Apprendre à aller jusqu’au fond des choses ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Apprendre à aller jusqu’au fond des choses ?

Enfin commencer à apprendre…puisque l’éducation occidentale est si désastreuse qu’elle éteint les curiosités, émousse les ardeurs, efface les enthousiasmes, et rarement apprend à…apprendre. Les têtes bien faites ce n’est pas leur but. Rendements et productivités partout ont détruit des facultés sensibles et spirituelles chez qui se prône comme sachant éduquer autrui. Bien faux …vérifions-le !

La méthode ? Prendre au piège « les mots du politique » afin qu’ils avouent que qui les profère 1) – en demeure très inconscient…drainant, souvent, le pire de l’époque. Dont les fameux préJugés, qui jugent sans savoir et n’en n’ayant donc strictement aucun droit de juger 2) - garde trace de ses propres aveuglements successifs 3) – et nous permet d’en retirer des solutions collectives qui nous sortiraient des impasses si bornées de la politique de métier. La société ne serait plus dirigée par des politiques qui ne savent plus dire…mais par une toute nouvelle organisation. Il faut le voir pour le croire ? « Une bataille qu’il ne pouvait gagner, parce que ce monde, cet adversaire n’étaient pas les siens. On ne peut gagner contre quelque chose qu’on ne comprend pas (p. 604 – Pierre Lemaire – Au revoir là-haut, 2013). » Comprendre ? Voilà qui est donc fait…lorsque comprendre c’est résister.

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Exercices appliqués ? Appliquons-nous aux exercices qui s’appliquent en devenant appliqués….

Petite-étymologie-du-baccalauréat

 « Dans un texte publié en 1991 dans la revue Mots. Les langages du politique, le linguiste Maurice Tournier (1933-2013) * (voir annexes) s’amuse à traquer les origines du terme qu’il rebaptise malicieusement « bac à lauréats ». Et sa quête le conduit jusqu’à la ­Renaissance. « Officiellement, le baccalauréat est dû à François Ier, qui a institué sous ce nom un nouvel ordre de chevalerie, de type universitaire et non seigneurial, réservé aux hommes de lettres et de science méritants », écrit-il.

Maurice Tournier ne se satisfait cependant pas de cet héritage, qu’il juge sans doute trop récent : il remonte donc jusqu’à un mot de bas latin, baccalarius, qui ­signifie petit propriétaire foncier. Pendant le haut Moyen Age, son héritier, le bachelier de l’ancien français, désigne le possesseur de quelques arpents de terre, puis tout gentilhomme qui n’est pas suffisamment pourvu de biens pour être banneret (digne de bannière) ou qui n’a pas encore été armé chevalier.

Au XIIe et au XIIIe siècle, le terme se colore de nuances bienveillantes : dans La Chanson de Roland comme dans les œuvres du poète normand Wace, le bachelier est un jeune que l’on admire. « Le terme est universellement laudatif, constate Maurice Tournier. Son sème majeur semble bien être la jeunesse. Il a fini par désigner au Moyen Age tout homme jeune et libre – donc aussi non marié. C’est ce dernier sème qui se perpétue dans bachelor en anglais et dans bachelette en français, la fille à marier. » Faut-il faire un lien entre le baccalauréat d’aujourd’hui et les cérémonies durant lesquelles les jésuites, à partir du XVIe siècle, ceignent le front des élèves méritants de baies de laurier, bacca laurea ou bacca lauri en ­latin ?

Pourquoi ? Maurice Tournier s’y hasarde avec délice [[après le possesseur ce sera le professeur…]]. Comme formé de bacca, baie, ou bacchar, gantelée (comme dans la Lusiade de Camoëns, III, 97 : do baccharo e do sempre verde louro), et laurea, laurier. « On imagine que le mot baccalarius, sous l’influence de ces couronnes, altère le bas-latin bachalariatus, et puis se met à désigner un rang de débutant d'abord dans la chevalerie, et puis dans la hiérarchie religieuse et universitaire (voy. BACHELIER). »…Un mot resserti dans toute sa trame historique se charnellise encore plus… aller jusqu’au fond des choses nous offre bien plus que les entêté-e-s du non effort ne le vivront jamais.

Revue-Mots-   Revue « Mots, les langages du politique »

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Littré/-bachelier

Mais en encore plus précis ? « Le sens primitif du bas-latin baccalarius était celui qui tient une baccalaria ; baccalaria voulait dire une espèce de bien rural que le bachelier avait à cens, et qui paraît avoir été formé d'une dizaine de manses. Il était donc compté parmi les gens de la campagne, quoique d'un rang plus élevé que ceux qui, tenant un manse, étaient assujettis aux œuvres serviles, et on peut le définir un vassal d'un ordre inférieur. A côté de cette signification, il a encore celle de jeune guerrier qui n'est pas encore chevalier. Puis il y eut des bacheliers d'église, qui étaient des ecclésiastiques d'un degré inférieur. Il y eut, dans les corporations de métiers, des bacheliers qu'on nommait aussi juniores, et qui géraient les petites affaires de la corporation. Enfin, et par le même mouvement d'idées, naquirent les bacheliers des facultés. De là aussi, par une autre extension, bachelier prit le sens d'homme jeune, non marié, et, en général, de célibataire, sens qui est resté celui du mot anglais bachelor. Dans l'ancien français, vassal a une double signification : d'une part, il signifie celui qui est subordonné féodalement ; et, d'autre part, il veut dire courageux guerrier ; vasselage est constamment usité pour valeur et prouesse : les chansons de gestes sont pleines de l'emploi de ce mot. Bachelier a exactement le même sens ; il signifie, comme l'autre, subordonné féodalement, et guerrier, jeune guerrier, vaillant guerrier. Le sens tendrait donc à rapprocher ces deux mots ; mais les lettres y opposent une difficulté que les exemples connus ne permettent pas de surmonter : on ne peut expliquer comment les deux ss de vassal se seraient changées en c dur, à une époque aussi reculée que le IXe siècle. Cela conduit à reconnaître un radical bacal, bacel, bachel, qui a la double signification indiquée plus haut, et qui paraît collatéral de vassal. Le celtique a : gaélique, bachall, irlandais, bacal, bâton, qui conviendraient très bien pour la forme du mot, et qui d'ailleurs ont pénétré dans les langues romanes : en termes de marine, ancien italien, baccalaro, pièce de bois de pin ou d'orme ; ancien français, baccalat, même sens ; espagnol, vacalas, baccalas, bâtons fichés sur la couverture des galères. Dès lors ce n'est pas une conjecture dénuée de toute vraisemblance, de penser que le mot de bâton, de pièce de bois, ait passé à une bachelerie, sorte de domaine rural. » Les objets, chargés de symboliques, ouvrent donc l’accès au droit coutumier plus souvent dit qu’écrit…le bachelier s’y montre comme appartenant aux ascenseurs sociaux de l’époque. Et ses pérégrinations sont d’autant plus complexes qu’il se faufile dans une structure sociale extrêmement rigide. Il monte un peu dans la hiérarchie et son savoir-faire pour le faire méritait bien un diplôme…

https://static.fnac-static.com/multimedia/Images/FR/NR/0e/ac/14/1354766/1540-1/tsp20151028154704/Propos-d-etymologie-sociale.jpgAllons-nous en rester simplement là ? Et l’historique complet du mot ? « La racine du mot "bachelier", quant à elle, diffère. Jusqu’au XVIIe siècle, avant que sa signification évolue, le bachelier n'est autre que le “jeune noble aspirant à devenir chevalier”. Les origines étymologiques du diplôme, qu'il s'agisse de locutions latines ou d'Ancien Français, lui confèrent presque une dimension épique. On est loin d'une épreuve où l'on se contente de réciter des connaissances acquises. Pourtant, l'histoire du baccalauréat ne débute qu’au XIXe siècle.

Un baccalauréat réservé aux élites Le mot "baccalauréat" prend, alors, une toute autre signification lorsque Napoléon Ier décide d'en faire un diplôme d'entrée à l'université. L'Empereur veut former les élites indispensables au fonctionnement du pays et, pour ce faire, créé les lycées. Avec l’aide de Foucroy, il publie un décret qui rétablit les universités de l’Ancien Régime.

Le-baccalauréat-:-deux-cents-ans-dhistoire

C'est ainsi que sont restaurées les facultés de Droit, de Théologie et de Médecine, et qu'est créée celle de Sciences. Pour accéder à ces dernières, il faut obligatoirement être le titulaire d’une “maîtrise ès arts” dispensée par la faculté de Lettres. C'est cette maîtrise qui est nommée “baccalauréat”. C'est en effet la culture gréco-latine qui domine le champ culturel, d'où l'importance de la faculté des Lettres. Loin de sanctionner les années d’études passées au lycée, le baccalauréat est en réalité conçu comme le premier grade universitaire, ce qu’il est d’ailleurs toujours dans les textes.

Le texte du 17 mars 1808 précise ainsi :

“16. Les grades dans chaque faculté seront trois : le baccalauréat, la licence, le doctorat. [...]

19. Pour être admis à subir l’examen du baccalauréat dans la faculté des lettres, il faudra 1) être âge d’au moins 16 ans; 2) répondre sur tout ce qu’on enseigne dans les hautes classes de lycée. [...]

22. On ne sera reçu bachelier dans la faculté des sciences qu’après avoir obtenu le même grade dans celle des lettres [...].

26. A compter du 1er octobre 1815, on ne pourra être admis au baccalauréat dans les facultés de droit et de médecine sans avoir au moins le grade de bachelier dans les celle des lettres.”

La première session du baccalauréat, en juillet 1809, n’accueille que 39 candidats, tous issus de la haute bourgeoisie. L'examen est alors quasi donné : il n’existe pas encore d’épreuve écrite, l’épreuve consiste simplement en un entretien oral. « On dit que le bac était difficile au début, qu’on ne prenait que la moitié des candidats, c’est absolument faux, on en prenait au début 95 %, puis 90 %... Et ça dure très longtemps ”, raconte André Chervel, historien de l’éducation, spécialiste du bac de lettres dans les 50 premières années de sa création :

>>> *** A écouter, oui écouter…retourner au lien et cliquer sur le bouton mauve (à côté de la mention André Chernel – bac) …immédiatement la voix nous parle…

Au cours de la Restauration, après la chute du Premier Empire, la forme initiale du baccalauréat, sous l'égide du Ministère de l'Instruction publique, varie peu, si ce n’est l’ajout d’une commission d’examen en 1815, et l’intégration de contrôles de connaissances.

>>> -- Moderniser le baccalauréat L'obtention du baccalauréat est jugée trop facile, notamment en raison d'entretiens uniquement oraux. En 1830, la première épreuve écrite facultative est introduite, avant de devenir obligatoire en 1840. L’objectif est de rendre plus difficile l’examen, afin de faire concurrence à l’Ecole polytechnique.

>>> *** A écouter, oui écouter…retourner au lien et cliquer sur le bouton mauve (à côté de la mention BAC 2) …immédiatement la voix nous parle…

Malgré l'opposition de conservateurs attachés aux enseignements classiques, le baccalauréat se modernise peu à peu au profit des sciences. Au fil du XIXe siècle, l’enseignement des lettres diminue au profit des mathématiques et des matières scientifiques, conséquence directe de la révolution industrielle. Le baccalauréat attire pourtant peu les foules : “au milieu du XIXe siècle, il y avait un peu plus de 100 000 élèves qui arrivaient en terminale, et seulement 4600 qui s’amusaient à passer le baccalauréat” , explique ainsi Marie-Odile Mergnac, auteure de l’ouvrage Histoire du Baccalauréat. » Depuis quasiment 150 ans qu’est-ce qui a changé sur le fond ? Mêmes thèmes rhétoriques, mêmes hypocrisies afin de barrer le savoir au plus grand nombre, mêmes fonctionnements républicains très empêchés, même carottes et mêmes bâtons (ici, le baccalat bâtonnier ?) ? Afin de commencer d'y répondre, voir les simples actualités

Expressions-insolites-à-ne-pas-prendre-au-pied-de-la-lettre

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Cette-énième-réforme-du-bac-est-une-machine-de-guerre-d'Ancien-Régime

L’historien et écrivain Sylvain Pattieu  dénonce le lycée à la carte que propose le rapport Mathiot et qui correspond à un système libéral [[ très peu républicain !]] où l’élève devient entrepreneur de son propre parcours : « Je lis le rapport Mathiot et je me dis, elle est implacable, cette réforme, terriblement cohérente avec celle de l’université, de Parcoursup. C’est une machine de guerre. Le modèle est celui du lycée modulaire à l’anglaise [[ le pire des modèles voir annexes *** ]] et d’un enseignement supérieur infiniment inégalitaire. Un lycée à la carte pour élève entrepreneur de son propre parcours. En vérité, les dés sont truqués, les choix limités : il y a les initiés et les autres,... »…en clair, c’est une attaque frontale et ennemie « des lois de la République », c’est une privatisation illégale de la réPublique où seuls les illégaux intérêts privés comptent. Et où disparaît toute mention de l’intérêt général donc de la souveraineté nationale, seule garante des lois quelles qu’elles soient…

Apprendre à aller jusqu’au fond des choses ? Enfin commencer à apprendre… puisque l’éducation défectueuse que nous avions reçu nous a fait quitter trop vite ces exigeants apprentissages…que nous devons améliorer chaque jour (un moment apprendre-étudiant à fond – l’autre moment, transmettre-professeur ce que nous avons compris et…expérimenté)…oui l’apprentissage c’est durant toute la vie…un sketch nous le fait comprendre…Fous à ce point : ** apprendre ? Combien ? « Si on ne me file pas du fric, je n’apprendrai jamais, na voilà ! »…se punir à ce point ? Oui le vénéneux individualisme qui fuit toute liberté dans l’effort se retourne contre chaque…individu. Et devient même son pire ennemi ! Cela se nomme se niquer soi-même. En circuits très courts, en plus. S’auto-nuire : le self-destroyed-man ou -woman ! Comme la nouvelle version du self-made-man or woman…

………….l’acharné-e ennemi-e de lui-même !

………………………………….Comme le bout de l'impasse du libéralisme.

 

……………(à suivre)

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>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> -- ANNEXES -- <<<<<<<<<<<<<<

---- **  Propos-d'-étymologies-sociales

Après Des mots sur la grève. Propos d’étymologie sociale 1 (première édition : 1993) et Des mots en politique. Propos d’étymologie sociale 2 (première édition : 1997), Maurice Tournier poursuit son exploration linguistique de la signification en réunissant une série d’analyses denses et passionnantes mettant en valeur les sources sociohistoriques et / ou textuelles du sens. Des sources du sens. Propos d’étymologie sociale 3 se présente en effet comme un recueil de 22 contributions, publiées pour la plupart entre 1990 et 2002 et reprises dans un ensemble cohérent de réflexions variées sur le langage en politique et les aspects politiques du langage.

 

https://selp.eu/  Bienvenue sur le site de votre société ! Résolument collaboratif, le site internet de la SELP vise à diffuser plus largement la recherche sur les langages du politique.

//// ------ *** Pourquoi le pire des modèles d'éducation ? La réponse se trouve dans le livre de Michel Floquet, Triste Amérique – Le vrai visage des États-Unis, décembre 2017. « Dans le même temps, les États-Unis ont le blocage du taux de reproduction sociale le plus élevé des pays développés.

Comment l’expliquez-vous ? -- Notamment par le système d’études. Celui-ci est abusivement coûteux. A tel point que si l’on n’a pas des parents fortunés ou si l’on n’est pas un élève d’exception à qui l’on accorde facilement une bourse, on a toutes les peines du monde à accéder à l’Université. Et on risque d’en sortir très endetté [[pour la vie pour certains]]. Regardez Obama : il a fini de payer ses études quand il est arrivé à la Maison Blanche ! La situation est telle qu’au 1er janvier 2015, l’encours de la dette étudiante s’élevait à plus de 1160 milliards de dollars. Plus que celui des subprimes. C’est dire l’ampleur des conséquences nuisibles de ce faux modèle plus que désastreux

Ce problème est une catastrophe pour le pays. Dans ce contexte, les jeunes se dirigent vers les secteurs les plus rémunérateurs comme médecins ou avocats. Et ils désertent les professions d’ingénieurs. Résultat : les firmes américaines doivent délocaliser ces fonctions, notamment en Inde. Et importer massivement des ingénieurs : pour la seule Californie, il en vient ainsi 80.000 par an, dont de nombreux Français (…) [[ si c’était cela le « but » poursuivi par cette énième inutile réforme lorsque c’est toute l’organisation sociale qu’il s’agit de transformer à fond - oui si c’était le but il est d’ors et déjà…raté. Un fiasco. Une future catastrophe nationale !]].

http://www.imagiter.fr/2018/02/avoir-peur.html

(...) Dernière raison pour ne surtout pas imiter un tel désastre si visible : l’augmentation des frais de scolarité étasuniens ont bondi de 440 % en 25 ans. Les bonnes universités ont réalisé de nombreux investissements pour attirer les étudiants les plus riches, et dont les parents peuvent devenir des donateurs. [[ au jeu si infantile de la …charité au lieu de la simple justice sociale]]. Elles doivent recruter à prix d’or leurs présidents et les enseignants. Existe ainsi désormais un marché du prof comme il existe celui du football américain [[ et il « faudrait » admirer le privé…non, décidément, impossible, c’est un irresponsable complet que ce privé-là et une ennemi complet des pays…]] ! A côté subsistent des universités d’État sinistrées, à l’enseignement « rendu » médiocre. Les premières coûtent en moyenne 40.000 dollars de frais d’inscription annuels, les secondes 15.000. A cela, il faut ajouter, minimum, 10.000 euros pour financer son logement, sa nourriture, ses fournitures… »...de quoi s’endetter…pour la vie ! Et de "bloquer" encore plus cette société décidément trop...d'Ancien Régime !

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste compassion nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

 Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui ne prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 600 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

plus rien de vague ni demeurant dans le vague...

plus rien de vague ni demeurant dans le vague...

Apprendre à aller jusqu’au fond des choses ?
les rumeurs ne sont pas de la politique

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premier "grade" universitaire comme une armée

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Apprendre à aller jusqu’au fond des choses ?
Apprendre à aller jusqu’au fond des choses ?
Apprendre à aller jusqu’au fond des choses ?
Apprendre à aller jusqu’au fond des choses ?
Apprendre à aller jusqu’au fond des choses ?
pas de les escroquer comme financier ou média d’argent le pratiquent jusqu’à la nausée et pas de leur mentir comme le marketing politique (cette antre des fake news) se le permet si illégitimement…

pas de les escroquer comme financier ou média d’argent le pratiquent jusqu’à la nausée et pas de leur mentir comme le marketing politique (cette antre des fake news) se le permet si illégitimement…

écrits corsaires...

écrits corsaires...

et donc....POLITIQUE : LES EFFETS DE SENS [VERITES SUR NOS LANGAGES]

Entretien avec Sylvain Pattieu – Auteur de « Nous avons arpenté un chemin caillouteux »

Entretien avec Philippe Blanchet, auteur de "Discriminations : combattre la glottophobie". Grâce au langage, l'être humain coopère et se hisse au-dessus de la (bio)masse. La francophonie est d'ailleurs bien placée pour le savoir : la langue est un formidable outil d'intégration. Mais c'est aussi une arme de domination ! Votre accent, votre vocabulaire vous discriminent. C'est ce que les linguistes appellent la glottophobie. Philippe Blanchet est chercheur et professeur en sociolinguistique. Il part en guerre contre cette si illégitime discrimination.

Conférence - Robert SOLÉ (Ecrire. Littérature, histoire et journalisme)

film d'animation sur le concept d'évaluation pour les apprentissages et les pratiques d'évaluation en éducation -, réal. François Muller, 2014

Cas Claques curieuse de de le le le le la

Publié dans méthodes de pensée

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