Honte à qui ne souffre pas pour les chômeuses et chômeurs
Cela va être très facile à comprendre. Ce qui signifie, avant tout, à ressentir. Ce qui va, peut-être, au-delà des capacités restreintes des lunatiques en costards-cravates ? Oui, cela « veut dire quoi, concrètement, être au chômage ? Ceux qui ont la chance de n’avoir jamais connu cette situation n’en ont qu’une très vague idée. Quant à ceux qui vivent cet échec au quotidien, décrire et partager ce qu’ils ressentent et ce qu’ils endurent vraiment leur est presque mission impossible. D’où l’aspect infiniment précieux du témoignage bouleversant qui va suivre.
Avec un bac+3 et son diplôme d’éducatrice spécialisée en poche, Émilie, 24 ans, pensait trouver un job sans grande difficulté, d’autant qu’elle avait en plus pris la peine de déménager dans une grande ville pour atteindre plus facilement cet objectif. Au lieu de ça, elle a enchaîné les désillusions, découvert la privation et mesuré le fossé d’incompréhension qui se creusait peu à peu entre elle et ses amis…
Tout cela, Émilie l’a exprimé avec force et courage dans un témoignage à la fois sobre, authentique et bouleversant. Un document idéal pour ceux qui aimeraient connaître les coulisses qui coulissent de la vie d’un chômeur et pour tous ceux qui, privés de travail, aimeraient faire comprendre à leurs proches toute la douleur de leur situation… ».
Pointer-au-chômage-plutôt-qu'au-travail-les-combines-des-multinationales-?
« Lorsqu’elles décident de fermer un site, les multinationales ne lésinent pas sur les moyens. Quitte, dans les cas extrêmes, à saboter les machines. La « loi Florange » de 2014 leur impose la recherche d’un repreneur, mais sans obligation de résultat [[trop redoutable aberration…entre gens de trop mauvaise compagnie !]]. Comme les directions n’ont souvent aucune envie de voir s’implanter un concurrent – ou, pire, de laisser les clés aux salariés qui auront créé leur société coopérative – elles usent de tous les stratagèmes disponibles pour empêcher une reprise. Combien de sites industriels rentables ferment ainsi chaque année ?”…Jusque la date d’aujourd’hui, seules les petites et moyennes entreprises, qui ont toutes l’avantage de n’être pas cotées en Bourse (cette grave incitation aux corruptions ?), prennent soin de leurs travailleurs (ne les jettent pas juste afin de procéder à d’illégaux profits). Aussi ? Sont-elles moins aidées par les banques décidément fortement incorrigibles (toujours la « non-obligation de résultats » qui semble rendre fous !)…et moins citées dans les médias d’argent sale. Ce qui dépasse la flagrante injustice !
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>>> - Après le côté mur de la dureté – voici celui des têtes plus dures que les cailloux. Comment les démasquer à tous les coups ? Comme si la vie et son Évolution naturelle filait un coup de main aux trop écrasé-e-s…oui, nous pouvons repérer ces cœurs désertiques. Comme ceci. A chaque fois ils/elles vont nous parler de La pauvreté, Du chômage, de La femme, etc. Strictement incapables, par invasions d’insensibilités, d’articuler LES pauvres, LES chômeurs ou LES femmes, etc. Et donc ? Leurs solutions qui se baladent toujours du côté de toujours plus de « fausses » apparences, de tricheries marketing et d’inexacts dénouements qui vont être glorifiés comme des « super » panacées. Ici le contrôle des chômeurs (entendre les virer par tous les moyens)…oui « dans » des statistiques « montrées » du chômage. Donc le chômage baisserait mais LE NOMBRE de chômeurs augmente lui ?
Le-contrôle-des-chômeurs-ne-doit-pas-être-une-fin-en-soi-:-et-pourtant-il-l'est-!
*** -- Évidemment, nous pouvons trouver tous les tirs rectificatifs. Encore faut-il aller les chercher et prendre la peine d’y ouvrir notre conscience. Ce qui se maintient du côté des initiatives personnelles. Et se maintient, parallèlement, en véridiques fake news dans les devantures faussées des pouvoirs toujours moins regardants ! Parce que…
Le-contrôle-des-chômeurs-par-pôle-emploi-aurait-mené-à-14%-de-radiations
« Le dispositif de contrôle de la recherche d’emploi des chômeurs, généralisé il y a plus d’un an et demi par Pôle emploi, a abouti à 14 % de radiations pour 270 000 contrôles menés, à raison de 12 000 par mois en moyenne, rapportent Les Echos [[…quels exploits…d’exploiteurs ! Que faut-il se mégalomanier fort pour n’être pas forts du tout !]]. Le quotidien économique précise que 86 % des personnes contrôlées ont démontré qu’elles remplissaient bien leurs obligations [[ notons la dissymétrie : en, face, remplissent-ils, aussi bien, leurs…obligations ?]], et sur les 14 % radiées in fine, seules 40 % étaient indemnisées par l’Unedic, les autres relevant soit du régime de solidarité (23 %), soit ne touchant plus rien (36 %).
Le conseil d’administration de Pôle emploi avait approuvé, en mai 2015, la généralisation de ses équipes de contrôle de la recherche d’emploi des chômeurs, prévoyant d’y affecter 200 postes en équivalent temps plein (ETP). Le dispositif, finalement généralisé quelques mois plus tard à tout le territoire, était présenté comme devant permettre de « redynamiser » (sic) les demandeurs d’emploi et d’identifier ceux qui ont « besoin d’un accompagnement plus soutenu » [[Soit ?]]…L’engagement de multiplier par cinq les effectifs de contrôleurs, pour les porter à 1 000, en contrepartie du projet d’extension de l’assurance-chômage aux indépendants et aux démissionnaires [[promesse non tenue]]. « Il faut qu’on s’assure qu’ils recherchent bien de manière active un emploi [[ mais y a-t-il bien symétrie au sens où les emplois les recherchent activement ?]], il faut vérifier les efforts qui sont faits, et vérifier que ce n’est pas un multirécidiviste du refus ».
Face aux multirécidivistes de l’évitement illégal de payer ses impôts, face aux multirécidivistes des enfers fiscaux, face aux fraudeurs si « assistés » que sont les trop riches, etc. – ces genres de dispositifs ont-il changé le fond (soit qu’est préféré lutter contre « le » chômage oui dans les statistiques – et pas du tout aider, très concrètement, « les » chômeuses et chômeurs ) ?
Comment-donc-le-contrôle-des-chômeurs-créerait-des-millions-d'emplois-?
>>>>> *** « Écrire un rapport d’activité pour décrire sa galère et prolonger ses droits aux indemnités chômage, comme l'envisage le gouvernement ? Pas si simple… Parce que personne ne l’a jamais fait ! Il va donc falloir recourir à des spécialistes. Pour Pôle emploi, cette piste est stratégique. «Contre le chômage, on a tout essayé, sauf contraindre les chômeurs à acheter des services, générateurs d’emplois !», se félicite un proche du dossier. Voyons ce que vont donner ces nouveaux métiers, très prometteurs ?
Éditeur de rapports : «Je viens d’être recruté par des chômeurs, pardon, je corrige: un collectif de précaires, après avoir aligné plusieurs stages dans la presse web, témoigne Alexis. Je fais un travail d’éditeur assez classique: relecture, correction des coquilles et fautes d’orthographe, réécriture de certains passages… À l’arrivée, le chômeur a un rapport bien rédigé et il peut ainsi gagner un sursis… pardon, je corrige : prolonger ses droits. On me demande aussi d’éditer les rapports en écriture inclusive, pour éviter qu’une conseillère Pôle emploi se sente discriminée. Elle peut lui sucrer ses allocs, pardon, je corrige : obtenir la radiation des droits.»
«Nous apprenons aux chômeurs à devenir leur propre marque, avec ce que cela suppose de valeurs, d'ancrage, de puissance créative...» Parfois, elle recourt à des spécialistes en e-marketing. «Avec le client, on travaille les objectifs en amont afin de disposer de KPI fiables. Au fond, Pôle emploi est un vaste panel de consumers insight : on leur vend le produit qu’ils attendent. On utilise énormément l’A/B testing pour savoir quelles accroches font qu’à Pôle emploi, ça clique sur tel rapport et pas l’autre. Par exemple, “J’ai mis à jour mon CV” génère très peu de CTR alors que “J'ai lead profilé mon LinkedIn” a un taux de retour supérieur.»
Séduire le lecteur : Écrivaine publique, Andrée propose des prestations de scénarisation des rapports. «Un rapport aussi peut faire rêver ! plaide-t-elle. Rien n’est plus triste qu’un alignement de dates, de faits… Si votre texte est vite oublié, c’est qu’il n’est pas intéressant, voilà tout! » D’où un processus de réappropriation par l’écriture de la recherche d’emploi. Etc. J’ai déjà écrit plusieurs centaines de pages, cela sans avoir décroché le moindre entretien!», se félicite-t-elle. »…Nous pas – ces esprits « hors sol » qui ne se réfugient que dans les généralités et les abstractions que parce que, en ce qui concernent les rapports humains un par un, cela tonitrue le fiasco partout – comment conclure ?
Les-vrais-chiffres-du-chômage-2018
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Pôle emploi, est-ce vraiment le loto aléatoire / Avec la face cachée de c’est juste pour radier, donc cacher, donc dissimuler. Quoi ? La réalité, pour sûr ! Le personnel n’est pas vraiment d’accord, il n’y est pour rien puisqu’il aide « malgré tout » les humains qui poussent la porte de pôle emploi. Ou doivent tout faire…par ordinateur. Afin de radier ceux qui n’ont pas le matériel (non prescrit par la loi) informatique. Oui les aide à se faufiler dans chaque faille. D’abord nous allons voir comment. Et, en seconde partie, comment les médias subventionnés sont dépassés…et comment cela commence à se voir. Ils ne paraissent par vraiment inFormés, savoir ce qui se passe « vraiment » et en face…oui ! Comme s’ils y étaient !... « Ça ne s’arrange pas pour Pôle Emploi, c’est le bordel et les employés n’arrivent plus à faire correctement leur job. Ça change tous le temps et avec les inscriptions par internet censées faciliter les démarches, c’est pire ! On simplifie dans les complications. Combien sont laissés sur le bord du chemin ?
Pôle-emploi-c'est-vraiment-devenu-une-machine-de-guerre-mais-contre-qui-?
Ils sont près de 40 000 conseillers * [[ 33 863 agents Pôle emploi occupent des fonctions en lien avec le public. Chiffre auquel il faut rajouter l’effectif d’environ 2500 CDD. Il y a donc 36 363 personnes "affiliées" à l’accompagnement des demandeurs d’emploi au sein du Pôle emploi, qui compte pour le moment environ 55 000 salariés…]] à suivre, au quotidien, les six millions de chômeurs inscrits au Pôle emploi. Mais ces agents, dont le métier évolue sans cesse au gré des décisions politiques, ne savent plus trop où ils en sont. Sommés de faire du chiffre sans en avoir les moyens, souvent au détriment du respect des droits des usagers, beaucoup s’interrogent sur le sens de leur travail, quand ils ne sont pas purement et simplement en grande souffrance. Bastamag les a rencontrés.
« Hier soir quand j’ai quitté le travail, il y avait 200 mails en attente dans ma boîte, soupire Maya, conseillère au Pôle emploi à Rennes. Je suis censée répondre en 48 heures. Comment faire ? C’est impossible. Les demandeurs d’emploi s’impatientent, évidemment. Et je les comprends ! Plus le temps passe, moins les choses vont bien au Pôle emploi. » Arrivée en 2009, au moment de la fusion Assedics/ANPE qui donne naissance à Pôle emploi, Maya voit le sens de son travail lui échapper peu à peu. Pour elle, la dématérialisation, qui contraint les demandeurs d’emploi à s’inscrire par internet depuis début 2016, résume la politique globale de l’établissement : une mise à distance sans cesse renforcée des usagers, et plus particulièrement des plus vulnérables.
« Comment font les gens qui n’ont pas d’Iphone ou de tablette ? Ou qui ne sont tout simplement pas à l’aise avec les nouvelles technologies ? C’est vite vu, ils ne s’inscrivent pas. » « On taille l’offre sur mesure pour les plus employables, et les autres, on les laisse sur le bord du chemin, voire on les pousse dans le fossé, enfonce Claude. Pôle emploi, c’est vraiment devenu une machine de guerre [[ à cacher les chômeurs ]]. » Déjà des usagers pénalisés : Leur point de vue tranche avec l’enthousiasme du service statistiques de Pôle emploi, qui assure dans son bulletin de septembre que « la dématérialisation de l’inscription à Pôle emploi a des effets positifs sur la qualité de la prise en charge des demandeurs [[étant donné qu’il n’y a plus beaucoup de prise en charge « humaine » c’est plus facile que lâche de faire dire n’importe quoi à la qualité…]] ». La dématérialisation serait en fait à l’origine de beaucoup d’erreurs, que les agents passent un temps fou à corriger [[hiiiiips ! c’est hoquet !]], alors que le système était censé leur faire gagner en efficacité.
« Les gens ne se rendent pas toujours compte que c’est important de remplir très précisément leurs dossiers pour être correctement indemnisés, se désole Aurélie. Certains sont pénalisés, parce que les informations qu’ils donnent ne permettent pas de leur ouvrir des droits [[ ouvrons des droits, alors, « hors papiers » …aux cadres A eux de se débrouiller avec les embrouilles et brouillages issus du haut !]]. »
« Le moment de l’inscription est crucial pour ne pas se mettre en situation difficile », explique Ahmed. « Préciser que l’on recherche un emploi à 20 km au lieu de 50, illustre Claude, évite d’avoir à accepter un job qui ne correspond pas à son profil, à 1h 30 de voiture en hiver, parce que c’est à 50 km mais qu’il faut passer par des petites routes ! » Cette interaction avec des conseillers à l’écoute, réalistes et soucieux du respect des droits élémentaires, ne peut être remplacée par les ordinateurs. « Quand nous ne serons plus là pour passer derrière les sous-traitants qui saisissent les bulletins de salaire, ce sera pareil, ajoute Sylvie. Plus personne n’interviendra pour réparer leurs erreurs, comme des revenus mal renseignés, des lignes manquantes, des primes inclues au salaire, etc. Ces informations sont très importantes pour que les droits à l’indemnisation soient respectés. »
Consignes incohérentes : À Pôle emploi comme ailleurs, le management impose des règles et des consignes changeantes, sans que les salariés ne comprennent toujours pourquoi. « L’année dernière, se rappelle Dominique, il fallait pousser les gens à faire des formations, même si ce n’était pas leur projet. Et puis tout d’un coup, on arrête tout, même pour celles et ceux qui voulaient continuer. Ça n’a ni queue ni tête ! » « On se retrouve à dire oui à quelqu’un pour un dossier de formation, poursuit Céline. Puis, finalement, c’est non. Ou inversement. C’est très perturbant. On a l’impression d’être nuls. » La nouvelle convention, qui impose de nouveaux modes de calcul des droits à compter de ce 1er novembre, n’augure rien de rassurant… « J’ai eu une journée de formation. Je n’ai rien compris, et je suis incapable de fournir des informations satisfaisantes aux bénéficiaires », se désole Dominique. « L’outil informatique n’est pas opérationnel », dénonce Sylvie. « Il va y avoir des bugs et des ratés. On va s’arracher les cheveux », prévoit Aurélie.
« J’ai mal à mon boulot, souffle Maya. Parce que derrière, il y a du monde. Des gens, des vrais. Quand ils débarquent dans mon bureau pour un trop perçu, à cause d’une erreur de nos services, et qu’ils me disent : "combien de temps m’accordez- vous pour rembourser ?", j’ai envie de m’enfuir. Sincèrement, je n’ai pas signé pour faire ça. » Autre exemple : Céline, qui a repris l’année dernière suite à un congé parental, voit régulièrement des conseillers en pleurs aux cours des réunions. « Ils ont l’impression de laisser tomber les demandeurs, de ne plus faire leur travail de soutien. C’est très dur. »
« Une organisation du travail maltraitante » : À cette perte de sens s’ajoute une pression continue [[ mieux que la formation continue…]] de la hiérarchie : « A pôle emploi, le temps de travail réglementaire, c’est 37 h30 par semaine, précise Dominique. Mais il arrive que des collègues pointent en fin de journée, mais restent ensuite au bureau pour finir leurs dossiers. » Entrée à Pôle emploi en 2012, Dominique touche 1500 euros nets par mois. Claude, arrivée 10 ans plus tôt, touche 1700 euros nets. « La direction a mis en place des entretiens individuels. Ceux et celles qui haussent un peu le ton face aux consignes se font convoquer, et remonter les bretelles », rapporte Aurélie. « Je vois régulièrement des gens sortir en pleurs de leurs entretiens individuels, s’insurge Dominique. Franchement, mais on est où ? »
« On n’a pas plus le temps d’évoquer la misère de ceux et celles que l’on croise dans nos bureaux, tous les jours, et qui va croissante », regrette Claude, qui dit n’avoir jamais vu autant de gens pleurer. Confrontés à cette détresse, certains agents se « blindent », voire adoptent le faux discours très en vogue des chômeurs « feignants ». « Quand les gens sont trop atteints, ils se protègent comme ils peuvent » estime Céline, qui parvient à prendre du recul grâce aux échanges qu’elle maintient en dehors du travail avec ses amies et ses collègues. « La vie syndicale nous aide aussi à mettre de la distance, complète Aurélie. On réfléchit. Et on comprend, ensemble, que nous avons affaire à une organisation du travail maltraitante. »
« Radier, c’est le but en fait » : Ces moments d’échanges collectifs les aident à tenir le coup, à s’adapter. « Quand je vois arriver dans mon bureau des salariés de 58 ans cassés par leur travail, et qui viennent juste d’être licenciés, je vois rouge, dit Claude. Quelle honte de licencier ces gens. Que voulez-vous que je leur retrouve comme boulot ? Alors je les laisse tranquilles. » Charlotte laisse la porte ouverte, l’après midi, alors que l’accueil est censé être réservé à ceux qui ont pris rendez-vous. Sylvie force parfois le logiciel, tandis qu’Aurélie valide des dossiers sans attestation d’employeur ou débloque les dossiers d’autres agences, alors qu’elle n’a pas le droit de le faire. « Personne ne peut rester sans revenus, c’est impossible, énonce-t-elle simplement. Notre travail, c’est aussi d’y veiller [[lorsque la déraison règne, sur place on ne se met pas de son côté…]]. »
« Bien sûr, on prend des risques, reprend Aurélie. Comme tout se fait par ordinateur, on peut nous pister. S’ils veulent un jour se débarrasser des agents rebelles, c’est facile. Tout est tracé : sur quel dossier on est intervenus, quand, comment... » Claude, Ahmed, Charlotte et Sylvie estiment que l’outil informatique réduit leur liberté. « Plus ça va, plus nos possibilités de "bidouiller" se réduisent, remarque Claude. On est tenus de faire rentrer les gens dans des cases. Et la nouvelle convention va aggraver cela. » « Ce qui va se passer c’est "soit tu contrôles, soit tu dégages" », estime Aurélie. Ils vont licencier en masse, notre charge de boulot quotidien va augmenter, et les radiations vont augmenter. Ça semble évident. C’est le but en fait : faire diminuer sans cesse le nombre de personnes à indemniser [[toujours l’extrême sordidité de voler l’argent des pauvres pour le donner aux trop riches…ce rouleau compresseur d’insensibilités barbares ne peut que condamner ces trop fausses élites…]]. »
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Comme quoi les analyses précèdent désormais les actualités déFormées par les médias subventionnés. Ce texte aura montré tout ce « dispositif » sous son vrai jour. Soit celui de falsificateurs. Pas de bol. Comment le personnel de pôle emploi savaient « avant » ce graaaaand journaliste que cela ne sert qu’à radier, donc receler, escamoter ?
Ce qui veut dire – sur le fond ? Que le basculement a bien eu lieu. Des prétendus contestataires assument tout,t parlent sérieusement et endossent l’état des lieux. Semblent mieux informés du futur que tous les médias subventionnés réunis. En plus, eux, ne coûtent rien et donnent tant…gratuitement…c’est qu’ils en savent toujours plus et le mainstream toujours…moins ! Les prétendus sérieux médiatiques louvoient semblent se dérober, ne sont plus jamais rigoureux ni rationnels. Ils contestent tout ce qui ne répond pas aux « dogmes » idéologiques qui effacent toute rigueur intellectuelle.. Bref, ils sont passés…du mauvais côté de la barrière. Et les ex-prétendus contestataires sont les solides épaules sur lesquelles s’appuient tout le « vrai » avenir. Incroyable non ? Lisez ce blog (et d’autres) et entrevoyez que, chaque jour, tout « autre chose » se dessine. Autre chose qui sent si bon le grand large, l’air frais, la bonne santé –
bref, tout ce qui fuit l’idéologie fouie….
…. dans ses caves malodorantes, dans son air vicieux et ses mono-maniaqueries…
……..……(à suivre)
>>>>>>>>>>>>>>>>>> - ANNEXES - <<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<< -
1° - projet d’extension de l’assurance-chômage : 05/03/18 - 15:09 - Assurance chômage, formation professionnelle et apprentissage : une loi unique
Réforme-dite-de-l'assurance-chômage-où-en-sommes-nous-?
Au cours d’une conférence de presse qui a eu lieu le lundi 5 mars au matin, Muriel Pénicaud a détaillé les principales mesures de la réforme de la formation professionnelle. La ministre du travail a également dévoilé le calendrier : la loi sera présentée mi-avril. Elle sera votée sans ordonnance et s’appellera "projet de loi pour choisir son avenir professionnel". Il s’agira d’une loi qui réformera de manière simultanée la formation professionnelle, l’apprentissage mais aussi l’assurance chômage.
** 2°) - Les non indemnisés indemnes (voir aussi la vidéo Unedic) et le chiffrage de 40 % de non indemnisés face au 60 % cités 2 fois dans l’analyse...
Vos-questions-sur-l'indemnisation-de-l'assurance-chômage/-si-je-n'ai-pas-droit-aux-allocations
** 3°) - Multiplier par cinq les effectifs de contrôleurs de la recherche d’emploi des chômeurs : au fait, comment cela se passe vraiment aujourd’hui ?
« Ces résultats ont été obtenus par la mobilisation de 215 contrôleurs dans toute la France. Si la promesse de campagne est respectée, il pourrait y en avoir 1.000 d'ici à quelques mois, soit cinq fois plus.
Contrôle-des-chomeurs-au-fait-comment-ça-se-passe-vraiment-aujourd-hui-?.
[[ Or ?]] "Il y a une infime minorité de fraudeurs, de profiteurs". Et ?…"C'est mettre en place beaucoup de critères et de moyens pour pas grand chose, regrette Jacqueline Balsan, présidente du Mouvement national des chômeurs et précaires (Mncp). L'énorme majorité des chômeurs recherche un emploi. Il y a une infime minorité de fraudeurs, de profiteurs". Les chiffres de Pôle emploi lui donnent raison puisque parmi les personnes radiées, 60 % n'étaient de toute façon pas indemnisées. "C'est une politique contre-productive, ajoute la représentante du Mncp. En les montrant comme suspects, on les démobilise alors qu'ils ont besoin d'être accompagnés. La suspicion ne crée pas d'élan"…ou comment désorganiser la société par le haut ? Puisque la politique constructive c’est d’utiliser la même armada de moyens…oui, mais afin de contrôler la fraude exceptionnellement importante chez les riches et trop riches. Comme de lier la moindre décision en leur faveur avec des obligations de…résultats.
…tiens comme les chômeurs en fait.
…………. Un nouveau modèle de faire rentrer les justes RECETTES fiscales ?
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
6 614 400 privés d’emploi et travailleurs occasionnels officieux, toutes catégories confondues, + 4 800 000 environ d’invisibles qui n’entrent pas ou plus dans les statistiques officieuses ( chiffres détaillés bas de page ). Total : toujours + de 11 MILLIONS de chômeurs en France (fourchette basse), et autant de pauvres largement sous les seuils de pauvreté. Bilan année 2017 : 52 500 chômeurs de + soit une moyenne de + 4 375 par mois.
Les vrais chiffres du chômage de décembre 2017 par Patdu49 source de la DARES via Agoravox
Dis mon bon Prince Zupitérien ? Dessine-moi un mougeon... Le chômage a stagné en décembre malgré les signes de reprise qui disent... T'as vu la gueule de la reprise aussi ? Éparpillé façon ...
Dès que les médias mercenaires pour qui l’information « se vend au plus offrant » cliquette les chiffres « du » chômage, nous vérifions le « nombre de vrais chômeurs »…assez des fake news des sommets ! Ou bien la vérité sur les « fausses » baisses « du » chômage !
Baisse permanente du chômage permanent, selon les médias subventionnés…effectivement le chômage diminue très invisiblement …oui mais la courbe de chômeurs elle augmente ? Nous ne partageons pas les mêmes valeurs, est-il, alors, répondu.
Pourquoi les chiffres du chômage ne seront plus mensuels ? Parce qu’il demeure plus facile de faire paraitre de micro-variations qui ne fonctionnent pas dans une distribution moins lissée. Sur plusieurs années la tendance est hausse du chômage global. Sur 2, 3 mois il peut être affirmé « baisse du chômage » alors que la tendance globale, elle, ne fléchit pas.
Bac plus que dalle // Émilie
Pourquoi les chômeurs ne sont-ils pas tous indemnisés par l'Assurance chômage ?
Ne surtout pas semer des préJugés. Pôle emploi ? Eux aussi cherchent des emplois désespérément...Pour nous…Pour "Envoyé spécial", Anouk Burel est passée de l'autre côté du guichet, au côté des agents de Pôle emploi. Pas trop tôt (voir aussi le texte).
Au printemps 2017, Emmanuel Macron promettait une ouverture du droit au chômage aux salariés démissionnaires s'il était élu président. Une promesse marquante, dans une époque de burn-outs et de stress au travail. Mais les vieilles pratiques politiciennes ont la vie bien trop dure, et entre les promesses et la réalité, il y a parfois un gouffre trop engouffré...
OLIVIER DELAMARCHE : COMMENT SONT "FABRIQUÉS" LES CHIFFRES DU CHÔMAGE ? Oui « fabriqués »…Rien à voir ou si peu avec les réalités…
Emmanuel Todd : "Le principal producteur de fake news, c'est l'Etat"
Vers une information sous contrôle ? L'historien et anthropologue Emmanuel Todd s'inquiète des tendances autoritaires au sommet du pouvoir.
Quels sont les « vrais » chiffres du contrôle des chômeurs ?
USA/// 103 millions de chômeurs en âge de travailler pour 319 millions d'habitants : arrêtons d’imiter ce triste pays qui a franchi toutes les limites de la déraison…