tout que par les uniques diffusions des médias d’argent, et que ce soit si violemment « sans appel » - la conclusion corrompue devient que si vous n’apparaissez pas dans les médias mercenaires (vendus aux plus offrants)…ce que vous dites ou faites ne VAUT RIEN. Justement c’est exactement l’inverse : c’est parce que cela vaut beaucoup (est même susceptible d’abréger le règne illégal des médiocrates actuels) que ce n’est pas diffusé…à leur juste taille. De sauter du triste fait d’être « instrumentalisés » (que votre aliénation devienne, en plus, activement nuisible pour les autres. Que ces autres soient agressés en permanence par ces idéologies malsaines grâce au fait que vous vous êtes laissés tant être instrumentalisés à les répandre inconsciemment…) au comportement d’écraser autrui…juste…par l’usage déshonorant des propagandes dominantes….voici qui est en train d’être réparé ! Comme ceci…
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Les-dérives-mortifères-du-marxisme-culturel
L’Hégémonie culturelle ou le crépuscule du langage : Antonio Gramsci, idéologue marxiste hérétique, réalisant que la Révolution bolchévique n’est pas duplicable en Europe de l’Ouest, élabore une doctrine destinée à contrer l’hégémonie culturelle des classes dominantes. Gramsci sera condamné par le régime fasciste de Mussolini en raison de ses activités de militant communiste. Il profitera de sa longue incarcération (1928 – 1938) pour développer sa doctrine de l’hégémonie culturelle, tout en préconisant d’offrir les savoirs aux masses prolétariennes afin de les aider à s’émanciper de la tutelle d’une culture bourgeoise omnipotente. Cette approche stipule que l’hégémonie culturelle des classes supérieures fascine les dominés au point où les victimes finissent par adopter la vision du monde de leurs bourreaux [[ voir les « rencontres avec l’aberration », décrites plus haut !]]. Les dominés sont colonisés de l’intérieur par la représentation symbolique imposée par la bourgeoisie qui s’en sert afin d’instituer les codes de sa fausse morale. Par-delà les conventions bourgeoises, Gramsci dénonce l’effet de mimétisme induit par cette hégémonie culturelle qui empêche les dominés de penser par eux-mêmes [[ ce qui les conduit à dévaloriser tous leurs entourages : rien de bien ne serait donc inventé chez les pauvres…alors que c’est très exactement l’inverse : le plus gros de la pensée qui dure vient des…pauvres !]] et, partant, d’être en mesure de se doter d’une authentique pensée critique. Plusieurs des épigones des discours sur l’identité et le genre introduiront, par la suite, leur fil dans l’aiguille …
La Société du spectacle : Guy Debord, quelques décennies plus tard, prolonge la réflexion gramscienne en développant une pensée critique qui dénonce la mainmise de la société du spectacle sur la culture d’une société dépossédée des moindres parcelles de liberté subsistant dans le sillage de la révolution bourgeoise. Appuyant sa réflexion sur les prédicats gramsciens, le penseur situationniste estime que vouloir détruire la bourgeoisie afin de prendre sa place ne résoudra rien, précisant que « le mûrissement des forces productives ne peut garantir un tel pouvoir, même par le détour de la dépossession accrue qu’il entraîne. La saisie jacobine de l’État ne peut être son instrument ». [[ cet éclairage peu usuel qui plave Debord uniquement dans la culture, en minilmise trop le rôle : clair qu’il n’aura pas ézté que granscien. Vu qu’il est parvenu à être…lui-même !]]. Ainsi donc, le prolétariat [et toutes ses déclinaisons sociologiques] sera toujours dépassé par ce fameux rapport de force qui permet à la bourgeoisie de s’accaparer du process économique via sa maîtrise des codes culturels qui président aux fondations du langage [[cette fin d’analyse semble bien dépassée (voilà ce que c’est que ne pas s’être détaché, et à 100 %, des prétendus dominants – on perd de vue l’essentiel et les humains qui importent le plus ! Ici, les pouvoirs sont bien dans l’impasse : le langage peut tout changer, il est vraiment contre leurs impostures et tout ne tient plus qu’à un…fil, qu’à un mot juste, une expression heureuse, qu’à un comportement, etc., qui peuvent tout faire basculer en même pas un jour. C’est qu’une nouvelle civilisation complète peut prendre la place de la grave arriération capitaliste…]].
Pier Paolo Pasolini reprendra cette idée de l’inféodation des cultures populaires à l’hégémonie culturelle bourgeoise [le concept d’hégémonie culturelle bourgeoise étant préférable à celui de culture bourgeoise stricto sensu]; mais en précisant que les nouveaux rapports de production de la société postmoderne font en sorte de dissoudre tous les repères langagiers qui fondaient les anciennes sociétés. Pasolini va plus loin que les situationnistes [[ situationnistes qui n’ont pas assez prêté attention au langage malgré leur promesse, non tenue, d’inventer un dictionnaire libre ! Ce que nous avons fait par.. la fiction du dictionnaire – voir http://www.freethewords.org/ ]] en développant une pensée critique qui est presque anthropologique. Outre sa production cinématographique, ce créateur prolifique était un linguiste dans l’âme qui se passionnait pour les dialectes populaires de l’Italie d’avant-guerre. C’est par le truchement de la poésie que Pasolini s’intéresse à l’interprétation textuelle et au primat de la question linguistique en rapport avec l’identité [[ être étant tellement plus qu’avoir…]]. Une grande partie de la production cinématographique de ce créateur iconoclaste tente de dépoussiérer notre regard sur la spiritualité, l’érotisme ou les rapports en société. Cette pensée critique est pleine de contradictions et ne s’en prive pas au demeurant.
Déconstruire les codes : Tous les surgeons de l’Hégémonie culturelle marxiste – ou Marxisme culturel – se sont employés à phagocyter la culture populaire hollywoodienne afin de prendre d’assaut les marchés de l’art bourgeois avant d’accoucher d’une première version de la contreculture. Il faut bien comprendre le rôle de l’ingénierie culturelle marxiste, entre les années 1920 et 1960, si nous voulons être en mesure de saisir la profondeur du phénomène. Bien avant l’intervention gramscienne, les Bolchéviques avaient déjà saisi l’importance d’unir la propagande et la culture afin de pénétrer plus avant au cœur d’un inconscient collectif dont il fallait prendre le contrôle. Il s’agit du rôle joué par l’Agitprop à l’époque du constructivisme russe et du futurisme italien. Déjà, avant la Première Guerre mondiale, les Bolchéviques utilisaient les tracs, les affiches et d’autres moyens d’expression pour diffuser leurs propagandes au sein des masses. Certains artistes formés par les académies tsaristes ou issus d’écoles de pensée religieuses [subissant une mutation qui culminera par la formation de sectes carrément illuministes – voir le Manifeste Réaliste des frères Pevsner qui reprend la doxa de l’humanisme des lumières] se sont, d’ailleurs, efforcés de développer une véritable grammaire plastique à partir de cette première forme de détournement de la culture populaire au point de jeter les bases de ce qui allait devenir l’art contemporain postmoderne. L’astuce étant de comprendre que le détournement symbolique et l’utilisation de méthodes de propagande ont, sans doute, constitué les fondations d’une culture entièrement fabriquée en laboratoire. La fameuse culture POP américaine représente la phase finale de la grande expérimentation des néomarxistes et de leurs alliés du moment, les néo-freudiens.
**** >>>> - (….) Le genre humain est en voie d’extinction : « Le marxisme culturel est une forme de marxisme qui analyse le rôle des médias, l’art, le théâtre, le cinéma et les institutions culturelles de la société en mettant de l’emphase sur les luttes de genres, de classes et d’ethnies. Formulé par l’école de Francfort et Herbert Marcuse, il aurait contribué à la montée de la rectitude politique en Occident. Il s’agit d’un moyen culturel et non révolutionnaire pour revendiquer l’abolition des classes et l’égalitarisme absolu ». – Ancienne définition donnée par Wikipédia.
C’est l’école de Francfort et ses épigones qui sont la source d’inspiration des gender studies ayant vu le jour au début des années 1970 sur certains campus universitaires étasuniens. Il faudrait ajouter que l’école dite française – réunissant autour de Michel Foucault ( tout un aréopage de post-constructivistes forcenés – a posé quelques jalons décisifs au niveau des études culturelles et de cette postmodernité agissant comme un puissant dissolvant). Jean-François Lyotard célèbre la faillite du récit historique ou grand narrative. Il n’y a plus de consensus sémantique possible autour de la représentation du réel qui devient, par la force des choses, comparable à une myriade de récits téléologiques. Les mythes du progrès, des lumières ou de la justice sociale sont battus en brèche au moyen d’un discours critique qui frise la démence et qui convient parfaitement au relativisme ambiant promu par les avocats du néolibéralisme [[ disons, que cette ultime version du post-modernisme sert beaucoup trop les intérêts matériels, plus qu’indéfendables, des libéraux…un exemple : sans le vil relativisme post-moderne, l’arnaque du fake news serait-elle possible ? Arnaque ? Disons, qu’est brandi, illégalement, le fake new contre des esprits désintéressés et utilement critiques par ceux-là même qui ne proposent QUE des fausses analyses, des faits très évincés, de l’idéologie à rabord, un refus du réel global, genre que des effets sans causes, la déresponsabilisation complète des médiocres (qui s’affublent d’être des classes supérieures, supérieures par leurs bassesses ?), etc.…bref toute une série de fake (faux) comportements qui retire le droit de mentir encore plus…les vrais esprits critiques demeurent donc d’honnêtes guides, certes avec des faiblesses qu’ils ne cachent d’ailleurs pas…qui représentent le meilleur possible de l’époque actuelle…Qui les suit se simplifie la vie ! : suivre, dans ce cas , ne veut pas dire adhérer…coudées libres, en somme !]].
Jean Baudrillard va encore plus loin lorsqu’il célèbre la destruction du réel. Son analyse, poussée dans ses derniers retranchements, stipule que dans le monde de la postmodernité chacun génère son positionnement social et identitaire en manipulant des signes qui font que l’empire des sens prend la place d’un réel qui est phagocyté au point de disparaître [[ sauf que cette insularité des concepts ne trouve pas en lui d’exemples concrets…réussis. Devenir une île inaccessible aux pressions sociales de tous ordres semblent vraiment impossible…les apports de Baudrillard qui restent viennent, heureusement, d’ailleurs…]]. Lyotard parlait, même, d’une économie libidinale, sorte d’appendice d’un capitalisme n’étant plus capable de générer autre chose que du spectacle. Chacun étant responsable du discours portant sur SA propre représentation, le réel devient une affaire politique, policée. Et, partant, ce prurit néomarxiste constitue le limon sur lequel prendra forme la rectitude politique – nouvelle police de la pensée du XXIe siècle. Il fallait bien mener à terme ce projet de déconstruction des repères identitaires et des enjeux langagiers pour, qu’en l’absence de consensus social, la nouvelle « fake » intelligentsia nous impose sa police de la pensée [[ pour nous, en tout cas, son échec est archi complet. Mieux ? Par ses lignes de crêtes, ces non-pensées nous auront, substantiellement, raccourci tout le labeur nécessaire à l’analyse probe…]].
In fine, il n’y a pas qu’une théorie du genre, mais bien des théories du genre. La distinction entre sexe (la réalité biologique) et genre (la représentation culturelle) a pris forme dans le sillage des expérimentations cliniques et théoriques sur l’intersexualisme ou le transsexualisme; c’est dans ce contexte que la mouvance queer fait irruption au sein du féminisme américain et des cultural studies au point de remettre en cause les canons de la représentation classique du genre humain [[ sauf ceux, comme par hasard, des indéfendables inégalités économiques. Toutes construites, jamais « naturelles »…Et donc des illégalités complètes des inégalités…voir le livre de référence « Légalité de l’égalité » sur http://www.freethewords.org/ !]] . Outre les dérives du structuralisme français, il ne faudrait pas oublier que tout ce mouvement de déconstruction du langage et des repères identitaires procède d’une véritable alchimie kabbalistique destinée à « fracasser les vaisseaux » de la société occidentale considérée comme un égrégore qu’il convient de reprogrammer afin de préparer l’arrivée de l’homme nouveau ou messie de la fin des temps [[ cet embourbement des déconstructivismes n’est pas franchement en leur grand honneur…]].
Nous reviendrons, dans la deuxième partie de cette analyse, sur la vision eschatologique et kabbalistique de Walter Benjamin, un penseur véritablement surprenant qui a été qualifié par ses pairs et ses amis de véritable « théologien de l’utopie marxiste » … cette prochaine analyse ambitionne d’ouvrir des espaces dialogaux inattendus. (Patrice-Hans Perrier) ».
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Tout ce qui est caché dans le scandaleux colonialisme culturel (si liberticide) que l’argent sale se permet de matraquer partout sur Terre ?
Sioux-noirs-hispaniques-la-bataille-contre-l'appropriation-culturelle-fait-rage
Il s’agit, ici, d’appropriation culturelle flagrante ( voler notre culture et la remplacer, frauduleusement, par une escroquerie mentale) pas vraiment d’autres choses…Ainsi…« aux USA, l'utilisation des symboles d'une culture "minoritaire" par des membres de la culture "dominante" fait l'objet d'une fronde [[ en France fait l’objet d’une ronde…les politiques élus très minoritairement sont décrétés «très majoritaires » : - et ainsi 16 % c’est « plus » que 60 % !]]….
Deux années ont passé mais la blessure est toujours vive. Nicholas Christakis n'en parle pas volontiers. Ce sociologue, que "Time" avait classé en 2009 parmi les "100 personnes les plus influentes au monde", préfère les discussions de haut vol, comme celle qui se tient ce matin-là dans son labo de Hillhouse Avenue, où planche l'une de ses étudiantes doctorantes devant un groupe affûté - Yale n'est pas pour rien la crème de la crème de l'élite américaine. Mais le professeur n'oublie pas.
Les faits remontent à la fête de Halloween de 2015, avec un mail du conseil des affaires interculturelles recommandant aux étudiants de ne pas porter des costumes "menaçant le sentiment de communauté" par une "appropriation culturelle" insultante [[ ce dont ne se privent, pourtant, jamais les imposteurs libéraux qui insultent, aussi, dans les mots…]]. Et de fournir une liste de chausse-trapes à éviter dans le choix des costumes. Par exemple pour ceux qui choisissent un costume rigolo : "L'humour est-il fondé sur le fait de 'se moquer' de vrais gens, de traits humains ou de culture ?" Évidemment, cela limite…
Erika Christakis, épouse de Nicholas et prof de psychologie de l'enfant à l'université, a le malheur de réagir [[ tout n’a-t-il plus le « droit » que d’être un monologue, monologue intouchable auquel nul-le ne peut répondre ? ]] dans un mail à la communauté, jugeant que l'interdiction d'une robe de Halloween "à laquelle on peut objecter d'être 'appropriatrice'" n'est guère éloignée du fait d'empêcher "un enfant aux cheveux blonds d'être Mulan, l'espace d'une journée". Et de s'interroger : … » s’interroger sur le fait que…1) - les colonisateurs illégitimes privent du droit de réponse légal qui subit leurs attaques injustifiables ? …2 ) – que ce dont ils accusent les autres c’est exactement ce qu’ils pratiquent en très grand et sans le moindre honneur (ils devraient donc, logiquement, se mettre eux-mêmes, en prison ?). Impossible d’être un illégal colonisateur culturel et de se présenter tel un colonisé spolié. Cette manière de se débarrasser des esprits désintéressés disqualifie qui l’emploie…
Théorie-de-la-culture/-4-l'hégémonie-culturelle-selon-Gramsci
CHANGER par la culture…L’HÉGÉMONIE CULTURELLE : « Constatant que les révolutions communistes promises par la théorie de Marx n’avaient pas eu lieu dans les sociétés industrielles de son époque, Gramsci formule une hypothèse. Si le pouvoir bourgeois tient, ce n’est pas uniquement par la main de fer par laquelle il tient le prolétariat, mais essentiellement grâce à son emprise sur les représentations culturelles de la masse des travailleurs. Cette hégémonie culturelle amenant même les dominés à adopter la vision du monde des dominants et à l’accepter comme « allant de soi » [[…ce conformisme absurde allant jusqu’à attaquer qui met en cause l’illégitimité du système…des dominés le défendent donc bien plus âprement que les dominants lambdas…]]..
Cette domination se constitue et se maintient à travers la diffusion de valeurs au sein de l'École, l'Église, les partis, les organisations de travailleurs, l'institution scientifique, universitaire, artistique, les moyens de communication de masse… Autant de foyers culturels propageant des représentations qui conquièrent peu à peu les esprits et permettent d’obtenir le consentement du plus grand nombre.
Pour renverser la vapeur, toute conquête du pouvoir doit d’abord passer par un long travail idéologique, une lente préparation du terrain au sein de la société civile [[ ce que pratique ce blog…]]. Il faut, peu à peu, subvertir les esprits, installer les valeurs que l’on défend dans le domaine public afin de s’assurer d’une hégémonie culturelle avant et dans le but de prendre le pouvoir.
Exemple récent, l’idéologie néolibérale qui s’est auto-instituée comme seul système d’organisation économique possible. Il est le fruit d’un long travail sous-terrain de conquête des esprits depuis les cercles de réflexion d’économistes américains et européens (think-tanks) des années 50 aux journalistes, hauts fonctionnaires, leaders d’opinion, lobbys et artistes qui imposent peu à peu ses principales idées dans la sphère culturelle : « La compétition généralisée est saine », « Le marché s’auto-régule », « Il faut limiter les dépenses publiques et baisser les impôts », « L’État est un mauvais gestionnaire », etc.) avant de connaître une traduction politique dans la prise de pouvoir par Ronald Reagan aux États-Unis, Margaret Thatcher en Angleterre jusqu’à Deng Xiaoping en Chine. »…La suite chacun-e l’aura vécu mais en ignorant comment sa vie aura été volée en petite ou grande partie (selon que nous aurons fait l’effort de comprendre à fond, donc de résister...ou non. Dans le cas d’efforts, nous ne subissons qu’aux lisères leurs injustices…pour le reste nos vies intérieures, où il n’y a vraiment rien d’eux, sont ardentes…au point qu’aucun de « leur » spectacle ne peut nous tenter…nous vivons concrètement bien mieux !]].
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Qui-traque-les-internautes ?-Les-"détraqués" -?
« Quelques clics sur le site d'un vendeur en ligne, une rapide recherche sur les nouvelles tendances mode de l'hiver, ou encore une commande sur Amazon, et nous voilà submergés de publicités liées à notre récente activité sur le web. Vient ensuite le désagréable sentiment d'être traqué par les géants du web - une réalité au regard des données de l'étude de Ghostery et Cliqz portant sur l'analyse de plus de 144 millions de pages chargées par 850 000 internautes d'une vingtaine de pays.
Il en ressort en effet que 77,4 % du total des pages chargées contiennent des traqueurs d'activité web. Sans surprise, Google est le champion hors catégorie de cette pratique, avec près de 65 % de pages traquées sur les 144 millions chargées. Vient ensuite Facebook, qui traque 28,8 % des pages analysées. Une entreprise française figure parmi les plus intrusives : 6,5 % des pages chargées sont en effet traquées par Criteo, spécialisé dans le reciblage publicitaire personnalisé sur Internet. »…Disons que le bloqueur de pubs rend ceci très inefficace et que le fond de la confusion demeure l’égal accès (le libre accès) de tous à l’internet-bien commun. Ce débat de fond – nous le reprendrons dans un de nos prochain texte…
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Le-système-scolaire-est-dépassé,-par-ici-la-sortie
Conformiste, anxiogène, inadaptée au marché du travail… L’école traditionnelle a vécu, selon Ken Robinson, expert en éducation. Lui prône un modèle où prime enfin l’audace. Dans : « Changez l’école ! La révolution qui va transformer l’éducation », de Ken Robinson, 464 p.
Il est urgent de refonder nos systèmes scolaires publics de masse. Leur modèle idéologique et organisationnel, assure l’Anglais Ken Robinson, est resté quasi inchangé depuis le milieu du XIXe siècle, époque à laquelle ils ont été créés pour répondre aux besoins en main-d’œuvre et en personnel de la révolution industrielle. Originaire du milieu ouvrier de Liverpool, ex-enseignant, Ken Robinson, qui vit désormais aux Etats-Unis, est devenu, en quarante ans, un expert reconnu dans le monde entier sur les questions d’éducation (la conférence TED qu’il a tenue en 2006, consacrée au manque de créativité de nos écoles, a été visionnée par plus de trois cents millions de personnes à ce jour !). Il en appelle à une révolution éducative : dans leur vision standardisée de l’enseignement comme dans leur fonctionnement quotidien, ces systèmes scolaires ont vécu. Dans son dernier livre, Changez l’école ! La révolution qui va transformer l’éducation (464 pages), il appelle à la fondation d’un nouveau modèle scolaire : organique, adaptatif et créatif...enfin – qui « élèvent » les « élèves » (donc devant être élevés, portés vers le haut, agrandis et exaltés)…et pas du tout rabaissés, spoliés, maltraités et disqualifiés…les mots l’emportent partout ! Il faut que chaque élève s’élève…
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Mots très cruels et prouvant la maladie mentale – les pauvres sont donc des employés, rendus inertes, que « l’on peut renvoyer » ? Comme des droits de vie et mort sur les humains – il y a trop de fausses élites qui déraillent dangereusement. Protégeons-nous de ces fous…
Le langage nous protège vraiment et trace même les accès vers les saines sorties. Quitter le capitalisme c’est retrouver, à la fois, la santé mentale et la grande joie de vivre. Ce n’est pas un hasard. Nos vies intérieures demeurent inaccessibles et inattaquables – surtout celles de qui fait…l’effort de vivre déjà « dans » la nouvelle civilisation…
………………………………..…où pas un mot ne manque à l’appel !
……(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuitshttp://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 600 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Un militant dénonce une "appropriation" de la souffrance noire devant "Open Casket", un tableau de Dana Schutz représentant l'assassinat sauvage d'un adolescent en 1955.
Changer nos habitudes d’enseignement/apprentissage pour mettre fin à un système éducatif trop conformiste ; un système qui met à l’écart celles et ceux qui n’entreraient pas dans le moule, c’est l’idée que veut faire passer le spécialiste en éducation, Ken Robinson dans son ouvrage qui vient (enfin) de sortir en français, L’élément.
Tu t'es déjà demandé si tout ce que tu voyais n'était pas soigneusement trié ?
http://www.informaction.info/video-reflexion-personnelle-tu-es-prisonnier
Tu t'es déjà demandé si tout ce que tu voyais n'était pas soigneusement trié ?
LeMedia.tv : riposte face à l'hégémonie culturelle capitaliste ?
Comment prendre le pouvoir ? (Hégémonie culturelle et héritage pratique)
parce que...
États-Unis. Neutralité du Net, une victoire pour la Silicon Valley
Ces dernières années, les grandes entreprises technologiques de la Silicon Valley ont acquis un très grand pouvoir politique. Dernière illustration : leur victoire annoncée pour la "neutralit...
La Commission fédérale des communications américaine (FCC) devrait donner le 26 février son accord pour réguler Internet comme un service public et ainsi garantir un accès égal pour tous les services en ligne, rapportent The New York Times et The Washington Post. Une victoire importante pour les entreprises de la Silicon Valley, qui montrent qu’elles peuvent maintenant tenir tête “aux lobbyistes les plus puissants de Washington”, estime le quotidien de la capitale.... (à suivre).
en quoi l’école tue la créativité ? Déjà 300 millions de vus…