Comment qui s’émerveille vit bien mieux ?
L’humain n’a pas besoin de machine pour s’augmenter. Il peut le faire par lui-même. Ce qui compte, alors, c’est…l’importance de l’émerveillement. Le nôtre et le leur. Déjà le nôtre de voir des humains trouver en eux des solutions extraordinaires pour sortir de situations sur le papier inextricables. Et puis le leur (celles et ceux qui vont chercher l’émerveillement aux extrêmes de nos limites) : « Chaque fois que j’ai été confronté à une situation très difficile, j’ai pu m’en sortir parce que quelque chose m’en a donné envie. Un animal, un beau paysage, un souvenir, une envie d’aller vers quelque chose, n’importe quoi. Je me suis mis à travailler volontairement cette notion d’émerveillement chaque fois que quelque chose se passait mal. » Même (et surtout) si ceci paraît paradoxal, il y a beaucoup de chances que ce soit vrai. Puisque trône là le contre exemple d’une vie qui s’encroûte, s’insensibilise, se couvre d’escarres émotionnelles, s’use aux routines évitables, oui s’éteint, se retire, s’expire, se met en stand by, se soupire, se blase et s’ennuie…parmi tous ses trésors jamais ouverts. Ces choix ne paraissent pas du tout les bons. Pourquoi ?
Elles ne font qu’obéir, sans discernement, au système corrompu où tout n’est que faussetés. Pulsés par des êtres pervers qui en pervertissent tout, il ne braille qu’une propagande miteuse qui ose que « nos vies ne servent à rien d’autre que d’épuiser nos corps afin d’engraisser les marginaux capitalistes », ces antisociaux qui ne vivent qu’en dehors de la société. Ne montrent qu’indifférences barbelées et qu’insensibilités inhumaines pour les autres êtres vivants. Au point que tout ira infiniment mieux sans eux Et ? Grâce aux enfants et à leurs fonctionnements (enfin mesurés) qui nous réconfortent tant d’avoir su écouter notre « instinct », oui cette certitude joyeuse que cette société abusée fait fausse route. Et, à chaque fois qu’elle voudrait nous faire errer dans ses erreurs, hop, l’instinct paraît afin de nous tourner vers la bonne direction et nous alimenter en espoirs d’y parvenir les plus intacts possibles. Au point que ceux qui sont nommé-e-s surdou-é-es (voire génies) sont, sans doute, ceux qui ont conservé le plus fort instinct parmi des humains. Instinct à tout instant irréductible et indomptable et qui les aura comme faufilé à travers toutes les faussetés dommageables de ce système d’égarements généralisés. Instinct qui s’analyse ainsi : cet apport de la bonne santé qui sait trouver le meilleur arrangement, l’ordonnancement salubre comme l’orientation la plus saine. Ce qui le fait tant participer à nos vies intimes – lorsque nous le laissons parler, du moins. Sans doute est-ce ainsi : puisque, souvent, ce qui compte ce ne sont pas les pourquoi, mais les comment…ici, les comment…font-ils/elles afin de s’émerveiller ? Le corps est, évolutivement, prévu pour tellement d’autres choses que « le travailler plus c’est gagner moins » (oui, tellement les parasites actionnaires volent tous les fruits des rendements véridiques). L’émerveillement et la gratitude, etc. rendent le corps vraiment HEUREUX. Il doit bien avoir une raison pour cela. Christian Clot y a trouvé la merveilleuse initiative où il mesure tout ce que vit le corps poussé aux limites (du trop chaud, trop froid, trop sec, trop humide) et l’expérimente directement à partir de lui-même. Ceci dans les lieux terrestres véridiques. Ici, ouvrons donc ce que nous découvrons !
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« Usbek & Rica : Quel est le rapport entre survivre seul dans le désert pendant un mois et les facultés d’une population à s’adapter à des changements profonds ?
Christian Clot : J’ai été sur différents terrains de crise, tsunami, déplacements de population suite à des inondations ou autre, et j’ai été intrigué de constater que les réactions que j’observais chez les personnes victimes de tout ça étaient très proches de ce que j’observais aussi en expédition. Et ça a été mon premier déclic : on manque de données, de compréhension sur ce qui se passe chez une personne en train de traverser une crise. Si on arrive à mieux documenter les mécanismes en jeu, on pourra peut-être mieux préparer les gens à traverser ces crises.
Christian-Clot-l'humain-n'a-pas-besoin-de-machine-pour-s'augmenter
Se placer en situation aussi extrême est indispensable pour comprendre comment l’être humain réagit aux crises ? Ces situations présentent deux avantages. Elles nous imposent d’abord d’aller chercher au fond de nos ressources. Lorsque je suis confronté à un danger de mort, quand je me fais embarquer par une vague ou que la chaleur est de 60 °C ou 80 °C au sol, je dois trouver en moi les fonctions, des possibilités que je ne connais pas forcément pour survivre. Et les outils de mesure que j’emmène avec moi vont nous aider à mieux comprendre les mécanismes à l’œuvre dans ces cas-là.
Le deuxième intérêt, c’est qu’on s’approche au plus près de ce que vivent les personnes en situation de crise, en tout cas plus fidèlement qu’en laboratoire, où l’on est forcément rassuré au sein d’un milieu sécurisé. Quand je parle de crise, je ne parle pas forcément de danger de mort. Perdre un chat peut être une crise pour une personne qui y était profondément attachée, ça peut être un drame absolu. Une crise c’est quelque chose qui nous place en déficit par rapport à nos capacités de compréhension. Ça peut être tout et n’importe quoi mais ça déclenche à chaque fois dans le cerveau un mécanisme similaire, dans notre manière de réagir, de l’intégrer, de l’accepter et de construire de nouvelles capacités qui nous permettront d’avancer.
Votre projet part du constat que nous serons selon vous tous confrontés à des crises globales dans les années à venir. « Adaptation », le nom de ces expéditions, c’est le mot clé pour l’avenir ? Il y a dix ans, les rapports sur le climat parlaient exclusivement de « réduire l’impact » climatique. Depuis quelques années, on commence à dire qu’il faudra aussi s’adapter. Ça émerge. Ça ne veut pas dire qu’il faut arrêter de faire des efforts, il faut réduire notre impact mais quoi qu’on fasse, on va vers un changement climatique de plus en plus profond. C’est inéluctable. Il faut apprendre à s’adapter à des conditions changeantes. Si à un moment donné il fait 36°C, ce n’est pas forcément un drame. S’il fait – 20°C non plus. Il faut l’accepter et construire les conditions pour s’y adapter. Et il n’y a pas que le climat. On oublie souvent de parler des déchets par exemple. Dans certains pays, les sols sont tellement saturés de plastiques qu’on ne peut plus cultiver. On est aussi [[ faute de s’émerveiller et de se sentir plein de gratitude ]] en train de détruire des écosystèmes entiers, ça va aussi avoir un impact fort sur nous [[ tout ceci parce ne sont privilégiés que des pervers narcissiques insensibles à tout ce qui n’est pas eux et qui sont tellement drogués de cupidités et d’immoralités antisociales que, jamais, ils « ne reviennent » à la réalité. Disons que comme « dirigeants » (ceux qui ont le don de dire la direction) ils sont plus que sous-doués et ne savent que tout égarer. Nous avec.]].
Le deuxième grand phénomène des années à venir à mes yeux, c’est l’impact [[ ou non ]] du transhumanisme et du développement de l’intelligence artificielle. Je ne partage pas l’idée que l’IA pourra un jour remplacer l’intelligence humaine. Mais ça nous questionne forcément, il faudra tout de même développer notre intelligence cognitive et questionner ce qu’est l’humain. Je crois notamment que l’humain a évolué grâce à ses erreurs. De même que la nature n’est pas parfaite et avance par ses imperfections. Les systèmes de haute technologie, eux, ne sauront pas faire d’erreurs [[ ce qui est la plus grave des erreurs possibles – celle où pas de cœur, pas d’écoute, pas de débat, pas de rapports…humains ]]. Nous avons cette grande force en tant qu’êtres humains de faire des erreurs, avec nos émotions, nos sentiments et nos décisions irrationnelles [[ seuls des pervers ou des psychorigides peuvent nous en faire le reproche…infondé]]. Je pense que c’est ce qui peut nous sauver et par conséquent, il faut l’accepter, et travailler pour mieux comprendre comment nos cerveaux fonctionnent, travailler à développer l’intelligence cognitive et l’intelligence émotionnelle.
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Nous n’aurons donc pas besoin d’être augmentés pour nous améliorer ? J’ai vu des gens sur le terrain faire des choses inimaginables. J’ai vu des personnes faire des sauts de plusieurs mètres de hauteur alors que si je leur avais demandé de sauter dans cette pièce-là, maintenant, ils auraient au maximum atteint 50 cm. J’ai vu des gens trouver en eux des solutions extraordinaires pour sortir de situations sur le papier inextricables. L’humain n’a pas encore besoin de machine pour s’augmenter. Il a déjà des capacités en lui qu’il faut qu’on aille creuser pour, pourquoi pas, devenir capable de les mettre en œuvre de manière volontaire, alors que ce sont pour l’instant des réactions inconscientes, des réflexes face à du stress ou de la peur. Le transhumanisme est un espoir fabuleux pour permettre à des personnes handicapées de marcher à nouveau ou pour redonner la vue à des aveugles. Mais implanter des puces dans le cerveau sur des fonctions cognitives qu’on ne comprend pas encore complètement, c’est aller un peu vite [[ surtout pour des mondains qui ne vont pas sur le terrain, n’expérimentent pas sur eux-mêmes mais s’en prennent, sans honneur, aux autres !]]…
Vous parlez d’intelligence émotionnelle comme d’une ressource. C’est une clé pour apprendre à nous adapter ? J’ai acquis une certitude absolue : on ne peut pas faire changer quelqu’un tant qu’il n’a pas une vraie raison émotionnelle de le faire. L’émotion est indispensable. On doit donc mieux comprendre comment les mécanismes de l’émotion fonctionnent. Comment le cerveau fonctionne pour changer, pour créer un nouveau paradigme [[ il semble qu’il y a des génies et des surdoués qui aident bien en cela – sauf que les médiocrates les empêchent, suicidairement, de parler !]] ? Il faut comprendre le cerveau et notre système d’intelligence globale, pas seulement ce qu’on a dans la tête. Cela comprend nos neurones stomacaux, notre capacité d’écoute, de sensations, etc.
Notre incapacité à changer suffisamment vite nos comportements face au changement climatique tient justement à ce que le danger n’est pas palpable, d’après le psychologe Per Espen Stoknes. Votre espoir est-il de trouver les leviers cognitifs pour enclencher ces changements avant de subir les catastrophes ? Oui, nous pouvons subir des cyclones ou des vents violents mais ça reste ponctuel ou éloigné. On ne peut pas emmener tout le monde à Saint-Martin pour en prendre conscience. La solution passera par la compréhension des schémas de gestion des crises dans le cerveau, pour qu’on puisse inoculer, non plus « t’es en train de vivre un drame, réagis », mais plutôt « prépare-toi et utilise des méthodes de compréhension personnelles, sensitives, émotionnelles de ce que tu vis et travaille dessus pour améliorer la situation ».
Vous avez déjà accompli 4 expéditions en solitaire dans le cadre de ce projet. Comment avez-vous choisi ces terrains « parmi les plus extrêmes de la planète » ? Nous avons choisi les milieux pour leurs conditions extrêmement variables. En Patagonie, les vents changent tout le temps, il faut réagir en permanence. En Amazonie, il y a une présence animalière très prégnante et pourtant qu’on ne voit pas, avec tout ce que ça crée comme inquiétudes et peurs primaires potentielles. Le Dasht-e Lut en Iran soumet à des températures allant jusqu’à 60°C à l’ombre, qu’on est incapable de gérer en terme cognitif et qui peuvent même faire fondre les cellules gliales du cerveau, nous placer en situation de mort subite assez importante.
Mais le but n’était pas d’y survivre au sens propre. J’avais ma nourriture avec moi. Je devais occuper mon temps à effectuer les mesures, à étudier comment mon corps et mon cerveau étaient impactés par le milieu plutôt qu’à chasser pour manger. Et je me déplaçais tous les jours pour ne pas avoir un camp fixe créant une situation de « confort », autant que cela puisse l’être dans ces milieux. Le choix de 30 jours est aussi celui d’avoir un temps assez long pour créer un cycle complet d’adaptation, avec un moment de déficit par rapport à la situation, un moment où on commence à s’adapter un peu, un moment où on se fatigue, un moment où on a trop de fatigue pour continuer à fonctionner, etc.
Les données issues de ces expéditions ont déjà produit des résultats ? Nous avons des observations concrètes, mais pas de résultats définitifs. La nuance est importante car on ne peut pas tirer de conclusion sur un cas unique. Mais dans les grandes tendances, on a vu par exemple comment le cerveau avait une évolution plastique, avait créé de la masse par endroits et détruit de la masse dans d’autres endroits, sur une période d’à peine 30 jours. Les zones pariétales, les zones de la mémoire ont été impactées, ainsi que les zones émotionnelles. Il y a vingt ans, personne n’aurait jugé ça possible [[ simplement parce que prouver n’est pas éprouver, ressentir est comprendre intimement sans pouvoir produire de documents abstraits ou mesurer, parce que qui ne sait pas aimer peut laisser des désastres qu’il reste très difficile de caser dans des documents vraiment trop insuffisants, etc.]] . Sur la partie physiologique pure, on a aussi vu comment la chronobiologie était impactée. La plupart de ces milieux empêchent d’entrer en sommeil paradoxal, le repos ne se fait pas tout à fait et la faculté à régénérer nos facultés non plus. Il y a aussi tout un travail sur la notion de temps. Que veut dire le temps, comment le perçoit-on dans une situation difficile ? Ce sont des notions très importantes pour l’adaptation. Ma perception a totalement évolué selon les milieux. On sait tous qu’un moment heureux peut passer en une seconde et qu’une journée où on est malade peut ressembler à un mois entier. Mais quels sont les mécanismes dans notre cerveau pour justifier ça, alors que la seconde concrète de la montre est toujours la même ? C’est une chose très peu comprise aujourd’hui [[ puisque restent préférés les flatteurs qui mentent sur tout que les authentiques qui disent ce qui esrt, sans chercher à minimiser ni à faire plaisir à quelque intérêt qui soit. L’argent (sans contre-pouvoir) est tellement FOU qu’il a égaré tous ses adeptes ! Mentir perd, dire vrai retrouve…]].
Je suis une fois tombé à l’eau en Patagonie. J’ai été pris dans un tourbillon de glace, ça a été très compliqué de m’en sortir. J’ai eu l’impression de rester trois longues heures dans l’eau. Or il se trouve que j’avais une caméra étanche sur moi à ce moment-là. Une fois de retour à la maison, quand on a dérushé les images, ma chute dans l’eau durait 22 minutes. C’est à la fois très long et beaucoup plus court que ce dont j’étais persuadé. Pour des raisons qu’on ignore aujourd’hui le cerveau nous envoie un message sur le temps qui n’est pas le bon par rapport à ce qu’on vit. Il y a sûrement une raison à ça. Mais ce serait intéressant de la comprendre, et peut-être de mieux la maîtriser.
Les expéditions en groupe permettront d’apporter plus de réponses ? Oui, d’abord parce qu’aucune des vingt personnes qui partiront, à part moi, n’aura jamais connu de genre d’expériences. Sur les 10 femmes et 10 hommes sélectionnés, certains n’ont jamais quitté la France, ou la Suisse. Nous pourrons étudier les réactions individuelles mais aussi comment évolue le groupe en tant qu’entité propre. La question du leadership sera un axe de recherche, à côté de la biologie, de la physiologie, de la psychologie et de l’éthologie. J’attends aussi énormément des études sur la synchronisation du temps, à travers l’épigénétisme et certains neurones sociaux. On a déjà observé à plusieurs reprises que les cycles menstruels des femmes se synchronisaient dans des situations complexes. Donc il se passe des choses biologiques au sein d’un groupe et on veut étudier s’il y a aussi des choses qui se synchronisent au niveau du cerveau. Nous devrions partir d’ici fin 2018, si nous finissons de trouver les financements. On est prêts, les études scientifiques sont prêtes, on attend plus que le budget.
Qu’est-ce que ces expéditions vous ont appris, à titre plus personnel ? C’est compliqué de tirer des conclusions sur ce que j’ai ressenti ou compris car j’ai personnellement ces questionnements depuis 10 ans que je mène ce genre d’expéditions. Mais deux convictions en moi ont été renforcées. L’importance de la peur d’abord. La peur n’évite pas l’erreur mais c’est une vraie ressource, une alerte qui signifie que je suis en déficit par rapport à quelque chose. Il est fondamental d’accepter et d’écouter nos peurs pour comprendre quel est ce déficit. Aujourd’hui, on a tendance à refouler nos peurs et puisqu’on ne les comprend pas, elles deviennent un vrai levier de pouvoir pour les politiques qui les exploitent. Le refus de la peur aboutit aussi à un refus du risque. Beaucoup de sociétés dans le monde veulent supprimer le risque. Or, une société ne peut pas avancer sans risque. On doit rééduquer les gens à ce qu’est la peur et comment retravailler avec. Sinon le fruit de sa peur se réveille d’un coup et là on est complètement bloqué [[ très bien vu…même refus abruti des génies que l’on ne comprend pas donc qu’on raye avec une…irresponsabilité colossale. Puisque il est clair que des parties (lesquelles ?) de toutes les problématiques actuelles viennent du dogme plus que dément du « on ne publie pas les génies ». A oui, pourquoi non ? Pourriez-vous, une fois, sortir vos arguments ? Tiens ils n’existaient pas que l’irrationnelle peur du petit neeenfant…et vous avez osé ?]]. »
Et la deuxième conviction ? C’est l’importance de l’émerveillement. Ce pourquoi je me suis mis à travailler volontairement cette notion d’émerveillement chaque fois que quelque chose se passait mal. Chercher quelque chose autour de soi qui puisse susciter le plaisir, émerveiller. J’ai envie de défendre cette notion, de réapprendre à s’émerveiller. C’est dur à dire à des gens qui vivent des crises : quelqu’un qui vient de perdre sa femme ou son mari, le message de l’émerveillement ne peut pas passer tel quel, il faut le travailler en amont.
Il faut que les gens apprennent à s’habituer à aller chercher, dans les circonstances les plus difficiles de leur vie,
……………………la chose aussi ténue soit-elle qui peut leur faire du bien. »
C’est à partir de telles pensées et de leurs mises en pratiques qu’ont
………………………………………….. commencées toutes les civilisations !
>>>>> *** - Pour finir, une autre merveille, qui découle de tout ce qui vient d’être présenté, est que nous pouvons vivre les apports neurophysiologiques des génies. Avec un nécessaire effort de nos parts, mais nous le pouvons carrément. Ce ne sont pas les découvertes ni le style, etc. mais uniquement le fait prodigieux que ces génies ne suivent pas la route commune. Ils ont expérimenté un usage très différent des circuits dits de récompense (qu’ils savent amplifier) et des circuits de douleurs (qu’ils savent annihiler). Ceci est accessible à qui veut apprendre le mode d’emploi. C’est bien un émerveillement : malgré tous les obstacles, mis par les pouvoirs toujours plus médiocres, ils nous auront…
……..transmis le meilleur. Celui qui augmente encore la faculté de s’émerveiller !
…..………(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste gratitude nous grandisse et nous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
**** trouvez, aussi, un compliment à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 1 "Les mamelles du repos", "Remue- ménage" et "L'athéâtre" ; onglet 2 " Comment devenir un (e) athée du capitalisme " ou bien "La star des stars", "L'ardeur sociale" ou bien, encore, "Présent !" ; onglet 3 ; "La diction du dictionnaire ou comment rendre tous les mots physiques", "Nul n'est nul", "Je ne parle plus à qui a raison" et "Rien de plus solide que le solidaire" ; sinon, onglet 4 "Où trouver encore du sérieux ?", "L'intelligence indestructible du capitalisme ?" ou bien, encore, "Assentiments aux sentiments".
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Nous avons cette force en tant qu’êtres humains de faire des erreurs, avec nos émotions, nos sentiments et nos décisions irrationnelles
Le Dasht-e Lut en Iran soumet à des températures allant jusqu’à 60°C à l’ombre, qui peuvent même faire fondre les cellules gliales du cerveau, nous placer en situation de mort subite assez importante
Je me suis mis à travailler volontairement cette notion d’émerveillement chaque fois que quelque chose se passait mal
L’humain n’a pas besoin de machine pour s’augmenter. Ce qui l’aide, par contre, c’est de chercher quelque chose autour de soi qui puisse susciter le plaisir, émerveiller. J’ai envie de défendre cette notion, de réapprendre à s’émerveiller
Une crise c’est quelque chose qui nous place en déficit par rapport à nos capacités de compréhension
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Une autre merveille, qui découle de tout ce qui vient d’être présenté, est que nous pouvons vivre les apports neurophysiologiques des génies. Avec un nécessaire effort de nos parts, mais nous le pouvons carrément. Ce ne sont pas les découvertes ni le style, etc. mais uniquement le fait prodigieux que ces génies ne suivent pas la route commune. Ils ont expérimenté un usage très différent des circuits dits de récompense (qu’ils savent tant amplifier) et des circuits de douleurs (qu’ils savent annihiler). Ceci est accessible à qui veut apprendre le mode d’emploi. C’est bien un émerveillement : malgré tous les obstacles, mis par les pouvoirs toujours plus médiocres, ils nous auront transmis le meilleur. Celui qui augmente encore la faculté de s’émerveiller !