Le retour bénéfique des services publics ?
La finalité des impôts est de financer les services publics – si les services publics disparaissent, le but des impôts n’a plus cours. Ce n’est certainement pas afin d’engraisser les illégaux du privé. Nous ne sommes pas en féodalité. Une révolution est passée par là. Ce qui veut dire ? Que si les politiciens trahissent tous l’État et « ses services publics » eh bien l’État c’est nous : nous allons, de nouveau, mettre fin aux féodalités : réPublique cela se nomme. En 2 parties nous visitons combien ceci peut être facile (et facilité) :
*** 1) - par le retour bénéfique des services publics à buts non lucratifs ?
*** 2) – par la garantie que toutes les Recettes publiques seront bien provisionnées. Plus aucun passe-droit, pas d’exonérations, pas d’optimisation fiscale (cette insulte à la société de Droit). La fin de la débauche du privé détournant la meilleure partie des dépenses publiques pour ses indéfendables « profits ».
Ces 2 actes très simples changeront entièrement le paysage politique. Donc, ici, front unifié afin d’empêcher les privatisations et pour revenir aux services publics. A tous niveaux : déjà à celui de la haute filouterie de DIVISER les services publics en - a ) ce qui coûte le plus pour l’état et - 2) tout ce qui rapporte pour le privé. Ce manque complet de…logique ! Ainsi, selon les démonstrations de Besancenot : en 1997 la forfaiture gouvernementale a « offert » les rails à l’Epic SNCF Réseau (et tant de filiales aux noms qui cachent la forêt). Cette nouvelle entité « pour le lucre » regroupe les fonctions de gestionnaire d'infrastructure du réseau ferré national, jusqu’alors réparties entre Réseau Ferré de France, et SNCF Infra et la Direction de la voie ferroviaire (DCF). Ce qui fait que 37 % du prix du billet c’est la dîme et la gabelle de cette illégitime féodalité. Chaque année elle extorque plus d’un milliard (pour les seuls intérêts usuriers – qui ne devraient même pas exister !) de « droits » peu licites pour ces rails. Oui un « péage » pour que les trains puissent circuler dessus : à part cela le privé c’est la « rationalisation ». Les services publics oui, ils sont, à ce jour, la meilleure allocation des ressources.
SNCF ? Faire revenir les rails au personnel qui sait au mieux les utiliser « résoudra » la soi-disant « dette SNCF » alors que les rails affichent des Bénéfices énormes (jamais répercutés sur les voyageurs – c’est donc le privé qui prend les voyageurs « en otages » et surtout pas les cheminots ! Facile à capter !). La lâcheté insupportable de la technocratie est que cette dette c’est de leur faute entière et qu’ils tentent, frauduleusement, de la faire tomber sur le dos des cheminots : en somme, toutes les privatisations viennent, aujourd’hui, de se faire disqualifier à 100 %. Ce sont toujours des délits ! Voici ce que sont les malsaines privatisations : des escroqueries qui dépouillent les électrices et les électeurs de leurs justes biens. Pas besoin des migrants pour cela. Les privatisateurs « sont » les véridiques migrants…qui alimentent une dette (pour nous) pendant que l’entreprise engrange des bénéfices substantiels (pour eux). Et que, jamais, il n’est pensé d’utiliser ces bénéfices pour éteindre la dette « usurière » qui ne devrait donc même pas exister. Car ? La compagnie ferroviaire a publié de "bons résultats", de trop bons, pour 2017, mardi 27 février, avec un bénéfice net multiplié par 2,3 (plus que doublé), et atteignant 1,33 milliard d'euros. Ce n’est donc pas le moment de brader, faut vraiment garder ce qui rapporte tant… La dette cumulée du réseau ferroviaire s'élève à 46 milliards d'euros et « augmenterait » de trois milliards par an (et se dégonfle de beaucoup dès la fin du péage « féodal » pour le « droit » (sic) d’emprunter les rails !). Comment expliquer ce faux record ? Facile :
Comment-la-SNCF-a-créé-des-centaines-de-filiales-pour-mieux-préparer-la-privatisation-mal-venue-?
« Au sein de la SNCF, il n’y a plus d’actifs. Les wagons, les machines ou l’immobilier sont basculés vers des sociétés privées. Dans l’entreprise publique, il ne reste que la dette et le personnel. » Une drôle de répartition [[ plus inéquitable, tout le monde hurle, vrai ou faux…]]. Pour la maison mère, les coûts de la dette de 50 milliards d’euros, et de la rémunération du personnel. Pour les sociétés privées dépendant du groupe, la conquête des marchés et des bénéfices [[ sur-régulation injuste d’un côté et délirante dérégulation injuste de l’autre. Ceci se nomme de la « déséconomie » non libre et complètement faussée. Plus de concurrence loyale et libérée mais des monopoles preneurs d’otages qui désorganisent toute la société…]].
Oui, comment la SNCF a créé des centaines de filiales, plus d’un millier, pour mieux préparer la libéralisation du transport ferroviaire [[ mais ce n’est ni prémédité ni comploté, ça bas de soie…]] ? Avec le mot « libéralisation »-libération particulièrement mensonger : cette fois ce sont les usagers non captifs des services publics à buts non lucratifs qui sont pris « en otage » par l’armée « d’occupation » des intérêts privés…Voyons les détails de l’occupation ? Les usagers ayant des droits se voient rétrogradés à ne plus être que des clients spoliés (donc perdant leurs vrais droits de…citoyen-ne-s)…Clients oui n’existant plus que pour alimenter le trop de richesses de certains détraqués. Où est le bien commun, où se situe l’intérêt général dans cette piteuse fumisterie ? Vérifions-le à l’instant :
>>>> « Au contraire, la SNCF est désormais rémunérée par RFF : l'exploitation de l'infrastructure, qui était un centre de coûts, devient une activité vendue avec un chiffre d'affaires de l'ordre de 3,5 milliards d'euros (gestion courante et intervention sur les travaux) et potentiellement des résultats. Les trains de la SNCF n'accèdent plus au réseau qu'en contrepartie de péages dont le montant total est bien inférieur à ces nouvelles recettes : 0,9 milliard d'euros les deux premières années. » (Wikipédia)
>>>>> - Autre exemple servant de modèle récurrent sur le privé-délinquant-par-abus-de-cupidités plus que sur un fait quelconque !
« C’est absolument charmant cette histoire de milliers de faux contrôles opérés par les employés de la société Streeteo qui a été révélée par Le Canard Enchaîné.
En effet, ceux censés vérifier le paiement du stationnement dans les rues de la capitale faisaient de faux contrôles, sans sortir de leurs bureaux !
Dans cette histoire, il semble pour le moment qu’aucun “véhicule n’a été verbalisé à tort, assure la Ville, qui précise avoir convoqué immédiatement Streeteo pour leur demander des explications”. La Mairie de Paris, qui décidément est très, très sévère, a même “rappelé à ses obligations” l’entreprise et assure que la situation est “rentrée dans l’ordre”[[ rappelons que quasi toutes les entreprises CAC 40 et les multinationales « devraient être rappelées à leur obligations» afin que cessent leurs…désordres. Ce que les gouvernements européens ne font surtout pas : ce ne sont pas les chômeurs qui doivent être contrôlés mais bien ces dérégulés qui prennent les populations, sans cesse, en…otages !]]
On voit donc la limite pitoyable de la privatisation, y compris pour la gestion des PV. Si l’on comprend bien la logique qui consiste à dire qu’un gendarme est plus utile à courir après les vrais méchants qu’après un horodateur mal alimenté, il n’en reste pas moins que lorsque l’on s’engage dans les forces de l’ordre, on s’y engage : il y a un côté “devoir”, “sens”, que l’on ne peut pas, par définition, retrouver dans les mêmes proportions au sein d’une entreprise privée recrutant des gens qui cherchent juste un boulot et à qui on impose de la “batonite”. Il faudrait vraisemblablement verrouiller a minima le fonctionnement de ces entreprises privées [[ impossible d’avoir CONFIANCE dans le privé, ses tendances d’avidités sont trop fortes, et ils sont vraiment incapables de s’auto-contrôler, les modèles déplorables venant de leurs scandaleux dirigeants mêmes…]], voire même envisager qu’elles soient des entreprises au capital détenu par l’État mais avec un fonctionnement de droit privé et des contrats également de droit privé sous l’étroit contrôle des forces de l’ordre. Encore une question d’équilibre.
Il est parfaitement possible de ne pas faire effectuer ces tâches par des policiers ou gendarmes, sans qu’elles ne soient pour autant confiées à des entreprises privées. » Le modèle privé qui doit tout phagocyter bat carrément de l’aile : il aura surtout semé de la corruption ! Bilan particulièrement répulsif…
Car ? « FDJ, ADP, Engie… Les privatisations que prépare le gouvernement sont-elles envisagées selon vous pour de bonnes raisons (en rapport avec l'activité de l'entreprise et l'adaptation à son environnement) ou de mauvaises raisons (uniquement pour faire rentrer de l'argent dans les caisses de l'Etat afin de financer notamment le Fonds pour l'innovation)? --- La vague de nationalisations de 1982 voulue par le président Mitterrand a produit des effets plus que contrastés voire clairement contestables. Avec un souvenir aussi prégnant, les citoyens et les analystes économiques sont a priori favorables à l'idée d'une campagne de privatisations projetée par le Gouvernement d’Édouard Philippe. Mais nul n'est dupe, si l’État présentait un solde budgétaire positif, plutôt qu'un déficit affiché à près de 80 milliards, il n'y aurait pas de privatisations et Martin Vial, dynamique responsable de l'APE ( Agence des Participations de l’État ) se contenterait de devoir gérer les conflits potentiels autour de l'actionnariat de Renault ou ceux relatifs à l'évolution globale d'Orange [[ comme pour la SNCF où c’est la technocratie bornée qui a merdé, ici, un gouvernement qui ne s’occupe pas de faire rentrer les Recettes légales doit bifurquer vers les privatisations. C’est entièrement dû à leur entêtement incompréhensible, le pays ne doit pas payer !]].
La-maladie-française-des-privatisations-pour-de-mauvaises-raisons
Dans le cas que l'actualité nous soumet, il est établi que la disette budgétaire [[ due au refus aberrant de faire rentrer les Recettes ]] guide les pas de l'État au prix de la formulation d'une erreur de droit. En effet, compte-tenu de la règle de non-affectation des ressources budgétaires, le produit des privatisations ira d'abord abonder le budget général de l'État avant d'irriguer, éventuellement, le nouveau Fonds pour l'innovation structurelle. En ce domaine, on ferait mieux d'épauler les Instituts Cournot et autres clusters plutôt que de mettre sur pied un " machin " supplémentaire [[ ras le bol des lubies chimériques du privé trop irrationnel ]].
C'est terrible ce besoin qu'ont les gouvernements de donner naissance à des Fonds ou à des Agences : j'avais cru comprendre que le FSI ( instauré en 2008 et intégré en 2013 à BpiFrance ) couvrirait bien le domaine qui risque d'être alloué au nouveau Fonds. La décision publique bégaye plus qu'elle ne pose les fondations d'un fonds souverain à la norvégienne. Donc, nous allons assister à des privatisations de circonstances pilotées par le volet Finances plutôt qu’Économie du Minefi. Il y aura les faits par-delà l'habillage cher à Bruno Le Maire et à ses plans com' [[ interdire la « politique plan com’ » comme « tromperie » serait très approprié…]]. »
Clair-échec-de-la-privatisation-en-général
>>>> - Échecs et par les techniques employées et par les résultats en coûts occultes dits « externalisés »…
L'-échec-de-la-privatisation-des-entreprises-publiques
>>>>>> - La cupidité ne doit pas triompher - Dans un environnement de Monopoles et d’oligarchie il n’y PAS de concurrences sensées et loyales…
La-régressive-cupidité-ne-peut-présider-aux-privatisations
>>>> - Cette fois on y est : les barrages hydroélectriques vont être bradés aux requins du privé ! « De quoi se nourrit Hulot ? Ben de couleuvres pardi ! Cette fois, c’est la privatisation des barrages hydroélectriques qu’il a annoncée à l’Assemblée nationale. Eh ! Nicololo, ça va finir par te faire mal au fondement…Son patron, Jupitounet, est finalement bien le fils putatif de Flamby : c’est en effet sous Hollande, Valls et Royal que cette konnerie totale a été décidée. Pour obéir à une injonction de cette Union européenne dont la dérive ultralibérale actuelle met en rogne jusqu’à ses plus fidèles partisans. » Out of fashion, has been, à côté de la plaque, plus dans le mood, anachroniques, obsolètes, etc., oui toutes ces intempestives privatisations (qui, cette fois-ci, ne se la jouent pas à la…pédagogie – juste à la démagogie) ne semblent pas correspondre au fond de l’air de l’époque.
Cette-fois-on-y-est-les-barrages-vont-être-bradés
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Et – en (2) nous verrons, entre autres, que la solution c’est « l’ÉTAT c’est nous » - ici, la fin de l’audit désastreux des privatisations (la pire des choses à faire quoi qu’il arrive !)
>>>> - « N'est-ce pas là renoncer à des actifs stratégiques ? Le trafic des aéroports de Paris devrait doubler son trafic en dix ans et est déjà le deuxième aéroport d'Europe. N'est-ce pas là se priver de "bijoux de famille" très rentables ? [[ sinon le privé ne serait pas si avide si ce n’était pas si… rentable ! Juste pour « rendre service », n’ont jamais dit ceux que les médias fous veulent nous faire passer « pour les plus grands philanthropes de l’époque » !]].
Selon les informations disponibles, FDJ serait concernée. La Française des Jeux présente un bilan et un compte de résultat très enviables. Autant dire que l'ouverture de son capital sera un succès [[ et un désastre pour les vrais gens – à force de ne voir qu’une minorité folle est perdu tout sens des réalités…Brader ce qui est très rentable pour tous est bien une « faute politique » qui ne s’excuse jamais…]]. Il faut en effet se méfier d'un faux-ami : il y a une profonde distinction entre ouverture du capital et privatisation. Privatiser cela signifie changer le bloc majoritaire de contrôle et quitter une emprise publique au sein du conseil d'Administration.
Ouvrir ou faire " respirer " ( sic ) le capital, c'est céder une fraction des titres détenus par l’État et engranger le produit de la cession sans pour autant bouleverser la gouvernance de l'entreprise. Voir le tableau des participations au 9 Mars 2018 : https://www.economie.gouv.fr/files/files/directions_services/agence-part...
Dans le cas de FDJ, privatisation pure et dure ou ouverture ponctuelle du capital sont envisageables : l'État gardant sa mission souveraine de régulateur du secteur des jeux de hasard et de loterie. Pour ce qui concerne Engie, on sait que le président Macron a validé personnellement le choix de Jean-Pierre Clamadieu comme successeur du président Gérard Mestrallet probablement au grand dam de la directrice générale Isabelle Kocher. Il est donc probable que ce parfum de regards convergents – d'aucuns diraient d'entre-soi mais…ne préméditant jamais rien et ne parlant pas du tout, en général, même si ceci ne peut être crédible - ait permis d'arrêter le montant très sous-estimé, de la future cession. Rappelons que l’État détient 24,10% du capital et peut donc céder 20% s'il souhaite retenir une option maximaliste. Concernant Aéroports de Paris, l'État détient 50,63% du capital qui est actuellement ainsi réparti : État : 50,6 % Schiphol Group : 8,0 % Vinci Airport : 8% Prédica : 4,8% Investisseurs institutionnels : 21,4 % Actionnaires individuels : 5,6 % Salariés : 1,6 %.
Dans ce cas, le terme de privatisation s'appliquera pleinement et sera consécutive au désengagement partiel de l’État intervenu dès 2006 [[ malgré le déguisement des fausses alternances politiques, la France se ruine à cause de la vénéneuse folie libérale – genre « pillons les richesses du pays et tout ira…mieux pour lui ! »]]. Compte-tenu du caractère stratégique de la structure qui est gestionnaire de Roissy et d'Orly, aéroports desservant la capitale et hub vers la province et l'Europe, je ne suis pas convaincu par cette perspective de privatisation. Il serait déraisonnable et naïf de gommer les complications ( le mot est un euphémisme ) de l'exécution du pacte d'actionnaires de l'aéroport de Toulouse et sur le renoncement de l'Etat à la privatisation du fait de divergences stratégiques avec l'actionnaire chinois détenteur de 49,9% du capital et des droits de vote.
Idem pour l'A 380 : il faut se remémorer l'énergie déployée par ADP pour assurer que l'Airbus A 380 puisse être compatible avec les installations de Roissy Charles de Gaulle. Et si un opérateur privé avait dit " niet ", quid du projet Airbus. Quand un pays a la chance de détenir une portion d'une réussite mondiale comme Airbus, on ne bricole pas médiocrement pour quelques centaines de millions d'euros au détriment possible de l'indépendance nationale [[ faute politique encore !]]. Une structure aéroportuaire n'est pas qu'un empilement d'actifs, c'est aussi un nœud de pouvoirs dans le contexte connu de l'essor impressionnant du transport aérien. Feu le remarquable universitaire Pierre Bauchet ( Paris 1 ) en a fait la démonstration tant pour les aérogares que pour les ports.
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Services-publics-pourquoi-les-privatisations-se-présentent-souvent-comme-des-délits.
Une telle unanimité intelligente CONTRE les privatisations, comme toujours des sommets de bêtises, devrait retenir l’attention…
Nous réclamons le retour des services publics A BUT NON LUCRATIF…
……………parce que ils représentent le vrai futur pour tous !
.............…………(à suivre)
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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu
Ajouté à l’automatisation des saisies que le privé s’octroie des attributions qui ne peuvent qu’être que…publiques et les dégâts obtenus
l'invasion migratoire ce sont...les privatisateurs et les financiers internationaux...pas les réfugiés!
En France, la nouvelle bataille des privatisations
La colère des défenseurs du service public à la française, mobilisés contre la réforme de la SNCF, n'incite pas Emmanuel Macron à modifier ses plans. Au contraire. Alors que les syndicats de...
https://www.letemps.ch/economie/france-nouvelle-bataille-privatisations
sauf que, cette fois-ci, les privatisations arrivent du côté où elles ont tort. Et vraiment tort.
Parce que, en plus, les concurrences faussées et non libres provoquent des dommages et sont incitées par l'Europe ?
Le retour bénéfique des services publics : en très court les enjeux sont montrés
Privatisations à la pelle, mais est-ce vraiment le projet des Français ?
Exemple d'effet très nuisible de la privatisation des services publics ; du très concret. Ou bien les pouvoirs illégitimes pris dans l’embrouillamini de leurs mots sans sens.
Un peu partout sur Terre il est clairement réclamé le retour des services publics. En France aussi.
Pendant que défilent des discours qui n’ont plus rien à voir avec le réel…Genre ? Des "privatisations importantes" pour financer des "technologies de rupture". Or l’impossibilité d’affectation directe est le propre de budget français…c’est donc de la com’ qui ne…sert à rien.
Francois Asselineau et l'arnaque des privatisations…analyse toujours active.
Sondages : Influences et Pouvoirs (LCP)
Un documentaire que j'ai trouvé stratégique dans la période actuelle, pour mieux comprendre les rouages des sondages et leurs portées réelles. Ce documentaire
https://www.crashdebug.fr/dossiers/13351-sondages-influences-et-pouvoirs-lcp
Sondages et pouvoirs : loin d'être un film langue de bois, cette enquête nous entraîne dans les hautes sphères du pouvoir où se croisent responsables politiques, sondeurs, politologues et médias. Surtout, elle démontre que le faux sondage est désormais un instrument politique d'une efficacité redoutable.
Professor William Mitchell - Reclaiming the State - Brighton, September 2017...où serait le problème puisque, désormais, l'état c'est nous !
WTFtalks : "Networks Symmetry and Net Neutrality" (v.1_Engl)...la btaille est aussi sur internet : voir leur peur de la gratuité tranquille...
" La recherche économique a tout à gagner à explorer le passé "
Dès ses débuts, la théorie économique a réfléchi aux conditions et aux limites de l'exploitation des ressources naturelles. Des enseignements aujourd'hui très précieux pour penser la questi...
« La recherche économique a tout à gagner à explorer le passé ». Ce qui devient une gigantesque honte pour elle.