Tacle le spectacle !

Publié le par imagiter.over-blog.com

Tacle le spectacle !

Le spectacle au sens de celui qui veut que les images inertes vivent à notre place. Que nous leur offrions même nos corps afin d’y recevoir ses grattantes puces ou la paranoïa non critique de sa réalité prétendue augmentée. Or, c’est à nous d’augmenter toutes nos réalités – et non de se laisser phagocyter par ces images ennemies qui verraient leur réalité malsaine amplifiée. Au final – c’est donc le spectacle qui nous…tacle. Tacle au sens figuré de (donner un) coup par derrière, (donner un) coup bien déloyal, (d’agir par) traîtrise. Dans ses illégitimes manœuvres destinées à contrer les saines réactions, à prendre le contrepied, à contrecarrer, à rembarrer, à critiquer…oui, tous nos moyens de défense – le spectacle tacle...

Reprenons toutes les règles du jeu où tacler devient de s’emparer du ballon des pieds de l’adversaire en bloquant ce ballon avec le pied. Ou en effectuant une glissade avec un ou deux pieds en avant. Reprenons au spectacle fou le ballon irréductible de nos libertés. C’est à notre portée, c’est facile (cela commence par lui dire non…définitivement) et cela nous offre carrément une nouvelle civilisation. Grâce, aussi, au mouvement N.R.V. (Noir Rouge Vert)…qui a été dit « un mouvement naturel, et qui découle du simple bon sens ». Qui ne semble donc guère difficile d’acclimater à nos vies quotidiennes. Un mouvement simple comme bonjour ? Eh bien, bonjour ! Et c’est parti : or partir c’est répartir !

……………………….........*******************************

D’où partons nous et pour arriver où ?... « Homme médecin, John Fire Lame Deer (lame deer = cerf boiteux), est né vers 1900 et mort en 1976. Considéré comme le « gardien de la spiritualité et des traditions de son peuple », il a, au cours de sa vie, laissé un certain nombre d’écrits témoignant de la philosophie des Sioux. On lui doit notamment ce texte ironique et puissant détaillant ce que la prétendue œuvre civilisatrice des blancs a comporté au mode de vie indien. Des mots qui, aujourd’hui encore, nos invitent à réfléchir sur nos propres si folles habitudes. Regardez :

« Avant que nos frères blancs viennent nous civiliser, on n’avait aucune prison. Par conséquent, il n’y avait aucun délinquant.

Nous n’avions pas de clés ni de serrures, donc il n’y avait pas de voleurs.

Quand quelqu’un était trop pauvre pour s’offrir un cheval, une couverture ou une tente, il pouvait recevoir cela comme cadeau.

Nous n’étions tellement peu civilisés que nous n’accordions pas une telle importance à la propriété privée.

Nous voulions posséder des choses pour donner aux autres, s’entraider.

Nous n’avions pas d’argent, pour cette raison, la valeur d’un Homme ne pouvait être déterminée selon sa richesse.

Nous n’avions aucune loi (écrite), aucun avocat (ou procureur), aucun politicien, Par conséquent nous n’étions pas capable de tricher ou d’escroquer autrui.

Nous suivions vraiment une mauvaise voie avant que les hommes blancs viennent, et je ne saurais vraiment pas expliquer comment nous nous y prenions pour nous en sortir sans ces choses fondamentales (c’est ce que nos frères blancs nous ont dit) qui sont absolument nécessaires pour une société civilisée). » Ces nécessités ayant surtout abondé en preuves qu’il reste plus civilisé de…s’en passer.

John-Fire-Lame-Deer-les-indiens-et-la-fausse-civilisation-des-blancs

Tant de sagesse dite avec tant d’humour révèle une pensée profonde de quelques millénaires qui semble bien correspondre au sens le plus noble du mot civilisation. Du genre de civilisation qui ne se veut pas être apprise de force en pillant, trichant, volant, massacrant à tours de déraisons barbares la cible de tant d’attentions (à qui il est « apporté » la soi-disant civilisation). Tout ceci parce que l’équivoque aura toujours semblée complète autour du mot même de civil-isation. Du latin civil, civilis comme opposés à militaire. Et comment se fait entendre cette civile civilisation ? Trop manifeste, par déploiements de toutes les…civilités. Un civilisé, des civilités, les deux semblant tellement inséparables. Et une « civilité militaire » ressemble à un impossible oxymore.  Au point que seule une aliénation intégrale peut masquer de telles évidences. John Fire avec un  talent synthétique rare nous dévoile à quel point les institutions prétendues « civilisées » le sont si…peu.

Ce ne sont que manières de nuire aux autres, de leur compliquer la vie, de les molester gravement, de les exploiter plus qu’indignement, de les voler carrément en osant se prétendre (en plus) comme immensément supérieurs à eux/elles (or, tous ces actes placent qui s’y abandonne bien au-dessous des autres !). Bref cette anti-civilisation, par excès de militarisation, de brutalité INVENTE les délinquants, les voleurs, les cupidités, les égoïsmes, bref tous les vices des…non civilisés. Selon le principe de l’œuf et la poule qu’est-ce qui précède, la prison ou le délinquant ? Tout laisse à ressentir que ce doit être ce genre d’institutions ennemies de la véridique civilisation. Tacle le spectacle c’est virer le vernis d’une si fausse civilisation qui n’a qu’un visage d’une violence inouïe à offrir en partage.

Tacle le spectacle c’est languir d’un désir irrépressible envers la vraie civilisation, oui la CIVILisation. Tous les imposteurs sont démasqués et leurs si « faux » arguments ne peuvent désormais plus servir…Vérifications !

…………………………...******************************

Tout se comprend par la mise au clair du…but poursuivi pour la collectivité entière. Pour la non-civilisation occidentale, il n’y en a…aucun. Sinon le pire des effondrements infantiles : tout consommer n’importe comment sans jamais s’occuper des conséquences. Qui sont d’insensés gaspillages, la désorganisation de la société par le haut, de « fausses-fake » élites d’une débilité confondante, des attitudes  d’inadmissibles voyous envers la Nature plus que « nécessaire » vu qu’elle contient « toutes les limites dans lesquelles se poursuit la vie humaine » mais que la Vie que vit la Nature est bien plus vaste que celle que nous vivons (ce pourquoi elle peut se passer de nous et non l’inverse – cette loi implacable condamne donc le capitalisme infantile qui vit…à l’envers, dans des dénis incessants et qui inverse toutes les règles avec sa tête d’émeutier permanent : la Nature reste « nécessaire » et pas la régression capitaliste…si incapable de se…civiliser !)…Le but si vague qu’il croit ne pouvoir être exprimé : qu’une mince oligarchie plus qu’irresponsable et incompétente afin de guider des pays entiers (sans oublier effectivement personne) « pense » que tout le monde peut…se contenter de les « admirer » (sic) en train de s’enrichir si abusivement et de jouer aux sophismes permanents afin de justifier cette grave illégalité, ne serait-ce qu’aux seules lois de la République enfin rendu Publique. Quant à la Raison, inutile d’en parler, l’infantilisme capitalisme demeure la plus folle déraison que la Terre ait portée. Aussi, ne faire que…consommer est la pire des insulte à magistrats, la plus grande émeute possible contre les représentants élus, la plus grave atteinte à la souveraineté nationale et son intérêt général, la source même de toutes les corruptions, etc. Et nous venons de voir qu’il existe une véritable…civilisation possible qui peut commencer à la seconde. Par un geste ou un comportement absolument nouveau : tacle le specTacle en est un des possibles créativités…qui peut exalter jusqu’à l’infini toutes ses bonnes raisons.  Comme…

Tout-sera-consommé-puisque-sommé

« Les actionnaires de la cité sont les mêmes qui organisent le monde du spectacle. Les régisseurs si l’on veut. Nouveaux seigneurs (ou toujours les mêmes?) d’une féodalité qui impose la loi de la rente, les promoteurs régissent les divers plateaux de la cité. Tous les rapports citoyens ont été repoussés à l’extérieur de la cité classique, il n’y reste qu’une vague interface destinée à capter la plus-value des grands congrès, des festivals et autres événements à portée internationale. La mise en marché de la cité (branding) présuppose une délocalisation de sa population. Les citoyens ont vidé les lieux. À leur place, le métrosexuel, sorte de parangon de la consommation, tient la place d’une potiche au beau milieu de toute cette agitation factice.

Le rêve de la banlieue américaine des années 50-60 aura servi à mettre en place cette dépossession de la cité. La culture POP agissant comme une force centrifuge, le détournement frauduleux de la Beat génération aura pavé la voix à ce nomadisme symbolique qui interdit toute appartenance à un point d’ancrage. Internationaliste, par définition, la culture POP tient toujours la place d’un porte-avion permettant à l’Empire de laminer les autres cultures, de les minoriser au profit du communautarisme cancéreux ayant remplacé les antiques rapports citoyens [[ceux des solutions les meilleures pour tous trouvées à coup de dissensus entièrement vécus…]] La cité a presque rendu l’âme. La jeunesse des banlieues limitrophes s’évadant grâce à des jeux qui lui permettent de se mettre dans la peau d’un personnage virtuel. Des jeux, tels que Pepsi Town, mettent en scène un univers artificiel où le joueur peut revêtir (au sens propre et figuré) une identité fictive, acquérir un condominium et se faire, enfin, de faux amis. Le joueur revêt la peau du citoyen, ce personnage interdit de cité dans la «vraie vie». S’effaçant devant l’écran de son ordinateur, le consommateur transfère ses affects sur les épaules d’un avatar (identité fictive) qui lui permettra de vivre, par procuration, des moments d’évasion dans un univers où sa citoyenneté n’est plus conditionnée par son pouvoir d’achat. Quoi que …

Lien : des-villes-monde-pour-citoyens-du-monde/

La Société de Spectacle qui nous tacle ; L’auteur Guy Debord, penseur de la cité moderne, s’est fendu d’une «théorie critique» destinée à mettre en lumière les rouages derrière la «société spectaculaire». Son opus, publié en 1967, «La Société du Spectacle», prolonge la réflexion amorcé par Marshall MacLuhan au sujet des communications dans un monde où le pouvoir technocratique a réduit au silence la parole des clercs.

Debord pousse la réflexion heideggerienne un cran plus loin. Selon lui, la « fausse » communication n’est pas une excroissance de la pensée machiniste, mais plutôt un outil vénéneux qui permet que «le spectaculaire diffus accompagne l’abondance des marchandises, le développement non perturbé du capitalisme barbare». Précisant sa pensée, il souligne qu’«ici chaque marchandise prise à part est justifiée au nom de la grandeur de la production de la totalité des objets, dont le spectacle est un catalogue apologétique» [[et pour vanter tant les objets inertes et leurs images mortes il faut agresser sans cesse la beauté intérieure et l’honnêteté foncière des vrais humains : faire passer l’honnêteté naturelle pour une maladie mentale fallait s’y effondrer…]].

Né en 1931, Debord est un fils spirituel de la société de consommation, pétri d’un existentialisme à mi-chemin entre le nihilisme de son époque et l’incontournable analyse marxiste des rapports de classe. Fondateur du l’Internationale situationniste, un mouvement né de la rencontre fortuite entre le marxisme et le surréalisme, Guy Debord s’est attaqué aux fondements de la société marchande en proposant des alternatives en termes de vraie vie, d’autogestion UNITAIRE des rapports de production, de démocratie 100 % participative ou d’abolition des rapports antisociaux tels qu’orchestrés par l’illégale société spectaculaire.

Lien : l'internationale-situationniste-avant-et-après/situationnisme-en-situations

S’inspirant des théories échafaudées par l’école de Frankfurt – lesquelles tablent sur la culture de masse en tant que vecteur d’un pouvoir technocratique qui confond les individus avec la marchandise – Guy Debord repousse les limites de l’analyse critique. Il décortique la logique marchande des rapports en société et dénonce cet agenda médiatique qui représente (à notre avis) la ligne de montage du processus de fabrication d’un monde fantasmé et fantasmatique (dixit Perrier) [[ l’ennemi existentiel est donc ces médias dénaturés qui auront gangréné tant de cœurs et empêché toute expression…spontanée, toute liberté affective et toute simplicité humaine – avec lesquelles tout est simple comme bonjour !]].

Lien : wikipedia.org/wiki/-Industrie_culturelle  [[ l’oxymore corrompu est que la culture « ne peut pas » être une industrie. C’est, avant tout, un rapport social et sociable vital]]

Véritable prophète de la société de post-consommation, Debord affirme que «la satisfaction que la marchandise abondante ne peut plus donner dans l’usage en vient à être recherchée dans la reconnaissance de sa valeur en tant que marchandise : c’est l’usage de la marchandise se suffisant à lui-même …» [[et nous expulsant de la réPublique privatisée à outrances…]]. Véritable serpent qui se mord la queue, la marchandise nous consomme tant que le pouvoir d’achat subsiste. La société d’abondance de l’après-guerre s’est avérée être un leurre alors que le niveau de vie était indexé à un pouvoir d’achat conditionnel en bout de ligne. Il s’en suit, toujours d’après Debord, une réification (perte de valeur) de la condition humaine. Le citoyen devient un vil consommateur et, partant, perd son «droit de cité». Tout s’achète dans le système néolibéral, même les consommateurs achètent le ventre des autres afin que se reproduise leur avidité libidinale. «L’homme réifié affiche la preuve de son intimité abjecte avec la marchandise», martèle-t-il d’un ton rédhibitoire.

L'être-incomplet-et-sa-réponse-politique

 

Être ou avoir : L’analyse de la société de consommation s’inspire de la vision marxiste des rapports de classe. Toutefois, Debord ne croit pas que le prolétariat parvienne un jour à renverser la bourgeoisie puisque cette dernière «est venue au pouvoir parce qu’elle est la classe de l’économie en développement. Le prolétariat ne peut être lui-même le pouvoir qu’en devenant la classe de la conscience» [[ donc de l’effort vers…plus d’intelligence. Comprendre c’est résister en vrai…]]. Cette praxis repose sur une analyse qui plonge bien au-delà des rapports de classe, histoire de mettre en lumière les fondements d’une aliénation qui est à la base des « faux » rapports en société. Vouloir abolir la bourgeoisie afin de prendre sa place ne résoudra rien [[ alors pourquoi se diviser si nous ne voulons pas régner ?]], le penseur situationniste précisant que «le mûrissement des forces productives ne peut garantir un tel pouvoir, même par le détour de la dépossession accrue qu’il entraîne. La saisie jacobine de l’État ne peut être son instrument». Il se rapproche des concepts développés par le théoricien Antonio Gramsci. Le fondateur du Parti communiste italien aura été, de facto, le premier à saisir le rôle de l’hégémonie culturelle au cœur même de l’état bourgeois [[ et de prôner la guerre de mouvement face à l’inertie suicidaire des prétendus leaders des extrêmes gauche vissés depuis 60 ans dans les stériles guerres de…positions. Je reste en place sans bouger donc tout va…plus mal ! Et je dis que tout va mieux…puisque je trône, oui mais en tant que fake libertaires…]].

Lien : wikipedia.org/wiki/-Antonio_Gramsci

Le consommateur remplace définitivement le prolétaire (dixit Perrier). Le crédit permet de suppléer à une capacité de production qui tombe en désuétude avec l’externalisation des moyens de production et la destruction des anciennes classes ouvrières. Le pouvoir d’achat est conditionnel à la marge de crédit émise par la banque. Chaque ligne de crédit consentie permet de créer de la valeur scripturale. Nous sommes entrés dans l’ère du vide économique. Si la production des biens de consommation a été délocalisée, les lambeaux du prolétariat constituent les relais d’un marché entièrement dédié à la circulation des seuls objets [[ Pas des humains…piétinés par ces hordes du maximum d’insensibilités et d’anti-amour]] , à la prestation de services et à l’administration des rouages de la  « fausse » communication [[ lorsque les « vraies » fake news sont les multinationales monopolisatrices et les….états impérialistes !]].

La société prétendue postmoderne [[encore un…faux]] a atteint son apogée, la « fausse » communication est partout. On ne parle plus des médias ou de la publicité, non. L’anti-communication représente – si l’on se fie à la vision de Debord – le rituel obligé de la consommation de l’égarement collectif maximum. Le procès de la production a été réifié par celui de la consommation [[ les consommateurs fous sont devenus les pires des exploiteurs possibles : et elles/ils n’ont aucune excuse pour cela…]]. Et, à travers ce dernier c’est l’être dans son devenir qui est menacé de réification [[disons d’instrumentalisations pour être juste : ainsi tout le monde se permet de SURexploiter les talents qui s’offrent gratuitement. Sans s’occuper du « comment faisons-nous pour maintenir le gratuit » ? Quelles souffrances et difficultés matérielles vont avec ? Pourquoi ne pas les aider même un peu – plutôt que « d’aider » très exclusivement que les trop riches et les ennemis de toutes et tous ? Ces quidams surexploitent (indignement) les musiciens non stars, les vrais écrivains, les penseurs exigeants, les artistes si sensibles…piétinant tout de leurs superficialités barbares…tout en se bramant toujours fier d’être, trop souvent, pires que les…capitalistes envers leurs frères et sœurs humains. Pas facile pourtant… La société des Spectateurs est vraiment pire que celle du specTacle !]] . Le crédit étant accordé sur la base de la capacité de production, le système financier reproduit des lignes d’emprunt en transférant les créances impayées sur le dos des producteurs des pays émergents. Les consommateurs-devenus-pires-que-des-brutes occidentaux sont maintenus artificiellement en vie, jusqu’à nouvel ordre. » …alors qu’un simple pas…de côté, un petit geste, etc. peut TOUT changer. Tout dans ces simulacres demeure…existentiel. Et, dans cet existentiel, la survie de cette auge privatisée ne tient qu’à un …fil-profil. L’oubli majeur du texte mis en lien est que Debord aura tout le tems lutté pour une pensée UNITAIRE (il n’y pas de disciplines intellectuelles scindées, pas de discriminations manuel-intellectuel – aucune séparation n’est admissible ni dans nos cœurs ni dans nos têtes) Et ceci pour ? Tout comportement est précédé d’une…mentalité. Fonder une pensée unitaire c’était vraiment ne vivre qu’une action unitaire, fédératrice, et rassembleuse, qui ne se divise jamais puisqu’elle ne veut pads régner pour elle …à part, mais fonder l’Humanité une et son monde global car non séparé. Et supprimer toute économie en…l’économisant. A la date d’aujourd’hui, seul le mouvement mouvementé (sans inertie possible) N.R.V. (Noir Rouge Vert) aura assumé cet héritage somme toute gigantesque. Celui qui ôte tout alibi aux faux jetons complets (les faux jetons empêchent le Jeu même) qui osent se prétendre dirigeants. Et permet, en toute conscience, d’abolir la monstruosité antisociale du vain capitalisme. Au moins…

……………………….**************************************************

Comment ? Le règne, s’il est sans partage, de l’image nie tout ce qui n’est pas spectacle imagé. Ce qui revient à refuser, chaque jour, toute la réalité qui est infiniment plus que ces images ( toutes contenues en elles, et non l’inverse : les images ou…du si peu de réalité !). Rien donc de plus obscurantiste que l’image. Avec elle, nous retournons direct aux cavernes ! Plus précisément aux casernes de « leurs » cavernes !

« La magie de la marchandise sert à ce qu’on ne se pose pas de question sur sa fabrication (p. 165 – François Brune – Le bonheur conforme, mai 1985) ». Ce qui devient le symbole même des prétendues « fausses news » …injustement harcelées parce qu’elles montrent, souvent sans faire exprès, la fabrication réelle de la marchandise-information, l’artificielle fabrication de la « falsifiée » actualité et des analyses tellement «faussées » qui couvrent ces scélératesses. La réalité de sa fabrication tue la pub. Tout comme qui ose critiquer la fausse nouvelle, tout en ayant trop d’argent et de pouvoir, se discrédite d’en émettre des milliers de fois plus que qui il fait semblant de dénoncer. Avec lui/elle, il ne se produit que des produits. Qui disent ? « Je suis comme vous me faites…et mes défauts ne sont plus que les…vôtres ! » Alors, « Que faire » ?

………………….………..*************************

……"On privatise tout" Poème de José Saramago, prix Nobel de littérature

« On privatise tout, on privatise la mer et le ciel,

on privatise l’eau et l’air, on privatise la justice et la loi,

on privatise le nuage qui passe,

on privatise le rêve, surtout s’il est diurne

et qu’on le rêve les yeux ouverts.

Et finalement, pour couronner le tout et en finir avec tant de privatisations

on privatise les Etats, et on les livre une fois pour toutes

à la voracité des entreprises privées,

vainqueurs de l’appel d’offre international

Voilà où se trouve désormais le salut du monde...

Et, en passant, on privatise aussi

la pute qui est notre mère à tous »

………………………..………….…..( dans les Cahiers de Lanzarote)

Saramago-en-mots

>>>> **** - José Saramago a si justement dit :

"Humanité : Ils ont raison les sceptiques quand ils affirment que l’histoire de l’humanité est une succession infinie d’occasions perdues. Heureusement, grâce à la générosité inépuisable de l’imagination, nous allons maintenant boucher ce manque, remplissant des lacunes du mieux que nous pouvons, imposant des passages dans les impasses sans issue, inventant des clés pour ouvrir les portes orphelines de serrure"

"L’échec du capitalisme financier, aujourd’hui si évident, devrait nous aider dans la défense de la dignité humaine par dessus tout." (La Vanguardia, Barcelone, le 10 décembre 2008). José-Saramago-premier-prix-Nobel-de-littérature-lusophone-et-militant-communiste-jusqu'à-ses-derniers-jours

(lien pour qui voudrait en apprendre plus sur :

**) Du serrurier fils de paysans pauvres du Ribatejo au prix Nobel

***) José Saramago, écrivain des frontières).)

Théoriquement et le spectacle et son gangrèneur premier (le capitalisme financier) sont vaincus. D’ors et déjà la défense de la dignité humaine passe en tout premier. Les médiocrates (le pire des bourgeois) portent beaucoup d’atteintes à cette dignité. Notamment par la poursuite si irresponsable du spectacle…sans issue !

…………………………*******************

Or, tacle le specTacle = plus d’obstacle.

…………………………….Plus d’obstacles si tu le…tacles tous ensemblables !

 

 

……(à suivre)

 

…………………….%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%

 

toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

 

                        Que la vaste gratitude vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

………………………

Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 600 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

tacle en cours

tacle en cours

reflets de quoi ? De l’anti-civilisation…rien des civilités civilisées que du militaire…

reflets de quoi ? De l’anti-civilisation…rien des civilités civilisées que du militaire…

Le système s’appuie sur un algorithme qui compare ce que les gens reçoivent de l’aide sociale et leurs revenus déclarés aux impôts. En 2016, la recherche d’anomalies a été complètement automatisée par l’agence CentreLink chargée d’administrer…les prestations sociales. Les gens étaient dépourvus de recours pour expliquer ou contester leur situation, comme le soulignent les milliers de témoignages récoltés sur le site NotMyDebt : 29 millions d’appels à Centerlink sont restés sans réponses en 2016 ! L’enquête a montré, pourtant, que la plupart de ces réclamations étaient mal calculées voire inexistantes. Suite à une enquête du Sénat en mai 2017, le gouvernement australien a été contraint de suspendre le…système.

Le système s’appuie sur un algorithme qui compare ce que les gens reçoivent de l’aide sociale et leurs revenus déclarés aux impôts. En 2016, la recherche d’anomalies a été complètement automatisée par l’agence CentreLink chargée d’administrer…les prestations sociales. Les gens étaient dépourvus de recours pour expliquer ou contester leur situation, comme le soulignent les milliers de témoignages récoltés sur le site NotMyDebt : 29 millions d’appels à Centerlink sont restés sans réponses en 2016 ! L’enquête a montré, pourtant, que la plupart de ces réclamations étaient mal calculées voire inexistantes. Suite à une enquête du Sénat en mai 2017, le gouvernement australien a été contraint de suspendre le…système.

Le webzine Logic (@logic_magazine) revient sur le remplacement récent par le gouvernement australien de services sociaux par un logiciel. Non sans échos aux propos de Virginia Eubanks qui s’intéressait à ce phénomène aux États-Unis, l’écrivaine Gillian Terzis (@gillianterzis) nous montre à quoi ressemble l’austérité automatisée en Australie.

Le webzine Logic (@logic_magazine) revient sur le remplacement récent par le gouvernement australien de services sociaux par un logiciel. Non sans échos aux propos de Virginia Eubanks qui s’intéressait à ce phénomène aux États-Unis, l’écrivaine Gillian Terzis (@gillianterzis) nous montre à quoi ressemble l’austérité automatisée en Australie.

les inégalités automatisées par ordinateurs...

les inégalités automatisées par ordinateurs...

un esprit inoubliable du XX ème siècle

un esprit inoubliable du XX ème siècle

libertés de parole dans le règne de la « fausse – fake »  communication

libertés de parole dans le règne de la « fausse – fake » communication

phantasmes

phantasmes

celui où les classes moyennes disparaissent pendant qu’elles restent persuadées que leur nombre augmente…

celui où les classes moyennes disparaissent pendant qu’elles restent persuadées que leur nombre augmente…

François Brune - Publicité et sordide idéologie de la consommation

Car - comment choisir entre internalisation et externalisation ?

…*** - Le concept d'externalisation : Introduction, définition et différence avec la sous-traitance… La stratégie d’externalisation ou stratégie d’outsourcing consiste, pour une entreprise, à confier à des partenaires extérieurs la réalisation d’activités qu’elle assurait préalablement en interne. Il s’agit alors de faire faire une activité que l’on faisait soi-même, quitte à déléguer un ou plusieurs maillons de la chaîne de valeur.

Et donc…. fausses externalités mais vrais détournements de bénéfices (la société payant les « effets secondaires » de ces profits maquillés)…. Marque. Marketing. Communication. Récit. Commerce…Le Branding comme blabla marketing trompeur…qui se couvre du trop de ridicule qui tue…

Vestiges du consommateur fou - Comment un humain normal peut se voir ridiculisé par son addiction au consumérisme

Radio - La beat generation - Orages d'acier - 09/10/2016

Histoire Industrialo-Culturelle -- Présentation d'un courant artistique du XXème siècle -- Le Pop art.

Histoire vraiment culturelle….Montage situationniste de L3B015 dans la boîte à images sur une narration de Guy Debord et une musique de Frank Petitpas

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article