Assigné à résidence identitaire ?
L’identité assignée par les pouvoirs tricheurs devient pire qu’une prison…elle nous empêche de rencontrer spontanément les autres. Et comment pouvons-nous essayer notre identité si nous ne rencontrons jamais la …véridique diversité ? Tout n’est-il pas vraiment fait pour nous séparer des autres ? L’identitaire, alors, tel un piège qui nous coupe de beaucoup de la réalité ? Qui peut même devenir une arme contre nous ? Répondre à ces questions c’est vraiment se libérer. La pire des discriminations, c’est d’assigner les individus à leur origine. Pendant que nous nous égarons dans ces fausses identités, nous ne nous occupons pas d’autre chose. Nous sommes neutralisé(e)s. Alors qu’un homme peut penser pour une femme, un jeune pour un retraité, un vivant pour un être à naître (qui donnera naissance au droit des générations futures), etc. Catégoriser c’est tricher et mentir – et c’est infiniment nuire. Par exemple, l’universalité appliquée au droit, c’est la garantie de l’égalité de traitement pour chaque individu, le séparatisme (déguisé en identitaire), appliqué au droit, c’est le règne de l’arbitraire par les si illégaux…privilèges. Ce que nous vérifions largement dans les scandaleuses pratiques, qui se prétendent gouvernementales, en Europe. Et en France aussi (alors qu’elle a toute une culture vraiment universelle pour se défendre d’un sécessionnisme aussi antinaturel). Disons que les politiques dominants sont comme des ringards archi passéistes, vieillots et égarés, qui se trompent carrément de direction pour dire et pour faire. Et qui retournent vers l’âge des cavernes plutôt que de courir vers celui de l’Humanité une. Et tout cela à cause de leur échec mental du tout-arbitraire et tout-séparatiste… « Or, s’affranchir de son déterminisme est sans doute ce qu’il y a de plus beau (et de plus difficile) dans la condition de l’humain.
Le séparatisme culturel assigne les individus à résidence identitaire. Il les enferme dans un être figé, sans leur laisser la moindre chance de s’en affranchir [[ ce sont tous les effets secondaires de l’affirmative action étasunienne, par exemple]].
Au départ, l’intention est louable : dans le sillage du mouvement pour les droits civiques, et sous l’impulsion du président Kennedy, il est instauré une politique de discrimination positive (à l’emploi, à l’université, dans les médias) censée rééquilibrer des décennies de discrimination raciale à l’encontre des descendants d’esclaves. Or, outre que le système ne fonctionne pas, ou très imparfaitement (les Noirs aux États-Unis sont cinq fois moins riches que les Blancs et les prisons fédérales sont encore majoritairement remplies de Noirs), l’affirmative action est humiliante. La série sur le procès d’O. J. Simpson (American Crime History) rend parfaitement compte de ces dérives. « I’m not black ! I’m O. J. ! » se rebelle Simpson quand son avocat, un défenseur des droits civiques, choisit une ligne de défense « ethnique ». De son côté, l’accusation répond en intégrant dans son équipe Christopher Darden, un coprocureur, noir lui aussi, dont la présence est supposée déminer le racisme du ministère public. « Je suis devenu juriste parce que j’étais un élève assidu, pas grâce à mes origines », regrettera-t-il. Trop tard, le mal est fait : Simpson sera acquitté parce que noir. Darden aura été instrumentalisé [[ soit dépouillé de toute sa conviction intime]] parce que noir. La communauté african american exultera, et personne ne connaîtra jamais la vérité [[ qui est que « l’identité abstraite » n’est pas celle du vrai être humain. Sa propre identité se trouve par un chemin à l’intérieur de soi et a pour engrais…l’universalisme (tout ce qui nous dépasse, est plus vaste que nous, dans le monde naturel, doit nous inspirer…nous ne parlons pas des malsaines fictions du marketing politique, ce règne complet du faux !]].
C’est de ce racisme à double entrée qu’on voudrait chez nous [[ que le marketing politique veuille sans cesse imiter les U.S.A. malgré l’avis de la grande majorité du pays, crée un « faux » problème qui va grandissant. A mesure que plus grand nombre n’a plus la…simplicité de donner un coup de pied dans ces simagrées]] ? C’est vrai, quoi, on pourrait s’en foutre. On pourrait entériner le « chacun sa race ». On pourrait même dire que l’humanisme est dépassé [[ ce qui « permet » le transhumanisme sans plus grand chose d’humain]], qu’il faut laisser l’histoire suivre son cours normalement, sans tenter d’intervenir pour corriger sa trajectoire. Et que poursuivre des trajectoires séparées n’est finalement pas une entrave au bien-être. La véritable discrimination, c’est d’assigner à résidence surveillée les individus à leur origine [[C’est le clouer à vie dans ce qu’il/elle n’est pas…fondamentalement. C’est l’empêcher de devenir…vraiment lui-même pour des motifs complètement…abstraits (abstraits de la vie, retirés d’elle, de ses traits mêmes !) L’identité à ce prix c’est la prison mentale et l’interdiction sournoise de rencontrer tous les autres humains…Comme cela sont ruinées toute les possibilités de s’unir, réunir et de contrer ce système sordide…sauf que l’universalité reste la santé du tous unis vers…]].
Pourtant, le combat entre universalisme et séparatisme vaut la peine d’être mené. Il faut arrêter d’accepter d’être subdivisé-e-s en inhumaines catégories [[aujourd’hui Muriel Robin dit : « Je ne suis pas homo, je suis moi ! », pulvérisant la fiche policière des médias menteurs, qui ne sont là qu’afin d’accuser frauduleusement tous ceux qui peuvent tenir tête. L’identité reste leur première…accusation. Donc sortir vainqueur de ce piège ? Oui c’est possible, comme nous allons le voir !]]…L’universalisme n’est pas une résurgence du passé, un sparadrap dont il faudrait se débarrasser, mais un horizon à accomplir. La vie est plus riche, plus dense, plus intéressante quand on s’affranchit de son déterminisme [[ être esclaves d’une fausse identité, non merci…]]. Quand nous ne sommes pas, à l’arrivée, ce que nous étions au départ. La vie est plus riche, plus dense, plus intéressante quand nous sortons vraiment de nous pour aller à la rencontre des autres [[ la fausse identité comme une camisole de force qui nous sépare des autres…c’est le principe de « l’image » qui vit à…notre place !]]. Réfléchir en tant que Blanc, en tant que Noir, en tant que femme, c’est l’esprit de clocher appliqué à la vie sociale. Le rétrécissement de tout le monde. La véritable discrimination, c’est ligoter à vie les individus à leur origine pour laquelle ils ne peuvent rien [[ c’est le noyau même de la pensée fasciste qui ne veut qu’un élan, celui des « faisceaux » qui courent vers le leader unique…parce qu’ils sont débarrassés d’eux-mêmes. Ils ont « l’identité » qu’on leur dit d’avoir. Qui n’en est donc pas une du tout. Le capitalisme de toutes les illégalités récupère cette idée en partie, sauf que le leader des faisceaux c’est…l’argent sale ]] »…L’universalité nous libère complètement de ces miasmes idéologiques, nous rend libres. Libres de découvrir notre réelle identité. Car on ne naît pas avec une identité. On la devient. Comme ceci :
………………………***************************************
Entité, de entis, participe très présent de esse, être. Voici l'essence de l'entité d'identité (Identité qui est la même chose que:) : voyons voir... "L'identique désigne d'abord l'identifié, la reconnaissance de celui- ci en tant que celui- ci, is dem selon l'origine latine, soit celui-ci même. Mais l'identique en vient aussitôt à désigner du même coup – et ce apparemment dans toutes les langues du monde; ce qui incite à présumer la complicité des deux sens – l'équivalence d'un terme à l'autre, la reconnaissance de celui-ci en tant que celui- ci, idem en latin soit le même que celui- ci : sens exactement contraire à celui dont il prend ainsi le relais puisque substituant l'idée d'égalité à celle de la spécificité inégalable, l'idée de reproduction à celle de singularité (Clément Rosset – Retour sur la question du double).» C'est, peut- être, énoncé de manière compliquée, mais, c'est très sûr, Madame, que tant vouloir "la spécificité inégalable" par le moyen de la "reproduction identique" infinie, ce n'est pas le bon choix. Est-ce plutôt pour cela que, dans leur secrète intimité, la plupart des gens "n'aiment pas" l'égalité: l'identité nous ramènerait, par la bande, par trop aux racines égalitaires ? Nous, nous adorrroooonnnns l'égalité… Puisque les inégalités ne permettent l’épanouissement paisible…d’aucunes différences. Les inégalités uniformisent les têtes et les cœurs : c’est le grand ennui, ce pourquoi tout un chacun ne crée qu’ennuis aux autres !
Mais nous voulons percer jusqu'au fond le secret de l'identité (en aucun cas la littérature ne doit être une mondanité !), nous ne nous contenterons pas de ce premier paradoxe. "La pensée de l'identité rassemble et confond deux idées contraires du même et de l'autre : désignant à la fois et contradictoirement ce qui est sans égal et ce qui est égal à autre chose (Clément Rosset – Retour sur la question du double). » Tentons de débroussailler le compact disc dont fait, intimement, partie l'identité…" Une identification consiste à ramener un terme inconnu à un terme connu; opération impossible dans le cas du réel qui est seul à être ainsi, le seul à être seul", nous côtoie toujours Clément Rosset, dans "Retour sur la question du double", dont vous captez, soudain, le sens du titre, le réel, lui, n'a pas de double. Nous oui, ce double nous double bien trop souvent. Et c’est…l’identité qui n’en est pas une !!! Alors que tout l'univers conspire à nous le faire entendre : chaque seconde seconde même cet objectif…
Trop identique identité ? L'id- entité, qui naquit ainsi d'idem, d'idée. Oui de connaissances, si nous accédons aux connaissances c'est bien pour faire connaissance, yes or no. Que idem ouvre à IDÉE représente l'ouverture d'un nouveau champ de savoirs: les paradoxes constructeurs ! Nous ne pourrions communiquer que parce que nous sommes tous uniques. Tant l'on ne communique tous que comme uniques. L'univers, lui-même, avoue être uni vers, mais vers quoi? L'id-entité, telle le même que de ce qui est absent, ajouté aux nouveaux paradigmes de l'approche paradoxale, va nous faire déboucher sur des trouvailles bien plus passionnantes que l'identité..."Comme en témoigne la banale carte d'identité qui n'assure de la personne que pour autant qu'elle la présente comme différente d'aucune autre, non identique à quelque autre personne que ce soit, garantissant ainsi son "identité" particulière par l'exhibition d'un certificat général de "non identité", nous fignole le boulot le Clément Rosset du "Retour sur la question du double". Point d'identité sans son double (sans la non identité). L'approche paradoxale, ce nouveau paradigme, s'annonce d'une fécondité redoutable. La filiation (non génétique) que nous sommes parvenus à établir c'est identité, identique, idem, idée, idéalisme. L'identité peut très bien dériver vers l'idéalisme (le monde des idées – pas du non réel, stop de stop, à force d'avoir laissé contaminer trop de débats par tant d'intrus, les chattes n'y retrouvent plus leurs petits – comme d'habitude, solutions = trouver de nouvelles méthodes…)- le monde des vrais penseurs se constitue de congruences (que les choses tiennent ensemble – dans un moteur vous ne pouvez mettre un bout de frigo, une chaussure et une salade, etc. pour les idées c'est pareil, il s'agit de trouver les "articulations" par lesquelles la préhension (avec les mains) de la compréhension opère !, et de vraie efficacité (tout le contraire de l'efficacité bidon des "gestionnaires'" qui, dans l'addition totale du globalisé, refusent de voir qu’il "coûte vraiment beaucoup trop cher" et n'est donc pas efficace du tout…) etc. pas d'exhaustivité possible ici…etc.
Puisque tout le monde a le droit à son "identité": le nœud de la résolution du conflit (l'identité ne semble qu'un conflit !) c'est l'Autre. Or, à la limite, l'identitaire peut "passer" dans un monde égalitaire…dans un inégalitaire il n'advient que comme faux dissensus maxima ! C'est qu’une transparence d'égaux vivant la même expérience se voit définitivement obscurcie par l'aliénation, alius (l'autre) transformé en aliud (objet). "L'occident commence là où commence la division entre un groupe défini, la cité, et l'autre ou les autres", précise Lucien Sfez dans "Les leçons sur l'égalité". Alien – cette action de partage qui met l'autre A DISTANCE et lui assigne sa place "d'autre". Il n'a rien dit, ne peut rien dire. Soi seul crée toute cette monstrueuse architecture (alien- ation!), soi seul repousse l'autre et ose le "chacun à a place", ce qui ne veut rien dire puisque un seul doit, alors, "distribuer" symboliquement les places. Sinon, le brassage sociétal naturel ne peut garantir ce "genre de place" à personne. Chacun à sa place, par rapport à qui, qui est le chef d'orchestre qui attribue le chacun-e sa place ? Il n'a rien dit, et je me permets de parler "à sa place". Ensuite, quoi qu'il (elle) fasse tout sera interprété, dévié, faussé, défiguré d'après "mes" mots…Tel est le conflit dramatique qu’est l’identité…puisqu’elle refuse de s’en prendre à…sa vérité…elle fonce dans les plumes de l’autre (comme s’il y pouvait quelque chose !).
Cette vérité est que l’identité de idem (id.) c’est être pareil à, oui semblable. A quoi ? Et bien à l’entité de l’id-entité, entité concept plutôt vague et ne se peut vraiment définir précisément. Identité-piège comme ressembler énormément, n’être pas soi, ne pas se différencier, mais se faire pareil, semblable – voilà qui contredit complètement la recherche d’une…rareté. Sauf si le concept est quantique (indécidable concept) et que le chemin à l’intérieur de nous doive traverser tout ce quantisme àfin de trouver sa solution dans de nouveaux concepts…plus jamais utilitaristes. Nous ne sommes pas des choses et nous n’avons pas « d’identité code barre » (les catégories). Non, nous ne sommes pas des produits mais nous sommes ce qui « se » produit. Et ce qui « se » produit…c’est nous (l’identité authentique c’est…être soi sans aucun brouillage possible !). L’aberration est donc de permettre au commerce de faire semblant de philosopher. Il ne le sait pas du tout et son obsession de vendre, vendre n’aura égaré que lui…Comment dire. Comment dire alors ?
>>>>> *** - Oui comment dire que force est de constater combien le mensonge conduit à la mort, les temps de ténèbres qui nous aspirent en attestent ? Le droit de tuer par le mensonge de la loi falsifiée, qui décrète le droit de vie sur l’être humain, qui trie « vous et ceux qui ne sont rien » (sic), celui qui mérite et celui « qui ne mérite pas de vivre » (sic bis), les peuples ou les pays de merde ( sic toujours) qu’il convient de détruire car ils constituent une inutilité inacceptable pour le monde se prétendant « civilisé » soit… la non-démocratie (impériale!), la non-liberté trop dérégulée unilatéralement, et surtout le business non libre et complètement faussé…Socrate (« un sage parmi les hommes ») nous rappelle le rejet du mensonge, même chez les dieux… « puisqu’ils ne mentent pas, assurément : cela ne leur est pas permis (l’Apologie de Socrate). » Seul le mensonge (corRompu) permet tout mais…pas à tout le monde. La vérité garantit les mêmes droits à absolument tout le monde. C’est ainsi…le droit de mentir ne peut pas exister. Car ?
>>> ** Puisque (dans les sociétés prises en otages par le libéralisme falsifié) le droit de dire la vérité serait comme interdit, les corruptions que veulent entièrement déréguler les fausses élites de classes prétendues supérieures (et qui, au seul regard de leurs comportements, ne peuvent surtout pas l’être) – donc le droit de mentir va…supprimer le droit même. Plus de droit plus de « doit » et donc toutes les dettes disparaissent, on ne doit plus rien, car plus de Droit qui doit…ces fausses élites vont revenir au triple galop ssssuiiiiilpppppmmm shiiii, eûaâââârrkkkeuuu…mais non, non ! La vérité existe …oui, oui, nous devons honorer le Droit doit ! Faudrait savoir : donc VOUS NE SAVEZ PAS ! Et ils ne méritent plus un seul regard...Car ?
CE NE SERA PAS LONG POUR ENTRER DANS UNE NOUVELLE CIVILISATION (pour qui veut trouver le corps du délit dans cette « plus courte nouvelle policière » existante peut essayer ce lien ou voir au mois de Juin 2010 dans les archives…) http://www.imagiter.fr/article-ce-ne-sera-pas-long-pour-entrer-dans-une-nouvelle-civilisation-
CROIRE? Beaucoup trop semblent se noyer dans ce mot. Faut dire qu'il a été baigné dans un tel océan réprobatif. Histoire d'en éloigner tout le monde? T'as qu'à croire! On ne te laisserait donc que "cela"! Plouf ?
Ouf !!! Comme d'habitude, les mots restent souverains. Croire? Crédule ou crédible. Patatrac! Boumbadaboum ! CRÉDIBLE: qui peut être cru, que c'est bon d'y croire, que ça lui fait du bien que nous croyons en lui. Même la moins roborative définition - crédible: à qui l'on peut faire crédit – ne parvient plus à enlever, très soudain, beaucoup beaucoup d'attrait à ce mot "croire". Retournement de situation. "J'ai besoin que l'on croit en moi", fuse de milliards de têtes. Dès que la personne est directement concernée, vous savez, elle affûte ses convictions. CROIRE. Cela devient important alors de pouvoir croire et même, carrément, de croire en direct…
Comme d'habitude, dans l'univers si partiel, si minuscule en fait, des bourgeois, l'argent est l'argument qui se retourne, infailliblement, contre eux. Mais que, bizarrement, personne n'utilise. Croire, c'est à jeter, disent-ils en sourdine. Comme la vérité. « VÉRITÉ, ça n'existerait même pas." Ah bon! , leur répondez- vous, si vous dites que la vérité n'existe pas vous ne pouvez vous en tirer si aisément. Tout semble trop facile! Ne serait- ce pas parce que votre monde serait pure fiction en fait ? Ainsi, si la vérité n'existe pas vous êtes absolument obligés d'accepter ces 100 euros que je viens d'écrire sur n'importe quel papier. Si la vérité n'existe pas il n'y a plus de fausse monnaie, de monnaie non vraie. Vous ne pouvez vous dédire, l'absence de vérité ne peut être que complète : il ne peut donc exister de vraie monnaie…"
Vous les voyez, mouvements browniens, se tortiller sous cet acide argumentaire : "--- Oui, oui, la vérité existe et ceci est de la fausse monnaie. Nous aimons la vraie monnaie! La monnaie!!! "
"CRÉDIBLE. Si croire est si suspect (tout ce qui détourne du fanatisme de l'argent doit être disqualifié) plus personne ne pourra être crédible. Et vous aussi. Supprimant croire, vous supprimez même le crédit (cette croyance dans le futur, le futur du remboursement de ce crédit), vous supprimez la confiance qui "fait" les banques et les si illégales Bourses… la tornade des résultats devient exponentielle. Et tout le monde de bien voir que c'est l'esprit bourgeois qui est le plus nihiliste, le plus négateur, le plus délinquant, le plus corrupteur, le plus sournois, le plus menteur, le plus voyou, le plus subversif, le plus hors des lois, le moins fiable, compétent, le plus extrême qui se puisse imaginer."
D'ailleurs et d'ici… "--- Oui, oui il faut croire au crédit et rendre crédible croire. Oui, oui il faut croire que je suis crédible, moi, moi, moi, je , je ,je…"
(…) Les mots viennent de vous montrer (croire, vérité, argent) que l'esprit bourgeois n'est qu'une très petite partie du réel. Nous ne pourrons donc pas nous perdre (ni être perdus) en quittant cette très très petite partie du réel pour une bien plus grande autre partie du réel. Et si un des buts devenait d'accéder à tout le réel complet ? A ce réel gigantisme ? A ce gun giant ?
Sûr que tous ceux qui quittent l'esprit bourgeois le font, tout liserés de tristesse devant ces permanents assauts de petitesses, de bassesses, de mesquineries, d'indignités, de malhonnêtetés, de mensonges, d'incompétences, d'irresponsabilités, d'obscurantismes qui sévirent sous son si oubliable règne.
……..Ce n'est plus si difficile, désormais, d'entrer dans une autre civilisation.
…….Là où toute les recherches d’id-entités trouveront leurs réponses méritées…
……………….(à suivre)
>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> - ANNEXES - <<<<<<<<<<<<<<<<<<
Par-delà-les-illusions (- Article de réflexion sur la quête identitaire au cœur du mondialisme -)
« Le langage et ses lieux de représentation : La propagande, avant d’être récupérée par le marketing, faisait partie de l’arsenal classique de la guerre. Elle était employée pour déstabiliser l’adversaire, minant la crédibilité de sa propre communication. La propagande était – à notre avis – distincte de la DOXA officielle, c’est-à-dire la parole diffusée par les canaux de communication du pouvoir en place. Avant que les sophistes ne viennent la distordre, la DOXA représentait, chez les anciens grecs, un instrument de construction du discours puisant l’essentiel de son langage à partir de la «sagesse populaire». Platon finit par assimiler la DOXA à une forme de jargon démagogique menant à la déception en bout de ligne.
On pense spontanément à la démagogie extrême de nos classes dirigeantes, toujours plus mal famées, qui se servent de la sophistique pour distordre les raisonnements, induire des idées pernicieuses et vicier le débat. Néanmoins, il ne faudrait jamais oublier la distinction capitale entre un orateur et un acteur. L’orateur se sert de son art afin de propager ses idées ou de défendre une ligne politique. L’acteur se met dans la peau d’un personnage fictif et il nous joue la comédie … pour le plus grand bénéfice de ceux qui savent lire entre les lignes. [[Et ?]] Il faut donc le dire : la communication postmoderne est PLUS qu’une déclaration de guerre. C’est LA guerre.
Les soi-disant «analystes politiques» sous-entendent (pour les malentendants) que le «bon peuple» est derechef conquis par cette «narrative» de circonstance. À moins que se soit l’inverse qui soit vrai : les «analystes politiques» seraient intoxiqués par leur propre discours. La communication officielle, «narrative», nous distrait constamment face au réel que nous sommes forcés d’affronter à la sortie d’Internet. Il s’agit d’une distorsion permanente : la «narrative» contre la nature. Ou une communication vraiment contre-nature. Perverse ! Pas surprenant que la recherche de l’intégrité soit comparable à une quête menée sans relâche par toute cette jeunesse désemparée. On se réfugie au fond de soi, on gratte sur la surface afin d’écailler le masque. La communication de l’intime est devenue un soliloque, une prostration de dernier recours face à la trame diffuse et touffue de cette guerre de l’anti-communication. »…
Anticommunication ? Voici pourquoi nous avions écrit à l’avance ce livre gratuit à trouver sur http://www.freethewords.org/ "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» qui se situe sur l’onglet 4 des...
..........................................................................ouvrages qui ouvrent !
………………………..************************************
…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
………………………
Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
L’identité assignée par les pouvoirs tricheurs devient pire qu’une prison…elle nous empêche de rencontrer spontanément les autres…et comment pouvons-nous essayer notre identité si nous ne rencontrons jamais la …véridique diversité ?
l’identité intérieure se trouve dans des contacts répétés avec la nature – tout ce qui est intéressé et dogmatique ne connait « rien » à notre vérité intérieure…
13,7 milliards d'années après le Big Bang, tout l'univers est régi par les lois physiques. Tout ? Non ! Une planète peuplée d'irréductibles humains résiste encore et toujours au déterminisme... Grâce à la potion magique concoctée par leurs philosophes : la liberté !
Situations du déterminisme en sciences humaines et sociales
Le déterminisme en sciences humaines et sociales (SHS) : un thème relégué aux dissertations scolaires, loin du quotidien de la recherche ? En réalité, si les publications qui le traitent expl...
Situations du déterminisme en sciences humaines et sociales : - La question du déterminisme ne cesse d’animer les débats sur l’identité épistémologique, la portée et le devenir des sciences humaines et sociales (SHS). Jamais complètement tranchés, ces débats resurgissent périodiquement au fil des évolutions internes comme des interrogations, sollicitations ou défis provenant de champs adjacents (sciences de la nature, sciences cognitives, philosophie, psychologie). S’ils sont rarement dépassionnés, c’est parce qu’ils ne mettent pas en jeu la seule ambition des SHS de constituer un ensemble de savoirs robustes sur les réalités sociales.
Un avocat (?), a récemment évoqué (ou invoqué?) publiquement, pour une affaire de tueur en série particulièrement ignoble le droit de mentir comme apanage du droit français! Tout en déclara...
Puisque le droit de dire la vérité semble interdit, les corruptions que veulent déréguler les fausses élites de classes prétendues supérieures (et qui, au seul regard de leurs comportements, ne peuvent surtout pas l’être) – donc le droit de mentir va…supprimer le droit même. Plus de droit plus de « doit » et donc toutes les dettes disparaissent, on ne doit plus rien, car plus de Droit qui doit…ces fausses élites vont revenir au triple galop ssssuiiiiilpppppmmm shiiii, eûaâââârrkkkeuuu…mais non, non ! La vérité existe …nous devons honorer le Droit doit ! Faudrait savoir : donc VOUS NE SAVEZ PAS !
Plus de 70 % des Américains en âge pour l'armée inaptes au service en raison de problèmes de santé
Les États-Unis pourraient être confrontés à une crise de sécurité et cela n'a rien à voir avec les Russes cette fois-ci. Selon une nouvelle étude, la majorité des Américains en âge pour ...
Donc mentons et disons que ces 70 % sont des surhommes. A quoi cela va-t-il servir. Les corRompus qui monopolisent illégalement la société (le nombre est contre eux) croient-ils pouvoir tout corrompre ?
Néo-conservatisme contre Universalisme
La mise en place et le soutien des structures internationales deviennent impératifs dans la perspective d'une vraie protection des droits de l'homme et d'une réelle coopération face aux menaces ...
Néo-conservatisme contre universalisme : le ver est dans ce fruit là ! L’état de guerre, la tromperie et la vertu morale Néo-conservatisme contre universalisme Quelques exemples de Structures juridiques universelles Droit de la Concurrence : une approche plus pragmatique La Cour pénale internationale Le néo-conservatisme contre les structures internationales Contre l’équilibre mondial s’appuyant sur un encadrement international Envahir l’Irak pour bafouer les structures juridiques a. Invasion de l’Irak sans consensus international b. La guerre perpétuelle, état essentiel pour les néo-conservateurs c. Le « laisser-faire » néo-conservateur et la résurgence du complexe militaro-industriel Le plan des néocons c’est de déstabiliser la planète dans la plus grande irresponsabilité envers les conséquences. Disons que leur vision déformée du réel est invivable pour les autres : «leur» propriété doit être reconnue…universellement. « Leur » droit de faire la guerre ne doit pas être contredit…leurs structures doivent être acceptées pendant qu’ils n’acceptent aucune autre. Familiarité avec quoi ? Bingo : nous nous croirions dans une cours de…récréation d’école primaire. Irrecevables néocons !
ce piège sordide qui aura créé le politiquement correct et tant d'autres ennemis...
Mireille Fanon Mendès-France, Fondation Frantz Fanon, Le concept d’universalisme revisité à la lecture de Frantz Fanon, qu’elle connut si bien.
Identité ? Être. Lorsqu’être… humain c’est la réussite vraiment supérieure de la vie…
Les apparences sont devenues un danger antisocial ? - Le blog de imagiter.over-blog.com
Le poids des apparences ; victimes des apparences ; jugés selon les seules apparences ; les tabous des apparences ; la tyrannie des apparences ou même la contrainte des apparences : tout un langage
http://www.imagiter.fr/2016/10/les-apparences-sont-devenues-un-danger-antisocial.html
Vous sauriez définir la société, la culture, la tradition, l'identité et l'ethnocentrisme ? Pas si facile non ? Surtout quand on sait qu'on utilise souvent mal ces mots (ou qu'ils sont mal utilisés dans les médias). Trop chiant et compliqué d'ouvrir Wikipédia ? Pas de soucis, on les définit pour vous, aussi simplement que possible.