Drogues – mais qui sont les trafiquants ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Drogues – mais qui sont les trafiquants ?

Assez incroyable comment toutes les actualités paraissent alignées afin de comme accuser les dirigeants, si nocifs, oui de tous leurs agissements depuis les années 1960. Quasiment tous les jours, une nouvelle élucidation vient, telle un soleil, écarter les nuages de noirceurs. Oui, nous voyons plus clair. En même temps, que nous ressentons que la société complète se désincarcère d’eux, se dépêtre d’eux, se débarrasse paisiblement d’eux. Aujourd’hui, drogues - divers éléments et un récit historique qui relie de nombreux fils ( auparavant, dispersés par leurs lourdes propagandes !) et redonne un sens complet à tout ceci…Tout semble tellement se simplifier et toujours autour d’une question qui ouvre…tant de réponses, à la fois. Ici – « mais qui sont les véridiques fomentateurs des élévations prodigieuses de productions ? » Alors que, vues les sérieuses « guerres contre les drogues » cela devrait être l’exact inverse ? Oui qui ? Les même qui créent les répressions absurdes augmenteraient grandement les productions ? Il y a de cela : mais ce qui importe ce ne sont pas les personnages nominatifs mais la si vénéneuse idéologie ahumaine, cynique et profondément immorale qu’il y a derrière. Alors, drogues – qui sont les trafiquants ? Il semblerait que nombres de politiciens étasuniens en soient. C’est le système qui est pour mais dans une ambiance « inventée » de prohibitions…L’invasion, sinon absurde, de l’Afghanistan c’est parce que… « les Talibans interdisaient toute production d’opium et que les barons de la drogue ouzbeks et tadjiks ont, en réponse, participé à fond à « l’Alliance du Nord »…Nombre d’autres faits avérés sur Terre permettent de répondre à la grave question : « Le trafic de la drogue influence-t-il la politique mondiale des États-Unis ? »…la réponse étant oui, énormément…vérifions-le !

 

>>>>> 1)  - « Les productions augmentent, très fortement même ! Il n’y a donc pas de répressions bien réelles. Pour le central opium, par année, parcelles cultivées en hectares et production en tonne:

1994: 71,47 hectares. Production: 3,4 tonnes;

1995: 53,75 hectares. Production:2,3 tonnes;

1996: 56,82 hectares. Production:2,2 tonnes;

1997: 58,41 hectares. Production:2,8 tonnes;

1998: 63,67 hectares. Production:2,7 tonnes;

1999: 90,98 hectares. Production:4,6 tonnes;

2000: 82,17 hectares. Production:3,3 tonnes;

2001: 7,60 hectares. Production:185 tonnes;

2002: 74.000 hectares. Production: 3400 tonnes;

2003: 80.000 hectares. Production:3600 tonnes. »…. [[ Oui… 1000 FOIS PLUS en 20 ans. Par tous les faits, c’est trop sûr !]] (source : l"United Nations Organization Office on Drugs and Crime" (l'UNODC))…

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>>>>> 2)  - « Il n’y avait virtuellement pas de production d’opium en Afghanistan en 2001 lorsque les États-Unis ont renversé les Talibans pour rechercher ce que le ministre de la défense Donald Rumsfeld avait décrit comme littéralement des “douzaines” de bases avancées souterraines qui abritaient une armée de quelques 30 000 combattants d’Al Qaïda. Ces bases qui avaient été soi-disant “cartographiées” de la manière dont Netanyahou avait, bien plus tard, fait son graphique de la bombe iranienne à l’ONU, furent montrées dans des débats télévisés. L’Amérique cherche toujours ces bases, aucune n’a encore été trouvée. On a appris plus tard que les Talibans avaient en réalité été les “hôtes” de 12 membres saoudiens d’Al Qaïda qui avaient demandé un asile religieux et qu’aucune force taliban n’avait jamais existé en Afghanistan ni que personne ne fut jamais impliqué dans quelque attaque que ce soit sur les États-Unis et que rien ne pouvait les lier à l’Afghanistan ni au Talibans.

Le-trafic-de-la-drogue-influence-t-il-la-politique-mondiale-des-états-unis/

Une autre source de capital pour la drogue des officiels US met en scène des accusations proférées contre l’ancien candidat à la présidence des États-Unis, Mitt Romney. Fin 2012, quelques semaines avant les élections, un agent retraité du FBI ayant une certaine réputation, délivra des dossiers montrant la relation entre près d’un tiers des élus américains et toute une série de cartels de la drogue opérant depuis la Colombie et le Mexique.

Inclus s’y trouvaient des documents et des photographies montrant comment des milliards de dollars étaient blanchis au travers de comptes en banques aux îles Caïmans par une firme d’investissement américaine très connue, sur des comptes personnels aux noms de politiciens incluant des ténors du congrès des États-Unis, quelques 1500 comptes en banques en tout. Les liens des États-Unis au trafic mondial de la drogue n’ont rien de nouveau. Longtemps après que la Grande-Bretagne ait abandonné la traite des esclaves, l’Amérique continua ce commerce de la main d’œuvre africaine dont la force de travail devint de bien plus de valeur après l’invention du gin de coton par Eli Whitney. Bien que le coton fut “roi”, les véritable fortunes furent construites dans le trafic de l’opium après que la Grande-Bretagne ait aussi abandonné sa participation dans le trafic chinois de l’opium en sous-traitant le transit de l’opium avec des entreprises de marine marchande étasuniennes, créant ainsi la base de quelques unes des plus grandes fortunes d’aujourd’hui et la fortune des élites de “sang bleu” de la côte Est américaine.

(…) Plus près de nous, l’Amérique est en train d’être dévastée par un commerce illégal (mais licite…) de deux substances, la pire d’entre elles étant les opiacées pharmaceutiques. L’espérance de vie en Amérique a baissé ces quelques dernières années à cause du commerce des opiacés, dont la vase majorité est légalement fabriquée aux États-Unis et distribuée au travers d’ordonnances médicales en bonne et due forme écrite par des médecins sous licence avec l’agence anti-narcotique américaine ou l’USDEA. Au-delà de ça est la substance méthamphétamine (Meth), qui est fabriquée officieusement et largement distribuée à travers les États-Unis, un commerce mis en scène dans la série télévisée à succès “Breaking Bad”.

(…) Des sources très proches de ces opérations de l’époque décrivent un scénario différent. Elles décrivent un programme utilisant des pilotes gérant un trafic de drogues et d’armes sous la supervision de firmes sous-traitantes de la sécurité comme Kroll Group et Wackenhut, amenant des milliards de dollars à être blanchis au travers de ce qui était des bureaux propriété de la famille Bush, de la Bank of Venezuela, sise dans le bloc du 1400 Brickell Avenue à Miami.

Des “vieux de la vieille” de la CIA décrivent comment les chefs de cartels comme Pablo Escobar et d’autres voyageaient à travers les États-Unis avec les membres de l’équipe de Reagan, donnant des ordres aux officiels de la CIA et du FBI tandis que le ministère de la défense américain fournissait un équipement de brouillage électronique haute technologie afin de permettre à la cocaïne de pénétrer sans être détectée dans l’espace américain, où elle était larguée dans les marécages des Everglades de Floride et éventuellement, amenée directement sur des terrains d’aviation aussi loin au Nord que le Commonwealth de la Pennsylvanie.

Des douzaines de banques américaines, des grosses maisons d’investissement de Wall Street et des leaders politiques et de l’armée US de l’époque étaient impliqués jusqu’au cou [[ le document mis en lien est  long et cible bien tous les évènements survenus et les régions du globe où ils sont survenus, nous ne l’avons que peu retranscrit  – ce qui nous concernait c’est de bien cerner la conclusion générale pour tous ces faits qui, mis bout à bout, dessinent bien des certitudes, à gérer avec précaution toutefois, sur L’EXPLICATION globale concernant les drogues et leur non-traitement social sur Terre : ceci seul semble tenir la route. Et si rien ne l’infirme, et va même se conforter et se confirmer très bientôt ?]] »

Une-mondialisation-criminogène

 

Tout comme pour les précédents textes (dont le dernier, ce dégueu qui lasse tant !) c’est l’absurdité gangrenée du « faux » profit (qui coûte plus cher que ce qu’il prétend…gagner !) qui est la cause centrale…gaspillages énormes car le profit se fout de tout, obsolescence programmée car il est structurellement sale et antisocial, donc trop de déchets alors qu’une « société en cycle » les supprimerait tous, biomimétismes afin de résorber les pollutions (faire comme la Nature) si simplement, etc…tout ceci empêché par le profits vraiment fous. Et ces cœurs sales avec des têtes trop désorganisées transforment une problématique qui aurait pu être traitée…collectivement donc sagement en un immense bourbier si évitable…Oui ?

Puisque ? Ce qui n’apparaît nulle part ce sont les millions et millions de drames « artificiels » (qui n’auraient jamais dus avoir lieu !) qui ont pu briser tant de vies et n’auront existé que par les… immenses mensonges tordus, les pratiques très occultées qui font l’inverse des discours et l’hypocrisie d’une fausse lutte apparente afin de…mieux se monopoliser les productions. Mensonges aux sommets qui ont brisé toutes ces vies innocentes. Normalement, il faudrait aller chercher dans les poches de ces trop riches les milliards de milliards afin de réparer toute ces…injustices ! Avec d’immenses excuses en plus. En attendant, que les réparations soient, déjà, symboliques : fausses élites et dirigeants ce seraient une partie d’eux qui se devraient se trouver en prison. Pas le peuple !

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Trafic international de drogues : un enjeu Nord-Sud dans la mondialisation…le Sud ne doit rien avoir…tous les profits pour le seul Nord. Ainsi - le développement de la production des drogues, depuis 50 ans, c’est parce que les États-Unis y ont… joué un rôle majeur. Ce qui déduit que seraient eux, alors, les véritables dealers ?

Nous avons joint toute une documentation, issue de diverses sources, afin de recouper, autant qu’il est possible, ces informations tout de même assez déroutantes. Qui sont ? Que ce sont les dirigeants mêmes et les fausses élites (auto-proclamées) qui…désorganisent toute la société. Et nul-le autres…Oui, voici qui fait basculer toutes les idées reçues et démontre à quel point, par exemple, les U.S.A., aux sommets dirigeants, ont toujours pullulé de fake news (d’après nous, le trop illégitime battage actuel qui veut faire des victimes de la désinformation les…auteurs des désinformations aux sommets – devient la preuve accusatrice qu’ils ont trop de choses à cacher et qu’ils seraient donc – les membres illégaux de cette oligarchie illégale – à la merci de n’importe quelle révélation sur n’importe quel secteur de la société…Et donc ? Nous devons bien admettre que…

…nous a été dit, sur les drogues et les fausses guerres contre, que DU FAUX !

 

>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> -  AUSSI  -  <<<<<<<<<<<<<<<<<<<

Géopolitique de la production et du trafic de drogues illicites en Asie. Article paru dans : Hérodote n° 109, 2e semestre 2003, pp. 163-189. (Format PDF à télécharger en ligne)….    ou bien    Les-Etats_Unis_et_le_reste_du_monde

 

Mais les États-Unis, ou du moins certains services de leur appareil d’État, ont aussi largement instrumentalisé les drogues illicites, à travers leurs producteurs et leurs trafiquants, afin notamment de financer certaines de leurs opérations secrètes dans le monde. Les exemples abondent en effet de la place que le trafic de cocaïne ou d’héroïne a pu tenir dans les opérations de financement de la Central Intelligence Agency (CIA), du Laos et du Vietnam jusqu’au Nicaragua, en passant bien sûr par l’Afghanistan. L’ouvrage majeur d’Alfred McCoy, The politics of heroin in Southeast Asia (1972), a largement et brillamment traité du rôle que la CIA avait pu jouer dans le développement de la production d’opium et du trafic d’héroïne dans le contexte du conflit indochinois, avant d’étendre la dénonciation à la répétition du scénario lors de la guerre soviéto-afghane dans un second ouvrage, The politics of heroin : CIA complicity in the global drug trade (1991). Les États-Unis ont donc joué un double rôle sur la scène internationale, promouvant avec véhémence un régime mondial de prohibition de certaines drogues d’une part, et instrumentalisant de façon stratégique d’autre part le recours à l’économie illicite des opiacés par leurs acteurs interposés (proxies), Hmong (ceux du général Vang Pao, au Laos) ou Pachtoun (Gulbuddin Hekmatyar en Afghanistan), afin de financer les opérations secrètes de la CIA au Laos et en Afghanistan.

 

(…) Désormais, à l’échelle mondiale, les normes en matière de drogues illicites relèvent de l’adoption de trois textes par les Nations unies, la Convention unique sur les stupéfiants de 1961, la Convention sur les substances psychotropes de 1971 et la Convention contre le trafic illicite des stupéfiants et des substances psychotropes de 1988[1]. Enfin, diverses instances internationales appliquent les principes de ces traités, ou du moins tentent de les faire respecter : l’Organe international de contrôle des stupéfiants (OICS), et l’Organe pour le contrôle des drogues et la prévention du crime (ODCCP), dont dépend le Programme des Nations unies pour le contrôle international des drogues (PNUCID). Il ne faut pas omettre, dans ce dispositif international de lutte contre les drogues illicites et leurs maux sanitaires et financiers associés, des institutions telles que l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’Organisation internationale de la police criminelle (OIPC, ou Interpol), le Conseil de coopération douanière (CCD) et le Groupe d’action financière internationale (GAFI, créé par le G-7). Certes, organisations nationales et régionales ne manquent pas non plus dans ce paysage législatif et répressif avec, par exemple, pour les régions d’Asie principalement concernées, le Office of the Narcotics Control Board (ONCB) thaïlandais et la Shanghai Cooperation Organization (SCO, anciennement Shanghai Five) qui réunit la Chine, le Kazakhstan, le Kirghizstan, l’Ouzbékistan, la Russie et le Tadjikistan. »…

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Toute cette armada ne faisant rien contre les fomenteurs étasuniens, les principaux responsables de l’ampleur de la problématique Perverse : d’un côté sur-répression si défavorable aux conditions sanitaires des diffusions et, de l’autre, soutiens très forts aux productions (loi de l’offre) par les mêmes répressifs (qui ne se mettent donc pas eux-mêmes, en prison---alors qu’ils le « méritent » 100 fois plus que celles et ceux qui y sont !) ? Et donc ? On veut…

 

restreindre la vente tout en sur-multipliant l’offre.        Pas complètement fou et sur-corrompu ce système ?

 

 

…..……(à suivre)

 

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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 600 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

 

[1] Le texte des trois conventions est disponible en ligne : http://www.undcp.org/un_treaties_and_resolutions.html (page consultée le 28 mai 2002).

il n’est jamais parlé clairement de ce qui sont vraiment “les drogues”…un fourre-tout vraiment trop utile pôur n’importe quelle manipulation. Faute de ne pas connaitre le « champ rationnel », où reposerait la définition, tout ou presque doit être vu comme des propagandes.

il n’est jamais parlé clairement de ce qui sont vraiment “les drogues”…un fourre-tout vraiment trop utile pôur n’importe quelle manipulation. Faute de ne pas connaitre le « champ rationnel », où reposerait la définition, tout ou presque doit être vu comme des propagandes.

Drogues – mais qui sont les trafiquants ?
le nombre de morts ne correspond pas à si c’est légal ou non – la légalité n’est donc pas le vrai fond de la problématique.

le nombre de morts ne correspond pas à si c’est légal ou non – la légalité n’est donc pas le vrai fond de la problématique.

Vous faites une recherche avec « trafics de drogues »…au mieux vous obtenez ceci…que les zones de productions. Donc que le tout début de la chaîne globale du trafic ou – étrangement  - les U.S.A et l’Europe sont trop absentes, dessinées comme d’innocentes victimes des assauts du tiers-monde. Alors que, en réalité, c’est l’occident qui aura fomenté la majorité de la situation actuelle. Et donc ? Tant que l’idéologie règne, les désinformations prédominent !

Vous faites une recherche avec « trafics de drogues »…au mieux vous obtenez ceci…que les zones de productions. Donc que le tout début de la chaîne globale du trafic ou – étrangement - les U.S.A et l’Europe sont trop absentes, dessinées comme d’innocentes victimes des assauts du tiers-monde. Alors que, en réalité, c’est l’occident qui aura fomenté la majorité de la situation actuelle. Et donc ? Tant que l’idéologie règne, les désinformations prédominent !

pharmaceutiques

pharmaceutiques

Les alliés de l’Amérique sur le terrain furent appelés “L’Alliance du Nord”. En réalité ils étaient des barons de la drogue ouzbeks et tadjiks ayant des armées privées et qui avaient été financièrement évincées par les politiques anti-drogues des Talibans.

Les alliés de l’Amérique sur le terrain furent appelés “L’Alliance du Nord”. En réalité ils étaient des barons de la drogue ouzbeks et tadjiks ayant des armées privées et qui avaient été financièrement évincées par les politiques anti-drogues des Talibans.

lorsque le coton devint drogue...

lorsque le coton devint drogue...

Mais pour comprendre une situation complexe, il faut aussi envisager les points de vue adverses et, en l’occurrence, la façon dont les dirigeants américains actuels se représentent le monde et les causes de la puissance de leur pays. La religion tient une grande place dans leurs idées politiques et géopolitiques : ils estiment que la domination de l’Amérique sur le reste du monde est parfaitement légitime, puisqu’elle a été progressivement instituée par Dieu. C’est ce qu’ils appellent la « destinée manifeste » de l’Amérique, Dieu leur ayant confié la tâche de développer et d’étendre ? par tous les moyens ? les valeurs de liberté, de justice et de progrès, et de les défendre contre toute tyrannie. Il importe donc d’expliquer, tout autrement, en termes géopolitiques les causes successives de la puissance américaine.

Mais pour comprendre une situation complexe, il faut aussi envisager les points de vue adverses et, en l’occurrence, la façon dont les dirigeants américains actuels se représentent le monde et les causes de la puissance de leur pays. La religion tient une grande place dans leurs idées politiques et géopolitiques : ils estiment que la domination de l’Amérique sur le reste du monde est parfaitement légitime, puisqu’elle a été progressivement instituée par Dieu. C’est ce qu’ils appellent la « destinée manifeste » de l’Amérique, Dieu leur ayant confié la tâche de développer et d’étendre ? par tous les moyens ? les valeurs de liberté, de justice et de progrès, et de les défendre contre toute tyrannie. Il importe donc d’expliquer, tout autrement, en termes géopolitiques les causes successives de la puissance américaine.

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Afin de faire une analyse approfondie sur des événements, ayant lieu partout, accompagnés d’innombrables conflits et difficultés...il est important de se préparer à tous les niveaux, en prenant soin surtout de notre monde intérieur...gaffe, lorsque nous regardons...

Publié dans qui fuit le réel

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U
tonta del culo
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V
Un petit pour vous dire que votre blog est super!
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