Comment les États-Unis haïssent la paix ?

Mais en perdant tout sens des réalités. En effet, depuis 50 ans toutes les guerres que les U.S.A. se sont permises ont été…perdues. Étrange entêtement que de persister dans l’échec ? Toujours en pleines fictions ? Avec leur aberrante religiosité qui les fait « mégalomaniaquer » que les étasuniens seraient le peuple élu, ils ne peuvent supporter la paix (ce qui pourtant ressemble tellement à une « élection » mystique !). Pas cohérents ces égarés ? Ce qu’il faut bien comprendre, hors tout autre assertion, c’est qu’ils mettent le monde en grand danger à cause d’une structure mentale pervertie, où soit nous sommes « dans » leur mono-maniaquerie ou soit « dehors »…strictement aucun plasticité mentale chez eux, pas de flexibilité des bonnes volontés, pas d’adaptabilités à l’ouverture d’esprit, incapacités notoires à tous dialogues et partages de vues. Très rigides, très raides, très figés, très bloqués…ce qui peut multiplier les périls mondiaux lorsque ce pays se démontre le plus énorme fauteur de troubles, porteur de désordres, lanceur d’agressivités injustifiables, fomenteur de violences du monde. Bien, ils haïssent (enfin ses prétendus dirigeants détraqués, pas le peuple en général) haïssent la paix. Surtout pas de quoi les glorifier. Tout au contraire Un motif implacable de les soustraire à toutes les prises de décisions publiques. Le théorème devient : pour que la paix mondiale puisse solidement s’installer il faut et il suffit d’écarter les États-Unis de toutes décisions qui impliquent les autres pays. Nous devons considérer ces prétendus dirigeants comme irrécupérables et nous conduire comme la santé le doit : protéger tout le monde de leur dangerosité reconnue.

Comment les États-Unis haïssent la paix ? Tellement au-delà du raisonnable. Que cela devient insupportablement pénible de voir leurs rictus dérégulés tant déformer leurs visages, leurs paroles outrageuses envahir les ondes comme de lire leurs mots seulement mensongers maculer le papier. C’est à eux de changer et fondamentalement – pas à nous ! A savoir que ce n’est pas, à proprement, parler le peuple étasunien si sacrifié pour la délirante course aux armements sans…vrais adversaires, qui sont les accusés. Mais bien leurs dirigeants sans arguments valables. Depuis 1989 et la fin du bloc soviétique ils n’ont pas d’ennemis crédibles. Ils les inventent de toutes pièces. Et se permettent d’envahir, le plus illégalement du monde, tous les pays, cibles de leurs convoitises vraiment peu civilisées. Qu’ils apprennent à s’auto-restreindre selon les leçons de leur maman main invisible d’autorégulations (donc d’autolimitations). Clair ? De tels dirigeants n’ont pas d’alibis crédibles.

Puisque c’est le seul pays qui, depuis sa fondation, mène une guerre…à relent hyper impérialiste/colonialiste, quasiment tous les ans. Et ? Encore pire, depuis ces 50 dernières années – ils les a toutes perdues. Ils feraient tellement mieux, à la place, de s’occuper de leur peuple vraiment abandonné. D’ailleurs, l’O.N.U. a bien reçu l’appel au secours de Michael Moore et vraiment compris pourquoi il dit que pour de si nombreux oubliés et spoliés étasuniens les U.S.A. c’est le…Tiers Monde. Donc susceptible de recevoir des aides de l’O.N.U. Voire de l’U.N.I.C.E.F. pour les enfants ne mangeant pas à leur faim, etc.…

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« Une personne saine d’esprit pourrait alors se demander : pourquoi les décideurs américains voudraient-ils risquer la Troisième Guerre Mondiale sur deux pays qui disent à plusieurs reprises qu’ils veulent faire la paix et se remettre ensemble ?

Une analyse de 2007 par le think tank géopolitique Stratfor se rapproche le plus d’une explication de ce qui se passe réellement à l’intérieur du Beltway : «La situation globale de base peut être décrite simplement. Les États-Unis ont un pouvoir écrasant. Ils utilisent ce pouvoir pour tenter d’empêcher l’émergence de pouvoirs concurrents [[ tout y est concurrences non libres et complètement faussées !]]. Ils sont donc constamment engagés dans des interventions sur le plan politique, économique et militaire. Le reste du monde cherche à limiter et à contrôler les États-Unis. Aucun pays ne peut le faire seul et, par conséquent, il y a une tentative constante de créer des coalitions pour contenir les États-Unis. Jusqu’ici, ces coalitions ont eu tendance à échouer, parce que les membres potentiels peuvent être exploités hors de la coalition par des menaces ou des incitations américaines [[ pays qui admet donc si bien le libre choix des autres, qui n’exerce jamais la moindre pression ni intimidation même lors des élection. Ce n’est plus lui (pourtant le plus grand fournisseur) qui se verrait imputé de « fake » news par la vacillante coalition des mauvais européens au pouvoir !]]. 

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Les États-Unis sont les très grands perturbateurs mondiaux. « À mesure que les pouvoirs émergent, les États-Unis suivent un programme en trois étapes. Premièrement, fournir de l’aide aux puissances les plus faibles pour contenir et miner les hégémonies émergentes. Deuxièmement, créer des arrangements plus formels avec ces pouvoirs. Enfin, si nécessaire, envoyer un nombre relativement restreint de troupes américaines en Eurasie pour bloquer les grandes puissances et déstabiliser les régions » [[ dans ces domaines Obama aura été très peu reluisant…voir le lien pour plus approfondir…]]. Par exemple, l’Iran est l’hégémonie émergente au Moyen-Orient. Les États-Unis sapent l’Iran avec des sanctions commerciales, soutiennent ses rivaux comme l’Arabie Saoudite avec de l’aide, et déploient des troupes américaines près de ses frontières en Afghanistan et en Irak.

De même, les États-Unis jouent contre la Chine en soutenant Taïwan et en établissant de nouvelles bases américaines dans la région. Nous jouons l’Inde contre le Pakistan, l’Europe contre la Russie. Une Corée unie créerait un nouveau centre de pouvoir, potentiellement un nouveau rival économique des États-Unis dans les pays côtiers du Pacifique. Ainsi, les États-Unis utilisent des menaces («destruction totale») contre le Nord et courtisent le Sud (sécurité frontalière gratuite). Ce serait presque drôle si ce n’était pas si répugnant. Voici le jour où les deux Corées verront à travers nous. » Verrons ceci…

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« Les Étasuniens vivent dans un pays toujours plus imaginaire. Les politiciens et la pressetituée travaillent d’arrache-pied pour cela. Considérez une chose aussi simple que le taux de chômage. Avec un taux de chômage de 4,1% en janvier 2018, en baisse par rapport aux 9,8% de janvier 2010, les États-Unis seraient en plein emploi [[ voir, pour thérapie, la vidéo rectificative qui attribue 103 millions de chômeurs – de quoi apprendre à penser par sa même !]].

Or le faible taux de chômage est démenti par la baisse permanente de la population active. Après la longue hausse des années 1980, en janvier 1990, le taux de la population active a atteint le sommet de 66,8 %, s’est maintenu plus ou moins à ce niveau jusqu’à 2001, année où le déclin a démarré, puis la baisse s’est précipitée à partir de septembre 2008.

les-états-unis-et-leurs-longues-fictions

De nos jours, le taux de participation au marché du travail étant le plus bas depuis février 1978, tous les gains des années Reagan ont été annulés. Il semblerait que le très faux taux de chômage actuel de 4,1% résulte de la longue reprise qui aurait prétendument débuté en juin 2009. Or, normalement, en créant des emplois, la reprise économique entraîne la montée du taux de la population active, puisque ceux qui profitent des nouveaux emplois sont comptés dedans [[ entre parenthèses, pareil pour la France ]]. La baisse du taux de participation à la population active accompagne les récessions ou les stagnations, pas les reprises économiques.

La-paix-est-elle-si-longue-à-progresser

Comment expliquer cette inexcusable contradiction ? La réponse réside dans la mesure du chômage (non libre et complètement faussée). Si vous n’avez pas cherché d’emploi dans les quatre dernières semaines, vous n’êtes plus (frauduleusement) compté chômeur parce que vous n’êtes plus compté dans la population active. Quand il n’y a pas de travail à trouver, les demandeurs d’emploi se découragent et cessent de chercher de l’emploi. En d’autres termes, le taux de chômage de 4,1% ne tient pas compte des gens découragés qui ne trouvent pas d’emploi [[ de quoi tient-il compte d’ailleurs – voir les 2 documents récents L’Amérique défaite et Triste Amérique d’auteurs très bien informés, et ayant mené de vastes enquêtes, qui ne peuvent être dits d’extrême gauche – tout le contraire des fausses fictions que les médias d’argent européens se permettent de colporter sans aucun respect pour les faits réels !]].

Les moyennes boursières historiquement élevées sont une autre caractéristique de la fiction étasunienne. Les ratios cours/gains élevés ne reflètent pas les bases d’une économie solides, contrairement aux taux élevés d’investissement des entreprises ou de la forte croissance des ventes au détail réelles, alimentée par la forte croissance du revenu des consommateurs. La Réserve fédérale utilise depuis si longtemps l’augmentation de la dette à la consommation pour combler l’absence de la croissance du revenu des consommateurs, que ceux-ci n’ont plus de marge de manœuvre pour…s’endetter davantage. Sans croissance réelle des salaires, des revenus ou de l’endettement des consommateurs [[ ce qui prouve que les dérégulés capitalistes, devenus usuriers enragés, se tirent eux-mêmes dans les pieds. Tuent le moyen terme à force de se soûler au court terme. Bref, s’auto-nuisent fortement ]], la demande de ces derniers ne peut pas stimuler l’économie et les profits des entreprises.

Qu’est-ce qui explique le prix élevé des actions ? Réponse : Les billions de dollars que pond la Réserve fédérale pour stabiliser les grandes « banques trop grosses pour passer à la trappe » et pour renflouer leurs très mauvaises décisions d’investissement. [[ comme certains éditeurs, ils s’auto-achètent les actions en …circuits fermés. Donc ne reflétant aucun…réalité. Pas très malin que de…s’auto-arnaquer, non ?]]. En se retrouvant dans le secteur financier, toutes ces liquidités font grimper [[ sans aucun rapport avec les courbes d’offres et de demandes – ils auraient si peur de la vérité de la main invisible qu’ils mettent des menottes à « sa » menotte ?]] le cours des actions et des obligations, enrichissent ceux qui les possèdent et privent les retraités du revenu rapporté par les intérêts de leur épargne [[ le jour où la preuve que le libéralisme respecte VRAIMENT les vieux et les enfants sera apporté…n’existe pas, c’est ça ? Il est juste obsédé par les voler sans cesse ?]]. Le cours des instruments financiers est soutenu par la création monétaire, pas par leur fonction économique sous-jacente. En dépit cela, le cours moyen des actions sert à attester de la fausse reprise économique et à placer les États-Unis à la première place économique dans le monde.

>>>>>> ***  Comme je l’ai dit, l’endroit où nous vivons est un pays toujours plus imaginaire [[ la justice immanente de la main invisible c’est que tous les arts étant martiaux, le judo des cœurs purs obtient que les « voyous » aux sommets étasuniens se nuisent à eux-mêmes, tombent à cause de leurs infantilismes incachables et de leurs vanités qui leur cachent tout. Une sorte d’humour cosmique en somme !]]. »

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L’oligarchie étasunienne est celle qui vit le plus dans une réalité de fiction ? Sans doute…Sauf que…les réseaux dits sociaux (vraiment ?) peuvent mettre beaucoup d’huile sur le feu. Ou revenir à la raison. Vu leur refus de l’intelligence alliée à la sensibilité et leurs graves carences…d’honnêteté intellectuelle ce n’est pas très sûr !

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Voila qui - face au sommet particulièrement évaporé qui ne moud aucun grain d’aucune réalité, qui patauge dans des fictions vraiment très mal ficelées, de quelques dirigeants européens – nous éloigne très répulsivement de l’escroquerie qui voudrait nous faire gober qu’une guerre contre la Russie « serait nécessaire » (ah oui, afin d’abolir les privatisations et de rétablir la république des services publics ? Afin d’augmenter les trop bas revenus et de récupérer les plus-values, illégalement extorquées aux rendements du travail depuis…1974 ? Afin d’écouter 85 % de la population privée de parole publique ? Oui pourquoi nécessaire ? Une réponse autre que fictive est expressément attendue …).

Une réponse autre que fictive est expressément attendue. Oui, mais, en attendant, nous sommes les véridiques Responsables du monde, nous devons tout assumer, nous devons prendre en charge leurs effondrements fictionnels. Oui nous devons décider ce qu’ils ne savent plus décider. Bref, en tout….

…………….. faire bien mieux que ces prétendus dirigeants !

Faire-bien-mieux-que-les-dirigeants-:-s'aider-à-réparer-2/2

…......….……(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

                        Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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