Le musellement de cette France qui souffre
Si tu t’éparpilles on te pille, si nous nous éparpillons chacun-e à être seul-e, ils nous pillerons. Le sentiment d’unité commence à arder très sensiblement. Être raisonnable est plus essentiel que «d’avoir» raison. Ne reste plus qu’à savoir pourquoi s’unir. Le but oligarchique devenant de supprimer toute visibilité à ces souffrances qui commencent à dépasser toute norme. Ainsi – alors que tous les faits démontrent une aggravation des pauvretés qui font souffrir il sera juste asséné, avec une cruauté indifférente, « la mondialisation réduit la pauvreté « (Ah oui, où cela ?). Et celles et ceux par qui toutes ces souffrances surviennent, en plus d’acharnements illégaux (le trop de contrôle des chômeurs c’est de l’acharnement vraiment déplacé !) persistent à dérégler que « tout est de la faute de ceux qui subissent tout » (faisant donc d’eux les vrais dirigeants mondiaux, les seuls qui aient un immense impact admis !). Comment ? Jamais de réponse. Le but est « d’occuper » l’espace de la parole et « d’invisibiliser » ceux qui sont les preuves évidentes de la grave nocivité de leurs décisions et comportements – non de démontrer quoi que ce soit. Alors la meilleure méthode afin de comprendre dans le minimum de texte ?
Empêcher de biaiser oui par quel biais ? Ce sera la si mal nommée « bien-pensance ». Plutôt ratée : leurs turpitudes inhumaines sont la pire des publicités « contre » le système établi qui ne peut trouver d’autres alliés que ces minables. Comme comment nous les dénichons, élucidons et débarquons. Oui ? Ils font pire que comploter, non ils ne complotent guère, ils/elles diffament le genre humain, ils souillent chaque humain, ils ne désirent qu’un avenir infernal pour le plus grand nombre. Et ? Preuves à l’appui, nous apportons les preuves à quel point ils haïssent les pauvres. Ce qu’il y a d’anormal dans cette haine c’est sa démesure, sa non-adéquation avec un seul fait – bref, comme elles/ils ne vivent que dans une ébriété permanente (tant ils sont tant ivres d’eux-mêmes), l’irritation de ces immatures qui ne supportent aucune frustration va dans deux directions. ***- 1) - Le pauvre, surtout silencieux, est l’accusation permanente que leur style de vie plus qu’illégal est la CAUSE directe de cette trop pauvreté qui souffre…et ?***- 2) - Comme tant d’ivrogneries provoquent de longues plages de nausées, apparaît une affolante jalousie, oui une mortelle jalousie envers ces mêmes pauvres (comment peut-on être heureux/ses « naturellement » et sans richesses ? Ce n’est pas normal ? Il y a de la magie derrière. Je la veux ou je la veux détruite ! Comment peuvent-ils aimer leurs vies ? Ce n’est pas normal - ils ont un secret. Ce secret je le veux, plus ils/elles vont en baver, plus ils risquent de laisser échapper la divulgation.). Oui, ces pauvres ne méritent pas d’être heureux, même une seconde – moi je mérite tout et plus encore. Et moi seul – moi présent tout le monde doit se sentir infiniment triste… J’ai même le droit (sic) de les empêcher d’être un peu heureux. Quelles vies intérieures misérables, quels cœurs souillons – pourtant déchiffrables…partout. A les voir de très prés, croyez-nous, nous percevons les halos de détraquements complets. Que nous allons restituer par divers éclairages :
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*** 1) - Alors, que signifie de restreindre les marges d'expression ? Oui toujours ces formulations vénéneuses, qui nous permettent d’ailleurs de les « sentir » de très loin, oui ces énonciations qui exsudent et la mauvaise foi et la très avariée mauvaise volonté. Ce charabia char à bœuf ? Afin de « justifier » leurs censures ( point faible : quoi qu’ils/elles font, il leur faut, hystériquement parlant, le bon rôle, « avoir raison » contre toutes les évidences (comme le « Je ne parle plus à qui a raison » nous les a débusqué à 100 % !)). Et ? « Après tout, les lois sur la protection physique des personnes devraient suffire pour vivre, le reste ressortant de luttes sociales ouvertes et libres, non ?
Que-signifie-de-restreindre-les-marges-d'expression-?
...Eh bien, ce que signifie de restreindre les marges d'expression - comme avec les inquiétudes devant les fake news, d'ailleurs - c'est qu'on ne fait pas confiance à la société civile, voire qu'on la craint, donc qu'on se craint soi-même comme membre de la société civile, tout en s'aliénant follement au droit, au point d'en devenir plus droit que le droit, à se croire plus adroit que tous les maladroits tout uniment renvoyés à l'illégitimité, sans distinction, mais dans une ostracisation terrible confinant aux stigmatisations pourtant conspuées, de ce que - conséquentiellement - on stigmatise soi-même autrui, auquel on ne laisse plus aucune chance. Saviez-vous qu'il existait en Afrique, un racisme inter-noirs ? et en Asie, inter-bridés ? et aux Maghreb et Moyen-Orient, inter-mats ? etc. Eh bien, voici le racisme inter-blancs, sottement, où l'on n'a pas compris que l'Euro-Amérique était pourtant une exception mondiale, à ce niveau de la protection des personnes. » L’auto-élucidation permanente de la société par elle-même supplante tous les autres procédés sociaux, la catharsis par le dissensus conscient, l’ex Pression que soulage la liberté d’expression qui sait toujours mieux que les censeurs…ce qu’il y a à faire (l’image est claire : un personnage aveuglé, les oreilles bouchées, ne discutant jamais, ratatiné sur lui-même face à un être ouvert, qui écoute, débat, synthétise, recherche, pose des questions, etc. – prétend toujours tout savoir mieux que le second : sauf qu’il demeure si incapable de dire…comment il en sait autant sans jamais ne rien apprendre ni comprendre ! La démarche reste claire : il s’agit bien de restreindre les marges de…censures. Qui nuisent tant à l’avenir en commun.
****- 2) - Quel est le point commun entre une annonce SNCF, une université ou une multinationale ? Leur langage. Atténué, rogné : ne dit-on pas “remercier” un employé au lieu de “licencier” [[ licencier étant par trop licencieux pour ces puritains fumistes : psychorigides pour les autres mais très dépravés pour eux-mêmes – nous avons déjà analysé cette aliénée inversion de la réalité par inversion des mots. Un seul exemple : les charges patronales ne correspondent pas aux « cotisations sociales ». Pourquoi ? Vu les pourcentages supérieurs des prélèvements sur les travailleurs, il faut bien comprendre « charges salariales » et « cotisations patronales», afin de leur rappeler d’arrêter d’exiger des exonérations : L’euphémisation est bien un double-face : très laxiste pour soi et abusivement cruel pour les autres ! Sauf que de les voir acculés à user d’aussi lamentables subterfuges les démontrent au bout de leur segment historique. Leur temps est quasiment clos !]]. Puisque, à force de vouloir évacuer du langage la violence qu'il désigne, on en décuple l'impact …
Souffrances-collectives-la-violence-des-euphémismes
Et vous, la parole publique, vous la préférez avec ou sans filtre ? Édulcorée ou dans la surenchère ? D'un côté, des élucubrations hargneuses ; de l'autre, un discours institutionnel ultralisse. Dans les deux cas, le rapport à la réalité apparaît singulièrement altéré. Et, à chaque fois, la violence est à l'œuvre, évidente ou masquée. C’est que ce prétendu filtre lui-même mérite examen, et même un démontage minutieux (serait-il encrassé ?). Car, du président de la République au patron d'industrie, nos décideurs parlent aujourd'hui en public une langue un peu trop spéciale. Toute ouatée d'euphémismes, ces figures de style qui permettent, selon le Petit Robert, « l'expression atténuée d’une notion dont l’expression directe aurait quelque chose de déplaisant, de choquant ». Qu’il s’agisse de la SNCF, de l’enseignement supérieur ou de Danone, il ne reste, en vrac, qu’une fausse « exigence humaniste » à concilier avec les pires mensonges »…La violence extrémiste et abusive de cette violence légalisée ? C’est qu’elle euphémise, en plus (nuisance totale) toutes ses propres violences…dont la pire à gerber fut ce « même pas mal »…destiné (avec la gentillesse blablaterrée de ces « socialement incorrects » ) oui à celles et ceux qui SOUFFRENT VRAIMENT. Le but demeurant de supprimer toute visibilité à ces souffrances qui commencent, tant accumulées, à être insupportables pour la société. Dans ce cas elle sur-réagit toujours. Comment ? Comment se passe le retour du refoulé (ce que la société ne veut ni voir ni savoir, mais qui constitue sa survie même) ?
….- 3) – Lorsque la santé sociale commune n’est plus possible, la vérité collective se tord dans tous les sens et son retour du refoulé est tordu, déformé, contrefait, sinueux, défiguré. Comme ceci…« Annoncée comme seule alternative possible, on nous a promis la paix, mais surtout la fin du chômage et la prospérité économique à condition de se soumettre aux lois du marché, désormais tout puissant, ainsi qu'à la rationalité de la finance. Nous devions laisser libre court à l'économie, au libre échange, à la mise en concurrence généralisée, favoriser l'accumulation du capital, tolérer les cadeaux fiscaux et la conséquente dette publique, le tout pour pouvoir profiter pleinement des bienfaits de la mondialisation [[et le pire, avec ces cyniques fainéants des sommets, alors que nous avions tant subi ces propagandes unilatérales est que, maintenant que le vent tourne et se détourne de ces mots usés et salis, ils font comme si c’était nos mots, oui nous qui les prononcions. Quel retour à la santé lorsque seront mis sur la touche ces dangereux antisociaux !]].
La-fausse-bien-pensance-expliquée-à-cette-France-qui-la-subit
35 ans plus tard - le bilan de l'idéologie ultra libérale est forcément plus du tout enthousiasmant. Elle a essentiellement produit une explosion des inégalités, un chômage élevé et une accaparation par les investisseurs d'une part toujours plus importante de la richesse créée par tous, comme l'a démontré le travail de Thomas Piketty. Les inégalités entre ceux qui ne vivent que du fruit de leur travail, et ceux qui vivent de leurs rentes (immobilières, financières ou d'investissement) se trouvent en effet aujourd'hui à des niveaux jamais atteints auparavant [[ un véritable travail de Gribouille, des empotés grossiers, ils ont tout salopé, tels de lourdingues dingues puisque – mécaniques achevées – ils continuent de radoter leurs…impossibilités logiques ! Et qui s’achèvent dans son inversion grotesque : étant contre l’État ils terminent dans un État hyper autoritaire, répressif, curé, agressif, intolérant, très malade de réformite, hyper dogmatique et déraillant complètement. Nous, nous voulons juste un état humble qui permette d’apprendre en grand à s’en passer. Qui apprenne à gérer, ensembles, tous les services publics et biens communs sans plus de détraqués technocrates. Bref, un état-coquille vide qui, par ses bâtiments et logistiques, permet, sans casse ni gaspillage, de tout changer « à l’intérieur même » des institutions. Au point qu’elles en deviennent tout autre chose…pas compliqué : juste un effort de concentration + placer son cœur le plus évidemment à l’extérieur de soi, le grand sensitif sensé…]].
>>>> - En effet, à l'heure de l'info en continu, on a entrepris de nous abreuver de faux débats de sociétés qui sont venus meubler l'espace médiatique au quotidien et parmi eux, les classiques : mariage pour tous, PMA, GPA, harcèlement, cause animale, immigration, religion, terrorisme, rivalités politiques, etc... qui attirant l'attention vers des problèmes certes réels, mais minoritaires, permettent surtout de faire diversion de façon constante des souffrances ressenties par des millions de français paupérisés par l'ultralibéralisme.
Donc faire semblant de débattre pour ne pas se révolter ? Car si ces problématiques servent à faire diversion, ce que l'on sait moins c'est que celles-ci sont également utilisées comme un excellent outil de canalisation de la souffrance sociale. Face à la souffrance, comme l'expliquait très bien Henri Laborit dans son «Eloge de la Fuite», l'être humain a deux choix : Soit il intériorise, somatise sa douleur et souffrira de stress chronique de son inhibition de l'action, qui s'attaque au système immunitaire et le conduit à la maladie généralisée. Soit il transforme sa souffrance en agressivité pour se libérer de son impuissance à éviter une douleur.
Et c'est dans ce sens que les débats de société que l'on nous propose aujourd'hui, peuvent en réalité être vus comme une formidable invitation à l'expurgation de la souffrance, que provoque l'inhumaine exploitation ultralibérale, pour permettre à chacun de nous de pouvoir canaliser, déverser son agressivité sur autrui sans avoir à se révolter contre la monstruosité ultralibérale [[ bien voir en face l’horreur du Baal et des sacrifié-e-s de la chute de Babylone ]].
Nous sommes donc invités [[ évités]] à participer à des débats sans fin, clivants, stigmatisants, enclins à de nombreux jugements réducteurs [[ afin d’en faire une seconde nature, une deuxième peau ]] et moralisants, faisant donc appel aux pulsions les plus malsaines de l'être humain, dans le seul but de nous faire cracher les uns sur les autres, l'agressivité issue de la souffrance sociale que provoque l'exploitation ultralibérale [[ apprendre, à travers ces médias vendus, à devenir maton, juge marron, bourreau, persécuteur, inquisiteur, puritain de malheur et autres déchéances…- est forcément un abus de cumuls…]]. Dont la xénophobie si aberrante ou toute autre haine des vraies majorités, ne sont que les expressions les plus visibles.
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Mais cette haine de l'autre, cette culture du ressentiment et de la vengeance [[ celle des « petits hommes » selon Nietzsche, et que donc incarne le libéralisme de toutes les bassesses…]] dans laquelle nous vivons désormais, sont des éléments qui n'en demeurent pas moins dangereux pour l'ordre social et donc pour les intérêts ultra-libéraux. Et c'est ici que la fausse « bien-pensance » (sic) vient jouer un rôle déterminant...
>>>> Bien-pensance ou la tyrannie ultra-libérale du faux bon sentiment : Rapidement récupérée par le bas système qui s'en est servi **1) - pour casser les codes, la famille, les valeurs, les repères. Ridiculiser les plus pauvres notamment, leurs maux, leurs peurs. Dévaloriser leur culture, leurs croyances populaires, et diminuer leur éducation. Le tout pour pouvoir les empêcher de penser et les rendre plus dociles à gouverner. Comme l'expliquait Bourdieu dans «La Distinction».
**2) -On a ensuite entrepris d'éduquer [[la drue « révolution culturelle », en vrai, eh oui !]] à cette bien-pensance les catégories supérieures, moins impactées par les injustices sociales [[ « Même pas mal »…aux autres, se gavent-ils ces non-civilisés !]]. Les invitant ainsi à concentrer leur tolérance [[ ils en ont tellement peu…]] dans des thématiques minoritaires choisies. Le tout pour qu'elles puissent plus facilement se donner bonne conscience et ne pas avoir à culpabiliser des conséquences que leur niveau de vie provoque dans les étages inférieurs de la société. Ce que l'on appelle la « bien-pensance » aujourd'hui est donc une façon de penser « à ne pas penser » qui consiste, concrètement, à prôner la tolérance et l'anti-discrimination contre seulement certaines minorités. Et pas les autres ! Se voulant moralisatrice, humaniste (sic) [[ sauf qu’elle se prend les pieds dans ses grossièretés contre les « droitsdelhommisme » tellement simples qu’ils en ont affreusement peur (un humain naît, il a, automatiquement, LES DROITS d’avoir un toit, à manger, des soins, et de la culture…afin de pouvoir (simple non ?) remplir « ses devoirs de citoyen ». Trop simple pour la canaille des sommets sommées ]], elle souhaite « dicter » la diction de ce qu'il faut penser, préconise une censure « censitaire » qui interdit et pénalise principalement les propos racistes, homophobes, ou sexistes, mais jamais la stigmatisation des victimes de la paupérisation. Provoquant ainsi des procès en blasphème sur des thématiques choisies.
Sous ces faux airs de tollérance les bien-pensants sont donc devenus, en réalité, une couche imperméable empêchant l'odeur de la misère sociale de se faire sentir auprès de cette France qui va bien [[ mais à quel prix. A se sentir, parfois, à Babylone finissante et ses sacrifices insensés à Baal ]]. Elle tient fermement, et parfois sans s'en rendre compte, le couvercle de la cocote minute sociale pour éviter que celle-ci n'explose. Dans ce sens, et à l'inverse de ce que l'on souhaite nous faire croire, participer, donner son avis dans ce genre de débats de société n'est donc pas une initiative intellectuelle, de débat dans la cité, mais juste une façon d’éviter tout débat [[ ce pourquoi la violence des riches est la plus insurpassable et brutale de toutes. Impossible de ressentir la moindre sympathie pour ces monstres et leur « non-pensance »]].
Analyse complète ? Pire curés Tartuffe qu’eux/elles, impossible, ces inquisiteurs-bourreaux s’octroient tous les droits dont ils dépouillent les « ennemis » que leurs caprices déraisonnables décrètent, oui ces dépourvus de morale et de compassion, ces anti-humains desséchés, non, rien d’attrayants à trouver dans ces juges unilatéraux, rien - vu le taux de souffrances qu’ils répandent autour d’eux/ elles. Le pire de l’époque se concentre dans ces non-pensants, véritablement malfaisants de leur trop évidente « mal-pensance ». Une preuve ? Dans leur censure qui interdit et pénalise certains propos jamais ne le sont ceux de la stigmatisation des victimes de la paupérisation. Bien au contraire, et très cruellement, « leurs » médias d’argent vont ridiculiser les plus pauvres notamment, leurs maux. Le but incachable est bien le musellement de cette France (de ce monde) qui souffre. Faut pas déranger, surtout, pas ces seigneuries, n’est-ce pas ? Strictement aucune dignité humaine dans ces hideux comportements !
Quel gigantesque soulagement que de n’être pas cela – lorsque le cœur, si en friche, n’est plus à la hauteur des pensées qui tournent à vide. Et que tout s’égare dans des déserts antisociaux. Parce que jamais une fois dans leur vie morte…ils/elles n’auront une parole sincère, un élan spontané, un seul partage, la preuve que le meilleur d’eux-mêmes puisse seulement exister…Ne s’exprimant pas authentiquement, ils ne connaissent rien d’elles/eux, vivent à côté de leurs vies tels des sortes de zombies…et ne se rendent pas bien compte de leur évidente déchéance.
Symétriquement, le propre de ceux qui n’ont pas assez souffert c’est de survaloriser les pouvoirs. Nous, nous les voyons dépouillés de toutes frimes – ils sont tellement plus faiblards que l’exubérance stipendiée le laisse accroire. Ils en ont des points faibles, croyez-nous. Un de ceux-ci et un très dommageable (pour eux) c’est qu’ils ne peuvent pas se déguiser en « grands souffrants » afin de « voler l’image publicitaire lumineuse » des pauvres et miséreux. Toujours faire comme si ils menaient la même vie que les autres, des efforts acharnés pour maintenir cette fable. Or c’est toujours plus raté : les majorités ressentent toujours plus à quel point ils ne méritent pas leurs revenus exorbitants, qu’ils ne souffrent sûrement pas de trop travailler vu le vide de leur charabia, qu’ils deviennent toujours plus inhumains, insensibles et indifférents, qu’ils n’écoutent plus jamais et ne font que monologuer dans la poix. Bref, qu’ils/elles sont infiniment moins sympathiques que l’image le faisait croire.
Aussi - lorsque, dans les cœurs majoritaires, sera bien établie la jonction que ce sont leurs abus même qui causent toutes les souffrances ÉVITABLES…et leurs détraquements idéologiques qui empêchent toutes les solutions…
………………….ils deviendront, soudain, très antipathiques !
………..…(à suivre)
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…toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Ce qui fait l'homme, c'est le partage - Le blog de imagiter.over-blog.com
L'être humain n'est pas un mythe. Ce qui voudrait lui être imposé, oui. De faire des machines des êtres moraux semble, ainsi, une déraison très exagérée. Et nous devons affronter les consé...
http://www.imagiter.fr/2016/02/ce-qui-fait-l-homme-c-est-le-partage.html
Francophonie dans le monde français un outil qui n’appartient plus à la France…le parisianisme-parasitisme l’empêchant de vivre
Travailleurs pauvres - 2 h 53
France : 7 millions de travailleurs pauvres, la face cachée des temps modernes - Jacques Cotta
Time : 2 h 54 mn 7 millions de travailleurs pauvres, la face cachée des temps modernes Jacques Cotta Synopsis : Cet enregistrement est de 2007 et depuis cette date, les conditions sociales n'ont ...
Alors que la France n’a jamais été aussi riche – le Produit Intérieur Brut est en progression constante depuis le début des années 1990 – la précarité s’est développée sur un mode exponentiel. En 10 ans, l’intérim a augmenté de 130 %, le nombre de CDD de 60 %, les CDI de seulement 2 %. Plus d’un million de personnes bénéficient du RMI, plus de 500 000 de l’allocation solidarité.
De plus en plus de sans-abri partout en Europe
Selon une étude de la Fondation Abbé-Pierre et de la Fédération européenne des associations nationales travaillant avec les sans-abri, 11 millions de ménages sur 220 millions n'ont pas de log...
Le scandaleux mensonge qui prétend que la pauvreté recule partout, que la fausse mondialisation n’a été organisée qu’afin d’abolir la pauvreté. Alors que 1) elle l’augmente exponentiellement (puisqu’il faut y intégrer toutes les formes de précarisations, dont ces 7 millions de « travailleurs pauvres » qui ne gagnent pas assez pour avoir un toit) et -** 2) elle ne privilégie que la poignée de marginaux capitalistes, qui ont tellement honte de leurs styles de vie, qu’ils se sont déjà mis en…prison. Oui, ces villes privés avec gardes armées murs de 10 mètres de haut, barbelés électrifiés où ils se planquent tellement la honte les brûle. Prison mentale méritée.
Tous les ans nous entendons que la pauvreté…augmente (malgré FMI ou Banque mondiale)….et les médias vendus osent qu’elle diminue sans cesse. Aussi la solution libérale c’est de supprimer les pauvres comme cela plus de pauvreté (idem pour « le » chômage tellement plus important que les…chômeurs). Simplex, l’inhumain, a toujours été là. Il ne s’est pas barré l’hénaurme…
Vu le nombre des miséreux la JUSTICE voudrait qu’il leur soit accordé autant de temps médiatique que celui des « marginaux capitalistes », ces loufoques hors réels qui ne vivent plus « dans » la société. N’ont donc rien à en dire…
Oui mais QUI stigmatise ? Qui se donne ce droit absolument exorbitant ? Qui se laisser trop aller dans cet échec trop flagrant du « laisser-faire » libéral du les riches ont tous les droits et les pauvres…aucun !
Par tous les faits, est-il encore possible de FUIR LA RÉALITÉ à ce point ?…Vivre avec bien moins de 1000 € par mois comme « travaux d’intérêt général » pour tout crime économique ( soit 90 % en VALEUR (pas en volume, nombre d’actes) de la vraie délinquance !)…
….idem pour les Communes les plus pauvres de France – égalité de temps d‘images avec les frauduleusement « plus riches »
Cette récente « grave maladie de la pensée », qui se manifeste par l’utilisation de mots conformistes et moralisateurs, s'aggrave encore. Selon l'humoriste François Rollin dont la pièce actuelle s'intitule : " le professeur Rollin se rebiffe" elle met l’accent sur une majorité qui réduit les autres au silence grâce à une rhétorique éprouvée et stérile. Qui tue tout même elle-même. La bien-pensance est donc une non-pensance. Pire : une très mal-pensance qui ne laisse derrière elle que des malfaisances (soit l’impossibilité absolue de développer son intelligence et le venin répandu afin que les autres ne le puissent non plus !).
La bonne censure de la bien pensance - Une contre-histoire des Internets - ARTE
"Souffrir au travail" : la France qui travaille souffre – Grâce à qui ?
Ce n’est pas encore mûr pour organiser. Alors pour «s’» organiser ?…Chacun-e optimise ses comportements en fonction des enjeux qu’il perçoit. Très peu peuvent vivre concrètement… l’après mutation. C’est la pensée à court terme qui empêche l’Evolution. Et donc pour les pensées courtes ce ne va encore assez mal il n’y a pas eu encore assez de douleurs, de catastrophes et de drames pour que ces égarés laissent tomber la sottise de penser à court terme…et acceptent, enfin, de tenter d’apprendre la pensée qui voit loin…Et nous ? D’ici la mutation, tenter d’apprendre aux conformistes lourds la pensée qui voit loin…Et pense aux autres, à tous les autres.