Comment la bonté rend trop heureux ?

Publié le par imagiter.over-blog.com

Comment la bonté rend trop heureux ?

La bonté peut conduire au bonheur, ça n’a même rien d’illogique ni d’imbécile. Car ? Elle appartient à la pointe avancée de la civilisation. Or, actuellement, elle ne semble pas avoir bonne presse. C’est qu’elle représente bien un phénomène central qui dérange trop pas mal de manipulations qui voudraient se faire prendre pour autres choses. Si la bonté semble abusivement rejetée c’est qu’elle pointe du doigt toutes les mauvaises volontés et les mauvaises fois qui semblent dominer tant de comportements actuels. En général, inacceptables. Mais c’est que la bonté reste l’étape du plus fort progrès de la civilisation : c’est donc une condamnation explicite contre nos nets appauvrissements moraux et affectifs. Nous sommes trop avachis, pas assez exigeants, évitant trop les efforts, efforts qui ont toujours bien amélioré les choses. Comment démêler les fils et voir clair dans ces glacis des trop d’avidités individuelles. Genre tout pour moi et rien pour les autres ?

Clair, déjà, que bouillonne toute une propagande pour effacer, par tous les moyens, cette possibilité offerte à tous les cœurs…et ce jusqu’aux plus inattendues extrêmes gauches. Celles où les leaders ont tellement de ressemblances mentales et affectives avec les faux dirigeants actuels. Et ? L’enjeu se montre donc essentiel de par sa suspecte unanimité contre même : les hyper violences des prétendus pouvoirs actuels s’expliquent donc. Rien de plus brutaux, arriérés, pré-civilisationels, rétrogrades, rien de plus barbares qu’eux. Et ? Si la bonté existe, si elle se prouve si…bénéfique (vrai sens du mot… « bénéfice », si souillé par ces cœurs pitoyablement sales) alors…ils s’effondrent. Comme tout parait simple. Ne reste qu’à le prouver – nous l’éprouvons déjà – la moitié de la preuve est donc déjà obtenue

 

>>>>>> - Dans « Terres promises » [[ et tenues vu que c’est la Terre une et unie ]], on retrouve le personnage-rédempteur qu’est Felicita et sa «bonté illogique des imbéciles» comme le dit Marianna. Pouvez-vous nous expliquer comment est né ce roman et quel est son message?

Felicita, contrairement aux autres personnages qui sont des perdants de la vie intérieure, incarne cette forme de bonheur qui semble illogique et imbécile. Elle veut démontrer que le bonheur peut être atteint en étant bon, ce qui n’a en fait rien d’illogique ni d’imbécile. Son fils est comme elle. Dès qu’il se met au piano, dans cette pièce minuscule où remontent les remugles de friture et d’égouts, il est heureux parce qu’il est dans son monde. Le message, c’est qu’il est possible d’être heureux dans un monde peu attirant au premier abord, que le bonheur peut se trouver là où l’on n’aurait jamais cru pouvoir le découvrir. Felicita voit la beauté dans des choses que d’autres jugeraient laides ou sans intérêt. Dans presque tous mes livres, on retrouve ce monde insoupçonné, ce monde idéal qui n’existe pas mais qui reste très réalisable.

Ce-qui-me-plait-dans-l'écriture-c'est-de-faire-gagner-les-prétendus-perdants

Quelles sont vos « terres promises » ? Le personnage de Felicita inclut des détails autobiographiques. Je suis née à Gênes où j’ai vécu jusqu’à l’âge de 5 ans, puis j’ai vécu cinq ans à Milan pour revenir ensuite en Sardaigne. J’ai aussi un fils qui est pianiste de jazz à New York. Mais là où Felicita me ressemble beaucoup, c’est que j’ai adoré tous les lieux où j’ai vécu. Je n’ai jamais eu envie de quitter l’endroit où j’étais. J’ai suivi mes parents. Aujourd’hui, je vis sur mes «terres promises». Je suis entourée de gens qui les cherchent encore, mais moi je suis heureuse et ne changerais ma vie pour rien au monde. Je ne pourrais pas vivre ailleurs qu’en Sardaigne. Quant à mon fils, je n’ai jamais eu d’idée préconçue sur son avenir, je n’ai jamais souhaité, comme certains parents, avoir un enfant différent de ce qu’il est. Les amis qui m’entourent sont les plus sympathiques, les plus intelligents et les plus sincères que je pourrais avoir. Et mon compagnon est le meilleur qui soit. Je n’ai jamais eu envie d’avoir une autre famille que la mienne, et ma maison, même si elle est un peu décrépite, me convient parfaitement avec sa vue sur la mer. Je ne l’échangerais jamais contre la plus belle villa du monde. »…ce monde malsainement dirigé par des pervers (qui ont donc une immense incapacité à aimer, parce qu’ils sont inaptes à ÊTRE SIMPLES, ont donc d’ors et déjà tout perdu. Mais ceci ne se perçoit pas encore très limpidement. Être bons c’est exactement se montrer…satisfait(e)s de ce qui est en sachant que nous seuls pouvons l’améliorer. De nos efforts qui rendent plus forts. La hideuse société de consommation (qui se paie par la destruction du meilleur de nous en chacun-e de nous) a donc déjà…Tout raté…puisque la bonté existe et lui pisse, pacifiquement, à la gueule ! La légende dit bien ô, j’ai la pisse hautière…de celle qui a déjà pris…le grand large ! Grand large qui est ?

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Nos-cerveaux-Zones-A-Défendre-prioritaires/#-?

« L’autonomie de pensée [[ voir, à ce sujet, le livre essentiel «Légalité de l’égalité»]] est la mère de toutes les autonomies. Il n’est pas dit que les enfants d’aujourd’hui disposent encore longtemps de la base biologique de cette pensée, ni des facultés cognitives nécessaires à celle-ci, ni même des capacités minimales de s’exprimer. Le mode de vie des sociétés cyber-industrielles attaque notre for intérieur.

S’il est une ZAD à établir d’urgence, c’est celle de nos cerveaux. Faute de quoi, nous ne saurons même plus pourquoi il faudrait se défendre. » Voici qui est plus que largement fait. Car la bien veillance a ultra bien veillé. Tels ces phares de Baudelaire qui « prennent de leur temps » afin de protéger la civilisation des…pervers narcissiques. Et demeurent donc toujours en premières lignes…tandis que des imposteurs/-posteuses perdent « notre temps collectif » à se vanter de ce qu’ils/elles n’ont jamais fait. Sinon…racontes contes, toi le lâche abandonné ! Oui, il s’agit de prendre bien conscience que, depuis trop d’années, toutes les décisions politiques semblent des attaques contre la civilisation, contre la plus saine raison raisonnante. Ce sont des agressions directes contre ce qui constitue la société, semblant bien vouloir en découdre tous les liens sociaux, dans le but si immature de la détruire complètement…juste afin de la piller. Comme si ces prétendus dirigeants ne décidaient toujours que le…pire. Le véritablement plus néfaste pour les immenses majorités. Comme si tout ce qu’ils/elles entreprenaient était toujours ce qu’il…ne faut pas faire. Et que, dans ce monde inversé, ce sont les citoyen-ne-s basiques qui prennent toutes les véridiques responsabilités, se comportent en vrais adultes et réparent tous les graves dégâts de ces toxiques égarés !

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Comment cela se tisse ? Est-ce que cet effondrement émotionnel peut affecter la société entière ? Lorsque les abstractions et les généralités remplacent nos émotions vives ? Vives comme vive la vivante vie. Vives comme la verve qui est la joie du verbe, c’est même écrit dedans, verve qui dangereusement a quasiment disparue. Se sentir avoir une place dans le monde et vivre cette place sans plus s’occuper des codes truqués de la société qui ment par le haut ? C’est tout bénéfice pour les autres. Vous restez accueillants et ouverts, à l’écoute et hyper sociaux : ce qui ne veut pas dire que vous deveniez une potiche tous sourires dehors mais aucun mot dedans. Non, vous avez une bienveillance et une tolérance naturelles, celle qui ne va surtout pas s’occuper de son look (lorsque l’image « maquillée » remplace la spontanéité des années 1970, celles qui ont sourcées toutes les idées qui nous font encore…vivre. Toutes.).

Déclin-sociétal-par-effondrement-émotionnel

Le point commun de ces idées justement ? Leur présentations infiniment…émotives, émotionnelles. Qui en a perdu le sain trésor sombre dans la grisaille de ce faux système. Le consumérisme c’est du tout gris ennui avec captages de nos libidos qui se déchargent dans le néant de leurs…indifférences émotionnelles. Et bien entendu affectives. Trouvez donc les branché-e-s émotions sincères et vous rajeunirez à la vitesse V de toutes vos prises de consciences. Plus d’intermédiaires. Vivons tout directement oui c’est cela même la bonté. De là où ça « se » produit à la production d’usage de nous mêmes. Changer et…échanger n’a pu que tout changer – le faux échange de la société du spectacle n’a plus lieu…il n’y avait que des arrières pensées, des calculs sordides, des intérêts inavouables en conflits avec tout …nous retrouvons les avant pensées. Les enthousiasmes et les convictions qui nous réchauffent tout le corps…C’est ainsi que cela s’est passé…exactement l’inverse de ce que mentent les médias mercenaires désormais acculés, qui vendent l’information-marchandise aux plus offrant…signant par là que leur information est toujours non objective, pleines de duplicités et d’immondes calculs, bref une insurpassable fausse (fake) news. Et que, de ce fait, ils devraient se mettre eux-mêmes directement en prison. Même comme effet de votre bonté ! C’est que la bonté laisse un sillage de convictions fortes réellement très méconnu.

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« Un imbécile sphérique : vous le tourniez dans n’importe quel sens, il se révélait toujours aussi stupide, rien à comprendre, rien à attendre (p. 483 – Pierre Lemaire – Au revoir là-haut, 2013). » Les voici bien repérés ces…médiocrates aussi médiacrates ! Un niveau extrêmement bas de civilisation. Et ? « Une bataille qu’il ne pouvait gagner, parce que ce monde, cet adversaire n’étaient pas les siens. On ne peut gagner contre quelque chose qu’on ne comprend pas (p. 604 – ibid.). » Comprendre c’est vraiment résister. Donc aller voir la réalité telle qu’elle est et non telle que nous voudrions qu’elle soit est le premier acte de résistance sensible et intelligente. Ce blog s’y efforce. Ne pas se leurrer. Ne pas faire comme ces pouvoirs désastreux, vouloir l’argent du leurre et le leurre à la fois. Pitoyable ! Tout comme leur délire incroyable des fake news : alors que sont eux, qui font semblant d’accuser, qui restent le centre et la source principale de toutes les fake news, vu leurs usages intensifs des propagandes et autres scandaleux marketings politiques !!

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Et ? « Les hommes les plus riches du monde sont souvent jeunes et sortis de la nouvelle économie. Ils hypnotisent ou contrôlent des milliards d’hommes (Alfred Hitchcock parle  d’une orgue dont les touches sont l’humanité, et que les malins font résonner à volonté), emploient des milliers ou des millions de personnes en Inde ou ailleurs, et payés au lance-pièces. Et ils semblent aimer fort ceci. La globalisation est néo-féodale et divise le monde en deux castes principales : les brainlords, les manipulateurs de symboles, qui ont détruit les classes moyennes en occident par le si menti « progrès technologique » (défense d’exploser de rire) et les techno-serfs. On va tout expliquer.

Le gourou du management moderne Peter Drucker dénonce cette société qui fonctionne non plus à deux mais à dix vitesses : « Il y a aujourd’hui une attention démesurée portée aux revenus et à la richesse [[ceci représentant exactement un fake comportement, une attitude trop…faussée !]].  Cela détruit l’esprit d’équipe [[est donc antisocial en diable, très contre la réPublique « une et indivisible » et complètement ennemie de la civilisation]]. » Drucker comme Töffler, qui devraient se rappeler que Dante les mettrait au purgatoire en tant que faux devins, font mine de découvrir que la pure compétition intellectuelle génère encore plus d’inégalités que la compétition physique. C’est bien pour cela que les peuples dont les cultures symboliques sont les plus anciennes se retrouvent leaders de la Nouvelle Économie. » Sauf que ?

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« Est-ce la culture qui évolue du fait de celle de l’homme, ou l’homme qui évolue selon les changements culturels ? Dans les deux cas, elle influe directement sur notre perception du monde, de l’histoire, de notre environnement proche et de la société dans sa globalité [[et les propagandes des prétendus dirigeants doivent se voir fortement combattues parce que plus…qu’abusives. L’autonomie de conscience (et rien n’a été fait de mieux depuis !) commence toujours pas fermement LIMITER tous les pouvoirs, garantir les citoyen-ne-s de leurs malveillances a priori, oui l’autonomie de conscience commence par se méfier des pouvoirs non de qui…les subit. Ce pourquoi, de humer l’air des médias dominants, nous ramène toujours à cet air malsain sentant si désagréablement mauvais – car c’est bien, là, un monde…inversé, à l’envers par rapport à la Raison, celle qui garde toutes les bonnes raisons !]]. Si vous vous rendiez dans l’Antiquité et que vous demandiez aux Égyptiens la manière dont ils racontent leurs mythes aux enfants, ils vous répondraient très certainement « Nos mythes ? Mais nous n’avons pas de mythes. Nos dieux sont bien réels, et prenez garde à ce que vous dites sur eux ou vous en subirez le courroux. ». Ce phénomène semble être toujours d’actualité, sous une autre forme.

L’homme soi-disant moderne semble penser qu’il se trouve hors de toute culture et croyances, car les siècles passés ont été marqués de découvertes scientifiques [[que bien peu vivent existentiellement, les reformulant selon leurs parcours de vie – donc que bien peu peuvent agiter sous forme d’arguments : puisqu’ils/elles n’ont pas vécu ce qu’ils disent !]] entrainant ruptures et désillusions. Il se croit désormais proche de l’ultime savoir, et désormais débarrassé de toute entrave à son élévation vers le pouvoir « divin » (Homo Deus, Yuval Noah Harari.) : celui de la connaissance universelle et du progrès technique illimité. Cependant, ce qu’il ne semble pas voir, c’est que l’intégralité ou presque de ses actions est dirigée par un des plus puissants, intenses et destructeurs mythes qu’il ait connu : le mythe de la croissance matérielle infinie. Cela c’est une sacrée fake new dans un monde fini, limité aux ressources non renouvelables. C’est bien une telle mentalité de…grands malades qu’il s’agit de transformer à fond ! La bonté en a, seule, la force !

Nous pouvons considérer que nos grands-parents, issus de l’ancienne génération ont grandi au cœur même d’un mythe prônant un confort de vie élevé, durable, et que rien ne pourra jamais arrêter. Ils sont ainsi sous l’influence de ce mythe des 30 Glorieuses [[ sauf qu’une partie ardente et déterminée a toujours combattu cette fable comme un mythe même !]], influençant encore leurs enfants dans leur transmission de cette vision anachronique du monde, tâchée d’illusions et de croyances [[ y’a tant de fake news qui se perdent ! ]]. Ces derniers se maintiennent alors plus ou moins dans l’héritage de pensée de leurs parents : « Il y a toujours eu des crises. Celle-ci n’est pas le première et ne sera pas le dernière, il y a toujours une période de relance et de croissance qui vient après. » [[ceci se nomme la pensée cynique si paresseuse de ses non-questionnements !]] . Mais ils constatent également les défaillances du système actuel, se confrontant alors aux réalités indéniables qui les amènent à reconsidérer leur propre vision. La dernière génération quant à elle, bien que commençant doucement à comprendre les enjeux et les problématiques globales, est en majorité trop jeune encore pour pouvoir réellement agir à grande échelle, et encore trop peu de ses individus développent un réel intérêt et une conscience environnementale [[ nous pouvons y voir, clairement, comment les prétendus pouvoirs – quoi n’agissent que pour nuire en fait – ont gravement désorganisé la société. Et que ce sont surtout des mots de bonté qui reconstitueront les liens sociaux si sauvagement attaqués…par le haut ]].

De ce fait, « leur » effondrement [[ pas le nôtre seulement le leur, puisque nous aurons veillé autant que possible qu’ils/elles n’entraînent que le minimum d’humains dans la spirale de leur fin ]] se rapproche plus rapidement que la vitesse à laquelle les esprits s’éveillent et les mouvements de transition s’élaborent, l’allure de ce déclin précipité n’étant que l’écho de la croissance exponentielle si irréfléchie de l’industrie qu’a connu notre société au siècle dernier. » Nul-le ne peut dire que cette ferme bonté n’affronte pas, courageusement, le réel bien en face !

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>>> *** -- Fous jusqu’où ? Oui, fous à ce point : apprendre ! Combien ? « Si on ne me file pas du fric, je n’apprendrai jamais…jamais… »…se punir, s’auto-punir à ce point ? Oui le vénéneux individualisme qui fuit toute liberté dans l’effort se retourne contre chaque…individu. Et devient même son pire ennemi ! Cela se nomme se niquer soi-même. En circuits très courts, en plus. S’auto-nuire : le self-destroyed-man ! Ce qui n’est que « leur » effondrement, pas le nôtre.

Méditer-pour-réparer-notre-cerveau

« C’est donc la combinaison d’une série de réactions physiologiques qui est à l’origine des dégâts du mauvais stress sur nos organismes. Mais nous apprenons grâce à l’équipe de Britta Hölzer que ces modifications ne sont pas irréversibles. La pratique régulière de la méditation permet de modifier le fonctionnement du cerveau. En cessant temporairement toute activité psychique, nous offrons un repos supplémentaire à l’amygdale. De ce repos gagné les réactions physiologiques associées au stress disparaissent, le cortisol cesse d’agresser l’hippocampe, ce dernier retrouve progressivement son volume.

D’après les résultats des scientifiques, nous y gagnons logiquement un meilleur équilibre émotionnel [[ très loin donc de l’effondrement émotionnel que nous avons rencontré plus haut]], une baisse de l’anxiété, du stress et des risques de dépression. Et ces découvertes sont capitales puisque les problèmes de santé liés au stress sont responsables d’environ 80 % des visites chez le médecin [[ les humains sont donc majoritairement très malades de cette société dé-civilisée, de cette non-société de brutes menée par des pervers narcissiques !]]. De plus, d’après les chiffres fournis par le Dr. James E. Stahl et son équipe de chercheurs d’Harvard, les personnes prenant part à des programmes similaires au MBSR réduisent de 43 % leurs visites chez le médecin par rapport à l’année précédente, sauvegardant 2 360 dollars en moyenne.

Les résultats des différents chercheurs sont si concluants [[ mais les années 1970 dans son underground avait déjà « réalisé » tout ceci – réalisé dans la tête et dans les actes concrets à la fois…Actuellement nous…accumulons des preuves scientifiques à tire-larigot mais nous…ne les vivons pas. Nous prouvons mais…n’éprouvons pas. Les années 1970 avaient raison et les mêmes clones de ce qui si inhumainement les ont piétinées sont encore là. Sauf que cette fois-ci nous savons et à 100 % qu’ils ont…toujours eu infiniment tort ! Qu’ils ont perdu toute crédibilité ! Et que la bonté surpasse toute leurs trop infantiles sauvageries !]] que l’Université d’Harvard préconise plus que fortement d’adopter [[ tout ceci déjà fait et depuis si longtemps…ce sont eux qui semblent vachement en retard de regards !]] le programme quotidien de méditation suivant : commencer la journée avec un Surya Namarskar, une série de posture tirée du yoga. Puis d’effectuer à midi 15 minutes de visualisation de son souffle et des zones stressées. Enfin avant de s’endormir de réaliser ce qui est appelé un « body scan », la visualisation complète de son corps [[ Mother nous a bien légué tout ceci ]]»

Le léger problème c’est que, nous, nous avons vécu ceci depuis déjà fort longtemps, oui tout ceci, tout ce à quoi ce texte fait référence - et que la question devient donc…

…………………………….qu’avons –nous fait DEPUIS ?

 

……..………(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"

Que la vaste gratitude nous grandisse et nous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

 

Nous sommes la santé de la société

 

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu

tout le monde aide…

tout le monde aide…

à reconstruire

à reconstruire

émotionnelement au point...

émotionnelement au point...

très loin de l’homme qui a vu le néant

très loin de l’homme qui a vu le néant

« Il est fascinant de voir la plasticité du cerveau et que, en pratiquant la méditation, nous pouvons jouer un rôle actif dans l’évolution du cerveau et augmenter notre bien-être et qualité de vie. »

« Il est fascinant de voir la plasticité du cerveau et que, en pratiquant la méditation, nous pouvons jouer un rôle actif dans l’évolution du cerveau et augmenter notre bien-être et qualité de vie. »

Comment la bonté rend trop heureux ?
adorer le Big data alors que nous avons…bien mieux mais si négligé dans nos têtes ?

adorer le Big data alors que nous avons…bien mieux mais si négligé dans nos têtes ?

ce n’est une puce qui méritera le cri énamouré du « ma puce ! »

ce n’est une puce qui méritera le cri énamouré du « ma puce ! »

Vive la neurodiversité !

Vive la neurodiversité !

quelles vies donc étroites...

quelles vies donc étroites...

Comment la bonté rend trop heureux ?
Les libertés d’expressions trouvent, par elles-mêmes, les chemins les plus fertiles. Ici, la Turquie.

Les libertés d’expressions trouvent, par elles-mêmes, les chemins les plus fertiles. Ici, la Turquie.

Claude BERNARD : compenser c’est « Équilibrer » (un effet, généralement négatif, par un autre). Parmi les synonymes : racheter, réparer.

Claude BERNARD : compenser c’est « Équilibrer » (un effet, généralement négatif, par un autre). Parmi les synonymes : racheter, réparer.

La réponse corporelle est toujours l’émotion – commencer donc par connaître toutes les émotions…la société devenue inhumaine, par obsession du profit très abusif pour une minorité de grands détraqués, est donc complètement inexcusable : les grandes majorités doivent, désormais, accuser fermement les responsables du marasme actuel. Une société qui pratique toutes les répressions émotionnelles, met son futur en grand danger….

La réponse corporelle est toujours l’émotion – commencer donc par connaître toutes les émotions…la société devenue inhumaine, par obsession du profit très abusif pour une minorité de grands détraqués, est donc complètement inexcusable : les grandes majorités doivent, désormais, accuser fermement les responsables du marasme actuel. Une société qui pratique toutes les répressions émotionnelles, met son futur en grand danger….

On ne partage jamais trop - Une contre-histoire des Internets – ARTE

LA BONTÉ. Elle n'appartient à aucune religion ou idéologie politique. Elle est la voix intérieure qui pousse à la culture du BIEN. Elle est cette propension naturelle de l’Humain à se rendre utile à autrui. Une force intérieure, s'exprimant spontanément et n’attendant pas le moindre «Merci», après avoir parue !

Accusée d'avoir…aidé un être humain : le très grave « faux délit » de solidarité. C’est l’humain qui manque de solidarité qui devrait s’en voir affublé de ce délit « à l’envers » !

AGIR REDUIRE COMPENSER : partager sa carboneutralité cela ressemble vraiment à partager. Il n’y pas un trop riche qui arnaque tout et empire tout. Et le pauvre spolié qui se fait accuser d’être voleur. Avec preuves que comme il est toujours plus pauvre il accumule le butin énorme de ses vols. Butin tangible qui, évidemment, appauvrit toujours plus qui le détient ! Un peu exagérés comme délires des trop riches, ces sur-assistés ?

Le chant de la Terre entendu par la NASA

Si nous disons une « bonne » santé c’est que la bonté nous l’offre bonne…et que tous les faits viennent à la rescousse…la bonté réduit les risques cardiovasculaires, crée un bien-être physique tangible et augmente la durée de vie ! Grâce aussi à une puissance trop méconnue : celle de la gratitude spontanée.

Décryptage de l'image du bruit de fond micro-ondes de l'univers pris par les télescopes COBE (1992) et WMAP (2003). Quelle est le sens d'une telle représentation ?

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