La liberté commence là où commence celle des autres !

Élévation de cœur dont semblent incapables ces dirigeants qui ne servent que la basse cupidité de l’oligarchie. Puisque nous ne voulons pas régner, nous n’avons pas à nous diviser. Donc pas à ramper dans le conflictuel « ma liberté commence où s’arrête celle de l’autre ». La liberté plus que toute autre qualité est indivisible donc infinie. Plus les autres en ont plus j’en ai. Le calcul putride de mesurer la liberté est la preuve que le personnage n’y connaît absolument rien. Ne l’a même jamais vécu. Cette puissante légèreté qui nous soulève complètement, nous grandit et agrandit, n’a rien à voir avec un quelconque compte de mesquineries. Les prétendus puissants sont très faibles : ils fuient devant l’implacable logique qui loge tout. Ils s’enfuient devant les raisonnements qui coulissent toutes les coulisses. Ils détalent devant les sentiments dont les affaires sont si terrorisées qu’ils se mêlassent à elles. Ceci étant leur seule indigne version : aucun sentiment d’airain n’a peur de se mêler aux affaires, lui. Oui que se passe-t-il alors sans fard ?

Nous sommes dans ces temps où tout se retourne contre eux ? Un seul exemple, une phrase désormais suffit pour démasquer les menteurs au pouvoir. Afin de lutter par la violence des armes il faut donc toujours plus d’armes ? Multipliant par là tous les risques insensés que les enfants soient abattus. « Ne tirez pas ! » dit la génération qui veut et exige que le surarmement recule fondamentalement. « Ne me tire pas dessus » et non « tirez leur plus dessus afin qu’ils soient protégés de tous les…tirs ». Clair, que l’oligarchie ne se préoccupe jamais des enfants ni des adolescents, jamais, juste des intérêts inadmissibles du lobby des armes. Sauf que cet intérêt très privé dégaine comme un fou dès que l’intérêt de tous arrive. Une seule phrase et leur masque tombe et dans tous les domaines c’est toujours mieux vrai. La SNCF est privatisée alors qu’elle vient de faire des bénéfices spectaculaires (2,3 fois plus que l’année précédente). C’est donc l’intérêt ultra privé qui est privilégié. Les élus de l’intérêt public qui le trahissent, avec autant de déveines, sont trop facilement démasqués. Et tout fonctionne désormais ainsi. Le comment importe plus que le pourquoi. Mais un rapide pourquoi nous offre que c’est le mépris intégral de l’oligarchie envers les mots qui la fait tomber. Oui le langage de l’élucidation permanente de la société par elle-même, le langage des rapports sociaux sacrés et des rapports humains tout autant consacrés. Le langage, superbement souverain, se montre définitivement…contre l’oligarchie. Et ce langage ne peut se distorde à l’infini : ils l’ont tant tourmenté afin qu’il signifie toujours l’inverse de son énonciation, qu’il déguise les grands délinquants de l’économie en ses défenseurs et autres impostures. Un seul exemple : que les U.S.A. puissent se dire les protecteurs du « monde libre » alors qu’ils se montrent les agresseurs permanents de la liberté de tous les autres pays – voici qui ne passe plus. Et très vite. L’oligarchie est vraiment au bout des mots. Complètement. Et tous ses mots la TRAHISSENT. Pendant que le langage intact devient encore plus universel et démasque plus vite les impostures. Tout est en train de se retourner contre eux ! Nous allons le découvrir comme ceci : par l’actualité qui se montre toujours plus de notre côté (et il doit bien avoir une raison hyper puissante pour qu’elle démontre toujours nos argumentaires et appuie tant nos comportements, ces actualités que nous ne pouvons inventer. Uniquement précéder !).

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** 1) – Les banques qui seraient de très grandes artistes ?

Quand-les-banques-nous-disent-ce-qu'est-l'art

N’importe quoi. Donc une mercerie peut savamment conseiller en produits financiers ? Une boulangerie fixer les taux de changes, etc. Le désordre et l’anarchie viennent bien directement des banques. Elles sèment partout la confusion, le trouble et le mélange des genres. Et ne se rendent même plus compte à quel point elles se démontrent très nuisibles. L’anti-socialité incarnée. Puisque d’où vient leur compétence papale pour l’art ? Tous les artistes se seraient réfugiés dans les banques et nous n’en aurions même pas été informé(e)s. Quelle désorganisation dangereuse aux sommets. Bref, les banques ne savent strictement rien et n’ont surtout pas à s’immiscer en art. A moins que l’art ne soit plus qu’un produit financier. Ce qui contraint à se passer complètement de tout artiste en art. Donc l’art s’auto-crée tout seul sans le moindre artiste ? Encore une œuvre de la folle main invisible ? Impossible d’être plus irrationnel que de telles banques ? Pour sûr !   A part des divagations de cet ordre et des krachs monétaires – complètement remboursés par les contribuables (ce qui les rend, ces contribuables, propriétaires des banques ?) – que savent donc produire ces banques plus qu’anarchistes ? Elles semblent, en tout cas, bien au bout du rouleau de la raison ! Voyons…

« Selon le rapport « Art et finance » publié en 2016 par Deloitte Luxembourg  en collaboration avec ArtTactic, 78 % des conseillers en patrimoine estiment que leurs activités de gestion devraient intégrer des services liés à l’art. C’est déjà le cas pour les grandes banques privées. Associée depuis près de dix ans avec la société londonienne de conseil en art 1858, la Société générale banque privée compte renforcer cette année son offre en interne. UBS, Neuflize OBC ou BNP Paribas, disposent, elles, depuis longtemps de services spécialisés intégrés. Leur rôle comme au cinéma ? Guider leurs clients, novices ou avertis, pour optimiser fiscalement [[traduit : voler en grand l’argent public, participer à une association de malfaiteurs…]] leur patrimoine ; les accompagner dans l’achat et la vente d’œuvres, notamment en cas de succession ou de divorce. « Notre rôle, c’est d’être des facilitateurs »[[ en gros des entremetteurs !]], résume Mathilde Courteault, responsable du département art chez Neuflize OBC. Et d’ajouter : « On ne fait pas de conseil à l’achat. On ne leur dit pas achetez ça, vous gagnerez 10 % en dix ans, mais on pratique le sur-mesure [[ ce qui se démontre ce que nous faisons mais nous ne le faisons pas, on ne propose pas mais tout en proposant ? Vraiment les jésuitiques intermèdes des intermédiaires ont assez durés !]]. » Et la pédagogie. Car les questions refluent. Quel est le « juste » prix d’une œuvre d’art [[ Pas quel mais où : pas dans les mains des marchands intrus en tout cas !]] ? Doit-on vendre de gré à gré ou aux enchères [[ à demander aux vrais artistes ]] ? Faut-il se délester [[ mot de truand s’il en est ]] vite d’un tableau ou est-il plus opportun d’attendre ?

Commissions dégressives : Pour y répondre, ces services doivent à la fois connaître le marché de l’art sur le bout des doigts, [[ donc l’art n’existe plus il n’y a plus que son marché – quelle sommet de corruptions anticivilisées ! ]] ou à défaut disposer d’un bon réseau d’experts référents. Plutôt que de courir tous les lièvres, certains se spécialisent. BNP Paribas ne se concentre par exemple que sur les beaux-arts. Si le conseil est inclus dans la prestation d’ensemble de la banque, toute transaction effective fait l’objet d’une commission. Chez BNP Paribas, celle-ci est dégressive de 10 % à 2,5 %, sachant que le montant minimum d’intervention s’élève à 60 000 euros en France et à 150 000 euros à l’international [[ l’art est donné, dévalisé même, mais pas son…marché avec des…souteneurs usuriers. L’indignité les fera – obligatoirement - tomber]]. »

*** 2 ) –  Le tout-sécuritaire qui ne crée que…de l’insécurité affective ?

Donald-Trump-est-un-monstre-d'insécurité-affective

Même si ce n’est pas assez connu, le fait est que l’insécurité qui mine le plus l’humain c’est l’insécurité…affective. Ne pas savoir sur quel pied danser ? Où poser son cœur ? A qui ou à quoi se fier ? Quand se reposer et se détendre ? Etc. Et que la plus grande faute professionnelle du tout sécuritaire c’est de répandre le sentiment…d’insécurité. Ce que réussit très bien Trump. Ce qui n’est donc pas une réussite mais bien un retentissant…échec collectif. Tout le monde subit la déflagration d’une telle destruction de tous…les liens. Sociaux et individuels. Où serait le contrat social avec tous ces trublions du libéralisme en folie ? Déchiré en milles morceaux. Ils se prétendent élus et ne se comportent que comme les ennemis de leurs électrices et électeurs. Où trône l’anomalie ? Pas du côté des électeurs, certainement…. « Si Trump s'est permis le luxe de brailler n’importe comment, c'est parce qu'il ne dépendait pas (encore) des corps intermédiaires. Sa très brève relation avec les électeurs était sincère et directe, notamment grâce à Twitter, et sa campagne était initialement financée sur ses deniers personnels. N'ayant pas à s'incliner devant les grands donateurs et les puissants lobbys qui encerclent la droite américaine [[ la prennent donc en…otage. Ce n’est pas la rhétorique qui décide qui « prend bien en otage » mais les comportements. Ainsi, à aucun moment les cheminots ne prennent les usagers en otages – ce sont les indignes technocrates trop lâches pour affronter la vérité en direct qui nous prennent tous en otages…La logique agit désormais contre les pouvoirs tricheurs]],

Trump fera-t-il disjoncter l'ordre ancien ?

La raison pour laquelle les choses ont changé depuis, c'est que la victoire de Trump l'a rendu plus fragile. Comme tout le monde en politique, dans les affaires ou dans le show-business, plus il monte haut, plus il a besoin d'affection. Un système de récompense procurant du réconfort quotidiennement est indispensable pour garder son équilibre lorsqu'on évolue dans ces hautes sphères [[ mais ce discours bassement marketing, donc absolument crétin, OMET l’essentiel de la fonction d’un président trop…royal. Qui n’est pas d’être cajolé. Mais qui reste de remercier, cajoler et rassurer…tout le monde [[pas de servir la soupe aux plus qu’illégaux lobbies, les plus grands ennemis que la démocratie ait jamais eu]]. Donc le président en archi manque sur sa corde raide…et son corps électoral en manque parce toujours aussi raide. Ce qu’il advient ? Trump va devoir céder à la génération anti-armes, les mass shooting. Ils ont tous les arguments et lui aucun. Il va risquer aussi de déclarer la paix générant l’apoplexie (si méritée) de l’illégal complexe militaro-industriel qui n’a strictement aucun droit de déclarer la guerre (et pourtant il n’arrête pas et toujours à l’aide du plus gros Mensonge possible – tous ces false flags reposent donc sur de faux motifs !). »

** 3) – Rien de plus pitoyable qu’une loi qui ne peut que viser le camp de ceux qui la prennent. En effet, pas de plus grandes fake news (pour fausses informations) que la publicité, donc le marketing politique, donc les médias d’argent. Que faire alors ? Clair, que quoi qui sera fait cela se retournera contre…l’émetteur. Pas contre l’émis.

Fake-news-et-si-la-loi-se-retournait-contre-Emmanuel-Macron-?

« La loi ciblant les «fake news»… ou les médias étrangers entrent bêtement à l’Assemblée. Ses éléments principaux ont fuité. Notre chroniqueur Édouard Chanot en pointe les limites et les travers, malgré le « faux » consensus apparent. » …Voir la vidéo jointe qui démontre que cette loi ne peut viser que les pouvoirs et les fausses élites – pas qui les subit.

Censure-false-flag-11-signes-pour-reconnaître-une-opération-sous-fausse-bannière

« Tout au long de l’Histoire, diverses versions d’attentats sous fausses bannières (False Flags en anglais) ont été utilisées avec succès par les gouvernements pour diriger la force du peuple  vers la finalité recherchée par la classe dirigeante (...) Chacun peut servir un dessein spécifique et peut être ajusté et adapté en vue de ce dessein spécifique selon ce qu'exigent les conditions de la communauté. Par exemple, l'attaque aux armes chimiques qui a eu lieu en août 2013 en Syrie peut servir d'exemple pour un false flag à l'étranger prévu pour stimuler la ferveur des étasuniens vers la guerre, sur la base de la Responsability to Protect (ou R2P, le Devoir de Protection, établi en 2005 par les Nations-Unies) comme pour le golfe du Tonkin. Les false flags économiques peuvent prendre la forme de "paralysies du gouvernement" fabriquées ou de "défauts de paiement du gouvernement" conçues pour créer une demande d'austérité ou autres solutions en faveur de Wall Street. Enfin, les false flags nationaux à petite échelle comme Sandy Hook ou Aurora, impliquent souvent la mise en place de mesures de contrôle des armes ou un état policier plus important. Il existe, bien sûr, de nombreuses versions différentes d'attentats par false flags et aucun ne correspondra exactement à un classement précis dans la rubrique "false flags".

Comme exposé ci-dessus, certains false flags peuvent, en fait, contenir un élément de chacune des différentes versions listées précédemment, aussi bien en termes de méthodologie que de but. Cela dit, il est également vrai, malgré une possibilité constante d'attentats par false flags massifs, qu'on en voit se produire à petite échelle sous l'apparence de "tireurs" non commandités (le plus souvent la variété des "tireurs isolés" ou "tireurs fous"), que la classe dirigeante et ses porte-paroles médiatiques ont utilisé avec beaucoup d'efficacité ces dernières années. Bien que l'échelle des attaques ait diminué, leur fréquence a rapidement augmenté. Cependant, en raison d'une recrudescence de médias alternatifs et d'une communauté de recherche, au fur et à mesure du lancement des attaques, il se publie une volée de démolition des récits officiels. À côté de nombreuses critiques absolument non crédibles de la version officielle des événements, frisant la paranoïa et l'invraisemblance, on trouve des articles de chercheurs qui peuvent exposer le false flag pour ce qu'il est. D'ailleurs, c'est pour cette raison que les false flags ont dernièrement essuyé de sérieux revers en terme d'efficacité [[…efficacité pour renforcer l’oligarchie ]] et que c'est toujours le cas. Comme l'attaque est prévue pour instiller la peur, la panique et une réponse téléguidée de la part du public, il est important de déconstruire le récit de cette attaque tel qu'il est présenté. Nous ne pouvons cependant pas passer simplement notre temps à tenter d'exposer et déconstruire toutes les attaques par false flag. Nous ne pouvons ignorer le feu de forêt en éteignant un feu de broussailles occasionnel. Il est important pour cette raison de permettre au public de reconnaître le false flag lui-même, pas uniquement les éléments contestables d'un false flag en particulier qui sera bientôt suivi d'un nouveau. Nous devons nous former et former le public à reconnaître les signes d'un false flag quand il se produit et ainsi rendre l'attentat neutre. Ce qui suit est une liste des éléments les plus courants d'un attentat par false flag auxquels on devrait prêter immédiatement attention dans le cas d'un nouvel accident qui jouera sur la corde sensible et les émotions des humains. »…L’information rationnelle est « alors qu’El est très affaibli, ne diminue pas le terrorisme. » Le centre essentiel n’est donc pas là où nous conduisent les médias subventionnés – mais bien ailleurs, du côté de la finance internationale, par exemple. Centre jamais restreint ni limité, ni même enquêté en grand.  Ceci se nomme « parler à côté des faits »…donc égarer qui suivrait de tels délires avec ses fausses solutions très…hors de propos !

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*** 4 ) – Toujours et systématiquement se tromper de sujet. S’entortiller sans cesse dans la méconnaissance de la hiérarchie du réel (donc ne rien comprendre aux mécanismes tangibles). Au point que les vrais adultes doivent toujours corriger les amples délires des prétendus dirigeants. Ainsi – c’est bien l’absence de luttes contre les inégalités et donc leur renforcement démentiel qui reste le problème social central. Et sûrement pas l’immigration. Ainsi – c’est l’augmentation concrète de la pauvreté et non le grave mensonge de sa disparition qui demeure le problème central humain. Et pas l’immigration. Et pas non plus le contrôle abusif des chômeurs. Mais pas celui des déserteurs fiscaux et autres parasites des fraudes massives : un seul contrôle de ces délinquants récidivistes emplira le déficit des recettes publiques…et évitera les très scandaleuses (car très illégales en réPublique) privatisations ! Et pas l’immigration…

Le-vrai-sujet-ce-n'est-pas-l'-immigration-c'est-la-non-lutte-contre-les-inégalités-et-la-pauvreté-si-grandissantes

« Un bénévole a été convoqué dans les Hautes-Alpes, le 14 mars, par la police des frontières, pour avoir porté secours, à 1 850 m d’altitude, à une famille nigériane, dont une femme sur le point d’accoucher…

Il s’agit là d’un nouvel exemple de l’idéologie [[ ce qui n’est pas le traitement objectif et rationnel des faits]] de nos dirigeants, qui consiste à en faire le moins possible en matière d’accueil des migrants précaires extracommunautaires [[ ce moins possibles crée le…maximum de dégâts !]]. De plus en plus, cette politique bouscule les principes fondamentaux de l’asile et des droits de l’homme.

Les autorités assument la violence institutionnelle (consignes aux forces de l’ordre), assument de maintenir la pression sur les aidants (délit de solidarité), assument de détricoter le droit d’asile avec le projet de loi sur l’immigration qui sera débattu à l’Assemblée en avril, assument de négocier avec des mafieux et des pays instables la gestion externalisée de l’accueil. C’est une volonté affirmée, qui ne profite à personne [[ et, en plus, provoque le maximum de dégâts sociaux et humains...]].

Qu’il s’agisse d’accès aux soins ou au logement, tous les chiffres montrent en effet que la mauvaise hospitalité faite aux réfugiés n’améliore pas la vie des Français précaires [[puisque ce sont des…non-résidents (les financiers internationaux et les multinationales) qui enlèvent le pain des français de leur bouche…pas les migrants]]. Tout au contraire, les inégalités continuent de se creuser. Le vrai sujet, ce n’est pas l’immigration : c’est la lutte contre les inégalités et la pauvreté [[ lutte qui n’existe à l’évidence pas – puisque tous les efforts sont centrés sur nier, dénier et renier les problématiques. Si le problème n’existe pas pourquoi « lutter » contre lui ? Or il existe et…augmente en chiffres flagrants…tous les ans !]]. »

>>>>>> - Ne pas omettre les travailleurs pauvres (n’ayant pas assez de revenus pour avoir un toit : donc travaillant vraiment mais n’ayant pas de domicile (qui est plus qu’indécent dans l’illogisme pervers ?)).

France-7-millions-de-travailleurs-pauvres-la-face-trop-cachée-des-temps-modernes

« Alors que la France n’a jamais été aussi riche – le Produit Intérieur Brut est en progression constante depuis le début des années 1990 – la précarité s’est développée sur un mode exponentiel. En 10 ans, l’intérim a augmenté de 130 %, le nombre de CDD de 60 %, les CDI de seulement  2 %. Plus d’un million de personnes bénéficient du RMI, plus de 500 000 de l’allocation solidarité. »…et ces chiffres cinglants ne sont jamais pris en compte dans aucun média d’argent comme dans aucune politique !

De-plus-en-plus-de-sans-abris-partout-en-Europe

De plus en plus cela veut bien dire augmentation ? Et tous les ans amène une nouvelle …augmentation – dans ces conditions, où pouvoir trouver la moindre diminution de la pauvreté ? « « La définition du sans-abrisme a beau ne pas être la même d’un pays à l’autre, partout en Europe les hausses sont spectaculaires », révèle Sarah Coupechoux, de la FAP : + 150 % en Allemagne, entre 2014 et 2016 ; + 145 % en Irlande, entre 2014 et 2017 ; + 169 % au Royaume-Uni entre 2010 et 2017 ; + 96 % à Bruxelles entre 2008 et 2016 ; + 20,5 % en Espagne entre 2014 et 2016 ; + 17 % en France entre 2016 et 2017, en tenant compte des 20 845 personnes qui ont demandé un hébergement au « 115 » en juin 2017 par rapport à juin 2016. »…Donc le libéralisme est une gigantesque catastrophe sociale, il perd tout droit de gouverner. Le cynisme des fainéants des pouvoirs ne peut même plus compter sur la haine distillée par les médias vénaux – contre les pauvres. L’explosion est désormais trop visible…et trop visible que les pauvres sont les grands volés, pas les voleurs ! Tandis que les trop riches se profilent comme de très grands voleurs. Voilà encore plus de mots qu’ils ne pourront plus utiliser. Jusqu’au jour (très proche) où tous les mots se retourneront contre eux (évidemment parce que les concepts, qui sont tissés derrière, les contredisent frontalement – il ne s’agit pas de mots flottants, bien sûr, mais d’une culture unitaire entière !).

Le scandaleux mensonge qui prétend que la pauvreté recule partout, que la fausse mondialisation n’a été organisée qu’afin…d’abolir la pauvreté. Alors que 1) elle l’augmente exponentiellement (puisqu’il faut y intégrer toutes les formes de précarisations, dont ces 7 millions de « travailleurs pauvres » qui ne gagnent pas assez pour avoir un toit) et -** 2) elle ne privilégie que la poignée de marginaux capitalistes, qui ont tellement honte de leurs styles de vie, qu’ils se sont déjà mis en…prison. Oui, ces villes privées avec gardes armées, murs de 10 mètres de haut, barbelés électrifiés où ils se planquent tellement la honte les brûle. Prison mentale méritée.

*** ) – Et l’incapacité finale à savoir comment FONCTIONNE une société ?

Poésie-sociale//-liberté-entourage-comment-se-situer/ Si ma liberté s’arrête où commence celle de l’autre, ce qui est décrit c’est bien une guerre de territoire. Puisque  c’est en réduisant celle de l’autre que j’augmente la mienne. Or le vécu concret ouvre, plutôt, que c’est en nombre que nous augmentons nos pouvoirs et nos moyens : le collectif crée alors des possibilités jusque là inaccessibles !

……. Enfin, voir la liberté comme ce qui « s’arrête » c’est bien n’y rien connaître !

……..……(à suivre)

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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident  vraiment ?"

                        Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!

Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif

tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***

trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/,  onglet 3  "Nul n'est  nul",  "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?»  et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ;  et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir,  etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.

Résistances au changement Impliquent changement de résistances

Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser

Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.

La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité

L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !

Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres

Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative

Le spectacle est une misère pas une conspiration

Le si rare moment de la jubilation

La façon d’écrire se nomme infini respect

Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs

Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper

Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.

Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !

Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !

Nous sommes la santé de la société

…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)

Trouver ce que nous ne cherchons pas ?

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