On recommence à rire ?

Une société mourant de tristesse  a-t-elle encore un avenir ? Les fautes de frappes ourlaient « FINI DE RIRE | La Liberté d’Expression »…il fallait, bien évidemment, lire « Nous commençons à rire ». Oui tout juste. Nous ne nous sentons pas puni(e)s de toutes les « dépolitiques » effectuées sans nous. Nous ne rencontrons plus les pressions, les propagandes qui s’auto-autorisent et les pervers harcèlements des sommets…nous sommes présent-e-s à tout autre chose…A la seconde qui seconde la seconde qui…seconde la seconde qui…et qui évoque le plurivoque sans équivoque – les dialogues pas les monologues cyniques et fainéants des pouvoirs ! Nous ne sommes plus des enfants courbés sous la férule infaillible d’un paternalisme macho de très mauvais aloi…Nous sommes les adultes de l’immense Majorité face à l’infantilisme trop démontré de pouvoirs minoritaires. Très. Rire c’est la santé et nous n’allons pas gâcher ce bienfait en riant…d’eux. Quelles prétentions ! Nous rions « pour » nous, avec nous et en nous – aucun délit ne peut donc nous être imputé…Quelles mégalomanies (en face), quelles pertes du sens des gigantesques majorités ! Ils ne prêtent pas vraiment à rire mais à se désoler pour tant d’arriérations…

« Leur » bilan ? Une sinistre cartographie mondiale des tabous et des entraves à la liberté d'expression. En gros, avec eux, il est interdit de…rire (eux l peuvent surtout de nous, comme de balancer des fake news donc…autorisées alors qu’elles sont notoirement…fausses…et nous, non ?)…outre que la joie de vivre, ressource si renouvelable et qui ne nuit pas à la vie, semble bien avoir choisi la pauvreté non miséreuse comme …dépositaire préféré – donc, sur la joie, nous en connaissons un rayon, plus qu’un rayon et même toute la roue…libre Oui, outre que la joie spontanée, paisible, désintéressée et si humaine ne se rencontre plus dans les sommets, les fausses élites, les lobbies illégaux, les classes autoproclamées supérieures (mais avec des comportements très inférieurs) et les classes de médiocrates qui ne se tirent…que dans leurs pieds , se faisant dépouiller de bientôt 50 % de leur patrimoine en 30 ans…se faisant largement pillées et pas par les pauvres (idéologie folle) mais bien par les …trop riches – sinon ils ne seraient pas « trop » riches, faut se réveiller chez les médiocrates… Oui, se méfier des meneurs de jeu qui ne pensent qu’au jeu des meneurs !

Encore, la liste des… « fake » raisons de NE PLUS rire semble sur-augmenter jusqu’aux embouteillages complets très congestionnés …mais c’est « leur » monde, leurs hypocrisies, les conséquences de « leurs » manques complets de savoirs vivre, de leurs…asociabilités et de leurs maladifs refus de vivre « en » société. Rien de tout cela ne nous engage (nous n’avons pas à imiter leurs vies…ratées !), cela est « décidé » (sic) contre et sans les immenses majorités – qui, elles, n’ont pas de devoirs catégoriques ni impératifs à suivre ces déraisons, etc. Bref – nous n’avons RIEN A VOIR avec cette déplorable ambiance. Qui se voudrait un infernal « abandonne tout espoir »…Avec comme apothéose un… « Fini de rire : plus de liberté d’expression »…Sauf que …la liberté d’expression en a vu bien d’autres. Pour elle tout est simple vu qu’elle respire toute son expression : elle est l’expression même de la liberté. Aucun pouvoir n’a jamais pu priver les vastes majorités de liberté. Surtout lorsqu’il n’a nul but avouable, nulle assise morale, guère d’éthique pratique, encore moins de désintéressements, que sa lutte des classes s’est affaissée dans une trop indigne lutte de places. La République d’abord ! Et pas tout après, après, comme partout ils/elles l’étalent. Alors libertés d’expressions, un morceau bien trop gros pour ces rafistolés. Une preuve parmi d’autres ?

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Francophonie-langue-française-lettre-ouverte-à-emmanuel-macron

« Les meilleurs spécialistes de la littérature française du Moyen-âge sont américains. Les étudiants d’Amérique du Nord sont plus sensibilisés aux lettres francophones que leurs camarades français [[ déincités par les médias centralistes et les politiciens lunatiques…]] La plupart des universités américaines créent et financent sans l’aide de la France des départements de littérature française et d’études francophones. Les écrivains qui ne sont pas nés en France et qui écrivent en français sont pour la plupart traduits en anglais: Ahmadou Kourouma, Anna Moï, Boualem Sansal, Tierno Monénembo, Abdourahman Waberi, Ken Bugul, Véronique Tadjo, Tahar Ben Jelloun, Aminata Sow Fall, Mariama Bâ, etc. La littérature française ne peut plus se contenter de la définition étriquée [[ Paris n’est surtout pas le monde… « ses » médias – payés avec l’argent du pays entier – desservent tant cette ville d’impostures. ]] qui, à la longue, a fini par marginaliser la « vraie » culture française alors même que ses tentacules ne cessent de croître grâce à l’émergence d’un imaginaire-monde en français [[ par exemple, nous sommes bien plus lus « mondialement » que des écrivains dit connus…en France- nos statistiques dansent bien plus haut que les leurs, mêmes gonflées…et donc , nous SOMMES la langue française et pas ces parisiens, fraudeurs si anti- républicains.]]. Et paris n’a pas ri ?

Le président de la République a proposé à Alain Mabanckou de contribuer aux "travaux de réflexion" qu’il souhaite "engager autour de la langue française et de la Francophonie". L’auteur de "Verre cassé" lui répond : « Au XIXème siècle, lorsque le mot «francophonie» avait été conçu par le géographe Onésime Reclus, il s’agissait alors, dans son esprit, de créer un ensemble plus vaste, pour ne pas dire de se lancer dans une véritable expansion coloniale. D’ailleurs, dans son ouvrage «Lâchons l’Asie, prenons l’Afrique» (1904), dans le dessein de «pérenniser» la grandeur de la France il se posait deux questions fondamentales: «Où renaître ? Comment durer ?» Qu’est-ce qui a changé de nos jours ? La Francophonie est malheureusement encore perçue comme la continuation de la politique étrangère de la France dans ses anciennes colonies. Repenser la Francophonie ce n’est pas seulement «protéger» la langue française qui, du reste n’est pas du tout menacée comme on a tendance à le proclamer dans un élan d’auto-flagellation propre à la France. La culture et la langue françaises gardent leur prestige sur le plan mondial.

Tous les deux, nous avions eu à cet effet un échange à la Foire du livre de Francfort en octobre dernier, et je vous avais signifié publiquement mon désaccord quant à votre discours d’ouverture dans lequel vous n’aviez cité aucun auteur d’expression française venu d’ailleurs, vous contentant de porter au pinacle Goethe et Gérard de Nerval et d’affirmer que «l’Allemagne accueillait la France et la Francophonie», comme si la France n’était pas un pays francophone ! [[ normal, Paris, grand diviseur de la République une et indivisible, ne crache-t-il pas…paris « et » la Province (pourquoi il y en a qu’une seule de provinces ?). Voulant être le contenant de tout mais sans rien…partager en retour ! Hou les ploucs ringards…]].

Dois-je rappeler aussi que le grand reproche qu’on adresse à la Francophonie «institutionnelle» est qu’elle n’a jamais pointé du doigt en Afrique les régimes autocratiques, les élections truquées, le manque de liberté d’expression, tout cela orchestré par des monarques qui s’expriment et assujettissent leurs populations en français? Ces despotes s’accrochent au pouvoir en bidouillant les constitutions (rédigées en français) sans pour autant susciter l’indignation de tous les gouvernements qui ont précédé votre arrivée à la tête de l’État. Il est certes louable de faire un discours à Ouagadougou à la jeunesse africaine, mais il serait utile, Monsieur le Président, que vous prouviez à ces jeunes gens que vous êtes d’une autre génération, que vous avez tourné la page et qu’ils ont droit, ici et maintenant, à ce que la langue française couve de plus beau, de plus noble et d’inaliénable: la liberté [[ et que ceux venus d’ailleurs semblent, pour le moment, les seul-e-s, à avoir tant compris et plus défendu !]].

Par conséquent, et en raison de ces tares que charrie la « fausse » Francophonie actuelle – en particulier les accointances avec les dirigeants des républiques bananières qui décapitent les rêves de la jeunesse africaine –, j’ai le regret, tout en vous priant d’agréer l’expression de ma haute considération, de vous signifier, Monsieur le Président, que je ne participerai pas à ce faux projet. »

Voici que les rires joyeux changent de camp…oui, il est possible de dire ceci. D’avoir raison à 100 %. De renverser les hypocrisies et d’offrir une description du monde qui…tienne la route…pendant que les impostures de la « gauche culturelle » (uniquement…parisienne) tombe en piteux lambeaux…et que leur époque est close, se clôt même visiblement sous nos yeux, etc. rieurs…

Autant dire (tous les arts étant…martiaux !) qu’ils se sont fait eux-mêmes…

…………………………..leurs croches pieds. Et nul-le autre !

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Alors Fini de rire ? A qui profiterait la non-blague ? Une société mourant de tristesse  a-t-elle encore un avenir ? Et tant de saines questions qui se bousculent aux portillons…où cela semble sonner le glas du libéralisme…plus que liberticide – au départ, à travers une cartographie mondiale des tabous et des entraves à la liberté d'expression. Ensuite…« Où en sommes-nous avec la liberté d'expression ? Le projet Fini de rire, initié dès 2006 et la première affaire des caricatures de Mahomet, explore cette question à travers ceux qui en tant que journalistes et artistes sont à l'avant-garde d'un combat au cœur des enjeux politiques et sociétaux du XXIe siècle : les dessinateurs de presse. Fini de rire utilise le dessin de presse comme on ouvre un livre d'histoire : pour comprendre les enjeux, prendre de la distance, analyser et construire sa propre opinion. Le projet est articulé autour d'un documentaire unitaire de 52 minutes et de ce webdocumentaire.

A-qui-profite-la-blague-?

A quoi sert l'humour, et qui sert-il ? L'humoriste Océanerosemarie publie dans nos colonnes un texte qui revient sur la récente une du Parisien, qui s'interrogeait après l'éviction de Tex : «Peut-on encore rire de tout ?» A quel moment les blagues limites, «ce n'est plus de l'humour ?», questionne-t-elle. «Ça commence quand, "l'incitation à la haine" ? Et surtout, qui a la légitimité de définir cette limite entre gaudriole et violence ? Je me permets une hypothèse : et si c'était, tout simplement, les concerné·e·s ?» Tout repose, transitoirement dans le d’Où parlent les assassins d rire ? Du mauvais côté de la barrière, de l’irrespect de l’humanité, de la suintante cupidité, de la corruption, de la déMorale qui démoralise, de tout ce qui est répréhensible et qui mérite, plus que d’autres comportements, la prisons. Prisons de leurs méPrisons déjà…Et pourquoi ?

On se détend fin, des détendances ? Et les penchants ne sont plus penchés ? Nous ne dépendons plus du futile, de l’inutile, du superficiel, des fausses apparences tellement pires que les fausses nouvelles (avec ce gag …que leurs fausses nouvelles n’en seraient pas mais que les « vraies » nouvelles d’esprits libres seraient faussement…fausses !).

...c'est-la-fin-des-tendances-:-pour-celle du-on-se-détend

« Les "tendances", ça fait sérieux, voyez, comme quand un critique musical dit : "Le disque sera demain dans les bacs", alors même qu'il n'y a plus de bacs ! Le monde crève de son abondance de codes et de décodex. Je remarque que les tendances ne changent pas d'une année sur l'autre. Je remarque aussi que la plupart des magazines recensent des tendances, même quand il n'y en a pas. C'est toujours "le street chic", "le denim", "les fleurs", "le rose fluo", "le hippie hype"...

Donc, je remarque que les choses restent désormais à la mode très longtemps, mais qu'on continue de faire comme si ça changeait à chaque saison. De plus, par des cadences folles des fashion weeks, on donne l'impression que bon sang, ça va très vite, alors que…pas du tout ! [[ c’est l’inertie droguée d’elle-même qui momifie dans les seules illusions…]]. Système totalement timbré. Attendez, je vais vous en rajouter une couche : si presque tout reste tendance, en revanche certaines choses se démodent. [[ toujours le même arbitraire insupportable qui entre par la porte des frivolités imbuvables…]]. Le slim en ce moment vit un mauvais moment, par exemple. La mode non-modique [[ donc un anti-modèle pas modulé…]] aujourd'hui, c'est tout ce qui reste quand on a retiré ce qu'on a vraiment trop vu [[par exemple, la régression barbare nommée capitalisme…]].

Y a plus de tendances, y a plus que des "dé-tendances". Détendons-nous. »…Les tendances sont tendues…plus de tendances, elles ne seraient plus tendues, alors ? Mais attendues, entendues, prétendues, distendues, étendues…sous-entendues ? Ou, plus simplement, les tendances ont retrouvées leurs inTendances ! Les “fausses” tendances ça n’a toujours été que des histoires de petits sous. Sous quoi déjà ?

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N’oublions pas qu’il est «sur-interdit » de rire – le feu à l’interdiction aura été mis par ce « A qui profite la blague ? ». Et puis, la stratégie aura été, perversion sur perversion, mono-maniaquerie sur mono-maniaquerie, d’enlever tous les sujets, motifs, thèmes, causes, envies, motivations, buts, desseins, raisons de…rire. En inventant de « fake » règles, de fausses lois, des impératifs inventés de 180 km/h, des fables artificielles, etc. – que ce n’est pas bon, pour la société de rire. Société ligotée par la perversité du politiquement correct (toujours allié au pire des socialement…incorrect), du les apparences importent un milliard de fois plus que la réalité (pour les médiocrates affublé-e-s d’une absence notable de cœur, seule l’apparence-qui-n’existe-pas…les sauve !), bref que des carcans rendus malsains…qu’un seul sursaut de rire font tous tomber à la renverse, à la poubelle, dans les choux, dans le lagen et même ailleurs si je ne m’y trouve !  ,

Même l’éducation ? Oui, oui, lorsque l’enseignement ne change que les étiquettes, les emballages, jamais les…contenus et les méthodes ?...« Changer nos habitudes d’enseignement/apprentissage pour mettre fin à un système éducatif trop conformiste ; un système qui met à l’écart celles et ceux qui n’entreraient pas dans le moule où on entre comme dans un moulin, c’est l’idée que veut faire passer le spécialiste en éducation, Ken Robinson dans son ouvrage qui vient de sortir en français, L’élément.

L'élément-le-livre-de-Ken-Robinson-en-français

Vous me direz que ce discours n’est franchement pas nouveau et que ça fait déjà quelque temps qu’on essaie de trouver autre chose (que ce soit l’imagination ou la créativité) sous les pavés pour que la société change vraiment. C’est vrai. C’est vrai aussi que si nous voulons que ce changement se produise nous ne pouvons continuer à proposer au XXIe siècle un modèle éducatif basé sur les valeurs des XVIIIe et XIXe siècles. Et pourtant…Le rire manque sans férire : seule mérite le chapeau du coup l’éducation où nous rîmes de nos rimes !

 
Afin d’y parvenir, nous devons aussi admettre qu’il n’y pas une façon d’apprendre mais plusieurs car il n’y a pas une mais des intelligences. Or nos systèmes éducatifs et plus généralement sociétaux tendent en n’en privilégier qu’un seul  [[ gaspillant donc STUPIDEMENT les 7 autres formes d’intelligence ]]. Délaissant trop souvent tout ce qui favorise la créativité de l’individu et le sens sociable du groupe. Alors que si nous observons le monde de la science, de l’art, des activités… par exemple, nous pouvons aisément nous rendre compte que ce sont souvent celles et ceux qui n’ont pas suivi la route toute tracée mais plutôt les chemins de traverse qui ont finalement permis à l’humanité de faire un grand pas en avant. »…Ce sont alors les plus utiles à toutes et tous qui sont le plus rejetés par les médiocrates de l’abstraction : qui n’est pas dans le moule qui vermoule fonctionne mille fois mieux.

…..Et c’est vraiment…manquer d’éducation que de ne pas vouloir le savoir !

…..……(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que le vaste humour nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 600 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu