Chacune de nos pensées reste influencée par notre chair
L’origine de la vie était donc déjà, il y a 3.8 milliards d'années, régie par une attitude «morale» et le déploiement de tactiques «de raisonnements » ? Oui. Si la chair vient de l’esprit c’est une merveille mais si l’esprit de la chair c’est une merveille de merveilles…Cette parole, rarement relayée puisqu’elle annule les errements cartésiens, cette si toxique déraison qui a « permis » le scandale inhumain du capitalisme, se trouve dans ce qui est dit les Écritures…Et donc ? Un droit fil depuis le tout début de l’intelligence humaine parcourt toutes les civilisations et l’Histoire (une fois celle-ci purifiée de l’idéologie occidentale, cette folle déraison qui « croit » que le pouvoir « dominateur » – non le pouvoir créateur si sain – se produit en…écrivant, donc réécrivant l’histoire des autres peuples. A leur place). De vrais vandales, oui…Nous, nous restituons à chaque peuple son authentique histoire (seul moyen .de sauver toute l’Humanité). Et donc ? Seuls des ANTICONFORMISTES …ces exemples de courages de ceux/celles qui n’obéissent à fond qu’à leurs …cœurs (ces délicieuses coRazónes, le corazón qui a toutes les…raisons) et pas à sa tête, lardée des illégales manipulations des pouvoirs…illégitimes. Illégitimes car ils ne savent rien d’essentiel, ne connaissent rien au fil intraitable qui tresse la vraie Humanité (celle que la trop fausse « mondialisation » ne connaît ni ne reconnaît surtout pas). Et comment reconnaître l’Humanité ? Par son sentiment, par l’abondance de ses sentiments justement. Et alors ? Le capitalisme fou qui bannit tout amour ne sait pas NON PLUS PENSER. Sa métaphysique…pue intensément l’irrationnel qui gangrène tout : il n’a, de ce fait, « aucun droit » de diriger l’Humanité. Point barre. C’est ainsi…décampe de tous les camps des sentiments ! Casse-toi, toi le cassé ! Descartes avait tort, totalement : l’insensibilité affective du capitalisme devient donc un crime…celui même que nous allons découvrir
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L'OBS. Nous aimerions tellement être de purs esprits que nous refusons de voir la dimension charnelle de notre cerveau [[ qui peut donc se sensualiser à fond…]]. C'est aussi flagrant, dites-vous, que s'il y avait un éléphant dans le salon, et que tout le monde faisait mine de l'ignorer...[[ mais surtout les fausses élites et les classes qui s’autoproclament « supérieures » en agissant toujours plus…bassement ! Et, pratiquement, ne peuvent donc pas l’être…supérieures !]].
Antonio Damasio. Nous pensions, nous voulions croire que notre pensée et même notre cerveau étaient aux commandes de toute démarche intellectuelle, or cela n'est pas vrai. Voici plus de trente ans, j'ai conduit des études neurologiques sur des patients apparemment rationnels, souffrant de lésions cérébrales dans certaines zones liées à la perception des émotions. J'ai découvert alors que ces blessures affectaient leur manière de penser et la façon dont ils ressentaient leur existence. La puissance de ce lien entre état affectif et prise de décisions m'a énormément surpris [[ en gros, si t’as pas de cœur, tu décides toujours faux…et donc tu avoues même un… immature « même pas mal » lorsque, par ton incompétence décisionnelle, tu fais souffrir les autres et que tu leur fais mal. La compétence décisionnelle commence par…avoir du cœur, croire aux sentiments ! C’est ainsi. T’as perdu mais tu ne rends pas encore compte !]].
Chacune-de-nos-pensées-se-forme-sous-l'influence-de-notre-chair
Nos raisonnements ne s'opèrent pas seulement à partir des faits, de la logique, ils s'effectuent en interaction constante avec les innombrables modifications qui interviennent à tout instant dans notre corps. [[ nous ne sommes donc pas une vitrine glacée, une image plate qui jouerait…un rôle. Tout ça c’est du fake comportement ! Nous vibrons de vie et devons rejeter les vieilleries consommatoires, indignes des humains…]]. Celles-ci influencent le «ressenti» de nos cellules, de nos organes, et leur niveau de bien-être ou de stress. Ce ressenti est ensuite perçu et analysé, à différents niveaux, par notre cerveau, qui, en retour, envoie des «instructions» chimiques par l'action de molécules comme la sérotonine ou le cortisol. Il s'agit là d'une coopération, d'une interaction : la moindre de nos cellules est affectée par nos sentiments. » [[ Ce qui transforme qui nie, dénie et renie les sentiments à se trimballer avec un corps mort…]].
Antonio Damasio affirme dans les pages de l’hebdomadaire : «Chacune de nos pensées y compris le sentiment de soi ou notre subjectivité se forme sous l’influence de notre chair. » Le neuroscientifique, met en lumière les modestes origines de la grande intelligence de l’être humain [[ qui n’oublie plus…l’intelligence du cœur !]]. Il évoque pour cela les stratégies mises en œuvre par les organismes unicellulaires apparus il y a 3,8 milliards d’années et à l’origine de la vie, qui possèdent les apparences du raisonnement : « Dans un environnement riche en substances nutritives, les bactéries peuvent se permettre de mener des existences relativement solitaires. Mais si les ressources font défaut, ou face à une agression, elles s’agglutinent pour constituer des groupes, y compris avec des bactéries dotées d’un autre génome. Et si elles détectent des "déserteurs" dans leurs rangs, qui mettraient la réussite du groupe en péril par leur "égoïsme", elles les mettent à l’écart. » L’égoïsme est bien un délit antisocial…
Antonio Damasio, interrogé par Véronique Radier, évoque également l’incapacité des hommes à reproduire la « matérialité des sentiments » sur des robots dotés de l’intelligence artificielle. Selon le neuroscientifique : « [... ] même si nous parvenons un jour à doter ces robots d’une forme d’instinct de survie, cela resterait toujours une simulation. [...] La dynamique de la vie, sa quête incessante de sources d’énergie, les impérieuses nécessités physico-chimiques du métabolisme, ne peuvent être dupliquées. » Voici qui met fin aux délires trop intéressés sur l’intelligence artificielle par un net « les robots n’ont pas de cœur », ils ne vivent pas les sentiments et les émotions – comme le système de régression civilisationnelle qui en fait l’éloge aussi malsain. Et veut placer les robots AVANT l’attention ferme que nous devons porter aux humains…et donc ce système avoue qu’il n’a aucun cœur. Ce qui, malgré ses grinçants ricanements, le rapproche tellement plus rapidement qu’il ne croit…de la sortie. Oui, il n’a aucuns moyens physiologiques pour savoir estimer sainement une situation, exercer des raisonnements (puisque les émotions sont rationnelles), etc. et donc…diriger les autres…Oui toujours plus prés de son abolition pour insensibilité nuisible et inertie handicapante devant les problèmes essentiels !
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Nous oublions trop souvent que les sentiments sont, physiologiquement, des émotions, des extensions d’émotions. Qu’il faut donc rattacher à ce vaste domaine afin d’en élucider une partie…Comme ceci…
« L’étude des sciences cognitives remonte aux années 1940. Pourquoi a-t-il fallu attendre les années 1990 pour qu’on se penche sur l’affect ? David Sander :– On a longtemps pensé qu’il s’agissait de phénomènes très subjectifs, intimes et donc difficiles à mesurer. Les outils manquaient. L’étude philosophique de ce domaine est beaucoup plus ancienne, mais grâce aux neurosciences et à la psychologie, on a ajouté un côté expérimental. Le succès des sciences cognitives y est pour beaucoup. Quand on a vu tout ce qu’elles pouvaient apporter, on s’est dit qu’il n’y avait pas de raison de ne pas reprendre les mêmes outils conceptuels et techniques – la neuro-imagerie fonctionnelle notamment, avec l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) et les électroencéphalogrammes (EEG) – et de les appliquer aux émotions.
Les-émotions-sont-souvent-rationnelles
– Comment définissez-vous une émotion ? – Il ne s’agit pas d’un état mais d’un processus dynamique [[ normal pour…mouvoir éMouvoir que de se montrer dynamique…sans elles nous serions ...immobilisé-e-s et apathiques (sans pathos, donc sans sym-pathies aussi)...prochaine étape apprendre à écouter les mots ?]].. Contrairement à une humeur, il est toujours déclenché par un événement, un objet. On a peur de quelque chose, on est en colère contre quelqu’un. Et pas n’importe quel objet, seulement ceux qui sont jugés importants par un processus d’évaluation basé sur vos buts, vos besoins ou votre humeur du moment. La vue d’une bouteille n’aura pas le même effet sur vous si vous avez soif ou non. Un but marqué par une équipe de football provoque la joie ou la tristesse selon le camp que vous soutenez. Il y a donc une très grande variabilité entre les personnes mais aussi chez une même personne dans les réponses émotionnelles.
– En quoi consiste cette réponse ? – On peut la décomposer en quatre parties. L’expression de l’émotion sur le visage, dans la voix, la posture. La réaction du système nerveux périphérique: nœud dans l’estomac, transpiration, rythme cardiaque. La tendance à l’action face à l’événement déclencheur. Et enfin, le sentiment subjectif, la partie consciente de l’émotion, comme lorsque quelqu’un vous dit qu’il a peur d’une araignée.
– Comment s’y prend-on pour mesurer les émotions ?– C’est un grand défi. Il y a trois méthodes principales. La première reste le rapport verbal. La seconde est psychophysiologique, on mesure la réaction du système nerveux périphérique: la résistance électrique de la peau – qui est une mesure indirecte de la sueur –, la température de la peau, le tonus musculaire, la respiration, la pression ou l’activité cardiaque. On place aussi des capteurs sur les muscles du visage, comme les zygomatiques, pour détecter les sourires. Et puis l’imagerie cérébrale.
– Vous disposez à Genève d’un laboratoire bien équipé. -– Le Brain and Behaviour Laboratory est unique en Suisse. Nous avons une salle de réalité virtuelle. Grâce à des lunettes, nous pouvons immerger nos participants dans des environnements 3D extrêmement bien contrôlés. Nous avons même la possibilité de diffuser des odeurs pour rajouter un stimulus olfactif aux stimuli visuels et auditifs. Nous pouvons créer des contextes, comme celui d’un tram bondé, pour voir comment les sujets réagissent aux incivilités ou aux odeurs corporelles. Nous avons aussi un système de mesure de la réponse psychophysiologique, un IRM fonctionnel et un laboratoire consacré à l’étude du sommeil et de ses troubles. Il semble en effet que ceux-ci soient étroitement liés aux émotions. Ainsi, chez les gens souffrant de narcolepsie, les brusques endormissements sont souvent déclenchés par une émotion forte. Des chercheurs ont par ailleurs remarqué qu’une région du cerveau traditionnellement associée à la peur, l’amygdale, est beaucoup activée pendant les rêves.
– Pourquoi associe-t-on l’amygdale à la peur ? – Cela vient d’observations faites sur des patients souffrant de lésions bilatérales de l’amygdale et qui suggéraient que ceux-ci avaient un trouble émotionnel à ce niveau-là. Le cas le plus connu est celui d’une femme qui n’a soi-disant jamais connu la peur. Ce n’est que récemment que des chercheurs ont réussi à l’effrayer en l’asphyxiant. Mais sa réaction a été bizarre, une sorte de peur panique énorme. Elle n’a par ailleurs rien appris de cette expérience et n’a pas montré de signes d’anxiété à l’idée de s’y prêter à nouveau. Cela suggère que l’asphyxie est peut-être une peur assez spécifique, basée sur la perception de stimuli internes et liée à d’autres structures du cerveau. Alors que l’amygdale serait plus tournée vers l’extérieur.
– Quelle influence les émotions ont-elles sur les autres processus cognitifs ? – Elles ont un effet sur l’attention, la mémoire ou la prise de décision. Les gens qui ont une phobie des araignées développent une attention accrue pour ce genre de stimuli. On sait aussi que les gens sont plus attentifs aux visages menaçants. Mais il n’y a pas que les éléments négatifs qui captent efficacement l’attention. On a par exemple observé que si l’on montre un écran avec un visage de bébé et un autre visage à un sujet, il aura ensuite un biais d’attention dans la direction où était l’enfant. Il détectera beaucoup plus rapidement un point qui apparaît dans cette région. Le système de mémoire [[ ce qui nous permet de mieux mémoriser intentionnellement en se raccordant à diverses parties du corps et en usnt des émotions : cette mémoire « corporelle » se « retrouve » en se concentrant sur les sens…cela est plus effectif pour les anticonformistes qui ont toujours refusé le diktat du « tout se passe dans la tête » !]] est aussi plus performant sous le coup de l’émotion. Le phénomène est très fort. Tout le monde se rappelle ce qu’il faisait le 11 septembre 2001. Le cerveau va mieux coder l’information, la stocker et la consolider. Il nous sera plus facile d’aller rechercher le souvenir d’un événement vif que neutre, nous aurons plus confiance en cette évocation et elle sera plus détaillée [[ au lieu de vivre fin comme du papier, vivons profonds comme tout l’espace !]]. Ce processus est d’ailleurs intéressant par rapport au traitement journalistique des nouvelles qui a parfois tendance à privilégier les événements chargés émotionnellement.
– On met souvent en opposition émotion et cognition. Pourtant, il semble que les deux soient très intriquées. – Il est faux de penser que les émotions sont irrationnelles. [[ mais qui l’a fait penser sinon les plus …qu’irrationnels bas intérêts économiques ?]]. Elles sont au contraire très bien adaptées à notre environnement et notre quotidien [[ et la « peste émotionnelle » est bien une diffamation de personnages qui usent d’injustices sociales et de fraudes mentales et…ne veulent surtout pas entendre les douleurs des spolié-e-s de leurs exactions ! Aussi simple que cela !]]. Il peut arriver qu’une réaction émotionnelle soit inadaptée, mais il est tout à fait rationnel d’avoir peur lorsqu’il y a un danger ou de se mettre en colère quand on nous insulte. Les émotions sont un des éléments qui influencent notre prise de décision. [[ ce pourquoi les pouvoirs de perversions narcissiques veulent tant perturber ces émotions…qui décident ! Halte là…]]. Les réactions des autres peuvent vous sembler irrationnelles, celle d’adolescentes qui hurlent devant un boys band, par exemple. Mais si on décortique le processus, ces moments sont extrêmement importants dans l’échelle de leurs buts et de leurs besoins. »…N’oublions pas nos traitements si dissymétriques qui nous surprennent à toujours nous percevoir comme hyper rationnels et les autres comme…évidemment irrationnels. L’anti-communication (utilisée par les médias vendus) fonctionne sur de telles idéologies : donc aucune rationalité car aucune objectivité !
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Pour qui veut approfondir, pour soi, ce si passionnant domaine, voici des pistes plus ou moins fécondes…
La-prise-de-décision-:-aspects-théoriques-neuro-anatomie-et-évaluation
« Prendre des décisions allant dans le sens de nos intérêts propres ou de ceux de nos proches constitue une faculté complexe, indispensable à l’adaptation et à l’autonomie. [[ et c’est une grave négligence de la société qui ne nous l’apprend pas à l’école…]] Nous exerçons quotidiennement cette faculté dans de nombreux domaines de la vie quotidienne, tels ceux des finances, des soins, de l’habitat ou encore du travail. L’accent est mis sur le rôle de la cognition et des émotions [[ les émotions et les sentiments font…comprendre avec plus de profondeurs…]] dans la prise de décision, sur les structures cérébrales impliquées dans la prise de décision, ainsi que sur les paradigmes d’évaluation de la prise de décision accessibles. »
émotions-:-ce-que-la-science-nous-révèle
L’étude des émotions et des sentiments a longtemps été laissée de côté. Trop subjectives, trop difficiles à mesurer. On commence toutefois à mieux apprécier leur nette influence sur le reste des processus cognitifs : l’attention, la mémorisation et, au final, la prise de décision.
Êtes-vous-heureux-en-méninges-?
Réfléchir, cogiter, s’émouvoir, décider… L’intelligence, ça s’apprend. Et l’on voudrait nous faire croire que les machines seront bientôt tout à fait capables de prendre des décisions. Ce qui est atrocement faux : jamais elles ne décideraient valablement à notre place. Seuls des robots ahumains capitalistes peuvent régresser ainsi…. Il est donc urgent de se préparer à barrer la route à la folie robotisée, alerte la philosophe Catherine Malabou…Ainsi : « Notre cerveau est un encombrant compagnon de vie. Surtout depuis qu’on découvre, fasciné et soupçonneux, ses secrets de fabrication, et qu’on essaie de le copier. En 2017, l’intelligence est partout, même où on ne l’attend pas : téléphones, voitures, robots, caméras, tout est « smart » (intelligent) ! Les agrégés de futurologie promettent de synthétiser nos neurones, de simuler le langage, de miniaturiser la pensée et de la distribuer en réseau. [[ ce qui ne restera qu’une…simulation, pas une « vraie » décision, qui prend en compte toutes les données en cause, prévient le si sain Damasio…]]. Avec son vertigineux projet Blue Brain, l’École polytechnique fédérale de Lausanne tente même de reproduire ce qui tempête sous nos crânes, armée de supercalculateurs IBM [[…le manque de véritable réflexion « derrière » ce genre de puérilités n’existe que par surévaluation de la technologie (donc des technocrates)…désolé, la science c’est beaucoup mieux !]].
Et nous, dans tout ça ? Depuis le début des années 2000, la philosophe Catherine Malabou, ancienne élève de Jacques Derrida, tente de sonder cette étrange mécanique reliant vie biologique et vie symbolique, prise en tenaille entre les sciences dures et les sciences « molles ». Donc injustement négligée, comme condamnée à rester un gadget marketing pour méthodes de développement personnel. En 2004, Malabou formule une première interrogation dans un livre incomplet : Que faire de notre cerveau ? … [[ facile : il faut le brancher cœur, le brancher sur les sentiments et émotions…en faire un cerveau « sensualisé » où chaque pensée devient sensation. Et donc balayer les discours technocrates, dont le marketing, et toutes leurs paroles d’insensibilités…comme ne servant à rien, comme étant plus que…hors sujet. Du balai ces surgeons pénibles de l’égarement capitaliste !]]. »
-émotion-cognition-et-décision
Schwartz (2000). Émotion, Cognition et Prise de décision…avec « La mémoire des sentiments passés »…où nos émotions influencent nos choix, tout autant que nos choix influencent nos émotions. Et tout ce que nous pouvons en apprendre…
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Pourquoi les sciences affectives ont-elles été si délaissées ? David Sander répond: que les « sciences affectives » c’est « un domaine académique qui rassemble l’ensemble des disciplines qui s’intéressent au champ affectif (émotions, humeur, motivations, préférences, etc.). Les trois branches principales sont la psychologie, la philosophie [[ avec son « philo » de l’amour ]] et les neurosciences. Mais il y a bien entendu les humanités [[ si bien nommées ]] – littérature et histoire notamment – et on touche aussi à l’économie, avec la remise en question des modèles strictement irrationnels [[ dont l’absurdité capitaliste ]], ou encore à l’informatique. On rêve depuis longtemps de systèmes d’intelligence artificielle qui sachent reconnaître les émotions des gens, grâce à leur rythme cardiaque ou à leur activité cérébrale, par exemple, et réagir en fonction. » Sauf que ces robots glacés n’ont aucune aide concrète à offrir. Et les vrais humains oui.
Humains qui ont été mis en prison par une horreur sans nom : leur faire croire que leur imagination « n’existe pas », que les émotions « faut les réprimer », que les sentiments « c’est pour les femmes évaporées », et que l’esprit et le corps sont implacablement « séparés »…L’esprit dans son bureau-cachot qui doit tout réprimer de ce corps, le dompter, l’handicaper lourdement, le châtrer, lui mener une vie d’enfer, etc.…parce qui lui « sait ». Sait quoi ? Incapable de répondre, la tête qui ne se tète pas…et ne sait donc pas…sans les sens ! Oui ? Et voici que nous sortons, enfin, de l’enfer des religions et de leurs répressions charnelles – dont la pire de toutes est bien la si liberticide Religion capitaliste qui S’EST TROMPÉ SUR TOUT (non il ne faut pas « travailler toujours plus »mais bien « travailler toujours moins ». L’écologie qui est une science plus sérieuse que la non-science de l’économie a raison – pas le capitalisme irresponsable (la Terre est le bénéfice commun que nous devons protéger contre les…dérégulés, ces vrais déréglés !)… Avec son anti-civilisation du profit, ce coût gigantesque en fait – coûts reposant sur tant de gaspillages quotidiens, destructions de la terre fertile (« la vraie richesse » pour les physiocrates), et les pillages insensés des ressources non renouvelables…clair, qu’ainsi reformulé, le soi-disant « profit » de l’un devient un…coût surmultiplié pour tous les autres. Le concept « profit », intégralement malhonnête et in-objectif, ne doit plus jamais être employé chez les humains…des.
La Religion capitaliste qui S’EST TROMPÉ SUR TOUT ? Non, le corps et l’esprit ne sont pas séparés, ils ne sont d’ailleurs pas en concurrence, mais forment bien un Tout que jamais l’arriération libérale n’a pu comprendre. Les émotions font mouvoir d’émouvoir tout le corps, les sentiments c’est partout du senti (donc du ressenti) soit ce qui offre LE SENS complet (sensible, sensitif, sensationnel, sensuel et…sensé – insensé donc qui nie et renie les sens !). Et le tout pour aider l’humain à entrer dans l’apothéose : vivre à fond les sentiments…d’Humanité. Joindre la Terre et son peuple, les terriens devenus, enfin, terre à terre, les 2 pieds bien sur terre (et pas hors sol comme les fausses élites libérales s’égarent !)…Rien n’a pu, en effet, dans tout l’univers été aperçu qui ressemblerait, même de loin, au système capitaliste…qui n’est donc…qu’un entêtement local, surtout pas universel…il ne peut, en conséquence, parler que pour lui, pas pour les autres…ce qui devient essentiel depuis que nous savons qu’il a tort sur toutes choses importantes et centrales…
…..………….Et, qu’en trois mots, la vraie vie N’EN VEUT PAS !
………..........…(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 600 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Couper le lien avec son Ego c’est grandir immensément : l’égoïste ne comprend rien à ses « vrais intérêts »…en très gros, moins vous pensez intéressé-e-s à vous et plus vous… recevez…
Sans les « sentiments moraux »….le capitalisme ne peut fonctionner sinon comme un dérèglement : l’inculte libéralisme n’a rien compris !
l’IE ne restera qu’une…simulation…
Pour les émotions apprendre de son enfant - il est tellement plus...spontané !
Quelque part entre le psychologique et le biologique, le berceau des sentiments
La puissante interaction de chaque cellule de notre corps avec notre esprit
Alors que nous serions beaucoup à refuser la dimension charnelle de notre cerveau, le neuroscientifique nous dit que notre pensée et même notre cerveau ne sont pas aux commandes de toutes nos ...
https://www.franceculture.fr/emissions/la-revue-de-presse/la-revue-de-presse-lundi-25-decembre-2017
Radio - Alors que nous serions beaucoup à refuser la dimension charnelle de notre cerveau, le neuroscientifique Antonio Damasio nous dit que notre pensée et même notre cerveau ne sont pas aux commandes de toutes nos démarches intellectuelles.
Éditions du rocher Traduit de l'anglais (États-Unis) par Nikou Tridon Titre original : The Biology ofLove. Première édition : Prometheus Books, New York, 2000. © Éditions du Rocher, 2001, pou...
http://psycha.ru/fr/janov/2000/la_biologie_de_l_amour27.html
La biologie de l'amour...."l'amour social" existe puisque nous pouvons tant changer le monde...à partir des sentiments...
Le rôle des émotions dans la prise de décision la plus essentielle...
L'apport des Neurosciences Affectives
Penser avec son ventre : L'emprise de notre estomac sur notre cerveau| Ruairi Robertson | TEDxFulbri
Garder l'esprit très ouvert, s'apercevoir que le corps et l'esprit interagissent: quand on agit sur l'un l'autre réagit. On salive en pensant à son plat préféré !, etc.
Le corps, cet immense continent sondé depuis bien des temps, et pourtant recelant encore bien des mystères pour les scientifiques. Les questions autour de la relation entre le corps physique et l'esprit demeure encore faiblement connue à ce jour. C'est pourquoi, nous avons tenter d'obtenir des éléments de réponse en demandant s'il existait réellement une relation entre le corps et l'esprit et si oui, comment cela pouvait-il se traduire?