La bouffe bouffonne ?
Qu’en est-il des vivres pour vivre ? Lorsque leur défi n’est plus de viser la qualité mais de faire d’immérités profits jusque dans nos assiettes, nous voyons que les résultats vont contre ces personnages « sans qualités » (les trop riches) ? Qu’en est-il des vivres pour vivre ? Ou l’abominable histoire de la bouffe industrielle. Ce mépris si catégorique pour l’être vraiment humain. C’est que ce nous mangeons vient de la Terre. Nous buvons son eau. Les polluer c’est polluer gravement nos digestions. Et les aliments dénaturés [[crackés et…reconstitués mais avec perte complète de…qualité]] se prouvent, très vite, de grands ennemis de nos santés. Le seul soin apporté n’est plus que dans les emballages pour tromper – plus dans les contenus qui ne trompent plus. Une vraie bouffonnerie ! Dont il ne pleut plus que l’absurdité d’illégalités qui atteint un tel point qu’il faut, désormais, un service public de la nourriture. Considérer l’alimentation comme un « bien commun », trop sacré pour accepter que les mains cupides et irresponsables du privé viennent salir ce qui définit tant la civilisation humaine :’ le respect intégral envers les vivres pour vivre ! Ces vivres ont une vraie histoire, une Histoire qui accuse à fond la période actuelle où des lobbies illégaux piétinent tout ce qu’il y a de sacré, jusqu’à l’intérêt général, pour leurs…trop misérables profits – plus jamais gagnés honnêtement. Voyons déjà cette Histoire !
L'abominable-histoire-de-la-bouffe-industrielle
« Du paléolithique à nos jours, dans une « Lettre à une petiote sur l’abominable histoire de la bouffe industrielle », Fabrice Nicolino résume l’histoire [[ si peu diffusée par les médias tricheurs ]] de l’alimentation : au fil des innovations techniques, les lobbies ont pris la main sur la nourriture, au prix de la santé et de l’environnement. Animal opportuniste, l’homme depuis toujours aura « boulotté de tout, sans trop faire le difficile ». Au néolithique, il invente l’agriculture qui va ouvrir d’infinies perspectives : extraction d’huile depuis l’olive, vinification, fabrication du pain dans l’Égypte des pharaons, des pâtes à Naples au XVe siècle,… Puis, Nicolas Appert découvre L’art de conserver pendant plusieurs années toutes substances animales et végétales, procédé qu’il décrit dans une publication éponyme en 1810, et Louis Abel Charles Tellier conçoit le premier frigo alimenté par l’ammoniac liquide en 1828.
Découvrant le maïs en même temps que les Amériques, mais lui préférant le blé, les pionniers de l’Ouest se lancent dans sa production industrielle pour nourrir les bêtes dès 1830. Chicago, fondée en 1833, va inaugurer ses premiers abattoirs en 1865, qui découperont en morceaux 2 millions d’animaux dès 1870, puis 400 millions en 1900, soit 82 % de la consommation des États-Unis. La mise en place de chaînes de désassemblage donnera un coup d’accélérateur à l’industrialisation de l’alimentation [[ cette dénaturation dont nous payons le prix fort faute du courage d’avoir mené des…réflexions collectives, avec le mot « collectif » qui compte plus que les autres – nous sommes désormais acculés à nous unir ou à périr ! Sans pensée unitaire (ce qui précède l’unité concrète de l’Humanité, la déchéance bourgeoise va nous contaminer ! ]] et servira de modèle à l’ensemble du système industriel qui les adaptera en chaînes d’assemblage, à commencer par celles de Ford. Les animaux arrivent en train et repartent découpés dans des wagons réfrigérés vers tout le continent et jusqu’en Europe.
La guerre de Sécession familiarise les soldats avec les boîtes en métal qui contiennent alors du lait. Démobilisés, ils en feront la publicité. La production de conserves passe de 5 à 30 millions par an entre le début et la fin du conflit. Au début du XXe siècle, cinq compagnies, le « trust du bœuf », contrôlent plus de la moitié de la viande rouge produite aux États-Unis. En 1906, Upton Sinclair publie La Jungle qui décrit les conditions de travail dans les abattoirs, et provoque l’indignation. Bayer, groupe de chimie qui a participé au bouleversement de la nourriture quotidienne avec la chimie de synthèse (exhausteurs de goûts, édulcorants, conservateurs, antioxydants, antibiotiques, emballages, émulsifiants, anti-agglomérants, épaississants, gélifiants, stabilisants, humectants, liants, agents de textures, etc.), a d’abord bâti son empire sur les insecticides adaptés en bombes au chlore et gaz moutarde pendant la Première guerre mondiale. Associé à BASF sous le nom d’IG Farben, il sera impliqué dans la shoah des Juifs dès 1933. En 2015, son chiffre d’affaire avoisine les 47 milliards d’euros (dont 12 pour la peste des pesticides). Pour 14 milliards il vient d’acquérir Monsanto dont les produits phare sont les PCB, isolants électriques extrêmement toxiques comme Monsanto le sait depuis 1937 et les DDT qu’il décline en « agent orange » pour détruire la forêt tropicale sous laquelle se cachent les insurgés Viêt-cong. Cinquante ans après, 2 millions d’adultes et 500 000 enfants sont toujours malades d’avoir été exposés à la dioxine dont les effets passent d’une génération à l’autre. En 1975, Monsanto lance, en toute connaissance de cause, son fameux Roundup, puissant herbicide, cancérogène et mutagène.
Nestlé, transnationale suisse, numéro 1 de l’industrie agroalimentaire mondiale, dont le chiffre d’affaire en 2016 atteignait presque 84 milliards d’euros, a de son côté développé une « stratégie commerciale » [[ mot qui souligne l’irresponsabilité inexcusable que…le commercial ]] pour vendre du lait en poudre dans les pays du tiers-monde ce qui aurait provoqué la mort de 3 millions d’enfants chaque année. Fabrice Nicolino évoque également, Unilever, PepsiCo, Danone et d’autres. Une dizaine de groupes se partagent le marché mondial, entretenant l’illusion de la liberté, le mirage du choix en déclinant leurs produits sous des centaines de marques différentes [[alors qu’il n’y a plus que….3 variantes derrière – le seul choix libre devient donc de …quitter un tel système…]]. En 2000, le spécialiste mondial des liens entre la génétique et les maladies cardio-vasculaires, Pierre Meneton, adresse un rapport à l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments (Afssa) : « Les Français sont empoisonnés de façon chronique par le sel que rajoute en excès l’industrie agroalimentaire au moment de la fabrication de ses produits », provoquant 75.000 accidents cardio-vasculaires et 25.000 morts par an, soit 70 par jour. En vain.
Selon l’OMS, 80 % des aliments vendus en supermarchés contiennent du sucre caché avec des effets toxiques sur le foie et des phénomènes d’accoutumance proches de ceux de la drogue. Le gras contenu dans les huiles et graisses végétales permettent à très bas coûts de stabiliser la structure des aliments industriels [[ mais déstructurent nos santé ! ]]. Le coût pour la société de l’épidémie d’obésité aux États-Unis en 1999 était de 95 milliards de dollars et a explosé depuis [[ ce que le privé ne…rembourse toujours pas en bramant, faussairement, que les dépenses publiques augmentent…oui pour réparer…leurs dégâts. Le seul exemple de remboursement des frais de santé est celui des cigarettiers quand « Big Tobacco accepta de payer aux États plus de 200 milliards de $, en 1998, pour couvrir les dépenses de santé imputables au tabac. En 2004, le gouvernement fédéral cessa de subventionner la culture du tabac et proposa un programme d’indemnisation (p. 121 – George Packer- L’Amérique défaite (The Unwinding), 2015). » Pourquoi ne pas généraliser cet exemple très intelligent afin de dissuader cet agroalimentaire de persister dans l’abominable…industrie agroalimentaire ; si je m’enfoutiste par rapport à la santé ?]].
C'était-mieux-avant-Pour-la-nature-certainement !
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L’industrie agroalimentaire forme un puissant lobby en étant le premier employeur de France et le premier secteur industriel (172 milliards de chiffre d’affaires en 2016). Fabrice Nicolino démontre sa proximité avec le pouvoir politique par les aller-retours entre les postes ministériels et ces entreprises. Les OGM ont été développés non pour se passer des pesticides mais pour les absorber sans en mourir. De 1980 à 2015, le nombre de cas de cancer a augmenté de 126 %. L’obésité et le nombre de diabétiques dans le monde ont été multipliés par quatre dans le même temps. Nicolino ne prétend pas que la malbouffe soit cause de tout car souvent plusieurs facteurs sont à l’œuvre, mais il souligne que le rôle majeur de la nourriture est constamment sous-évalué, en raison du pouvoir antirépublicain de l’industrie aveuglée et aveuglante.
Après ce constat et cette démonstration radicale [[de aller aux…racines]], l’auteur présente les systèmes traditionnels alimentaires des peuples indigènes qui utilisent l’ensemble du spectre de la vie, ce que ne parviennent pas à faire les systèmes modernes. « Notre monotonie alimentaire, dominée par la viande industrielle, le soja, le maïs, le blé est en réalité une imputation, car ailleurs, dans les recoins du monde, règne encore une richesse sans limite. »
Ce pourquoi, alors la Nature offrait…l’abondance saine et gratuite…des arriérés mentaux ont considéré que leur pitoyable intérêt SURPASSAIT cette abondance gratuite et ont contraint (par suites d’hystéries et mono-maniaqueries plus que maladives) la société à se soûler avec de tels délires…
Et que nous sommes plus…arriérés, oui en retard, à la traîne, ploucs, cons, crétins…
………………par rapport à ces peuples bonheureusement…traditionnels !
……………….( à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Notre position sur l’horloge fait que nous devrions plus apprendre et écouter que se conduire en abrutis de pillards…
Juste de la poudre aux yeux ? Ces flèches ascendantes ne correspondent vraiment à aucune réalité vérifiable !
Cette démarche part de constats d’ordre historique relatifs à la course à la puissance initiée par l’Occident depuis la révolution industrielle. Et cela a pour conséquences le dépassement de toutes les limites : des transports toujours plus rapides, des moyens de communication toujours plus denses, une surinformation permanente… qui plongent l’humanité dans le désarroi. L’analyse de ce processus prométhéen insiste particulièrement sur les mutations survenues depuis une cinquantaine d’années et sur la complicité que nous vivons comme une tragique malédiction.
La vie économique, qui nous apparaît – encore - comme la base « naturelle » de toute vie humaine et le fondement de toute vie sociale, existait-elle dans les sociétés précapitalistes ? L’objet même de la réflexion des économistes n’est-il pas plutôt une « cauchemar de l’esprit », une invention, un imaginaire qui a désormais colonisé notre esprit et nos vies ? Si l’économie est une création historique, une lubie, finalement assez récente, comment fonctionnaient les sociétés pré-économiques ? Comment s’est inventée, au fil du temps, cette économie dans la pratique comme dans la réflexion ? Réfléchir à un futur différent pour notre société implique de penser l’impensable, de réaliser l’improbable, pour enfin « sortir de l’économie ». Dit encore plus brièvement afin d’économiser l’économie, de nous en passer complètement. Oui c’est possible ! Et nos vivres pour vivre de retrouver toutes leurs QUALITÉS !
Premier employeur ET première source de profit – transformer en service public sedrait dont très « bénéfique » pour l’ensemble du pays !
Fabrice Nicolino #1 : "Le hold-up planétaire de l'industrie transnationale sur l'alimentation"
L’histoire de l’industrialisation de l’élevage, de 1860 à nos jours - Conférence de Fabrice Nicolino
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"Si l'élevage industriel n'existait pas, nous n'aurions pas le réchauffement climatique." (VIDÉO)
Quand tout le monde aura intégré au plus profond de lui-même que l'élevage intensif mène notre civilisation à sa perte, alors, peut-être que la consommation de viande diminuera pour de bon. ...
https://positivr.fr/elevage-intensif-arretait-manger-viande-rechauffement-climatique/
Vidéo - Nos plus proches compagnons sur cette planète, l’ensemble des animaux non humains, payent sans doute le plus lourd tribut à notre mode de vie de plus en plus morbide : 60 milliards d’animaux terrestres (sans compter les 1.000 milliards d’animaux marins) sont tués chaque année pour fournir de la viande à l’humanité, selon la FAO (l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture), soit plus de 1.090 animaux par seconde. Comment croire qu’une telle quantité de morts pour fournir une machine agro-industrielle mondiale insatiable ne puisse pas avoir un impact direct sur notre rapport au monde vivant et à notre planète ?
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DARWIN - On the Green Road AGAIN # -2
Nouvel épisode à partager ! Après la découverte de la Tiny Box à Bordeaux, je vais à la découverte de l'écosystème qui l'accueille... Un lieu hybride et fascinant, dont je rencontre le ...
http://www.informaction.info/video-gouvernance-darwin-green-road-again-2
Vidéo - Nouvel épisode à partager ! Après la découverte de la Tiny Box à Bordeaux, je vais à la découverte de l'écosystème qui l'accueille... Un lieu hybride et fascinant, dont je rencontre le co-fondateur... Entre écologie et économie, il exprime un tiraillement constant... pourtant dépassé par une incroyable aventure de vivre-ensemble, créative et conflictuelle, ...
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C'est un sage qui jusque là avait plutôt la tête dans les étoiles. Aujourd'hui, il nous revient avec un cri d'alarme très terre à terre: Hubert Reeves, le célèbre astrophysicie, continue à...
"La diminution des vers de terre, ça ne fait pas la une des journaux. Cependant, c'est tout aussi grave que le bouleversement climatique. Il faut alerter sur l'importance de préserver la nature sous cette forme qui est proche de nous mais que la plupart du temps nous ignorons, parce que ça marche tout seul" [[ les physiocrates disaient bien que « les terres fertiles sont la vraie richesse des nations et pas…l’argent ». Il est vrai qu’ils considéraient « l’économie de la nature » comme plus englobante que le sous-système de l’économie humaine. La vulgarité absolue des effondrés bourgeois ne peut, à l’évidence, comprendre cette raison supérieure. Ils ont donc viré fous ? ]].
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Les apparences sont devenues un danger antisocial ? - Le blog de imagiter.over-blog.com
Le poids des apparences ; victimes des apparences ; jugés selon les seules apparences ; les tabous des apparences ; la tyrannie des apparences ou même la contrainte des apparences : tout un langage
http://www.imagiter.fr/2016/10/les-apparences-sont-devenues-un-danger-antisocial.html
Les battements de cœur de notre Nature ? Notre terre vibre et vibre de vie et nous avons oublié ce fait essentiel. Nous l’avons laissée se faire dissimuler sous des tonnes de paperasses, toutes ces lois peu légitimes et ces règlements peu universels qui ne la…concernent absolument pas. Nous avons mis la barre avant les œufs, les charres avant les vœux et les barrios avant les bœufs.
Européen et internationaliste convaincu, Fabrice Nicolino ne peut que déplorer les renoncements européens dans le domaine de la protection de la santé publique au nom de la recherche de la croissance. Il pointe également du doigt les influences qui s'exercent au sein des instances européennes en faveur des industries chimique et agro-alimentaire, au détriment de la société et de la démocratie.