Les rentrées de recettes publiques vont augmenter (2/2)
Et les dépenses sociales ne vont pas diminuer. A ceci nous répondons au « tout ira bien avec la baisse des dépenses publiques » : un énorme MENSONGE. La réalité c’est exactement la désastreuse baisse des Recettes publiques. Chaque jour voit des très illégales (au regard de la vraie République) exonérations de …recettes fiscales. Au point qu’un connaisseur en privatisations a dit que c’est…parce que le budget est très déficitaire en recettes que l’effondrement social que représentent les privatisations (toujours aussi illégales en réPublique) ont lieu. Alors, ces gouvernements européens des têtes à claques ? Des cancres qui ne prennent que les…pires des décisions ? Toujours ? A 90 %, oui ils ne font que ce qui ne…doit pas être fait. Et, par symétrie, ne font pas ce qu’il faut. Comme ? Non pas hausse mais baisse, oui baisse de 9 % du taux d’imposition des multinationales c’est un INEXCUSABLE refus de parvenir aux recettes vraiment égales. Or, à force de pédaler dans la frime médiatique, les règles traditionnelles…d’équilibre des budgets, telles les recettes sont votées avant les dépenses…et il n’y a aucune affectation possible de ces recettes selon les caprices loufoques des gouvernants – se montrent sans cesse…manipulées. Et pourquoi les recettes votées avant ? Sinon afin de conserver l’intérêt public. Ainsi pas d’exonérations inadaptées, pas de privilèges, pas de…toutes ces dépenses qui ne vont, de très insultante façon, qu’aux…trop riches. Et qui ne se pourrait avec l’inflexibilité de recette d’abord – dépenses ensuite !
Un peu d’histoire ? Puisqu’il faut savoir ce qui sont des malheurs pour les peuples enrichissent énormément ces graves antisociaux - Subprimes en 2007 ? « Une aubaine pour les multinationales qui continuent d’augmenter les dividendes qui correspondent désormais à près de 60% des bénéfices en France. Un régal pour les puissants actionnaires, un cancer pour la lutte contre la pauvreté et les inégalités. » Car ? « 9%, voici le pourcentage de baisse du taux d’imposition des grandes entreprises mondiales. Un chiffre particulièrement conséquent mais pourtant peu étonnant au vu des politiques économiques qui ont suivi la crise de 2007. De frauduleuses politiques de relance par l’offre où l’on décide de donner la priorité abusive aux entreprises face aux consommateurs. On mise donc sur les entreprises pour relancer l’activité économique, une relance qui bénéficierait à tous du fait de la trop hypothétique théorie du ruissellement [[ ce qui ne se vérifie jamais sauf, qu’ontologiquement, la Bourse c’est ce qui remBourse tous ses… « trop perçus ». Et le CAC 40 de même !]].
9% de baisse. Le chiffre n’a pas forcément l’air si important. Pourtant cela correspond, au vu des profits des grandes multinationales, à des milliards de dollars. Des milliards qui ne participeront donc pas à la redistribution et à la lutte contre les inégalités. Des milliards, en revanche, qui engraisseront des puissants actionnaires [[ pourcentages qui ne font qu’augmenter les inégalités et qui représentent les plus insupportables injustices. 1 % pour qui a un million d’€ ce n’est certainement pas la même chose que pour en a 1 000. Tout pourcentage en République se doit d’être dégressif – plus le revenu est haut, plus le pourcentage est faible. Les ordinateurs font cela très bien à condition qu’ils soient…programmés pour !]].
Le-taux-d'imposition-des-multinationales-a-baissé-encore-de-9%-en-10-ans
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Il faut également mettre en parallèle ce chiffre avec les différents scandales d’évasion et d’optimisation fiscale, des Panama au Paradise Papers en passant par les Luxembourg Leaks. Ces derniers ont tous impliqué des grandes multinationales qui s’arrangent, par diverses magouilles – au bord de la légalité voire illégales – pour bénéficier de taux d’imposition particulièrement faibles [[ en Europe, à cause du désastre de sa philosophie libérale de la corruption : si une multinationale fraude dur, elle sera récompensée par une baisse…supplémentaire de sa fiscalisation…pourrait-il avoir un référendum dans tous les pays européens, à la fois, sur le thème « Faut-il diminuer les impôts des multinationales et…augmenter sans cesse, en compensation, les nôtres ? » . Succès très garanti !]].
Ainsi France stratégie avait calculé que Apple bénéficiait d’un taux réel d’imposition de 3,7% et Google 8,6%… Des taux absolument misérables mais qui montrent de manière explicite l’impunité fiscale dont bénéficient les multinationales. Impunité qui, comme l’illustre le chiffre du Financial Times, est largement favorisée par les politiques anti-économiques des grands gouvernements. »…D’où l’extrême scandale des privatisations qui ne vont profiter qu’à ces mêmes grands fraudeurs. Et vont se faire au détriment des immenses populations qui, elles, paient tout sans jamais « d’optimisations » (pour suppressions complètes, crache le cynisme insensé de ces lamentables ahumains ! ). La solution est terriblement simple, et facile à concrétiser : justice fiscale = justice sociale. Contre l’explosion antisociale des inégalités – obligation des riches de payer tous leurs impôts légaux. Avec les symétriques « fermetures de toutes les fraudes »…Oui fermeture des enfers fiscaux (enfers pour les honnêtes citoyens qui voient leurs charges fiscales augmenter du poids des fraudes de ces voleurs institutionnels jamais punis : depuis qu’il est fait semblant de dénoncer des Panama’s papers, avons-nous vu une seule arrestation, une seule saisie d’argent sale, une seule incitation polie mais ferme de rembourser les « trop perçus » ? Non. Eh bien ces enfers fiscaux ne doivent plus persister en leurs infernales cupidités, etc. Ceci reste si simple, et qui ne va pas « perturber », et à bon escient, plus que 10 % de la population mondiale (donc bien peu de chose) - est l’effort à fournir si nous voulons conserver NOS SERVICES PUBLICS à buts non lucratifs eux. Services publics qui sont la condition de survie même de la vraie démocratie. Les politiciens indignes ne le font pas. Voyons les solutions à notre portée…
***** >>>> - Déjà l’existant : juste respecter la Loi telle qu’elle est… « Les 2 parties de la loi de finances sont votées au Parlement assemblée par le vote premier des recettes (fin octobre) avant. Et plus tard (70 jours maximum après de dépôt du projet de loi de finance), soit parfois décembre, les autorisations d’engagements et de crédits de paiements (ce sont les députés qui « autorisent » les gouvernements et non l’inverse). L’avantage des « amendements parlementaires » (article 40), déjà très bien encadrés, ne doit surtout pas disparaître. Autre faute politique, décidément :
L’article 47 de la LOLF précise que «la création ou l’aggravation d’une charge publique» s’entend au niveau de la mission. Les amendements parlementaires peuvent donc conduire à augmenter les crédits d’un programme s’ils prévoient simultanément de réduire d’autant ceux d’un autre programme de la même mission [[ ce qui empêche intelligemment de se la jouer à Louis XIV]].
Enfin, l’article 34 de la LOLF précise quelles dispositions doivent ou peuvent être incluses dans une loi de finances, ce qui revient à interdire l’introduction de «cavaliers budgétaires», c’est-à-dire de dispositions d’une autre nature [[ la cavalerie c’est les mauvaises habitudes des ministères de ne pas respecter leur mission et de mettre, par la force, le Parlement en face de dépassements budgétaires non prévus, au départ !]] .
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En résumé, les scandaleuses privatisations le sont parce qu’elles ne s'inscrivent dans aucune politique économique, sociale et industrielle cohérente ; nous savons que cela servira aussi de discours trompeurs sur le supposé désendettement du pays grâce au dieu Libéral ; nous savons encore que les milliards engrangés seront en grande partie gaspillés, parce que les élus et les ministres ne savent rien faire d'autre avec l'argent qu'ils ont entre les mains. Privatisations c’est comme des politiciens complètement incompétents qui volent le travail des autres, comme aussi l’héritage des générations futures, en les insultant en plus, afin de faire mauvaise mesure. Et ?
Noir-Rouge-Vert-N.R.V.-mouvement-unitaire-et-mondial
Nous sommes pour le mouvement N.R.V. (Noir Rouge Vert), le seul qui unisse le monde entier et qui rassemble, dès le départ, 60 % de l’Humanité. C’est le seul réalisme possible celui du si nous ne voulons pas régner pourquoi nous diviser ? Refus de s’unir qui n’appartient qu’à des chefaillons illégitimes pour qui les « groupuscules leur appartiennent », oui même de prétendus libertaires oui, et qui ne veulent pas « bouger dans leurs dogmes indiscutables ». Résultats ? Une société complètement bloquée et qui débloque tant - que seul un authentique mouvement peut faire…revivre, socialement parlant. Or, afin de venir à N.R.V. tous les chemins sont valables et chacun-e a son propre rythme, sa propre démarche et ses propres attractifs. Comme ceci :
Vie-locale-:-les-zones-libres-solidaires
Les Communes Libres existent depuis le Moyen Age où elles achetaient ces chartes à des rois toujours en besoin d’argent. Tout à l’autre bout de la chaîne, il y a eu le modèle de la Commune de Paris en 1870. En est resté le communalisme. Et, en 2017, les villes « municipalistes » globales et les Régions qui se veulent autonomes par rapport à tous les traités internationaux qui nuisent aux pays – ont tracé une possibilité d’autre organisation sociale (voir le texte pour en savoir plus)…comme c’est très bon, c’est très peu relayé : syndrome du « masochisme collectif », ne pas, ou rarement, vouloir du bien aux autres ! Le Zadisme le contourne- t-il ?
Le-zadisme-seule-lutte-efficace-contre-les-intérêts-privés-?
« Recul constant des libertés publiques et individuelles et la confiscation progressive de l’espace public. Face à des gouvernements déterminés à ne pas écouter le peuple, la contestation traditionnelle a perdu toute efficacité. L’application du droit par une justice influencée par l’idéologie du progrès-si-régressif et, parfois, au service d’intérêts privés rend le recours au juge bien souvent illusoire. Ces constats d’impuissance ont fait naître le zadisme, qui semble être aujourd’hui la seule lutte efficace. De nombreux grands projets sont contestés par des initiatives citoyennes. Mais qu’en est-il des autres projets : la ligne ferroviaire Lyon-Turin, le stockage de déchets radioactifs à Bure, le Center Parcs de Chambaran, l’incinérateur d’Échillais… ? Cette liste s’allonge sans cesse, avec l’adhésion des fausses élites politico-économiques, qui sous prétexte de croissance [[ mais pas pour toutes et tous, bien au contraire !]] interdisent tout débat [[or, la véridique croissance va avec augmentations des débats]]. Ou comment la mobilisation citoyenne peut encore espérer arrêter ce massacre de nos territoires ? »
il-n'y-a-pas-à-diminuer-les-dépenses-mais-à-recupérer-les-recettes
Enfin - autre approche de luttes convergentes (et non à juxtaposer sans les unir, nous ne sommes pas au supermarché des spectacteurs inactifs) : le Reclaim the State, le retour des services publics ou bien L’État, c’est nous ! « À gauche, la souveraineté est un sujet conflictuel. Faut-il revendiquer cette notion ou la dépasser, voire la combattre ? Pour être populaire, la souveraineté doit-elle être nationale ? Deux livres récents relancent le débat. Dont le court essai de l’économiste franco-égyptien Samir Amin qui s’intéresse à la façon dont les pays du Sud pourraient s’émanciper de la domination qu’exerce la « triade » (États-Unis, Europe, Japon) sur l’ordre international . Il évite d’idéaliser la souveraineté nationale, mais souligne que la confondre avec le nationalisme revient à « annihiler toute possibilité de sortir de l’ordre libéral mondial ».
L’auteur, qui a conseillé de nombreux gouvernements du tiers-monde et « non alignés », se réfère aux luttes anticoloniales et anti-impérialistes, et notamment aux deux décennies qui ont suivi la conférence de Bandung (1955) [[ où se sont, justement, faits connaître et reconnaître les « non alignés »…sur les 2 Blocs de l’époque !]]. À cette époque, des régimes progressistes cherchaient à mettre en place un « développement autocentré » et à renforcer les coopérations entre pays du Sud. Cette tentative a échoué : non seulement les bourgeoisies compradores — les classes bourgeoises qui profitent du commerce avec les impérialismes étrangers — n’ont pas été durablement chassées du pouvoir par les mouvements populaires, mais le développement de grands pays émergents comme la Chine s’est plié au cadre de la mondialisation existante.
Pour Samir Amin, de nouvelles perspectives pourraient néanmoins s’ouvrir aux pays du Sud, car ceux-ci disposent aujourd’hui d’une maîtrise technologique qu’ils ne possédaient pas dans la période 1955-1975. En reprenant le contrôle de leurs ressources naturelles et en sortant de la fausse mondialisation financière, ils pourraient construire « des projets nationaux souverains dans le cadre d’une mondialisation négociée », stratégies de production industrielle autocentrée et de modernisation de l’agriculture paysanne (à laquelle l’auteur consacre la deuxième partie du livre) nécessitant une forte intervention de l’État [[enfin revenu à la raison des Lumières]] mais un état de services publics géré par tous.
Au Royaume-Uni, la sortie de l’Union européenne rend le débat sur la souveraineté plus actuel que jamais. Pour la gauche britannique, que faire du Brexit ? Dans Reclaiming the State (que l’on peut traduire par « Réhabiliter l’État »), Thomas Fazi, journaliste, et William Mitchell, titulaire d’une chaire d’économie à l’université de Newcastle, avancent des réponses. Ils analysent le tournant ultralibéral des années 1980 et 1990 comme un abandon, par les gouvernements eux-mêmes, des leviers politiques qui peuvent permettre d’échapper à l’emprise des marchés. Paradoxalement, cet abandon intervient, d’après eux, alors que la fin de l’étalon-or en 1971 offrait des marges de manœuvre nouvelles en matière de création monétaire. Pour les libéraux, il fallait impérativement les limiter, voire les supprimer, ce que vint appuyer la doctrine monétariste, qui vise à strictement contrôler la masse monétaire en circulation [[ donc à faire bien pire que ces…états honnis – méritant, dès lors, toutes les critiques contre le super-interventionnisme hyper…répressif d’un « faux » libéralisme !]]. Aujourd’hui, pour les pays membres d’une zone euro trop « soumise » au monétarisme, et ainsi maintenus dans le droit chemin de l’« orthodoxie » économique, de telles marges de manœuvre n’existent plus. Mais pour les Britanniques, ni les politiques de la Banque centrale européenne ni, depuis juin 2016, l’ordre juridique communautaire ne peuvent être invoqués pour poursuivre l’austérité. [[ ce qui représente une très grave…trahison du libéralisme libérateur d’origine !]] Mitchell et Fazi veulent placer à nouveau la création monétaire entre les mains des élus du peuple et défendent une intervention beaucoup plus forte du gouvernement dans l’économie, y compris par un vaste programme de nationalisations. Un plaidoyer qui résonne comme un appel au Parti travailliste de M. Jeremy Corbyn à saisir une occasion historique. » Oui ?
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Ce qui frappe intensément c’est que, quasiment toutes les recherches n’aboutissent qu’à « comment s’enrichir tout seul ». Donc sans les autres, voire contre eux. Toute autre opinion n’arrive pas à la conscience. Cet univers si étriqué, si rétréci, rencontre, alors, ces jeunes qui n’aiment plus l’ambition matérielle, celle qui échoue dans ces non-vies immatérielles derrière un ordinateur. Ce pourquoi ils abandonnent des tâches qui rapportent plus d’argent, pour des vies pleines de sens et de…sentiments. Et ils sont plus…confiants dans (leur) l’avenir et heureux de leur situation matérielle modeste présente. Ce qui contraste lumineusement avec les cupides toujours plus tristes et contredit, frontalement, toutes les prétendues analyses de ceux-ci. Lorsque tout repose sur l’objectif de vendre et d’amasser davantage sans jamais penser à la finalité ou aux conséquences de telles gesticulations – c’est comme si on nous volait nos vies, précisent certain-e-s ! Oui c’est la différence même entre la richesse pour quelques uns et la prospérité pour toutes et tous (que porte le mouvement mondial N.R.V.).
Pourquoi-pas-la-prospérite-ensembles-et-non-la-richesse-séparée
La richesse n’est pas la prospérité mais son contraire. Historiquement, lorsque la Bourse est absente du fonctionnement « normal » de la collectivité, la société affiche la véritable prospérité pour tous.
Lorsque c’est la prospérité de tous qui importe, les projets collectifs pullulent – ce qui maintient la prospérité…
…………………………… qui est aussi…un sentiment très fort !
......……(à suivre)
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toujours dans la rubrique : "Quelles sont les têtes qui NOUS aident vraiment ?"
Que la vaste compassion vous grandisse et vous nourrisse !!!
Sous copyleft……pour tout ce qui reste à but non lucratif
tous ces posts sont effectivement reliés à une pensée globale ***
trouvez, aussi, un complément à cette réflexion sur le site internet à téléchargements gratuits http://www.freethewords.org/, onglet 3 "Nul n'est nul", "Légalité de l'égalité" (Quality of eQuality), "La démagogie n'est utile et utilisée que par qui est déjà au pouvoir" et onglet 4 "L'anticommunication comment ça fonctionne ?» et "Why do we left the left wings ?" ; onglet 2 "L'ardeur sociale", "Comment devenir un (e) athée du capitalisme" et "LE ROMAN DE L' ÉCONOMIE " ; et, surtout, RIEN DE PLUS SOLIDE QUE LE SOLIDAIRE sur l’onglet 3, ainsi que LA QUESTE DES QUESTIONS (Qui a démuni les démunis ? Qui a déshérité les déshérités ? Qui s'est emparés des désemparés ? Qui a détressé les détresses ? Qui a dérobé aux nécessiteux leur nécessité ? S’il y a fraudes pourquoi donc cacher les fraudés qui les subissent ? S'il y a faim c'est qu'il y a, d’abord, affameurs ? S’il y a endettés, ils sont toujours précédés des endetteurs. Pas de travailleur clandestin qui n’ait été créé par l’argent clandestin. Et sans capital au noir pas de travail au noir, etc. Tout se tient et les causes ne pourront plus échapper à l’implacabilité de la logique. Le règne moral des trop riches vient de s’effondrer), onglet 2.
Résistances au changement Impliquent changement de résistances
Structurellement, les classes moyennes ne savent plus penser
Pas de République si le politique ne prime pas sur l'économie.
La prospérité c'est pour tous, la richesse pour la minorité
L’Économie ? C’est ce que l’on nous jette entre les jambes afin de faire tout autre chose !
Je suis responsable de ma parole non de la compréhension des autres
Le futur n’appartient qu’à qui en prend l’initiative
Le spectacle est une misère pas une conspiration
Le si rare moment de la jubilation
La façon d’écrire se nomme infini respect
Arrêter de sous-traiter nos besoins et nos savoirs
Plus il existe d’opinions très différentes, moins le monde risque de se tromper
Nous ne pouvons pas trouver de solutions si nous ne connaissons pas la réalité de la situation.
Faisons le vide des prétendus dirigeants à l’intérieur de nous !
Nous n’avons pas besoin de ce système pour le supplanter !
Nous sommes la santé de la société
…les anti-élites actuelles ( celles qui empêchent les vraies élites de réparer leurs dégâts !)
Trouver ce que nous ne cherchons pas ?
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Si ce post a su retenir votre attention dans les 4 700 autres (disponibles ici) il doit y en avoir de bien plus décoiffant. Qui vous boosteraient encore plus. C'est le si cher chercher cher… on y trouve plus que prévu..
manque de méthode au sommet ?
Ajouté à l’automatisation des saisies que le privé s’octroie des attributions qui ne peuvent qu’être que…publiques et les dégâts obtenus à la seule charge du privé.
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Comment se présente un budget local ? Un budget est un document qui prévoit et autorise les recettes et les dépenses. Au sens strict, il n'existe qu'un seul budget, mais il peut subir des ...
En langage plus compliqué (La section de fonctionnement est d'abord adoptée avant la section d'investissement), nous ne trouvons que la raison du les recettes votées avant les dépenses… « Les budgets des collectivités doivent toujours être votés en équilibre réel et sincère et suivant un calendrier établi par la Loi (avant le 31 mars ou le 15 avril l'année de renouvellement de l'assemblée). La section de fonctionnement est d'abord adoptée avant la section d'investissement. Les budgets sont votés par chapitres ou, si l’assemblée délibérante le décide, par articles à l’intérieur de chaque section. ». Conclusion, les collectivités gèrent mieux leur budget, économisent plus que les structures étatiques qui se croient permises de ne pas respecter la raison ayant fait ses preuves. Dans ces conditions, les gouvernements commettent trop d’ERREURS. Nous ne sommes pas sous la IV République. Sous la V, les ordonnances devraient purement et simplement être interdites, comme anachronismes contre-productifs.
Afin d’avoir une vue minimum
Vue du côté des….intéressés !
L'État finance ses dépenses par les…recettes : évidence à rappeler ainsi que l’époque de « disette budgétaire » actuelle (lorsque que tout est fait pour NE PAS PERCEVOIR les recettes légales pour, ensuite, faire semblant de se plaindre du trop de dépenses – or les dépenses sont quasiment égales depuis les années 1980. Ceci est le propre de la grande fraude économique du libéralisme ( qui fait partie des recettes non perçues, des taux usuriers imposés aux Etats illégalement contraints d’emprunter au privé ni souverain ni régalien, de la non austérité pour eux lorsque l’austérité des autres les engraisse dru et du détournement limpide des fonds publics) – 4 sources d’enrichissements illégitimes. Auxquelles il suffit de prélever fermement les Recettes pour les assécher. Clair ?
La preuve que l'État crée de la richesse! Mais ne la RÉPARTIT pas équitablement du tout. Soit trahit les lois de la République. Le libéralisme n’est pas légal en France.
Comme la grave arriération française est jacobine – nous avons un Etat trop centralisateur dans un monde fédéralisé qui, cyniquement et avec une anormale fainéantise, abandonne (et ment sans cesse à…) ses collectivités territoriales : avec l’hypocrisie de la charger de trop de fonctions mais de lui couper toute possibilité budgétaire de les remplir.
"La souveraineté donc au service des peuples" (nouveau livre de Samir Amin)
La Nature : le meilleur modèle de prospérité pour toutes et tous !
La kleptocratie française ou le pouvoir des voleurs
Les pauvres ne seront pas aussi inhumains et cruels avec les riches…ils sont nettement plus réfléchis et n’ont pas oublié la sensibilité : donc les riches ne seront pas, eux, maltraités…voir : Combien les pauvres devraient-ils laisser aux riches ? Ne pas omettre de voir toutes les notes critiques en revenant à la vidéo…
Bande annonce et annoncée "La Sociale"